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Après le fléau 108
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APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR

 

Adaptation Française : Perverpeper.

 

Chapitre 108.

Le Dogue Allemand est un mastodonte affectueux. Bien traité et bien entraîné, ce chien est adorable avec les enfants et les personnes âgées. Cependant, il ne faut pas oublier qu’il est extrêmement puissant. Ces grands chiens descendent de grands mâles utilisés à la chasse à courre. Leur corps est conçu pour courir, combattre et conquérir. Leur façon de se reproduire reflète leur puissance et force est de reconnaître qu’un Dogue Allemand en rut ne doit pas être contrarié.
Le maître chien qui s’occupait de Hamlet le frottait à l’aide de sa brosse favorite, lui appliquant de longues frictions lascives. Ses attentions évoluèrent du bas de sa colonne vertébrale, juste avant la queue, vers ses flancs, progressant lentement vers ses organes génitaux. Ses pattes étaient dotées de sortes d’épaisses chaussettes qui étaient fixées par du ruban adhésif.
‘Broute-minou’ s’écarta un instant de Jane pour s’emparer d’une bouteille de parfum dotée d’un atomiseur.
Elle en aspergea les cuisses, les fesses et l’entrejambe de Jane, ne se privant pas d’étaller voluptueusement l’onguent en lui dispensant mille caresses affolantes.
Jane n’avait pas remarqué l’échange de produits et son corps ondulait doucement sur le hamac, tandis que Jane faisait pénétrer l’onguent.
C’était un arôme extrait directement des glandes d’une chienne en chaleur mixé avec un lubrifiant basique.
Aussitôt, Hamlet se dressa sur ses pattes et commença à tourner autour d’elles.
Le mouvement de l’animal tira Jane de sa rêverie. Elle leva les yeux sur Stella.
Le maître chien guida Hamlet vers la place que ‘Broute-minou’ venait d’abandonner. Quatre gardes l’aidèrent à soulever le chien, l’aidant à se tenir sur ses pattes arrières en plaçant son poitrail contre le dos de Jane.
‘Broute-minou’ s’avança à quatre pattes et glissa ses doigts experts entre les pattes arrières d’Hamlet. Mais elle n’eut pas besoin de le stimuler. Ce n’était pas sa première fois et il savait quoi faire.
Le brossage et l’odeur qui émanait de la femelle offerte devant lui étaient suffisamment émoustillants et il adorait ça.
Sa longue érection rose et brillante pointait à l’extérieur de son pelage.
Jane n’était probablement prête à subir l’ignoble accouplement. Mais son corps l’était.
Un rapide ajustement des gardes, les mains de ‘Broute-minou’ et la flèche d’Hamlet s’introduisit facilement dans la cible sans défense.
Soudain, après la tension silencieuse des dernières minutes, les spectateurs applaudirent. Maintenant, ils n’avaient plus besoin de se contrôler. Les choses étaient devenues irréversibles.
Jane poussa un gémissement à mi-chemin entre le grognement et le beuglement.
Stella ne perdait pas une miette de la scène. Elle souffla silencieusement. Dieu qu’elle adorait ce moment.
L’un des caméramen fit un gros plan sur la pénétration et un autre se concentra sur le visage noyé de larmes.
Au même moment, Hamlet se mit à aller et venir frénétiquement, la geule grande ouverte. La toile du hamac et les boulons en acier se mirent à couiner en cadence.
Les mains des spectateurs se tendirent et commencèrent à caresser Jane sur tout le corps, glissant sur ses épaules et jouant avec les boucles qui pendaient sous ses seins.
Brutus avait attrapé une mèche de ses cheveux blonds afin de l’empêcher de pendre en avant.
L’atmosphère avait complètement changé ; maintenant, les spectateurs n’avaient plus de raison de rester discrets. Ils participaient activement à son humiliation.
Des cris d’encouragement fusèrent.

« Allez, mon garçon, montre à cette chienne qui est le maître, maintenant ! »

« Waow ! Ça c’est un joli couple ! »

Les yeux de Jane roulaient dans leurs orbites. Elle subissait la fornication infâme, bouche grande ouverte.

« Elle aime ça. Je connais cette expression. » Commenta une invitée en s’approchant de Stella.

Et c’était vrai, en dépit de son aversion pour cette coppulation contre nature, le corps de Jane s’animait progressivement. Après dix minutes de préliminaires incessants, elle était en pilotage automatique.
Stella sourit à ‘Broute-minou’, qui lui rendit son sourire avec soulagement.

« Allez… Jouis… » Déclara Stella en prenant le relais de Brutus, agrippant à son tour les cheveux blonds de la pauvre Jane. « Souviens-toi de ce que je te disais. »

La femme qui venait de faire un commentaire s’approcha à son tour.

« Je crois qu’Hamlet est en train de tomber amoureux. » Plaisanta-t-elle.

De sa main libre, Stella alluma une cigarette et demanda qu’on lui remplisse à nouveau sa coupe de champagne.
Choquée, Jane avait les yeux complètement écarquillés. L’énorme pénis d’Hamlet coulissait maintenant à plein régime entre les lèvres de son sexe. Ses coups de reins s’étaient fait plus effrénés. Ses oreilles étaient dressées en pointes et de longs filets de bave brillants coulaient entre ses babines.

Le grincement de l’assemblage de bois et de métal, les grognement et les gémissements, les commentaires et les rires atteignirent leur apogée.

« Noooon… » Grogna Jane. « Nmmmh… »

« Engrosse-là, Hamlet. Fais nous quelques chiots ! »

« Ce n’est qu’une chienne ! »

« Regardez, cette salope prend son pied ! » Lança un autre invité.

Stella se pencha pour chuchotter à l’oreille de Jane. « Demande-moi la permission. »

De la salive s’échappait de sa bouche tremblante. Bouche-bée, elle regarda Stella.

« S-s’il… S’il vous p… » Marmonna-t-elle. « S’il vous plait, Mad… »

Elle fut coupée par un aboiement rauque, suivi des cris et des applaudissements des spectateurs. Sans l’ombre d’un doute, le Dogue Allemand était en train gicler dans son sexe.
Incapable de poursuivre sa requête, elle ne put que grimacer.

« Ooooh… Non… Hmmmm… Aaaahhhh… Ouuui… »

Et elle jouit à son tour.
Les caméras ronronnaient à tour de bras. Immortalisant la scène sous tous les angles.
Lorsque les rush auraient été soigneusement édités et montés, ils montreraient une cérémonie consensuelle, suivie d’une consommation orgasmique et extatique de l’hymen.
Stella avait hâte d’envoyer quelques copies gratuites du DVD aux gens faisant partie du cercle social de Jane et Jim.
Hamlet avait déjà déserté la place. Couché aux pieds de Brutus, il acceptait fièrement les caresses et les tapes que celui-ci lui dispensait sur la tête.
On resservit du champagne.
Stella sourit à Jane qui se remettait doucement de son orgasme.

« C’est bien, ma fille. On peut tous témoigner que ça n’était pas feint. »

Si ça avait été possible, Jane aurait rougi encore plus. Ses yeux pétillaient d’un mélange de honte, de soulagement, et même d’un petit éclat de lubricité. Pourtant, rapidement, la honte et la colère reprirent le dessus.

Stella prit les devants. « Ne dis rien que tu pourrais regretter par la suite. J’ai trois autres chiens et ils sont tous aussi virils qu’Hamlet, si tu vois ce que je veux dire. Remercie-moi plutôt. »

Malgré l’humiliation, les grands yeux bleus enflammés s’adoucirent, attestant qu’elle retrouvait un peu de bon sens.

« M… M-merci, Maîtresse. »

« Tu es sûre que tu n’oublies personne ? » Demanda Stella en baissant les yeux sur Hamlet.

On aurait pu entendre une mouche voler dans la grande salle.
Jane ferma les yeux un instant. À contre-cœur, elle tourna lentement la tête vers Hamlet et Brutus.

« Merci… Hamlet. »

Tout le monde se mit à sourire et les verres s’entrechoquèrent.
Une caméra zooma sur le visage de Jim. Des gouttes de semence dégoulinaient sur son visage, s’accumulant sur son bâillon.
La queue battant ses flancs, Hamlet fut emmené par son maître.

perverpeper@perverpeper.com

 

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