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Après le fléau 111
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Après le fléau 111 |
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
ÉPILOGUE
Six mois plus tard
Chapitre 111.
Le signe sur la porte en chêne était éloquant.
‘Directeur du dressage – Bureau privé.’
Camilla frappa doucement.
Il n’y eut pas de réponse.
Elle frappa à nouveau, un peu plus fort.
« Entrez ! »
Timidement, elle poussa la lourde porte.
Le récent directeur nouvellement promu était assis derrière un grand bureau, sur lequel étaient entassé des piles de papiers, des dossiers, des photos et un écran d’ordinateur dernier cri.
Le sol était encombré d’un désordre excessif ; papiers, vêtements éparpillés, boîtes en cartons vides et toutes sortes de détritus et de déchets.
C’était la même chose tous les matins.
Uniquement pour lui compliquer un peu plus la vie.
« Ah ! Camilla. »
« Bonjour, Maîtresse. » Répondit-elle.
« Approche-toi. »
Elle s’exécuta et se mit au garde à vous à côté du bureau.
« Soulève ton haut. »
L’hiver se terminait, mais les journées étaint encore très fraîches. La plupart du temps, les esclaves avaient droit à quelques vêtements. Camilla, elle, portait un corsage en coton, une mini jupe et des bas.
Elle leva son vêtement haut sur sa poitrine.
Rebecca tendit la main et manipula les seins pendants avant de glisser le long de son ventre.
« Malade ? »
« Pas aujourd’hui, Maîtresse. »
Elle était exactement à la moitié de sa grossesse, enceinte depuis 20 semaines. Le pire de ses nausées matinales semblait être passé.
« Une idée précise de qui est le père ? » Demanda gaiement Rebecca.
Elle s’amusait à lui poser la même question presque tous les matins.
« Non, Maîtresse. »
« Mais au moins, nous savons de qui ça ne peut pas être, n’est ce pas ? »
« Oui, Maîtresse. »
Ian avait été vendu à Shack quelques semaines auparavant.
Camilla ne l’avait pas vu pendant plus de cinq mois. Il lui était interdit de mentionner même son nom.
« Parfait. Allez… Nous avons du travail. » Conclut Rebecca. « Je dois m’occuper des nouveaux esclaves. »