Après le fléau 03 |
APRÈS LE FLÉAU : L’HISTOIRE JUSQUÀ CE JOUR
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 3 : Le salon d’édition.
Brutus était assis dans son salon d’édition. Entre ses jambes, une nouvelle esclave splendide était en train de sucer sa bite avec mille précautions. Il ne voulait pas jouir ; pas encore. Avec un peu de chance, il devrait réussir à se retenir jusqu’à l’arrivée de Stella. Elle s’emportait contre lui s’il n’avait plus assez d’énergie à lui consacrer. Elle avait ses favoris pour le sexe oral, mais elle n’avait jamais permis à un autre homme de la baiser, à part Brutus. Et c’est ce qu’il aimait aussi, alors le moins qu’il pouvait faire, était de lui garder un peu de semence chaque jour. Elle l’autorisait à baiser ses esclaves, mais elle l’encourageait à se servir de leur bouche ou de leur cul la plupart du temps. Et c’est aussi ce qu’il préférait.
Il s’inclina sur une fesse et lâcha un énorme gaz. Il s’était régalé d’un plat d’asperges en salade, de crèmes glacées et de bieres. Quelques secondes plus tard, en connaisseur, il savoura l’odeur et baissa les yeux. L’esclave le suçait béatement, même s’il savait qu’elle détestait chaque seconde qu’elle lui consacrait. Il regarda son sexe épais et luisant pénétrer et ressortir de sa petite bouche aux lèvres distendues.
Brutus avait 50 ans et, depuis longtemps, il n’était plus l’homme qui faisait rêver les femmes lorsqu’il était moitié moins âgé. Son visage était encore beau malgré l’usure des ans. Il avait beau garder la forme, cela ne l’avait pas empêché de prendre de l’estomac. La chevelure qui ornait son crane à l’époque, n’était plus qu’un lointain souvenir et l’on pouvait croire que tous ses cheveux avaient été transplantés sur son ventre hirsute et son entrejambe. Stella disait qu’il était son préféré, mais il s’imaginait qu’elle était bien la seule. Mais il ne s’en souciait plus ; la petite chérie qui s’activait entre ses jambes était l’une de leurs plus jolies acquisistions et elle le suçait avec un entrain qui démentait son ventre poilu et son double-menton. D’une certaine façon, il aurait aimé être un peu plus séduisant.
Il savait que Stella était une sadique, mais il se définissait plutôt comme un vieux singe en chaleur. Il jouait simplement la carte que lui avait conféré le marché en en tirant le meilleur avantage possible. Oui, c’était eut-être un peu mensonger ; le pouvoir l’avait probablement corrompu, mais, au plus profond de son être, il pensait toujours qu’il était le propriétaire d’une jolie affaire. Et, de toute façon, qui en avait quelque chose à foutre ?
Il reporta son attention sur les écrans qui lui faisaient face. Tous diffusaient la même image : Une jeune fille de 22 ans dénommée Gemma, une demoiselle très convenable quand elle était arrivée un mois plus tôt, le genre libraire à lunettes qui porte des vêtements larges pour masquer ses gros seins.
La vidéo sur laquelle elle apparaissait s’appelait "Orgie de sperme et godemiché-double", une des séries les plus populaires qui s’était vendues à près de dix-mille exemplaires, en comptant les exportations, ce que l’état apréciait car ça lui permettait d’importer des devises. À un moment, la fille recevait des douches de spermes qui n’en finissaient pas de la part d’une centaine de volontaires de tous genres, âges et races, dans sa bouche grande ouverte, sur son visage, ses cheveux, ses lunettes, sa poitrine et tout son corps.
C’était Stella qui avait eu l’idée de lui faire garder ses lunettes qui étaient maintenant maculées de semence. Pendant ce temps, deux lesbiennes blasées agrandissaient les horizons de la fille en lui peforant l’anus avec des vibro-masseurs épais et colorés de plus en plus gros. Ses jambes étaient douloureusement écartelées et une énorme machine brillante perforait son sexe distendu d’un phallus artificiel de la taille d’un avant-bras. Une des lesbiennes venait, en riant outrageusement, de basculer le rythme des vibrations sur maximum et touillait en tournant ses chairs intimes. Brutus avait utilisé cinq caméras fixes et deux mobiles pour filmer la scène sous tous les angles, gros plans et panoramiques, de façon à pouvoir l’éditer selon ses standards habituels de haute qualité.
Il claqua des doigts et un esclave s’approcha de lui en tenant un plateau sur lequel se trouvaient une bière, un cendrier et des cigares. L’esclave était un beau garçon, grand et musclé, récemment marié et entièrement nu, mise à part la ceinture de chasteté qui enserrait étroitement ce que Brutus savait être un sexe de bonne taille. Une bite dont Brutus savait aussi qu’il ne se servirait pratiquement plus et qui n’éjaculerait plus que rarement, si cela lui arrivait encore.
Il s’empara de la cannette et la vida.
« Qu’est-ce que tu en penses ? » Demanda-t-il en rotant fortement et en baissant les yeux sur la somptueuse esclave qui faisait des bruits de gorge entre ses jambes.
Elle s’appelait Lavinia. C’était une brune avec des mensurations de mannequin, des yeux marons pleins de mélancolie, de jolis petits seins et un corps mince mais plantureux
« J… Je… Je ne sais pas, Maître… J… »
Brutus éclata de rire. « Comment ça, tu ne sais pas ? Tu vois la petite minette que tu viens d’épouser tailler une pipe à un cinquantenaire et tu ne sais pas quoi en penser. C’est sexy non ? »
« Oui Maître, vous avez raison. »
Entre ses jambes, Lavinia fit semblant de ne pas entendre la conversation, mais Brutus savait qu’elle n’en perdait pas un mot.
« Tu aimerais qu’elle te suce quand elle aura fini avec moi, n’est-ce pas ? »
Le jeune homme baissa les yeux. 10 jours plus tôt, il était libre, et amoureux.
« Oui… Oui Maître, s’il vous plaît. »
Brutus fit semblant de réfléchir à cette idée.
« Est-ce qu’elle t’a déjà sucé auparavant ? »
Une larme coula sur la joue du jeune homme.
« Oui… Heu, pas vraiment, Maître, c’était plutôt une sorte de jeu… Je veux dire des préliminaires… Mais jamais une fellation. »
Brutus rigola.
« Dommage… Alors tu as laissé passer ton unique chance ! »
Le visage du jeune homme se décomposa, il baissa les yeux sur le sol.
« Voilà ce qui va se passer maintenant, mon cher. J’aime beaucoup ta petite chérie et, vu la façon dont elle suce ma bite, je pense qu’elle ne me déteste pas. Alors, je vais la garder ici comme favorite pendant un bon moment, au moins un mois ou deux. Et je vais te garder avec elle. Comme ça, tu regarderas et tu participeras à son éducation. Je vais lui apprendre des tas de choses qu’elle n’imaginait même pas tant qu’elle était mariée à un abruti comme toi. Il y en aura qu’elle aimera, comme la baise, les pipes et les sodomies, je veux dire qu’elle appréciera relativement. Mais il y en aura d’autres qu’elle n’aimeras pas du tout… Mais tu l’aideras, tu l’encourageras. En quelque sorte, tu seras son maquereau. Elle devra boire mon urine, lécher mon trou du cul. Et toi, tu lui demanderas de te pisser dans la bouche, de te laisser lécher mon sperme lorsque je l’aurais bien remplie. Elle t’attachera et te donnera la canne. Elle te sodomisera avec un énorme godemiché… »
Brutus baissa les yeux sur la jeune femme. Incapable de masquer ses émotions, elle continuait à le sucer distraitement, le regardant avec des yeux suppliants, perdus dans un abîme d’images toutes aussi choquantes les unes que les autres. Il lui fit un clin d’œil.
« Je la partagerai probablement avec d’autres, mais pas avec toi, petit mari. Par contre, c’est toi qui m’aidera à sélectionner ses partenaires, afin qu’elle montre tous les progrès qu’elle aura fait. Qu’est ce que tu en penses ? On fait affaire tous les trois ? »
C’était étonnant à quel point, même les plus grands et les plus musclés ne se rebellaient presque jamais.
« On fait affaire ? » Beugla Brutus.
Le jeune homme le regarda à travers ses yeux rougis par les larmes.
« O-on fait… affaire Maître. »
Brutus repoussa la jeune épouse.
« Ces bières me donnent envie de…. Toi, pose ce plateau et tiens ma bite. Toi… » Ordonna-t-il à la femme. « Ouvre bien ta bouche. »
Les deux esclaves échangèrent des regards résignés, les yeux dans le vague. Ils obtempérèrent.
« Et maintenant, » ricana Brutus, tandis que le garçon maintenait son sexe luisant et raide. « Vise-bien ! Et si tu ne lui remplis pas correctement la bouche, et si tu n’avale pas tout ce qui remplit ta bouche, je vous attache tous les deux sur le cheval électrique avec des godemichés dans votre anus pour une demi-heure.
Un ami de brutus plaisantait toujours en affirmant que une bonne envie de pisser qu’on satisfaisait était meilleure qu’un orgasme insatisfait. Il se relaxa et relâcha sa vessie. Ceux qui affirment qu’on ne peut uriner en étant en érection n’ont pas suffisamment essayé. C’était juste une question d’angle…. Et de beaucoup d’entraînement.
Un jet de pisse chaude gicla et percuta le joli visage de la jeune Lavinia. Aussitôt, son mari corrigea la position de la bite de Brutus pour diriger le geyser dans sa bouche. Oh ouais. Le liquide était teinté de vert, l’odeur était forte des asperges qu’il avait dégusté ce midi, il savait que le goût fétide devait être acide et répugnant. Sa bouche se remplit rapidement et le liquide commença à déborder de ses lèvres.
« Avale chienne. Et plus vite que ça. »
Elle avala, haleta et ouvrit à nouveau sa bouche en grand. Il la remplit six nouvelles fois, s’interrompant lorsque les bulles atteignaient ses lèvres et elle avala jusqu’à ce que finalement Brutus fut à sec.
Il se dégagea de la prise du mari d’un revers de main sec.
« Mon gars, ta bourgeoise n’a rien à envier à une bonne cuvette de chiottes. Je me servirai souvent d’elle. Et si j’ai le moindre reproche à te faire durant les semaines à venir, même le plus insignifiant, alors je sais ce que je ferai d’elle. Tu comprends bien ce que ça veut dire ? »
« Heu… Hmmm… Non Maître… » Le jeune homme remuait négativement la tête. »
« Ça veut dire que je pourrais lui faire avaler autre chose de plus concret… »
Brutus sourit en voyant leurs grimaces de dégoût.
« Exactement, et je t’assure que j’ai de l’apétit. Tout dépend de toi. »
Il eut une pause.
« O-oui M… Maître. »
Soudain, Brutus changea de ton, les taquinant.
« Oh allez… Ça n’est pas si terrible. Votre vie ici pourrait être bien pire. Vous êtes des veinards. Vous êtes encore ensemble. Vous vous aimez. Allez, agenouille-toi et embrasse ta bourgeoise. Allez… »
Brutus recula son fauteuil pour permettre aux deux esclaves de s’agenouiller face à face. Il se pencha vers eux et rapprocha leurs têtes. Leurs torses, leurs lèvres, leurs yeux noyés de larmes.
« Hmm. C’est ça. Lèche ma pisse sur son visage. Nettoie-la bien. Je vais te dire… Comment s’appelle ta femme déjà ? »
« L-Lavinia Maître. »
« Lavinia ? Beurk. Ça ne lui va pas. Trouvons lui un autre nom. À partir de maintenant, nous l’appellerons plutôt "Cuvette-de-chiottes". Allez, dis à "Cuvette-de-chiottes" que tu l’aimes. »
Grimaçant de honte, l’esclave déclara :
« Je… T… T’aime. »
Brutus lui tira l’oreille.
« Appelle la par son nom Bordel ! »
« Je t… Je t’aime "Cuvette-de-chiottes". »
Brutus leur sourit tour à tour. Puis, comme si ce qui venait de se dérouler n’avait jamais eu lieu, il congédia le mari à son coin avec son plateau et fit signe à Lavinia de reprendre son travail entre ses jambes, tandis qu’il recommençait à éditer son film sur les nombreux écrans qui se déployaient devant lui.