Les ordres du Docteur (05) |
Par Parker
Parker 05: Les ordres du Docteur
Synopsis : Un psychiatre qui se fait passer pour un dentiste profite de patientes innocentes et en fait ses esclaves.
ATTENTION : Cette histoire contient des rapports non consentis, du S&M, de la torture et de l’incest forcé. Son sujet n’est pas "politiquement correct" (ou, en fait, incorrect par tous ses standards). En réalité, il s’agit plus d’une histoire d’horreur qu’une histoire de sexe. Si vous continuez à la lire malgré ces avertissements, tous les désagréments que vous pourriez ressentir seraient de votre propre faute. VOUS AVEZ ÉTÉ AVERTIS !
Les droits d’auteurs – pour ce qu’ils valent – sont de moi (Parker)
Adapatation Française : Perverpeper.
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Chapitre 05.
Lisa ouvrit les yeux. Elle ne savait pas où elle se trouvait et ne se rappelait même pas s’être endormie.
Que c’était-il passé ?
« Maman !!! »
« ANNA !!! »
Elle tenta de s’asseoir, mais se rendit compte que cela lui était impossible. Elle était attachée sur une table d’examen par une espèce de chaîne qui faisait le tour de son cou. Ses mains et le reste de son corps étaient libres, mais la chaîne l’empêchait de se relever.
« ANNA !!!! » Hurla-t-elle, tirant vainement sur la chaîne qui l’étranglait de plus en plus au fur et à mesure qu’elle tirait dessus. « OÙ ES TU ??? »
« MAAAMAAN !!!! AAAAHHH !!!! » Cette foi, le cri se transforma en hurlement de douleur. Lisa pivota farouchement sur elle-même pour voir ce qui arrivait à sa fille. Le souffle coupé par la chaîne qui lui enserrait le cou, la mère désespérée réussit, en s’écrasant la trachée artère à entrevoir sa fille de l’autre côté de la pièce.
Sa fille était nue, maintenue sur les genoux du Docteur Astor qui ne portait, maintenant, rien d’autre que sa blouse blanche déboutonnée. L’adolescente se débattait faiblement, incapable de se soustraire à l’emprise de la femme diabolique qui la l’obligeait à subir ses caresses. D’une main, elle la maintenait fermement par ses cheveux blonds bouclés, tandis que de l’autre, elle explorait librement son corps, manipulant et malmenant ses petits seins arrogants et son entrecuisse exposé, la pinçant, la tripotant et même – mon dieu, innévitablement – la pénétrant.
Jusqu’à maintenant, Anna ne semblait pas se défendre avec ardeur – était-elle droguée ? – mais la jeune fille eut une réaction.
« MAMAN !!! »
« Anna !!! »
Lisa se contorsionna sur la table d’examen, se débattant furieusement pour tenter de se libérer. Malheureusement, elle fut incapable d’autre chose que regarder, impuissante, la femme – le Docteur – déflorer nonchalament la virginité de sa fille qui se mit à gémir lorsque la Doctoresse se mit à agiter brusquement son doigt à l’intérieur de son sexe.
« Non !!! »
Cette fois, le cri d’angoisse de Lisa obtint une réponse. Le Docteur Astor releva la tête et regarda la femme prisonnière. Lisa détourna les yeux devant l’expression étrangement brillante, presque hagarde, du regard vert de la tortionnaire de sa fille.
« Ah ! » Sourit le Docteur, « Je vois que la CHIENNE a fini par se réveiller. » Elle baissa les yeux sur Anna qui avait cessé de se débattre et attendait sans bouger, assise sur ses genoux, et revint sur la mère. « Prête à te joindre à nous amusements ? »
Au mot "chienne", Lisa sentit une brusque montée chaude de… De quelque chose – du désir ?? – traverser son corps, en partant de son sexe et en s’étendant rapidement à tout le reste de son corps. Que lui arrivait-il ?
La doctoresse remarqua l’expression confuse de sa victime et sourit.
« Est-ce que tu aimes ça, espèce de petite SALOPE ? » Demanda-t-elle en continua à violer l’intimité d’Anna avec son doigt.
À nouveau, la mère horifiée ressentit cette incroyable montée de luxure. Elle lutta pour refermer ses cuisses, pour éloigner ses mains de son entrecuisse – pour faire tout ce qui était en son pouvoir pour ignorer les sensations qui naissaient au cœur de son sexe – mais c’était vain.
Éclatant de rire, la Doctoresse retira ses doigts dégoulinants de sang du sexe d’Anna, la faisant sangloter en se cabrant de douleur. Elle les essuya dans les cheveux blonds de sa victime qu’elle repoussa sur le sol, avant de se lever et de marcher vers Lisa.
La femme se débattit furieusement dans ses chaînes, à la fois pour tenter de se libérer et pour combattre les vagues de lubricité bizarres qui explosaient dans son corps. Elle perdit les deux batailles.
S’amusant des efforts vains de sa victime, la Doctoresse se pencha contre le visage déformé par la frayeur de Lisa.
« Tu aimes ça. » Murmura-t-elle. « Tu es une vraie chienne. »
Lisa secoua sa tête. « Non… »
Le Docteur Astor fit tout doucement – cruellement – glisser l’un de ses longs ongles rouges le long de la jambe tremblante de sa victime, remontant jusqu’à son sexe exposé. Lisa referma comme un étau ses cuisses sur l’intruse, comme si elle voulait l’aspirer à l’intérieur de sa chatte trempée. Satisfaite, Jacqueline enfonça profondément son doigt et se mit à le faire tourner sur lui-même à l’intérieur des lèvres de Lisa. Puis, quelques instants plus tard, elle approcha son doigt luisant et brillant du visage de sa victime.
« Ta chatte dit le contraire, » Murmura-t-elle. « Goûte. »
C’était trop, Lisa crispa ses machoires et détourna la tête. La Doctoresse se contenta de sourire.
« Goûte, Salope. » Répéta-t-elle.
La mère gémit impudiquement. Juste une fois, se dit-elle, juste cette fois. Il fallait qu’elle le fasse ! Avec un grognement de frustration, elle ouvrit la bouche et sa langue chaude et humide lécha lascivement ses lèvres. La Doctoresse inséra son doigt et éclata de rire en voyant Lisa le sucer avec avidité, incapable de résister à la tempête de stupre qui avait envahi son esprit.
« C’est bien, petite chienne, ouiouiouioui… » Chantonna la Doctoresse d’une voix apaisante et ironique. « Régale-toi bien pendant que je t’explique certaines choses. »
Lisa poussa un gémissement terrible lorsque la main de la Doctoresse se faufila entre ses cuisses et se mit à jouer avec son sexe détrempé.
« Je ne suis pas vraiment une Doctoresse. Du moins pas le genre de Docteur que tu as cru rencontrer. Je suis – j’étais – un psychiatre spécialisé dans l’hypnotisme. J’ai été rayé de l’ordre à la suite d’un petit… Accident, il y a quelques années. Comme tu as pu le constater, j’ai quelques penchants particuliers. Des besoins que mes talents d’hypnotiseuse me premettent de combler. Au début, c’était uniquement pour mon propre plaisir, mais comme ces abrutis ont mis fin à ma carrière, il a bien fallu que je me reclasse. »
Tandis que sa tortionnaire parlait, Lisa sentait son excitation s’exaspérer de façon exponentielle, s’ouvrant impudiquement aux doigts lubriques qui fouillaient son intimité. Elle gémissait comme une chatte en chaleur, suçant frénétiquement le doigt de la Doctoresse, essayant désespérément d’arriver à l’orgasme.
Cependant, Jacqueline savait ce qu’elle faisait ; chaque fois qu’elle sentait sa victime sur le point de jouir, elle retirait ses doigts, s’amusant des contorsions de Lisa qui levait son bassin à sa rencontre, frustrée de cette perte de contact avec ses doigts.
Elle attendait patiemment que son excitation se calme avant de recommencer à la caresser.
« Maintenant, je suis une femme d’affaires. » Poursuivit-elle. « Je me suis spécialisée dans la préparation et l’entraînement de chiennes comme toi pour mes clients… »
Lisa ne l’entendait plus. Il fallait qu’elle jouisse. ELLE DEVAIT…
« Et bien sûr, il y a toujours un marché lucratif pour les mères et leurs filles… »
Lisa se tordit en poussant de toutes ses forces son bassin contre la main experte de la Doctoresse.
« Alors j’ai consacré quelques instants dans ta tête, à organiser les choses pour ton entraînement. Chaque fois que tu entendras certains mots – Chienne (Une autre), salope (vague), cochonne (de), petite pute (PLAISIR !!!) et d’autres (MONDIEUMONDIEUMONDIEUMONDIEU), tu ressentiras une excitation incontrôlable. »
La Doctoresse s’interrompit et contempla avec satisfaction la jeune mère qui se contorsionnait en gémissant sur la table d’examen.
« Mais tu ne pourras pas jouir – jamais – tant que tu n’entendras pas un certain mot. »
« S’il vous plaît… Je vous en prie… Je vous en supplie… »
« Écoute-moi bien, petite chienne (!!!!!), est-ce que tu feras tout ce que je t’ordonnerai ? »
« S’il vous plaît… »
« Cochonne (!!!!!), est-ce que tu m’aideras à dresser ta fille ? L’aideras-tu à devenir le même genre de pute (!!!!!), de chienne (!!!!!!) dépravée (!!!), de salope (!!!!!) assoiffée de cul (!!!!!!!!) que sa mère ?
« OUI ! OUI ! OUIOUIOUI !!!... Je vous aiderai à en faire une pute, une chienne, une salope… Tout ce que vous voudrez, mais je vous en supplie… Faites-moi… »
« Tais-toi, maintenant. » L’interrompit la Doctoresse en se tournant vers Anna qui les regardait avec des yeux écarquillés par l’incrédulité et la frayeur. Son sexe ne saignait plus, mais la douleur était toujours présente, lancinante.
Et maintenant… Que disait sa mère ???
« Je vous en prie… S’il vous plaît… PITIÉ !!! »
La doctoresse se retourna vers Lisa et sourit.
« Ok, tu peux jouir, maintenant. SUCEUSE DE CHATTE ! »
« OOOHHHH !!! » Lisa se tordit et se convulsa sur la table, criant de bonheur alors que l’orgasme formidable qui la tourmentait depuis si longtemps explosait dans les moindres de ses terminaisons nerveuses, avec une ampleur terrible qui dura… Dura… Dura.
Le docteur Astor eut un signe d’acquiescement. Les suggestions et les réponses qu’elle avait implantées dans la tête de la jeune femme fonctionnaient à la perfection. La première fois était toujours la plus délicate. Mais après, ça devenait de plus en plus facile, jusqu’à ce que le sujet soit complètement dépendant. Bientôt, Lisa ferait de son plein gré – abjectement – tout ce qu’on lui ordonnerait ; tout et sans aucune limite, pourvu qu’on la récompense en lui permettant de jouir.
Ça serait facile.