Après le fléau 08 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 08 : Rebecca.
Dans la chambre 7b du bordel, Rebecca Cambell, âgée de 39 ans, faisait de son mieux pour contenter le trio de trois fermiers en sueur qui s’étaient cotisés pour payer 10 crédits pour passer une heure avec elle. Ils voulaient en avoir pour leur argent. L’un d’entre eux était sous elle, sa bite était enracinée au cœur de son postérieur, le deuxième était sur elle, et le troisième était assis à califourchon sur ses épaules, se masturbant dans sa bouche. Rebecca avait été l’un des premiers achats de Stella et Brutus sept mois plus tôt et la longue déchéance de “favorite” à “star vidéo” puis à prostituée pour finalement échouer “ à la chaine” avait coïncidé avec le déclin rapide de son apparence et de son énergie.
Elle grimaça lorsqu’on la pinça méchament. Elle était femme au foyer et la mère élégante de deux enfants lorsque la nouvelle loi était entrée en vigueur. Maintenant, elle officiait en tant que “vide-couilles” comme la dernière des dernières. En Français, “vide-couille” désigne une femme dont le seul rôle est de réceptionner le contenu de vos testicules, une machine humaine pour la masturbation. Les “V-C”, comme on les appellait dans le bordel de la société Brutus, où l’entreprise pratiquait des prix défiant toute concurrence pour les travailleurs ordinaires, ceux qui ne gagnaient que quelques crédits par jour et se trouvaient, eux mêmes, au bord de la débâcle. Ils venaient souvent après le travail, par groupes de deux, trois ou plus, particulièrement à la fin de la journée, lorsque les prix étaient cassés. Rebecca en était à sa huitième passe de la journée. Elle avait attaqué à 9 heures du matin avec un client qui avait payé 20 crédits pour une “première main” de son corps douché et à peine reposé. Maintenant, elle était avec trois hommes qui avaient payé 10 crédits pour pouvoir prendre à trois ses orifices mous et relâchés. En tout, à ce moment de la journée, elle avait gagné 115 crédits, abusée par un total de 10 hommes et 1 femme. Et il lui restait encore deux heures à assurer.
Elle faisait de son mieux pour rester agréable. Le soir, elle frottait et soignait sa peau avec les crèmes de mauvaise qualité qu’on lui fournissait, brossait ses cheveux, limait ses ongles et effectuait les exercices recommandés par le docteur du lupanar. Elle détestait la nourriture infecte qu’on lui donnait et en était même arrivé à savourer le sperme, en raison des quelques calories que cela contenait. Pourtant, sucer et se faire baiser par près de 100 hommes par semaine avait eu des conséquences sur son visage, son corps, son anus et, encore plus, sur ses yeux. Cependant, ce n’étaient pas ceux de quelqu’un de résigné.
Rebecca se considérait comme chanceuse, comparée à certaines de celles qui avaient été achetées en même temps qu’elle. Elle les avait vues endurer un sort pire que le sien. Sort auquel elle voulait échapper à tout prix. Parce que Rebecca Campbell avait un plan.
L’homme qui envahissait sa bouche grogna et déversa un jet de sperme chaud au fond de sa gorge. Elle gémit, ouvrit encore plus ses lèvres et lui sourit pour l’encourager, alors qu’il lâchait plusieurs autres giclées salées sur sa langue.
« Mmmmm…. » Elle avala avec empressement, comme si c’était la meilleure chose qu’elle eut jamais dégustée.
Il grimaça. « Sale pute. »
Rebecca garda sa semence sur sa langue. Ce genre d’homme attendait d’elle un comportement que leurs femmes ou leurs petites amies ne leur offriraient jamais. Elle rêvait que l’un d’entre eux l’achète, mais pas en tant que prostituée ou esclave, au prix réduit que Stella avait affiché sur le tableau d’offres du bordel. Elle se gargarisa avec le sperme, avant de l’avaler, d’une seule gorgée, en souriant.
Le fermier barbu au visage cramoisi grommela son dégoût.
Elle sentit que celui qui la sodomisait était au bord de l’orgasme et serra ses fesses afin de lui procurer le plus de plaisir possible. Un jour, c’était sûr, un homme voudrait l’acheter.