Les ordres du Docteur (12b) |
Par Parker
Parker 05: Les ordres du Docteur
Synopsis : Un psychiatre qui se fait passer pour un dentiste profite de patientes innocentes et en fait ses esclaves.
ATTENTION : Cette histoire contient des rapports non consentis, du S&M, de la torture et de l’incest forcé. Son sujet n’est pas "politiquement correct" (ou, en fait, incorrect par tous ses standards). En réalité, il s’agit plus d’une histoire d’horreur qu’une histoire de sexe. Si vous continuez à la lire malgré ces avertissements, tous les désagréments que vous pourriez ressentir seraient de votre propre faute. VOUS AVEZ ÉTÉ AVERTIS !
Les droits d’auteurs – pour ce qu’ils valent – sont de moi (Parker)
Adapatation Française : Perverpeper.
=================================================================
Chapitre 14 : Épilogue.
Le barman contempla tristement la longue rangée de verres qu’il lui fallait essuyer. Soupirant intérieurement, il s’empara d’une serviette crasseuse et se mit au travail, se demandant vraiment pourquoi il se donnait tant de mal.
Les gens – consommateurs… Gringos… Peu importe – ne venaient pas au “El-Maceia” pour la propreté des lieux. La seule chose qui empêchait le club de ressembler à un trou crasseux était l’éclairage qui était suffisament tamisé pour masquer la pauvreté de l’endroit en dispensant une ambiance diffuse et anonyme. De même, les clients n’étaient pas attirés par la "picole". Bien sûr, on y servait toutes sortes d’alcool, mais pas plus que les nombreux autres bars. Et, si vous ne consommiez pas cette bière Mexicaine à bas-prix, la plupart des autres tavernes étaient moins chères.
Non, ils ne venaient que pour une et seulement une raison : Le sexe.
Non seulement l’"El-Maceia" s’enorgueillissait d’être un infâme lupanar – qui proposait, par la même occasion, un grand nombre de filles blanches, ces "Americanos" qui venaient du nord – mais il offrait aussi le "Peep-show" le plus torride de tout Mexico.
Et plus, disait la pub.
Sur la scène très éclairée, la nouvelle attraction du club – un spectacle "chien & âne" – débutait la soirée. Ce show metait en scène la dernière livraison des USA. Ce n’était pas ce à quoi il s’attendait, mais finalement, ça devrait faire l’affaire. Même si ce materiel était une ancienne relation d’affaires. D’un autre côté, il avait toujours pensé (secrètement) que le bon Docteur ferait un excellente acquisition pour son club, avec ses épais cheveux bruns et ses yeux bleus éclatants.
Enfin… Plus aussi éclatants maintenant.
Au même moment, la femme – grande, belle et blanche – divertissait un des chiens du chenil du club. L’animal était un énorme Berger Allemand qui n’avait rien en commun avec l’âne qui participerait au dernier show de la soirée, mais suffisament décent pour commencer les festivités. Le Docteur Astor, connue sous le prénom de Jackie, était à quatre pattes, se servant de l’une de ses mains pour introduire le sexe imposant de la bête dans sa chatte.
Il avait fallu quelque temps, et beaucoup de persuasion, pour qu’elle participe activement, mais le résultat valait bien ces efforts. C’était tellement plus excitant pour les clients lorsque la fille s’humiliait en collaborant conciement à sa propre dégradation.
Elle était encore réticente avec l’âne, mais ça viendrait avec le temps. Où non ; ça n’avait pas tant d’importance. Son instructeur pensait qu’elle en avait encore pour six bons mois avant qu’il soit nécessaire de l’envoyer finir sa carrière dans un camp de mineurs quelque part à l’intérieur des terres.
Six mois de salles bondées, de clients satisfaits.
Le barman – qui était aussi le propriétaire du club – sourit en y pensant. Évidemment, il aurait quelques difficultés pour trouver un autre agent américain avec le même talent qu’elle, mais il restait confiant. Il y avait toujours des gens désireux de faire affaire lorsqu’il y avait de la demande.
Sur l’estrade, le show atteignait son appogée. Le chien était entrain de jouir dans le ventre de la femme qui agitait convulsivement son bassin d’avant en arrière. Le public adorait ça. Ils devenaient fous et une cacophonie de cris et de sifflets perçait à travers le grondement des applaudissements. Les billets pleuvaient sur la scène. Toujours à genoux, la femme s’essouflait et haletait, tandis qu’un épais filet de sperme canin ruisselait sur l’intérieur de ses cuisses.
Une autre bonne nuit à l’"El-Maceia".
Le barman sourit à nouveau. Et il restait encore deux shows à venir…
FIN