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Charlotte 05
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Par Parker

 

Parker 04 : Charlotte

Synopsis : Une malheureuse fille offense une riche cliente et débute une vie misérable.

ATTENTION :Cette histoire contient du bondage, du sexe sans consentement, du sado-masochisme, de l’humiliation et d’autres éléments de ce genre. Si vous n’aimez pas lire ce genre de récit, ARRÊTEZ VOUS ICI (avant que ça soit trop tard) OK ? Vous avez été prévenu(e).

Copyright 1993 par moi (Parker) et ???

Adaptation Française : Perverpeper

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Chapitre 5 :

« Mais je ne sais pas, » protesta le directeur qui venait de recevoir un appel du penthouse. « Je vais la trouver. » Attrapant l’interphone, il appela la blanchisserie.

« Allo ? Allo… » C’était une femme. Elle devait hurler pour surmonter le brouhaha qui l’entourait.

« C’est la blanchisserie ? » Demanda le directeur en hurlant lui aussi.

« Non… » Lui répondit-on. « C’est la blanchisserie. »

« C’est Monsieur Henri. Que se passe-t-il ici ? »

« Oh… Rien Monsieur… Rien du tout ! » Déclara-t-elle, mentant visiblement.

« Thérèse ! Ici le directeur. Ne mentez pas. Dites-moi exactement ce qui se passe si vous ne voulez pas aller pointer au chomage dès demain. Vous allez répondre à la fin ! »

            Devinant un peu de spectacle, Francesca enfonça le bouton du haut parleur. Tout le monde, dans la pièce, pouvait entendre ce qui se disait.

« Monsieur Henri, je suis désolé ! Je n’avais pas compris ! » Répondit la femme, visiblement inquiète pour son avenir.

« Ne vous inquietez pas Thérèse ! Contentez-vous de m’expliquer ce qui se passe ! En Anglais s’il vous plait. » Déclara-t-il par complaisance envers Francesca, dont le Français était limité.

« Oh, Monsieur Henri, j’ai peur de ne pas pouvoir vous raconter ça ! C’est affreux ! »

« Allons Thérèse ! » S’exclama-t-il en perdant patience. « Si vous voulez continuer à travailler avec nous, je vous suggère de vaincre vos inhibitions et de vous expliquer. »

« C’est… C’est la réceptionniste, Mad-mademoiselle Charlotte ! » Expliqua la femme, visiblement distraite. « Il semblerait qu’elle soit entrain de se livrer à une sorte d’orgie avec les clients… Et les membres du personnel. Son corps… Ses vêtements sont couverts de… Heu de… »

            Francesca attrapa le combiné. « De semence masculine ? » Demanda-t-elle.

« Oui Madame, de la semence masculine, c’est exactement ça ! Quelle honte… Je n’ai jamais vu ça. Moi qui la prenais pour une jeune femme tout ce qu’il y a de bien… Quelle honte, mon dieu quelle honte ! Tout à l’heure, elle se tripotait pendant que les hommes se… Heu… Faisaient leur affaire sur son visage et dans sa bouche… L’excitation rendait l’Anglais de Thérèse presque incompréhensible.

« Thérèse ? » Appela Francesca. « J’entends des bruits de voix féminines. Pourquoi crient-elles ? »

« Oui Madame, elles sont furieuses parce que cette sal… Heu… Cette… Charlotte à couché avec leurs maris ! »

« Non ? Comment s’en sont-elles rendu compte ? » Demanda Francesca qui s’intéressait énormémént au récit de Thérèse.

« Mais c’était évident, vu son apparence. Ce sont les serveuses et les femmes de chambre. Elles viennent d’attacher cette petite putain aux éviers ! »

« Et alors, que lui font-elles ? » Francesca avait glissé sa main sous sa jupe courte et pressait la paume de sa main contre son sexe tout en écoutant attentivement. C’était encore mieux que tout ce qu’elle avait pu imaginer.

« Elles lui jettent les restes au visage, Madame, les détritus… Non… Attendez ! Elles lui jettent des boîtes de conserve, elles sont vraiment furieuses. J’ai peur qu’elles ne lui fasse vraiment mal ! »

« Ne vous inquietez pas, » la rassura Francesca. « Le directeur sera là d’un instant à l’autre. »

À ces mots, le directeur se précipita hors de son bureau.

« Vous nous avez été d’une grande aide, et je peux vous assurer que vous serez convenablement récompensée ! » Francesca gardait la femme en ligne, écoutant avec un malin plaisir le compte-rendu des mésaventures de Charlotte.

            Finalement, quelques instants plus tard, elle entendit la voix du directeur à l’autre bout de la ligne.

« Allo ? Mademoiselle d’Abrette ? »

« Oui Henri, je suis toujours là. On dirait que notre jeune demoiselle passe des moments difficiles ici ! »

« Absolument Mademoiselle… C’est vrai, mais je ne suis pas sûr que ça vous plaise. »

« Vous croyez ? » Confirma Francesca. « Je ne suis pas sûre que ça me déplaise, mais vous avez raison, ça suffit pour le moment. Je ne veux pas qu’elle soit abimée. Pour l’instant. Dites-leur que Charlotte va devoir quitter l’hôtel temporairement pour suivre une formation. Faites leur comprendre qu’ils la reverront bientôt. »

« Comme vous voudrez Mademoiselle. Et maintenant ? »

« Maintenant, ramenez-la moi. » Ordonna Francesca. « J’ai encore besoin d’une servante pour ma fête. »

            Lorsque le directeur arriva avec son employée gorgée de sperme, la fête battait son plein. Sherri s’occupait de deux des membres d’équipage à la fois, tandis qu’un troisième la fessait énergiquement. De son côté, le capitaine exerçait les privillèges de son rang entre les fesses de Debbie qui était penchée sur le lit. Les autres matelots s’occupaient du bar largement fourni, attendant leur tour. Il n’y avait pas d’urgence, ils avaient toute la nuit.

            Curieusement, ce fut la prostituée Debbie qui réagit lorsque Charlotte pénétra dans la suite. Après avoir sucé près d’une douzaine d’hommes en plus de ses exploits dans le penthouse, la jeune fille était trempée de sperme, de la tête aux pieds. Son uniforme qui dévoilait plus que jamais ses charmes, était tâché et déchiré en plusieurs endroits, révelant de grosses portions de chair tuméfiée.

« MON DIEU, » s’exclama Debbie (ce qui était assez singulier dans sa bouche), alors que le capitaine la baisait par derrière. « C’est elle ! Celle qui nous a fait des problèmes la semaine dernière. »

            Avec un sourire sadique, Francesca s’approcha de la jeune fille tremblante.

« Des problèmes ? » Demanda-t-elle.

« Mais oui ! Elle nous a fait virer de l’hôtel comme des malpropres. Elle emmerde toutes les prostituées qui viennent travailler ici. » Sherri grogna pour confirmer à travers le sexe qui déformait sa bouche.

« Alors, comme ça tu n’aimes pas les prostituées ? » Se moqua Francesca en soulevant le menton de Charlotte de son ongle pointu. La pauvre fille ne répondit pas ; elle se contenta de continuer à trembler en regardant sa tortionnaire. Ses yeux bleus étaient écarquillés par la peur.

« Tu n’as rien à dire pour ta défense ? Hmmm… Les jeunes filles sont si timides. Bon, tu as eu assez de bon temps pour ce soir. Dorénavant, tu vas nous servir de bonne à tout faire. Je veux que tu serves scrupuleusement tous les participants de la fête. C’est bien compris ? »

            Charlotte approuva de la tête, brisée. Elle se sentait incapable de refuser quoi que ce soit à cette femme. Bien que…

« M-Mademoiselle, » bégaya-t-elle. « A-après… Après cette nuit ; vous me laisserez p-partir ? »

« Mais bien sûr, ma chérie, » mentit Francesca. « J’ai parlé avec ton directeur. Il sait que tu n’es là que pour cette nuit. J’ai obtenu de lui qu’il t’assure une promotion spéciale en récompense des services que tu me rends. »

            Quelque peu rassurée, Charlotte se concentra sur ses tâches. Elle consacra les heures suivantes à se déplacer dans la suite avec autant de grâce que possible. Elle débarrassait, servait les boissons et se comportait comme une parfaite soubrette tandis que l’orgie faisait rage partout autour d’elle. Elle fut tripotée et caressée très souvent par les hommes mais ne fut plus maltraitée. Même Francesca l’ignora, sauf pour lui rappeler occasionellement de garder les jambes raides et légèrement écartées lorsqu’elle se penchait.

            L’aube commençait à poindre à travers les grandes baies vitrées lorsque la fête commença à décliner. Les prostituées furent grassement payées et renvoyées. Épuisée, Charlotte se tenait dans un coin, attendant d’être relâchée, tandis que les homme s’habillaient et rejoignaient le bateau, impatients de reprendre la mer.

            Finalement, Francesca se tourna vers elle.

« Tu t’en es admirablement tirée cette nuit, » déclara-t-elle. « Et, comme promis, je me suis arrangée avec ton directeur pour que tu aies une promotion. Cependant, ce nouveau poste nécesssite un peu d’entraînement supplémentaire. »

« E-entraînement ? » La lèvre inférieure de Charlotte se mit à trembler.

« Heureusement, » continua Francesca. « J’ai un peu d’expérience en la matière et j’ai décidé de m’occuper personnellement de ton éducation. Ton directeur est entièrement d'accord. »

« Nooon… » Incapable de se retenir, Charlotte éclata en larmes. Ce cauchemar ne cesserait donc jamais. Elle pleurait toujours lorsque Francesca et le capitaine la firent sortir de l’hôtel par la sortie de service, et la guidèrent jusqu’au quai. Elle portait toujours son uniforme de soubrette souillé de tâches de sperme maintenant séchées.

            Henri inspectait le désordre de son penthouse. Il fronça les sourcils, il y en avait pour des heures de travail. Heureusement, les moyens de d’Arbrette étaient illimités, et elle paierait tout sans même se préoccuper du prix. Il pourrait peut-être même rajouter dix pourcents pour son pourboire.

            Il s’approcha de la fenêtre en soupirant et regarda vers le sud, où une petite vedette approchait du ‘Nymphe de Monaco’. S’il avait eu une paire de jumelles, il aurait pu apercevoir son employée, toujours en larmes, se débattre vainement tandis que Francesca d’Abrette la caressait à l’arrière du bateau.

            Malheureusement, il n’avait pas de jumelles, aussi il fit demi-tour et retourna à ses occupations de directeur. Ainsi allait la vie, et il faudrait qu’il embauche une nouvelle réceptionniste pour le service de cet après-midi.

            Ah… Et il devait penser à prévenir sa femme qu’ils étaient invités à dîner chez Francesca la semaine prochaine.

perverpeper@perverpeper.com

 

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