Après le fléau 04 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 4 : L’auberge.
Après quatre-vingt dix longues et chaudes minutes, le cabriolet de Stella arriva enfin à l’auberge. Une douzaine d’autres tilburys étaient attachés à l’extérieur. Certains étaient attelés à des chevaux ou des ânes, d’autres à des humains. Plusieurs chevaux isolés étaient aussi attachés à une ballustrade et deux vieilles voitures en mauvais état étaient garées à proximité.
Stella fit ranger son attelage et sauta de son siège. Elle sourit aux deux corps luisant et épuisés qui haletaient bruyament en tentant desespérément de reprendre leur souffle. Ils avaient du trotter sur plus de la moitié de la distance et avaient marché le reste du temps à diverses allures. Tous deux avaient vomi plusieurs fois sous l’effort. Ils étaient couverts de poussières et d’égratignures, avec plusieurs zébrures dues au fouet marquaient profondément leurs épaules et leur dos. Sans un mot, elle pénétra dans l’auberge. Le barman et plusieurs connaissances l’accueillirent. Elle commanda un café et un jus de fruit, puis alluma une cigarette.
« Quoi de neuf, Stella ? » demanda le barman. « De nouveaux achats ? »
Elle acquiesca en pointant la tête vers l’extérieur.
« Oui Franck. T’as de l’eau pour eux ? »
Franck sourit.
« Bien sûr. »
C’était un petit homme au visage rond et joyeux.
« Demande à tes garçons d’écurie de m’amener la femelle ici, d’accord ? »
Une minute plus tard, deux adolescents amenèrent Jane en la tirant par son harnais. Tous les yeux des occupants du bar convergèrent vers l’arrivante. Des moues goguenardes déridèrent leurs visages. Stella s’empara de la gamelle que lui tendait Franck et la déposa à l’extrémité d’une grande table en bois robuste. L’eau était chaude saumâtre et repoussante.
« Bois ! » Ordonna-t-elle.
Jane resta immobile un instant et se pencha pour plonger ses lèvres sèches et craquelées dans le liquide. Elle s’immobilisa à nouveau puis se mit à lapper. Plusieurs personnes se rapprochèrent pour l’observer de plus près. En souriant, un homme grisonnant et mal rasé se pencha et lâcha un long filet de salive dans le bol. Jane le regarda avec un air dégoûté et cessa de boire.
Stella haussa les épaules et lui retira la gamelle.
« Tu en as déjà assez ? Je croyais que tu serais plus assoiffée après ce long trajet. Visiblement, j’avais tort. »
Catastrophée, Jane darda ses yeux éplorés autour d’elle.
« J-je… »
Tous les spectateurs riaient à gorge déployée.
« Enlevez-lui le bas de son harnais, les garçons. »
Rapidement, les deux adolescents détachèrent la courroie de cuir qui courait entre les cuisses et autour de la taille de Jane, puis la jetèrent par terre.
« Mettez-la sur la table. » Ordonna Stella.
Plusieurs paires de main attrapèrent la jeune femme ligottée et sans défense et la couchèrent de force, sur la table, l’y faisant glisser sur le dos, visage vers le haut.
« Si sa bouche n’est pas assoiffée, peut-être que son vagin l’est, lui… »
Un concert d’encouragements retentit.
« Franck, » continua Stella, « J’ai bien peur de ne pas avoir de monnaie sur moi. Combien pour mon café, le jus de fruit et l’eau ? »
Franck dégraffa sa ceinture.
« Que diriez-vous d’un coup rapide pour moi et, disons cinq de mes potes? »
Stella fit une grimace.
« Cinq ? C’est un peu cher et je suis pressée. Et si on disait plutôt toi et tes deux garçons d’écurie ?
Le pantalon de Franck était sur ses chevilles et sa bite déjà raide.
« Ça marche. »
Il cracha sur ses doigts et les passa sur le sexe aride de Jane. Elle se débatit de son mieux mais, exténuée par la fatigue et solidement maintenue par six paires de mains, elle n’avait aucune chance. En une seconde, le barman avait introduit son sexe entre les lèvres de son sexe et l’avait pénétrée d’une seule poussée.
« Aaaahhh. » Se plaignit Jane en grognant et en agitant sa tête dans tous les sens.
Franck se saisit fermement des boules roses qui étaient toujours fixées à chacun de ses seins offerts et irrités par les lanières en cuir du harnais supérieur. Il leur donna frénétiquement des pichenettes de part et d’autre en ricannant. Les autres participants la contraignaient, alternant rudesses et attouchements.
Stella approcha sa bouche à quelques centimètres de l’oreille de sa nouvelle esclave.
« Bienvenue dans ta nouvelle vie, ma chérie. C’est jouissif non ? »
L’expression de répulsion que Jane lui renvoya la fit frissonner de plaisir. Elle adorait les rebelles. Ils étaient beaucoup plus captivants.
« Maintenant que tu as eu un peu de temps pour t’habituer, je veux que tu te donnes à Franck avec un maximum de passion. Je veux que ça soit toi qui mène le jeu. Agite ton bassin, presse ta chatte contre sa bite. Je veux t’entendre rugir de plaisir. Fais le jouir dans ton con si tu ne veux pas que je révise mon mode de paiement et que j’ajoute deux autres participants. »
Jane avait les yeux dans le vide, totalement abasourdie par ce qui lui arrivait. Franck avait cessé de la pilonner et se contentait de bouger lentement à l’intérieur de son ventre, la regardant avec une grimace concupiscente.
« Prêtez-moi votre bâton électrique s’il vous plaît. » Demanda Stella à l’un des fermiers qui se hâta de lui tendre. Stella le manipula habilement et l’actionna. Avec un sourire sadique, elle en appuya l’extrémité contre le sein droit de Jane.
« Aaaahhh ! » Le cri de Jane monta du fond de son ventre.
« Bordel ! » Franck riait. « C’était terrible. Les muscles de son vagin se sont resserrés comme un étau autour de ma bite. Recommence s’il te plait. » Tout le monde sourit.
Stella se pencha à nouveau sur l’oreille de Jane. « Encore ? »
« N-non… S’il… S’il vous plait. »
« Très bien, alors nous savons ce qu’il nous reste à faire, n’est-ce pas ? Comme si nous étions amoureuse de Franck. »
Lentement, Jane se mit à bouger son bassin d’avant en arrière. Franck retira progressivement sa petite queue jusqu’à ce que, seule, la tête de son gland reste insérée entre ses lèvres, de façon à ce que les spectateurs puissent voir correctement ce qu’il faisait. Puis, il se renfonça brusquement. Jane grogna.
« C’est ça. » L’encouragea Stella avec un rire moqueur. « Montre-nous que tu sais gémir comme une petite chienne. »
En dépit de son épuisement évident, le corps de Jane se mit à s’agiter mécaniquement. Elle poussait son bassin à la rencontre des poussées de Franck, sa chair claquant contre la sienne, et elle gémit comme une femme amoureuse.
Stella attira l’un des garçons d’écurie à l’écart. « Enlève ton pantalon, jeune homme. Et dis-moi… Est-ce qu’on t’a déjà léché l’anus ? »
Le garçon remua sa tête négativement et se deshabilla en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Sous les applaudissements de l’assemblée, il escalada la table et s’accroupit au-dessus de la femme étendue, les fesses surplombant son visage et face à Franck.
Stella se pencha à nouveau et lui glissa quelques mots à l’oreille en souriant.
« Comme ça, tu auras de quoi occuper ta bouche. Mords-le et je te fais arracher les dents. Compris ? »
Jane approuva silencieusement, levant les yeux sur l’anus offert à quelques centimètres de son visage.
Au même moment, Franck grogna sourdement et rejeta sa tête en arrière, serrant les dents pendant qu’il se vidait les bourses à l’intérieur du vagin serré de Jane.
Tout le monde l’applaudit et on lui assena des claques sur le dos lorsqu’il se retira.
Aussitôt, le deuxième adolescent boutonneux prit sa place, introduisant son érection à l’intérieur du sexe maintenant accueillant. Pendant ce temps, son collègue s’était abaissé sur la bouche de Jane et sa langue érigée.
« OK Jane. Tu as deux beaux palfreniers à choyer maintenant. Je veux que tes gémissements soient vraiment convaincants et que tu leur donnes du plaisir. Entre deux coups de langues, je veux t’entendre leur dire des mots d’amour. Demande-leur de te baiser et surtout dis-leur bien comme leur cul est bon. Compris ? A moins que tu ne préfères une autre décharge ? »
« Mmmmm… » Tenta-t-elle de répondre. « Nnnnnn. »
« Alors sois volubile. »
« Hmmm… S’il vous plait… Hmmm… B-bai… Baisez-moi… S’il vous plait…. Mmmmm…. Hmmm… C’est… S-si bon… Mmmm… J-joli… T-tmmmm… Trou du cul…
Stella eut un petit sourire en coin vers les spectateurs. « Plus fort, chienne ! »
« S-s’il vous p-plait… » Jane criait presque… « Hmmmm… Oooh oui… Mmmm… C’est si bon… »
Au même moment, quatre costauds amenèrent Jim, le mari de Jane, à la porte du bar. Il était baîllonné, menotté et étroitement maintenu.
« Baise-moi… S’il te plait… Plus fort… Oui… Mmmm… Ton trou du cul… C’est si bon… »
Stella posa un doigt sur ses lèvres. Autour d’elle les hommes poursuivaient leurs conversations, commentant le spectacle et gloussant de rire. La mimique de Jim, lorsqu’il découvrit sa femme baiser avec un autre pour la première fois, lui plut beaucoup. Jusqu’à présent, cette petite garce avait été une telle mijaurée, prétentieuse et condescendante. Et maintenant, elle se vautrait sous les fesses d’un parfait inconnu, enfouissant profondément sa langue dans l’anus d’un jeune palfrenier, pendant qu’un autre pénétrait profondément son con d’ex-bourgeoise huppée. Et pour couronner le tout, elle ne savait pas que son mari adoré la voyait.
« Hmmm… Oh oui, baise-moi… Oui… Mmmm… Bon… J’aime… Du cul… »
Jim ne tenta pas de se débattre. Fixant sa femme bien-aimée tandis que les hommes le maintenaient en place.
« Oui, » Siffla le jeune homme qui la baisait. « Ouiii… Ouuiiiii ! » Il s’écroula en avant sur ses seins frémissants, ajoutant son jus épais à la mixtion.
Presque à contre-cœur, l’autre garçon se décolla de son visage. Ses fesses étaient brillantes de salive et sa queue saillait comme un mât.
Jane ouvrit les yeux, souleva sa tête, et vit son mari qui la regardait.
« Nooon… » Pleurnicha-t-elle. « … Bande de salauds. »
Ses protestations furent accueillies par des acclamations, au plus grand plaisir de Stella.
Sans attendre, le deuxième palfrenier la pénétra et, en quelques secondes, il éjacula. Affichant un sourire bête, l’adolescent fit coulisser sa bite hors du ventre de Jane, un filet de sperme pendait au bout de son gland.
Stella s’approcha de l’entrecuisse écartelé de sa victime et étudia le mélange qui le maculait. La face interne des cuisses et son pubis étaient moites, tandis qu’un écoulement épais suintait entre ses lèvres intimes.
De leur propre fait, les quatre hommes tirèrent les cheveux bruns de Jim et lui tordirent les bras pour le contraindre à s’agenouiller. Puis, ils le forcèrent à ramper entre les jambes de sa femme. La grosse balle rose fixée sur ses testicules pendait jusqu’au sol en bois.
« Je te donne le choix, Jim. » Lui dit Stella. « Sois tu lèche la chatte de ta femme jusqu’à ce qu’elle soit aussi propre qu’un sou neuf, soit nous continuons à la remplir jusqu’à ce que tu le fasses. J’espère que tu as conscience que ce ne sont pas les candidats qui manquent. Ca sera le seul raffraichissement auquel tu auras droit avant que nous repartions, alors n’hésite pas trop longtemps. »
Jim se tortilla furieusement, tentant d’échapper à la poigne des hommes qui le maintenaient. Mais sa tentative était vaine, et il le savait. Il baissa la tête en signe de capitulation. Stella l’attrapa par les cheveux et le força à s’approcher encore plus.
« Pas trop près… Utilise ta langue. Sors-la. Voilà, très bien. Mes amis et moi, nous voulons tous te voir boire ce nectar. Commence par ses cuisses et progresse lentement. »
Les spectateurs s’approchèrent pour avoir une meilleure vue. Stella alluma une cigarette et souffla la fumée au visage grimaçant de Jim dont la langue léchait lentement sur la face interne des cuisses de sa femme.
« C’est bien, mon garçon. Tu commences à t’habituer au goût. Mmmm… Quel délice hein ? »
L’éclair d’un flash illumina la scène. Un autre poster pour les murs des toilettes du bar.
Elle s’absorba dans le spectacle de la langue qui progressait délicatement vers la liqueur épaisse qui débordait de la féminité de Jane. Il eut un haut le cœur lorsque le bout de sa langue entra en contact avec la mixture.
« Ne laisse rien se perdre, Jim. Sinon, je suis sûre qu’il y en aura plein d’autre. »
Il se concentra pour maîtriser la nausée qui le menaçait et engloutit la première gorgée. Il fallut qu’il s’éscrime pendant cinq bonnes minutes pour que Stella s’estime satisfaite.
« Ok, tout le monde. Je dois vous quitter. » Annonça-t-elle. « Merci à tous pour votre assistance. Si vous pouviez seulement m’aider à rattacher mes poneys pour la deuxième partie de notre voyage. »
Près d’une vingtaine d’hommes se proposèrent spontanément. Il attachèrent d’abord Jim, lui remettant son casque avant d’attacher son harnais. Puis ils s’occupèrent de Jane, bouclant son harnais autour de sa taille et le serrant contre son anus et son sexe détrempé.
Stella escalada les marches et s’installa sur son siège en faisant un signe de la main.
« Merci, Franck. » Elle s’empara de son fouet et le fit claquer, puis reclaquer sur le dos des esclaves. Franck et quelques hommes poussèrent la voiture pour la décoller de la ballustrade et firent avancer les ‘poneys’ de quelques pas afin qu’ils puissent tirer convenablement leur charge.
« Hue, nous ne somme qu’à mi-chemin de la maison. »
Lentement, incapable de comprendre ce qui venait de leur arriver, le mari humilié et la femme bien baisée se mirent en route d’un pas lourd et découragé.
Le fouet claqua une nouvelle fois sur leur dos et ils se mirent au trot.