Charlotte 04 |
Par Parker
Parker 04 : Charlotte
Synopsis : Une malheureuse fille offense une riche cliente et sa vie de misère commence.
ATTENTION :Cette histoire contient du bondage, du sexe sans consentement, du sado-masochisme, de l’humiliation et d’autres éléments de ce genre. Si vous n’aimez pas lire ce genre de récit, ARRÊTEZ VOUS ICI (avant que ça soit trop tard) OK ? Vous avez été prévenu(e).
Copyright 1993 par moi (Parker) et ???
Adaptation Française : Perverpeper
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Chapitre 4 :
« Allez les garçons, sortez vos engins, » ordonna-t-elle, avec un sourire cruel. Rapidement le directeur traduisit ses paroles en portugais, puis, se conforma lui-même aux ordres. Francesca examina avec satisfaction les membres exposés devant elle ; c’était parfait. L’un d’entre eux affichait même un monstre qui devait mesurer dans les vingt-sept centimètres. Peut-être que plus tard, elle-même…
Le même jeune homme qui avait tourmenté Charlotte auparavant, s’avança et essaya d’appuyer sa bite contre la chatte à peine voilée de Charlotte.
« Non ! » Le ton de Francesca était volontairement autoritaire. Étant donné la barrière des langues, il était impératif qu’elle garde le contrôle des évênements. « Pas question de la baiser ! C’est elle qui va vous sucer. » Elle attendit que le directeur traduise ses mots avant de continuer. « Et pas question d’éjaculer tant que je ne vous y ai pas autorisé ! Compris ? » À nouveau, le directeur traduisit. Les hommes paraissaient un peu frustrés par cette restriction, mais tous se résignèrent à accepter. L’idée de voir cette petite prétentieuse contrainte à prendre leurs membres entre ses lèvres sexy était irrésistible. Ils auraient accepté n’importe quoi.
Francesca reporta son attention sur son nouveau jouet. Toujours maintenue inclinée par la pression sur sa nuque, la fille s’était agenouillée et attendait silencieusement, apparemment résignée à son sort. Sa petite jupe, qui n’avait jamais réellement préservé sa pudeur, était maintenant remontée sur sa croupe, exposant ses longues jambes effilées et le bas de ses petites fesses admirablement rondes.
Francesca se pencha en avant et sursura ses derniers ordres à l’oreille de la pauvre fille. « Les mains dans le dos, et relève-moi correctement cette jupe, petite salope ! » Les larmes aux yeux, Charlotte obéit. Ses mains tremblantes tirèrent maladroitement sur le tissu, exposant pleinement ses fesses. « Très bien. Maintenant, » continua Francesca, « je vais te fesser jusqu’à ce que tous tes amis soient sur le point de jouir, tu feras bien de jeter toutes tes forces dans la bataille si tu ne veux pas que ça s’éternise. »
Elle poussa sa victime contre le sol et relâcha sa prise sur son cou. Secouant la tête silencieusement pour afficher sa désapprobation, Charlotte se positionna à quatre pattes sur la moquette épaisse. Relevant ses yeux noyés par les larmes, elle constata que les hommes s’étaient mis en file indienne face à elle, son directeur en tête ; son sexe dressé à travers la braguette de son pantalon.
« Je ne suis pas très propre. » Dit-il avec un sourire qui démentait ses pseudo-excuses. « Mais ne vous inquiétez pas, ça d’ici à ce que vous ayez terminé... »
C’en était trop. La pauvre Charlotte, les lèvres hermétiquement closes, détourna la tête du membre repoussant. Francesca s’accroupit derrière la jeune fille et leva la main.
CLAC !
« Aie ! » Instinctivement, Charlotte eut un mouvement de recul en réaction à l’impact et interposa aussitôt ses mains gantées pour protéger ses fesses rougissantes.
« NE BOUGE PAS !!! » S’exclama Francesca « ET ENLÈVE-MOI CES MAINS DE LÀ. » Sanglotant, Charlotte obéit et releva à nouveau sa jupe sur ses reins. « Maintenant ouvre bien ta jolie bouche, » lui ordonna-t-on. « La fessée ne s’achèvera que lorsque tu auras terminé. »
TCHAC !
La secousse fit trembler Charlotte lorsque la main de Francesca atterit à nouveau sur ses fesses sans défense, mais elle se conforma aux ordres qu’elle avait reçus. Elle ouvrit sa bouche aussi grand que possible. Le directeur baissa Les yeux sur son employée servile, se régalant de la vue de ses lèvres boudeuses qui s’ouvraient pour accueillir son membre impatient. Il décida qu’il se contenterait sans problème de ça. Au moment où le gland finissait de s’engouffrer fond de la bouche soumise, Francesca abatit à nouveau sa main. Charlotte se mit à pomper énergiquement. Quelques instants plus tard, alors que le directeur grossissait visiblement de plus en plus dans la bouche de Charlotte, Francesca interrompit la fessée et attrapa méchament la fille par les oreilles.
« Allez, ma petite pute ! Ouvre bien ; je veux voir ta jolie petite langue nettoyer la bite de ton directeur ! » Elle tira la tête de la fille en arrière, et regarda avec délices la petite soubrette/réceptioniste s'activer docilement autour du membre de plus en plus gros de son directeur, collectant les résidus de sébum et les sécretions qui s’étaient accumulés à la base du gland. Rapidement, stimulé par le sectacle de la fille agenouillée à ses pieds, l’homme se mit à grogner son plaisir se repaissant de sa posture de soumission totale. Impulsivement, il attrapa sa queue-de-cheval et attira la tête vers lui, enfonçant son sexe au plus profond de la gorge offerte.
« Hmmm ! Je veux sentir ta gorge autour de ma bite Charlotte ! Ordonna-t-il d’une voix rauque, tout en enfonçant brutalement les vingt centimètres de sa virilité au plus profond de sa bouche. « Oooohhh – cette salope m’avale entièrement – bordel ! que c’est bon ! » La vue de la gorge de la fille qui se contractait autour de son membre exasperait ses sensations. Malheureusement, pour lui, avant qu’il ait pu jouir, Francesca lui ordonna de se retirer et fit signe au suivant de prendre sa place.
Le premier cuisinier était un barbu énorme dont les bras épais étaient constellés de tatouages. Il ne perdit pas de temps et enfonça immédiatement sa bite graisseuse entre les lèvres entrouvertes de Charlotte avant de se mettre aussitôt à pistonner sa bouche, s’enfonçant loin dans sa gorge. Pantelante, celle-ci tenta de se dégager pour reprendre sa respiration, mais son assaillant l’attrapa par les oreilles et tira si fort qu’elle n’eut d’autre possibilité que d’accepter l’intégralité du gland au fond de sa gorge.
CLAC !
Francesca, enchantée par le spectacle qui se déroulait devant ses yeux, avait repris la fessée.
Après une ou deux minutes, elle ordonna à l’homme de retourner à la fin de la file et autorisa un homme plus jeune – celui dont le pénis mesurait près de vingt-sept centimètres – à se régaler des sensations incomparables de la bouche humide de Charlotte. S’étouffant et toussant, la pauvre fille fit son possible pour s’accomoder de la situation.
Les fellations se succédèrent pendant un bon moment. À chaque fois qu’un homme semblait sur le point de jouir, Francesca exigeait qu'il se retire et reprenne sa place dans la file. La rotation s’accélérait de plus en plus au fur et à mesure que chaque homme prenait son tour, encore et encore, dans la bouche de la jeune fille en larmes. Lorsque les six hommes eurent chacun bénéficié trois fois de la bouche de Charlotte, ils étaient visiblement tous près à jouir.
‘Passons à la phase deux,’ décida Francesca. Elle interrompit la fessée et s’adressa aux hommes :
« Formez un cercle autour d’elle. Je veux que vous éjaculiez dans ses cheveux, sur son visage et sur sa robe. Charlotte, tu te serviras de tes deux mains et de ta bouche et que je ne te vois pas rester innactive, sinon… »
Momentanément libre de ses mouvements, la jeune fille tenta de se relever. Il fallait qu’elle se sauve. Aucune place ne valait ce prix. Mais ce fut un effort vain. Au moment où elle commençait à se redresser, Francesca l’attrapa par sa queue-de-cheval et la força à se remettre à genoux.
Il n’y avait pas d’échappatoire. Sans relâcher les cheveux de la réceptioniste, Francesca se pencha vers elle et chuchotta :
« Je te laisse trente secondes, petite salope. S’il en reste un seul – s’ils n’ont pas tous giclé sur toi – alors ils se termineront dans ton cul. À toi de voir. »
De nouveaux sanglots secouèrent le corps abusé de la jeune fille. Elle se mit à lécher et sucer frénétiquement les queues dressées qui l’entouraient. Sueur et liquide séminal coulaient le long de son visage, poissant son maquillage. Elle se servait de ses longs doigts fins pour manipuler les virilités de deux hommes, tout en agitant sa bouche le long d’un troisième. Elle sentit qu’on lui tirait brutalement les cheveux lorsqu’un homme s’en servit pour entourer sa queue, s’en servant comme d’un sexe artificiel. Un autre tira sur les fanfreluches qui entouraient ses bras pour y glisser son membre qu’il se mit à agiter au creux de son aisselle. Le dernier cuisinier avait réussi à s’introduire dans son décolleté, et le septième – le capitaine avait fini par se résoudre à participer – se servait de sa jupe pour entourer son pénis qu'il agitait d’avant en arrière. Elle était maintenant occupée à satisfaire sept hommes à la fois.
Pourtant, pour Francesca, ce n’était pas suffisant.
« Charlotte ! Il ne te reste plus que vingt secondes. » L’avertit-elle en élevant la voix pour couvrir les grognements et les gémissements. « Trouve-toi quelques qualificatifs bien salaces pour aider ces charmants messieurs à se libérer plus vite. »
Terrifiée, Charlotte se dégagea du sexe qui obstruait sa bouche et, après avoir toussé, se mit à bégayer. « J-je suis une… une salope. » Dit-elle d’une toute petite voix saccadée par les sanglots. « Je… »
« Sois plus cochonne ! » L’interrompit Francesca en la giflant. Charlotte ravala ses sanglots et obéit du mieux qu’elle pouvait. L’homme qu’elle suçait se mit à se masturber violemment sans cesser de la viser avec la tête de son engin, comme s’il la menaçait d' une arme pointée directement sur son visage.
« BAISEZ… BAISEZ MA BOUCHE. JE NE SUIS QU’UNE SALE PUTE SOUMISE. FAITES-MOI MAL, FAITES MOI PLEURER – JE LE MÉRITE ! » Hurla-t-elle, désespérée par l’ultimatum que lui avait imposé Francesca, prête à toutes les compromissions pour préserver son petit anus. Elle se mit à lécher les bites qui la surplombaient, s’exprimant aussi intelligiblement que possible entre deux coups de langue.
« RENDEZ-MOI FOLLE DE VOTRE SPERME, RÉPANDEZ-LE SUR MOI ET TRAITEZ-MOI COMME LA PUTE QUE JE SUIS. » Agissant aussi vite que possible, Charlotte passait de sexe en sexe, léchant, suçant, frottant, carressant, embrassant… Faisant tout son possible pour les faire jouir.
« JE SUIS UNE SALOPE… UNE PUTE… GICLEZ SUR MOI ! »
Elle eut un premier succès. L’une des queues qu’elle tenait dans sa main commença à trésaillir.
« Dans tes cheveux petite salope ! » Lui ordonna Francesca, en l'obligeant à diriger la queue de façon à ce que le premier jet de sperme gicle dans les airs et atterrisse avec un bruit audible sur sa queue-de-cheval blonde.
« Ouuuiiii ! Je jouuuiiis ! » Hurla le directeur en répandant son sperme sur le haut de sa poitrine et de son uniforme de soubrette, où il ruissela jusqu’à son tablier.
« Fais en sorte de ne rien perdre, espèce de cochonne ! Sinon, je te ferais lécher tout ce qui sera tombé sur la moquette.
Mais aucune éjaculation ne se répandit sur le sol.
Soulagée d’avoir réussi à faire jouir les hommes avant la fin de l’ultimatum, Charlotte s’arrangea pour que les derniers jets de sperme atterrissent tous sur son corps. Jets après jets de sperme épais et crémeux maculèrent son visage, ses cheveux et sa robe. Tout compris, il fallut moins d’une minute pour que tous les hommes vident leurs couilles sur la salope, déjà couverte de sperme. Lorsqu’ils eurent terminé, ils s’écartèrent un peu pour admirer leur travail.
Charlotte était à genoux, haletante, au milieu de leur cercle. Sa petite robe en soie était entièrement recouverte de sperme laiteux, le liquide épais et gluant coulait le long du tissu, avant de se figer et commencer à sécher. Des tâches de foutre brillant persistaient – comme des traces laissées par des limaces – sur son visage et le haut de sa poitrine. Ses cheveux étaient collants de sperme brillant.
« Tu pues comme une truie ! » Remarqua le directeur en se moquant de son employée éplorée à ses pieds.
« Joli travail ! » Félicita Francesca en faisant signe au capitaine. Les cuisiniers achevaient de se reboutonner lorsqu’il distribua un billet de cinq-cents Euros à chacun d’entre eux, les remerciant pour leurs efforts, avant de les reconduire à la porte du penthouse.
Au même moment, Francesca attira le directeur à l’écart.
« C’est incroyable d’avoir découvert charlotte comme ça, dans une chambre, avec cinq hommes non ? » Commenta-t-elle sans attendre de réponse. « Quelle salope ! Une personne comme elle… Avec des responsabilités dans votre hôtel… Vous ne croyez pas que le reste de votre personnel devrait être informé ? »
Momentanément, le directeur fut pris de cours. Qu’entendait-elle par là ? Son incompréhension se vit sur son visage. Francesca soupira dramatiquement.
« Je pense sincèrement que Charlotte devrait être rétrogradée à un poste subalterne si on apprenait ses… Activités… »
« Ah… » Les choses s’éclaircissaient quelque peu. « Je pense comprendre. Mais je lui ai promis… »
« Je ne suis pas entrain de vous suggérer de la virer, » répliqua Francesca avec un petit sourire en coin, imaginant les promesses que l’homme avait du faire pour convaincre la réceptionniste de jouer ce rôle. « Simplement je pense que… Une nouvelle place lui conviendrait bien mieux. Je suis certaine qu’avec un peu d’entraînement, sa carrière dans cet hôtel pourrait être à la fois plus longue et plus… Profitable. »
« Ah, » répliqua le directeur, finissant par comprendre où elle voulait en venir. « Et vous pourriez nous aider avec cet… Entraînement ? »
Francesca émit un petit rire de ravissement. « Mais bien-sûr, » répondit-elle. « Je serai très heureuse d’offrir mon aide. » Elle jeta un regard vers Charlotte qui, toujours dégoulinante de sperme, s’était péniblement redressée. Le capitaine se tenait derrière elle, s’assurant qu’elle ne pouvait pas s’échapper. « Avec un peu de travail, » murmura-t-elle, « je suis sûre que sa promotion au sein de l’hôtel pourrait être facilement assurée. La première chose consiste à ruiner sa réputation auprès des autres employés. »
« Hmmm… » Le directeur approuva de la tête. Il ne demandait qu’à coopérer.
Ayant mis leur stratégie au point, Francesca et le directeur se tournèrent vers Charlotte et lui firent signe d’avancer. Elle obéit honteusement, la tête courbée. Du sperme ruisselait sur son corps et gouttait sur le sol.
« Ton directeur va t’accompagner dans tout l’hôtel. » Francesca était redevenue professionnelle maintenant. « Tu te confesseras à tous les hommes que tu rencontreras en leur expliquant que tu es responsable de tout ça, et tu leur proposeras ta bouche. Tu ne reviendras ici que lorsque tu te seras confessée à tout le personnel masculin de l’hôtel et que toutes les femmes t’auront vue ! » Elle s’attendait à une réaction quelconque, mais la fille avait perdu toute volonté de se défendre. Sanglotant silencieusement, Charlotte suivit son directeur dans le couloir.
Restés seuls, Francesca et le capitaine s’assirent et se resservirent une boisson. Le spectacle de l’humiliation de la réceptionniste les avait tous les deux excités et ils imaginaient la suite des évênements.
Dans l’heure, les cinq membres d’équipage étaient arrivés et attendaient les prostituées. Cela ne prit que peu de temps et ils ne furent pas déçus. ‘Sherri l’écolière’ était une femme plutôt jeune avec de longs cheveux bruns réunis en nattes. Et Debbie, celle que le capitaine avait choisie, était très séduisante, avec des cheveux blonds platine et de gros seins. Ils se servirent à boire, discutèrent des prestations et payèrent.
Maintenant, il ne manquait plus qu’une chose.