Après le fléau 06 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 6 : Lara.
Traversant la pelouse, Stella rejoignit Lara qui était en compagnie de deux hommes et d’une esclave, Emma ou Gemma, quelque chose comme ça. L’esclave était accroupie sur une table couverte de pisse. Normalement, Stella se serait arrêtée pour regarder un moment, mais au lieu de ça, elle leur fit un geste.
Aussitôt, Lara la rejoignit.
« Tante Stella, je peux te dire deux mots ? »
Stella déposa une bise sur la joue de sa nièce. « Oui ? »
« J’adore celle-là. J’aimerais l’acheter. »
Stella fronça les sourcils. « Elle n’est pas à vendre pour le moment, ma chérie. Brutus s’en sert pour une série de videos, je ne sais plus laquelle. "Bukkake" il me semble.
Lara fit la moue. « Alors je pourrais la louer. La prendre avec moi pour quelque temps.
« Je connais ce regard. » Sourit Stella. « Qu’est-ce que tu lui veux ? »
« J’aurais pensé que c’était évident ! »
« Tu peux avoir un million de ces chiennes pour lécher ta petite chatte en chaleur. Pourquoi celle-là ? »
Lara lança un regard vers Gemma. « Il y a quelque chose avec elle. Je veux la casser. Vraiment lui prendre la tête. La rendre folle. »
Stella rit. « On dirait que tu t’es entichée d’elle. »
Lara eut un air indigné. Tomber amoureuse d’une esclave serait le pire des faux-pas dans ce nouveau monde. « C’est pas ça. » Répliqua-t-elle.
« J’en parlerai à ton oncle. » Déclara Stella pour clore la discussion. « En attendant, tu peux en faire ce que tu veux, mais ne l’estropie pas, OK ? »
Lara sourit. « Merci tante Stella. » Stella la regarda rejoindre le groupe.
Brutus était étendu sur leur énorme lit-double. Il était en érection et affichait un grand sourire. Trois esclaves étaient entrain de le "distraire". Il y avait le jeune couple, "Cuvette de chiottes" et "Bidet", comme l’avait renommé Brutus – et l’esclave particulier de Stella, qu’on appelait simplement "Un", un jeune homme très joli d’environ vingt-cinq ans. Stella l’autorisait à vivre sans ceinture de chasteté la plupart du temps. Elle préférait qu’il se contrôle lui-même. Il y avait des caméras cachées tous les coins des pièces de la maison et partout dans le domaine. S’il se masturbait ou avait un orgasme une seule fois sans sa permission, il n’aurait pas de seconde chance. Il serait castré et bannit dans le "Trou infernal" pour le reste de ses jours. Par contre, il était souvent autorisé à participer aux ébats et à être en érection. "Un" se tenait debout, jambes écartées, et souriait tandis que "Bidet" était agenouillé devant lui et pratiquait sa première leçon de fellation. Lavinia, maintenant "Cuvette de chiottes" était aux côtés de son mari, agenouillée au pied du lit, occupée à lécher, un par un, les doigts de pieds de Brutus. La scène fit sourire Stella lorsqu’elle rentra dans la pièce.
Brutus tapota le lit à côté de lui. « Enfin, te voilà de retour. Viens ici, mon amour. »
Elle s’approcha et l’embrassa sur la joue. « Une petite douche d’abord. »
Il l’attrapa et l’attira sur le lit. « Une douche ? » Elle rigola et l’embrassa. « Nous avons des douches humaines pour nous nettoyer. » Dit-il. « "Un !" Sors ta bite de cette chienne et viens immédiatement nettoyer ta Maîtresse. »
En un éclair, le jeune homme était sur le lit, deshabillant Stella, s’occupant de son corps poussiereux à grands coups de langues. Elle se laissa aller et profita de l’instant. En réalité, après les évênements de l’après midi, son sexe était en feu. Humide et prêt. Elle eut un signe de tête interrogatif en direction des autres esclaves.
« Je te présente "Cuvette de chiottes" et "Bidet". Mes deux nouveaux favoris. »
« J’étais sûre qu’elle te ferait craquer quand je l’ai achetée. »
Brutus sourit et l’embrassa sur la joue.
« J’adore que tu sois jalouse. Tu aimes son nouveau nom ? »
Stella l’embrassa à son tour, laissant libre cours à sa langue, pendant que "Un" finissait de la dépouiller de ses vêtements.
« Viens ici ! » Ordonna Brutus.
"Cuvette de chiottes" se précipita au bord du lit, faisant trembler ses petits seins fermes.
« Etends-toi sur le lit. Tête vers le pied du lit. Voilà. »
Elle se coucha sur le dos, ses pieds délicats contre l’oreiller, visiblement anxieuse.
Brutus poussa "Un" hors du chemin et souleva délicatement sa femme de façon à ce qu’elle s’agenouille de part et d’autre du corps nu de "Cuvette de chiottes".
En l’embrassant tendrement, il la positionna à califourchon au-dessus du visage de "Cuvette de chiottes", puis il la fit s’abaisser jusqu’à ce que son posterieur soit en contact avec le petit nez parfait de l’esclave.
Il regarda profondément Stella dans les yeux.
« Voilà ce que je pense d’elle, en comparaison avec toi, mon amour. » Déclara-t-il en se glissant derrière elle et, finalement, en enfouissant son érection impatiente en elle, d’un mouvement habile. « Mmm… » Il s’immobilisa, savourant la sensation. « Elle est peut-être jeune et magnifique, mais ce n’est qu’une esclave dont la seule raison de vivre doit être de lécher ton cul. » Il caressa la cuisse de Stella. « Ca, c’est ma chatte préférée et ça le sera toujours. »
Stella lui offrit à nouveau sa bouche.
« Elle devrait être destinée à le lécher, mais… elle ne le fais pas. »
Brutus enfonça violemment son poing dans l’estomac de la jeune femme. « Tu entends ça espèce de chienne ? Lèche ! »
Stella sentit une douce humidité se répandre entre ses fesses, déclenchant une multitude de sensations en elle. Elle sourit à "Un" qui les fixait intensément. Elle aimait qu’on la regarde, qu’on soit frustré en la regardant. Elle savait qu’elle n’en avait plus pour longtemps. Elle sentait son plaisir monter, et derrière elle, Brutus ne semblait pas loin de l’orgasme. Pendant près d’une minute, leurs corps s’accordèrent dans un rythme amoureux sensuel, ce qui était rare dans cet endroit où la plupart des relations sexuelles étaient brutales, sans amour et imprévisibles.
« Mmm… Je t’aime. » Lui murmura-t-elle a l’oreille.
Brutus baissa les yeux sur elle, se délectant de l’expression que conférait la proximité de l’orgasme à son visage. « Moi aussi. »
Stella s’était mariée avec Brutus alors qu’elle n’avait que 18 ans et était encore vierge. En dépit d’une vie consacrée à l’industrie du sexe, il était le seul homme qu’elle avait aimé et avec qui elle avait fait l’amour – en termes de pénétrations sexuelles. – Elle était étrangement fière d’elle, fière d’avoir résisté à toutes les tentations et d’être restée fidèle à un seul homme. C’était l’une des raisons pour lesquelles elle adorait rabaisser les autres femmes, leur refusant la fidélité à laquelle elle accordait tant d’importance. Elle aurait préféré que Brutus le soit lui aussi, mais c’était déraisonable. En fait, elle adorait le regarder discrètement, lorsqu’il abusait oralement et analement une nouvelle proie quelconque. Il avait été marié quelques temps avant de la rencontrer et avait un enfant, Brutus Junior.
En l’honneur de ce fils, Stella avait épargné l’ex-femme de Brutus, mais elle avait traqué et capturé chacune de ses anciennes petites amies et toutes travaillaient déjà durement dans le domaine. Elle pouvait partager le corps et le sexe de Brutus, mais ni son cœur ni son esprit.
Ils jouirent ensemble. Brutus la rendait folle. Elle appuya de toutes ses forces son bassin contre la langue de la petite chienne et s’accola plus étroitement contre son mari, écrasant son clitoris contre la bouche de l’esclave, elle laissa libre cours à son orgasme.