Les ordres du Docteur (10) |
Par Parker
Parker 05: Les ordres du Docteur
Synopsis : Un psychiatre qui se fait passer pour un dentiste profite de patientes innocentes et en fait ses esclaves.
ATTENTION : Cette histoire contient des rapports non consentis, du S&M, de la torture et de l’incest forcé. Son sujet n’est pas "politiquement correct" (ou, en fait, incorrect par tous ses standards). En réalité, il s’agit plus d’une histoire d’horreur qu’une histoire de sexe. Si vous continuez à la lire malgré ces avertissements, tous les désagréments que vous pourriez ressentir seraient de votre propre faute. VOUS AVEZ ÉTÉ AVERTIS !
Les droits d’auteurs – pour ce qu’ils valent – sont de moi (Parker)
Adapatation Française : Perverpeper.
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Chapitre 10.
Nikki se tétanisa, interrompue dans ses investigations par le tableau qui s’offrit devant ses yeux lorsqu’elle pénétra dans le bureau privé du Docteur (bien sûr verrouillé, mais dont le double de la clé était venu à bout).
C’était une fille.
Elle était nue, sa peau rose était constellée, striée et marquée par des balafres qui s’entrecroisaient partout sur son corps. Traces muettes des innombrables séances avec le fouet, la cane, le scalpel, le briquet… Abasourdie, Nikki avança lentement. Son épouvante augmentant au fur et à mesure que les détails de la scène se révélaient.
Étendue en arrière, le dos sur un petit tabouret, son corps formait un arc de cercle, poitrine en l’air. Ses seins, striés de marques de fouet, défiaient la gravité et s’étiraient vers le haut, reliés par deux longues bandes élastiques qui couraient du plafond jusqu’à chacun des deux hameçons qui étaient enfoncés profondément à travers ses tétons. Plus elle tentait de leur échapper, plus les élastiques la torturaient.
Pourtant, ça n’était pas tout. Les jambes de la fille étaient largement écartées et attachées au sol par deux bracelets en cuir, exposant son sexe – du moins ce qui avait dû en être un. De chaque côté de sa fente, deux gros anneaux en argent perçaient ses chairs tendres. Fixées aux anneaux, deux autres bandes élastiques passaient entre ses cuisses, traversaient un mousqueton fixé à la base du gros godemiché qui dépassait obscènement de son vagin. Les élastiques cheminaient dans la raie de ses fesses, le long de son dos et jusqu’à sa nuque où ils tiraient fortement sur sa queue-de-cheval luisante de transpiration. Si elle tentait de redresser la tête, cela tirait sur les élastiques fixés au phallus artificiel, le faisant pénétrer plus avant à l’intérieur de son sexe déjà torturé. Enfin, un cinquième élastique était fixé à un dernier anneau qui perçait ses cloisons nasales. Ainsi, si elle tentait de soulager la pression exercée sur sa queue-de-cheval, cela en créait une supplémentaire sur les hameçons qui torturaient les pointes de ses seins. Une situation sans solution. Pour finir, ses poignets étaient étroitement attachés à ses chevilles, rendant tout mouvement pratiquement impossible.
Comme si elle en avait eu l’intention.
Le souffle coupé et les yeux remplis de larmes, mais sans pour autant relâcher sa vigilence, Nikki se rua vers elle pour lui porter secours.
Michelle se sentit émerger de l’horrible situation à laquelle elle avait du s’accoutumer, de la douleur constante dans laquelle elle vivait en permanence. Ses yeux bouffis s’entrouvirent et elle entrevit une jeune femme blonde, vêtue d’un uniforme de secrétaire médicale, penchée sur elle, lui murmurant qu’elle ne devait pas avoir peur.
Comme si elle pouvait ne plus être effrayée.
Pourtant, en dépit de tout ce qu’elle avait enduré, Michelle n’avait pas complètement perdu la raison. C’est pourquoi – si elle avait pu ; si l’anneau qui perçait à la fois sa langue et ses lèvres de façon à l’empêcher de la rentrer dans sa bouche ne l’en avait empêché – elle aurait crié à cette jeune femme de regarder derrière elle, de prendre garde au Docteur Astor qui venait d’entrer dans la pièce et s’approchait silencieusement dans le dos de son sauveteur innatendu.
Mais elle en fut incapable.
L’anneau qui traversait sa langue avait effectivement réduit ses capacité de paroles à un grognement inintelligible qui n’eut aucun effet alarmant sur la blonde. Michelle ne put qu’assister, impuissante, au geste que fit le Docteur pour plonger l’aiguille hypodermique dans le bras de son sauveteur. Celle-ci pivota sur elle-même avec une rapidité impressionnante – elle était forte et agile – mais, quoi qu’il en soit, la drogue que le Docteur venait de lui injecter fut plus rapide. En quelques secondes, la blonde – son sauveteur – était étendue, inanimée sur le sol.
Incapable de se retenir, Michelle se mit à pleurer. Cela faisait des semaines que ça ne lui était plus arrivé.
Le Docteur la regarda et sourit.
« Alors, Michelle. » Déclara-t-elle, « Tu te sentais seule ? »
Puis elle se dirigea vers elle, ouvrit sa blouse blanche et, avec un sourire diabolique, enfourcha la tête de la suppliciée et lui abaissa son sexe sur la bouche.
« Donnons un peu de travail à ta langue. » Ordonna-t-elle.
La douleur devint insoutenable lorsque le poids de la Doctoresse poussa sa tête en arrière, tirant sur les hameçons. Pourtant, Michelle étira autant sa langue que le lui permettait l’anneau qui la perforait, et se mit à laper le sexe de sa tortionnaire. Elle savait – oh oui, elle savait – à quel point la douleur, aussi insoutenable qu’elle soit, pouvait toujours empirer.
Et bien sûr, c’était toujours le cas.
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NOTE DE L’AUTEUR : Certains lecteurs se sont plaint que mes récits n’avaient pas de fin heureuse. Celui-ci ne fait pas exception. Cependant, par égard pour eux et afin de ne pas les attrister (dieu sait que je détesterais rendre qui que ce soit malheureux), j’ai ajouté une fin alternative ; une fin qui pourrait être plus satisfaisante pour certains lecteurs. À partir de ce passage, l’histoire se divise en deux : "LE DÉNOUEMENT A" et "LE DÉNOUEMENT B". J’espère ainsi satisfaire tout le monde.
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