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Les ordres du Docteur (02)
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Par Parker

 

Parker 05: Les ordres du Docteur

Synopsis : Un psychiatre qui se fait passer pour un dentiste profite de patientes innocentes et en fait ses esclaves.

ATTENTION : Cette histoire contient des rapports non consentis, du S&M, de la torture et de l’incest forcé. Son sujet n’est pas "politiquement correct" (ou, en fait, incorrect par tous ses standards). En réalité, il s’agit plus d’une histoire d’horreur qu’une histoire de sexe. Si vous continuez à la lire malgré ces avertissements, tous les désagréments que vous pourriez ressentir seraient de votre propre faute. VOUS AVEZ ÉTÉ AVERTIS !

Les droits d’auteurs – pour ce qu’ils valent – sont de moi (Parker)

Adapatation Française : Perverpeper.

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Chapitre 02.

Michelle Myers avait toutes les peines du monde à rester éveillée.
Non pas qu’elle n’ait pas sommeil ; pendant les derniers mois, elle devait chaque réveil à un cauchemar peuplé de douleur et de torture sexuelle. Si elle avait eu le choix, elle aurait certainement choisi de dormir, mais si elle s'assoupissait – ou même commençait à rêver – elle perdait aussitôt son équilibre ; s’effondrait ; se mettait à vaciller sur les escarpins aux talons aiguilles de quinze centimètres attachés à ses chevilles minces, ce qui exerçait aussitôt une traction sur les deux hameçons qui étaient enfoncés à travers ses tétons et reliés, par le fil de cane à pêche qui était fixé aux deux anneaux du plafond. Gémissant, la fille tenta de combattre l’épuisement qui menaçait de la submerger – elle était dans cette position depuis plus de douze heures – et faisait tout son possible pour rester debout.
Pourtant, malgré tous ces tourments, elle était incapable d’empêcher son esprit de s’échapper ; de revenir sur les jours précédant le début de cette torture incéssante.

Elle était jeune à ce moment – il semblait que ça remontait à des années, bien que ça ne date que de huit mois. Un an seulement après sa dernière année d’école, la place de réceptioniste pour le Docteur Astor avait des allures de cadeau divin. Le boulot était intéressant et pas trop difficile ; et la doctoresse paraîssait si gentille, si amicale.
Et puis il y avait eu ce jour où elle avait oublié son livre, une nouvelle de Stephen King, au cabinet. Il avait fallu qu’elle retourne au cabinet. C’était un Vendredi après-midi et comme elle ne le trouvait pas à son poste de travail, elle avait poussé la lourde porte en bois qui menait au bureau de son employeur. Alors qu’elle regardait autour d’elle, elle entendit un bruit, une plainte aigue… Presque un gémissement, qui provenait de la porte du fond du cabinet. Une porte qu’elle avait toujours considérée comme menant à des toilettes privées.
Curieuse, elle l’ouvrit et pénétra à l’intérieur. C’étaient des sanitaires, mais au fond desquels se trouvait une autre porte, entrouverte, derrière une cabine de douche. Pour la première fois, Michelle avait ressenti de la peur, mais elle l’avait quand même poussée. Le grincement était plus fort, maintenant. Elle avait enjambé la douche et franchi la porte… Pour pénétrer dans un vrai cauchemar.
Michelle n’aurait jamais imaginé qu’un docteur – qu’un humain – soit capable de tels… De tels actes. Le sang… Les cris… Cette jeune fille, elle avait l’air d’être encore une adolescente – UNE PATIENTE ! (Mondieumondieumondieu) – étendue, attachée sur la table d’examen, geignant de douleur pendant que la Doctoresse – Le docteur Astor ? – se tenait derrière elle ; s’enfonçant… S’enfonçant… S’enfonçant…
Sa conscience sembla s’évader d’elle et se restreindre à un point lumineux, tandis qu’elle restait immobile, folle de peur et stupéfaite, frappée de mutisme par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Ça sembla durer des minutes… Ça sembla durer des heures…
Elle avait dû hurler.
Elle ne s’en souvenait pas, mais elle avait dû le faire, car elle se rendit compte qu’une nouvelle plainte montait et se joignait aux gémissements et aux supplications de la jeune fille. Incapable de bouger, Michelle avait vu le Docteur Astor se détourner de sa victime et pivoter lentement pour lui faire face.
Ce ne fut que lorsqu’elle découvrit l’énorme phallus qui était fixé à l’entrejambe de son employeur – Gros… Noir… Rouge… Maron – que les gémissements cessèrent, comme s’ils avaient été stoppés par un interrupteur invisible. Et le sol monta à sa rencontre à une vitesse fulgurante, noir et bleu… Puis à nouveau noir. Tout noir.
Elle ne sut pas combien de temps elle était restée inconsciente.
Et lorsqu’elle reprit ses esprits, elle était attachée sur la table d’examen, nue, les jambes immobilisées dans des étriers métaliques, grandes ouvertes, par-dessus la tête.
Le Docteur Astor la surplombait, caressant délicatement son visage avec le dos de sa main.

« Nous y voilà, » Chantonna-t-elle doucement, d’une voix calme et douce. « Entièrement réveillée maintenant. Entièrement préparée pour le jeu. »

Michelle se débattit pour parler, pour crier, pour supplier. Mais il n’y avait pas moyen. Quelque chose qui ressemblait à une grosse boule en plastique était fixée entre ses machoires par des lanières en cuir.

« J’ai envoyé ma petite camarade de jeu à ses nouveaux propriétaires. » Déclara la doctoresse en se réjouissant de la panique qui gagnait sa victime. « C’est comme tout le reste : On les prépare bien, on s’amuse un peu avec elles, et les voilà déjà parties. »

Sa main se déplaça et se mit à jouer avec les seins exposés de Michelle, explorant et pinçant ses tétons. La jeune fille essaya de se soustraire à la manipulation, mais elle était impuissante.

« Certainement lucratif, mais ça réserve quelques petites surprises parfois. C’est à ça que tu sers. »

D’un regard devenu soudain intense, le Docteur Astor se pencha et approcha son visage tout contre celui de sa prisonnière terrifiée.

« Les autres viendront et repartiront, viendront et repartiront, mais toi… Toi, je te garderai. Mon jouet personnel, mon petit animal de compagnie. On va tellement bien s’amuser, toi et moi. »

Souriant, elle se redressa et tendit la main vers un plateau sur lequel reposait plusieurs instruments nickelés. Après une recherche rapide, elle s’empara d’un petit scalpel brillant argenté.

« Et maintenant, par où allons-nous commencer ? »

perverpeper@perverpeper.com

 

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