Après le fléau 09 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 09 : Facial.
Brutus et Stella buvaient du champagne sur leur terrasse privée. “Bidet” leur présentait le plateau, tandis que “Cuvette de chiottes” et “Un” attendaient sans bouger dans un coin. Jim et Jane étaient nus, attachés côte à côte sur un robuste banc destiné au fouet, tandis que le crépuscule rougeoyant déclinait derrière les collines distantes. La terrasse offrait une vue imprenable sur la plus grande partie du domaine et des terres qui leur appartenaient.
« Pas mal pour 4 500. » Observa Brutus.
« Tu te souviens d’eux ? » Demanda Stella en tendant sa cigarette vers “Un”, son esclave mâle personnel qui se précipita pour l’allumer.
Brutus haussa les épaules. « Pas vraiment. Je me souviens d’elle, mais pas de son nom. »
Stella sourit à “Un”. Son corps était totalement imberbe. Elle l’avait épilé électriquement et exigeait qu’il garde une peau entièrement lisse des orteils au cou avec une crème dépilatoire. Cela faisait paraître sa carrure encore plus impressionnante. Elle tendit sa main et caressa son érection.
« Rappelle-moi depuis quand tu n’as pas joui ? »
“Un” baissa longuement ses yeux sur sa queue. « Onze jours, Maîtresse. »
« Onze ? Pas plus ? Que vallait le nouvel esclave… Heu… “Bidet” lorsqu’il t’a sucé tout à l’heure ? »
“Bidet” se contenta de tenir le plateau en regardant droit devant lui. Son sexe était emprisonné dans une cage ridiculeusement petite.
“Un” haussa les épaules. « Pas mal, merci Maîtresse. »
Elle fit une pause, inhalant profondément la fumée. « Aimerais-tu jouir maintenant ? »
« Oh oui Maitresse, beaucoup. S’il vous plaît. »
« Où ? » Elle recracha la fumée, les yeux brillants de malice.
Il désigna le corps penché sur le banc de Jane. « Ici Maîresse. »
« Ah tiens. Et dans quel orifice ? »
“Un” pointa son index vers la tête de la jeune femme.
« La bouche ? »
« Oui Maitresse, s’il vous plaît. »
Stella tendit son doigt pour désigner le tonneau qui abritait les cannes.
« Elle pourrait mordre. Il vaudrait mieux que tu les corriges avant. »
“Un” grimaça. Il s’empara d’une des baguettes et, d’un geste expert, en fit siffler le bambou noueux dans les airs. Bien qu’imberbe et féminisé, il était encore visiblement masculin ; raide et musclé, avec une bite et des couilles impressionnantes.
Stella donna son accord en faisant un signe de la tête vers Jim et exhala un mince filet de fumée. Son geste signifiait clairement que “Un” devait commencer avec le nouvel esclave mâle.
TCHAC !
« Aaaahhh… » Gémit Jim lorsqu’une fine marque rose apparut en travers de ses fesses.
TCHAAC !
TCHAAAC !
TCHAAAC !
TCHAAC !
« Ooooh !... Je vous en supplie… » Hurla-t-il plus fort en luttant pour reprendre sa respiration.
TCHAC !
TCHAAAAC !
TCHHAAAAAC !
TCHAAC !
TCHAAAAAC !
Expertement, “Un” délivra dix coups rapides et puissants, augmentant leur force, sur le derrière tendre et maintenant zébré de traces roses entrecroisées de Jim.
Stella approuva d’un sourire, lui faisant signe de poser la question.
« Est-ce que tu veux que ta femme me suce la queue ? »
Jim restait silencieux. Il renifla mais ne répondit pas. “Un” leva à nouveau la canne.
TCHAAAAC !
TCHAAAAAC !
TCHAAAAAAC !
TCHAAAAAAAC !
TCHHAAAAAAACC !
« AAAAAAAHHHHHH ! D’ACCORD… S’IL VOUS PLAÎT… ARRÊTEZ… OUI… » Hurla Jim.
« Demande-le ! »
« Oui… S’il vous plaît… Est-ce qu’elle peut vous sucer la queue. »
TCHAAAAAAC !
TCHAAAAAAAC !
« Est-ce que “ma femme” – pas “elle” – peut vous sucer la queue … »
« S-s’il… S’il vous plaît… Est-ce que ma femme peut vous sucer la queue. »
“Un” regarda triomphalement Stella, en quête d’approbation. Elle consentit d’un signe de tête, et leva sa flûte de champagne dans un toast silencieux. Brutus claqua des doigts, signifiant à “Bidet” de remplir à nouveau leurs deux coupes.
Pris par le jeu, “Un” frotta lentement la canne contre le posterieur de Jane. Puis, soudain, tel un matador, il frappa violemment dans un mouvement de revers.
TCHAC !
Jane poussa un cri.
TCHAAC ! Coup droit.
TCHAAAC ! Revers.
TCHAAAAC ! Coup droit.
TCHAAAAAC ! Revers.
TCHAAAAAAC ! Il frappait et refrappait en alternant ses coups, tel un joueur de tennis au filet.
TCHAAAAAAAC !
« Nnnnnaaaannn… » Elle hurlait à chaque coup, serrant ses fesses comme si cela pouvait attenuer la douleur.
TCHAAAAAAAAC !
TCHAAAAAAAAAC !
TCHAAAAAAAAAAC !
TCHAAAAAAAAAAAC !
TCHAAAAAAAAAAAAC !
« STOOOOP ! S’il vous plaît… Stop, je vous en prie…. Je veux sucer votre queue… S’il vous plaît… »
« Stella et Brutus applaudirent nonchalament.
« Jeu set et match. Elle ne demande que ça, ne la déçoit pas. »
“Un” se débarrassa de la canne. Son érection était exacerbée au maximum. Elle battait presque contre son ventre, pointant tel un dard, de son entrejambe lisse. Le gland, dont la tête circoncise virait au violet, laissait goutter un filet de liquide séminal brillant. Il se positionna devant le visage de Jane et lui fit ingurgiter toute la longeur de son sexe. Les jambes de la jeune femme étaient étroitement liées à la partie inférieure du banc. Elle eut un haut-le-cœur. “Un” se retira légèrement pour lui permettre de reprendre son souffle, puis se mit à agiter d’avant en arrière les vingt centimètres de sa virilité.
Stella se pencha en avant et appuya délicatement sa cigarette sur l’omoplate de Jim. Son geste n’était pas brutal, mais suffisant pour laisser une brûlure douloureuse pendant plusieurs jours.
« AAAAAHHHHH ! »
« Chuuuut… » Se moqua-t-elle. « Tu sais que les cigarettes peuvent te faire du mal. Maintenant regarde comment ta charmante épouse s’y prend pour sucer correctement une queue. Tout à l’heure, elle a baisé et léché des culs sous tes yeux et d’ici peu tu la verras boire de la pisse et se faire mettre dans son petit trou du cul délicat. Et tu sais quoi ? Ce ne sera que le début. »
« Je vous en prie… » Supplia Jim. « Qu’avons nous fait ? Pourquoi nous détestez-vous à ce point ? S’il vous plaît… Je vous en prie… Pourquoi ? »
« Pourquoi ? » Répondit Stella en se penchant sur son visage. « Pourquoi ? Mais parce-que je le peux.. Voilà pourquoi. »
“Un” grimaça sous la succion des lèvres de Jane qui aspiraient bruyamment sa grosse bite.
Stella jeta un coup d’œil interrogatif à Brutus, désignant “Cuvettes de chiottes” de la tête. Sa nouvelle favorite était une brune splendide aux mensurations de mannequin.
« Toi, ma jolie, donne leur un coup de main sinon nous allons y passer la nuit. » Déclara-t-il.
Se précipitant pour faire ce qu’on lui demandait, “Cuvette de chiottes” s’empressa d’empoigner l’érection de “Un” avec sa main droite. Son poignet paraissait démesurément petit en comparaison du membre puissant. Lentement au début, puis de plus en plus vite, elle se mit à masturber son érection. Ce mouvement de piston faisait claquer ses doigts contre le visage de Jane.
“Un” lança un regard plein de gratitude à Stella. Il était absolument conscient d’être le plus chanceux de tous les esclaves présents sur le domaine, mais il savait aussi qu’il ne devait pas être trop long parce qu’elle était parfaitement capable de lui demander de s’interrompre à n’importe quel moment. Il eut un grand sourire lorsque ces onze jours de frustration commencèrent à déborder.
« S-s’il vous plaît, Maîtresse, Maître, me d-donnez vous la per… Permission de jouir ? »
Stella et Brutus acquiescèrent magnanimement tous les deux.
Aussitôt, un long jet de sperme épais gicla de sa bite en serpentant. L’instant, comme irréel, lui sembla se dérouler au ralenti.
Choquée, “Cuvette de chiottes” en oublia de respirer, mais continua à le masturber furieusement, tandis que le premier jet de liquide crémeux se répandait sur le visage de Jane, éclaboussant ses narines et sa joue droite. Les deux giclées suivantes atterrirent au fond de la bouche grande ouverte.
“Un” lâcha un long gémissement de plaisir, mais “Cuvette de chiottes” se garda bien de s’interrompre.
C’est alors qu’une quatrième émission, étonnament plus forte que les autres, jaillit du petit orifice et explosa sur le nez de Jane, tel un blanc d’œuf, alors que de nombreuses gouttes translucides et gluantes s’éparpillaient partout sur son visage, dans ses cheveux et sur ses cils, avant de se mettre à ruisseler jusqu’à son menton.
« Et bien dis donc, » rigola Stella, « tu en avais drolement envie non ? »
« Bordel ! C’était le plus impressionnant putain d’orgasme que j’ai jamais vu. Et j’en ai vu. » Ajouta Brutus. « Je pense que je pourrais te trouver un rôle dans un film de Bukkake mon garçon. »
« C’est pour ça que tu es mon numéro "Un", esclave. » Dit Stella avec un soupçon de fierté.
“Un” leur sourit honteusement, embarrassé, soulagé et temporairement satisfait. Il fit un pas en arrière et rangea correctement la canne, s’empressant de reprendre l’attitude soumise qu’il avait adopté auparavant. “Cuvette de chiottes” baissa les yeux sur sa main délicate, encore souillée de sperme. Hésitante, elle la regarda et la lécha consciencieusement, avant de suivre l’exemple de “Un” en reprenant sa pose initiale.
Pendant ce temps, les cheveux ébouriffés, le joli visage rougissant et les yeux de Jane baignaient comme un fruit mûr servi dans un plat, couvert d’une généreuse portion de crème. Elle cligna des yeux, tentant de les débarrasser du sperme qui les engluait mais cela ne fit que les irriter encore plus. Millimètres par millimètres, la semence gouttait de son visage souillé.
Stella se tourna vers Brutus en haussant un sourcil.
« Il est peut-être temps de diner, mon cher ? »