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Les ordres du Docteur (12a)
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Par Parker

 

Parker 05: Les ordres du Docteur

Synopsis : Un psychiatre qui se fait passer pour un dentiste profite de patientes innocentes et en fait ses esclaves.

ATTENTION : Cette histoire contient des rapports non consentis, du S&M, de la torture et de l’incest forcé. Son sujet n’est pas "politiquement correct" (ou, en fait, incorrect par tous ses standards). En réalité, il s’agit plus d’une histoire d’horreur qu’une histoire de sexe. Si vous continuez à la lire malgré ces avertissements, tous les désagréments que vous pourriez ressentir seraient de votre propre faute. VOUS AVEZ ÉTÉ AVERTIS !

Les droits d’auteurs – pour ce qu’ils valent – sont de moi (Parker)

Adapatation Française : Perverpeper.

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Chapitre 12a : Épilogue.

Le barman contempla tristement la longue rangée de verres qu’il lui fallait essuyer. Soupirant intérieurement, il s’empara d’une serviette crasseuse et se mit au travail, se demandant vraiment pourquoi il se donnait tant de mal.

Les gens – consommateurs… Gringos… Peu importe – ne venaient pas au “El-Maceia” pour la propreté des lieux. La seule chose qui empêchait le club de ressembler à un trou crasseux était l’éclairage qui était suffisament tamisé pour masquer la pauvreté de l’endroit en dispensant une ambiance diffuse et anonyme. De même, les clients n’étaient pas attirés par la "picole". Bien sûr, on y servait toutes sortes d’alcool, mais pas plus que les nombreux autres bars. Et, si vous ne consommiez pas cette bière Mexicaine à bas-prix, la plupart des autres tavernes étaient moins chères.
Non, ils ne venaient que pour une et seulement une raison : Le sexe.
Non seulement l’"El-Maceia" s’enorgueillissait d’être un infâme lupanar – qui proposait, par la même occasion, un grand nombre de filles blanches, ces "Americanos" qui venaient du nord – mais il offrait aussi le "Peep-show" le plus torride de tout Mexico.
Et plus, disait la pub.
Sur la scène très éclairée, la nouvelle attraction du club – une mère et sa fille – se produisaient, effectuant le premier de leurs trois spectacles de la soirée. Elles ne s’exhibaient que depuis une semaine, mais figuraient déjà parmi les filles les plus prisées du club ; particulièrement la fille, avec ses cheveux blonds bouclés et ses grands yeux bleus pétillants.
Bon, pas aussi étincelants qu’à ses débuts…
Pour l’instant, la mère enculait sa fille avec un gros godemiché. Un homme, leur "tuteur", se tenait derrière elles, chuchottant des mots "Gringos" que la plupart des clients n’entendaient pas : Chienne… Salope… Pute.
Quels que soient ces mots, ils semblaient rendre la femme folle de lubricité. (C’était toujours comme ça avec le matériel du Docteur). Elle grognait et haletait avec une impudicité totale, tout en ramonant l’anus de sa fille avec l’énorme phallus en caoutchouc. La fille, elle, souffrait visiblement – contrairement à sa mère, elle n’était pas excitée – mais elle avait été dressée à ne pas le montrer. Et elle y arrivait presque, en affichant un triste sourire forçé et en poussant de petits cris rauques.
La deuxième partie du spectacle prévoyait une séance de flagellation avec une cane et une longue scène lesbienne qui culminerait avec un "soixante-neuf" chaud et interminable.
Cependant, c’était la dernière partie du spectacle, celle avec les chiens, qui ramenait le plus de monde. Le "tuteur" estimait que ces deux pouvaient travailler six bons mois ici, avant qu’on les envoie dans un camp de mineurs quelque part à l’intérieur du pays.
Six mois avec le plein de clients et de consommateurs satisfaits.
Le barman – qui était aussi le propriétaire du club – sourit en y réfléchissant.
Pendant ce temps, sa nouvelle serveuse s’était glissée à genoux sous une table, et suçait avidement la bite d’un client. Elle était arrivée en même temps que la mère et sa fille. Son boulot consistait à se pavaner dans la salle, vêtue uniquement de ses hauts talons et des deux badges brillants, sur lesquels étaient inscrites les initiales "FBI" qui étaient enfilés de façon permanente à travers ses tétons. Elle était arrivée comme ça. Personne ne croyait qu’elle faisait vraiment partie du FBI, mais tout le monde avait reconnu que les badges étaient sexy, en dépit du fait qu’ils cachaient les pointes de ses seins. Et elle passait de table, prennant les commances et, lorsqu’on lui ordonnait, se glissait sous les tables pour soulager les consommateurs.
Contrairement aux deux sur la scène, celle-là s’était un peu débattue. Il avait fallu une ou deux séances de cane et une nuit mémorable avec l’âne du tailleur pour éradiquer toute véléité de résistance en elle, définitivement…
Maintenant, avec ses badges éclatants, brillant sur sa poitrine et son sourire aguicheur, elle était très appréciée des clients, en contentant un bon nombre chaque soir.
Le patron la gardait attachée, nue, au pied de son lit pour la nuit.
Sur la scène, le show arrivait à son apogée, la mère hurlait son extase incontrôlable, tandis que le "tuteur" prononçait le mot magique. Le club bondé, comme d’habitude, explosa en une cacophonie d’applaudissements et de sifflements. L’estrade fut sumbergée de billets de banque. Toujours agenouillée, la serveuse rampa vers une autre table et se mit au travail sur un autre client.

Une autre bonne nuit à l’"El-Maceia".

Le barman sourit à nouveau. Et il restait encore deux shows à venir…

FIN

perverpeper@perverpeper.com

 

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