Les ordres du Docteur (11b)

Par Parker

Parker 05: Les ordres du Docteur

Synopsis : Un psychiatre qui se fait passer pour un dentiste profite de patientes innocentes et en fait ses esclaves.

ATTENTION : Cette histoire contient des rapports non consentis, du S&M, de la torture et de l’incest forcé. Son sujet n’est pas "politiquement correct" (ou, en fait, incorrect par tous ses standards). En réalité, il s’agit plus d’une histoire d’horreur qu’une histoire de sexe. Si vous continuez à la lire malgré ces avertissements, tous les désagréments que vous pourriez ressentir seraient de votre propre faute. VOUS AVEZ ÉTÉ AVERTIS !

Les droits d’auteurs – pour ce qu’ils valent – sont de moi (Parker)

Adapatation Française : Perverpeper.

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Chapitre 13.

DÉNOUEMENT B

Nikky lutta pour reprendre conscience. Elle s’était employée à détourner son bras de l’aiguille de la seringue et la plupart de la drogue qu’elle contenait s’était répandue sur la manche de sa chemise, mais sa peau était quand même entamée, et la petite quantité de neuroleptique qui s’était épanchée dans son organisme lui occasionnait des vertiges et embrumait son cerveau. Un voile sombre obscurcissait sa vision périphérique et elle se débattait pour ne pas sombrer dans l’inconscience, parvenant tant bien que mal à ne pas sombrer.
Ses yeux eurent toutes les difficultés du monde à faire une mise au point sur ce qui l’entourait.
Mais ? N’était-elle pas en train de rêver ? Nikki ne put que battre des paupières, horrifiée par la scène qui se déroulait devant ses yeux. La doctoresse, nue sous sa blouse blanche relevée sur sa taille, avait enjambé la fille immobilisée et appliquait brutalement son entrejambe sur le visage de sa victime. Chaque fois qu’elle poussait son bassin en avant, les bandes élastiques étirant les seins de la jeune fille se tendaient de quelques centimètres supplémentaires. Les tétons de la malheureuse étaient déjà distendus de cinq bons centimètres.
Nikki resta encore immobile pendant quelques instants, rassemblant ses forces, essayant de comprendre ce qui se passait et ce qu’elle allait devoir faire. Il lui parut plus facile de combattre les effets de la drogue. Réussissant à se calmer, elle perçut des cris provenant de la salle d’examen. Ça ressemblait aux suppliques d’une jeune fille, et quelque chose comme… Quoi, sa mère ?
Ca devait être les Forbes !
Nikki rassembla ses forces et se remit sur pieds. Dans son état de faiblesse, elle n’avait pas récupéré autant de vigueur qu’elle l’aurait souhaité, mais elle n’y accorda pas d’importance. La Doctoresse était toute à son plaisir, elle caressait ses propres seins tout en chevauchant le visage de la pauvre fille, et sa tête était courbée en arrière, les yeux ouverts…
Elle ne sut jamais ce qui la cogna.
Lentement, n’en croyant pas ses sens, Michelle sentit la douleur s’attenuer. Malgré la certitude qu’il s’agissait seulement d’un autre raffinement de sa tortionnaire, elle fut incapable d’ignorer la petite étincelle d’espoir qui se mit à tremblotter au plus profond d’elle-même.
Je vous en prie… C’était réel. Élastique après élastique ; menotte après menotte ; hameçon après hameçon, elle fut lentement libérée de son calvaire.
Lorsqu’elle fut enfin libre – ENFIN LIBRE !! – Elle fut incapable de faire autre chose que d’enlacer sa sauveteuse en pleurant à chaudes larmes. Son cauchemar s’achevait.
En tout cas pour elle…
Nikki, qui s’était eclipsée pour inspecter la salle d’examen, revint, pâle et tremblante. Michelle n’avait pas besoin de voir pour savoir ; elle savait de quelles infamies la Doctoresse était capable. Elle imaginait sans difficulté dans quel état Lisa et Anna Forbes se trouvaient.
Sans un mot, les deux jeunes femmes échangèrent un regard sinistre, puis elles baissèrent les yeux sur le sol où le Docteur Astor était étendue, inconsciente. Comment un être humain pouvait être aussi…
Le téléphone sonna.
Nikki s’avança et s’empara du combiné. À l’autre bout, un homme parlait avec un accent Mexicain très pronnoncé. Lorsqu’elle réalisa ce qu’il voulait, elle faillit raccrocher le téléphone, mais – alors qu’elle regardait le corps mutilé de Michelle Myers, qu’elle entendait les cris de la jeune Anna Forbes lorsque sa Mère au cerveau endoctriné abusait d’elle – une idée s’imposa à elle. C’était totalement illégal... Moral, mais sûrement pas professionnel.
En tout cas, c’était une bonne idée.
Un petit sourire s’épanouit sur son visage lorsqu’elle commença à parler…

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