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Charlotte 06
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Par Parker

 

Parker 04 : Charlotte

Synopsis : Une malheureuse fille offense une riche cliente et débute une vie misérable.

ATTENTION :Cette histoire contient du bondage, du sexe sans consentement, du sado-masochisme, de l’humiliation et d’autres éléments de ce genre. Si vous n’aimez pas lire ce genre de récit, ARRÊTEZ VOUS ICI (avant que ça soit trop tard) OK ? Vous avez été prévenu(e).

Copyright 1993 par moi (Parker) et ???

Adaptation Française : Perverpeper

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ÉPILOGUE

 

UNE SEMAINE PLUS TARD…

            Henri eut un regard anxieux lorsque Francesca d’Abrette se présenta majestueusement à l’entrée de son bureau. Charlotte, toujours vêtue de son uniforme de soubrette, suivait docilement la milliardaire. Le capitaine fermait la marche et referma la porte derrière eux. Le directeur étudia attentivement son employée, cherchant vainement des traces de maltraitance. Physiquement, elle était inchangée, mais son comportement était considérablement différent. Contrairement à la jeune femme assurée qu’il avait embauchée en tant que réceptionniste trois mois auparavant, il avait devant lui une fille soumise dont les grands yeux bleus fixaient le sol. Tremblante, elle attendait les ordres de sa cruelle Maîtresse.

Où plutôt, ça lui vint immédiatement à l’esprit, son Maître…

« Henri ! » le salua chaleureusement Francesca. « Comme convenu, je vous ramène votre bien. Son dressage est terminé. »

« T-terminé, Mademoiselle ? » À son grand désespoir, sa voix se brisait dans sa gorge.

« Absolument, » répondit-elle en souriant. « Entièrement terminé. Peut-être voulez-vous une démonstration pendant que nous convenons des formalités administratives ? »

Henri s’aprétait à lui demander ce qu’elle entendait par "formalités administratives", mais il resta muet en voyant Francesca se tourner vers la fille.

« Charlotte, » ordonna-t-elle. « La dernière fois que tu as vu ton directeur, tu as pratiqué sur lui une fellation rudimentaire et innéficace. Montre-lui ce que tu as appris. »

            Sans piper mot, ni se rebeller de quelque manière que ce soit, la fille se dirigea vers lui, s’agenouilla à ses pieds, dégraffa sa braguette et sortit son membre de son pantalon. Henri faillit avaler de travers lorsqu’il sentit ses lèvres douces et chaudes enserrer son pénis. Il avait suffisamment d’expérience pour déceler le talent et les éfforts qu’elle mettait en œuvre. Visiblement, elle s’était beaucoup entraînée au cours de la semaine précédante.

« Maintenant Henri, » continua Francesca, satisfaite de la prestation de Charlotte. « Nous avons quelques points à mettre au point. » Elle lui tendit un document dactylographié. « Voici le nouveau contrat de Charlotte. »

            Ayant toutes les difficultés du monde à se concentrer sur le document, Henri le survola. C’était un document standard établissant un ‘contrat de travail’ au nom de Charlotte. Dans les grandes lignes, son poste consistait à pratiquer des "Services de distraction" pour certains clients de l’hôtel. En échange de quoi, le directeur s’engageait à lui fournir logement et nourriture ; aucun salaire n’était mentionné. Le contrat – parfaitement légal à ce qu’il en savait – n’attendait plus que sa signature pour prendre effet, Charlotte l’ayant déjà signé.

            Henri leva les yeux vers Francesca. "Services de distraction ? »

            Celle-ci afficha un grand sourire.

« Charlotte, explique à ton nouveau Maître quelles sont tes obligations. »

            Charlotte s’interrompit et se dégagea de son sexe. Les lèvres luisantes de salive et de liquide séminal, elle leva ses grands yeux bleus et déclara :

« Monsieur, mon travail sera dévolu à une chambre spéciale qui sera réservée aux amis de ma Maîtresse ; je les servirai, corps et âme, durant leur séjour. Lorsque la chambre sera vide, je vivrai avec le personnel de cuisine, je nettoierai leurs logements et leur fournirai tous les s-services qu’ils exigeront de moi. »

            La fille resta silencieuse, tête baissée. ‘Attendant de nouveaux ordres’, réalisa-t-il.

« Très bien, » la félicita Francesca en lui tapotant la tête. « Maintenant, retourne à ton travail. » Docilement, Charlotte reprit le membre du directeur dans sa bouche et se remit au travail.

« Une chambre spéciale ? » Demanda Henri, brusquement à bout de souffle.

« Voyez avec Paris, » lui répondit Francesca, faisant référence au siège social de la chaîne. Tout est arrangé. Deux de mes amis Ecossais – Nigel et Miriam Hammersmith – vous rendront visite la semaine prochaine. Ils sont très intéressés par notre jeune Charlotte. »

« Le directeur hocha la tête en signe de compréhension. Se penchant sur son bureau en prenant soin de rester en contact avec la bouche de Charlotte, il posa le document et le signa avec emphase. C’était fait. Charlotte lui appartenait maintenant, pour… les trois prochaines années ???

« Madame, » il leva la tête. « La durée du contrat… »

« C’est la durée maximale pour ce genre de document, » lui répondit Francesca. « Si nous avions indiqué la moindre durée, cela l’aurait rendu caduc. Toutefois, lorsque les trois années seront écoulées, j’ai prévu d’autres dispositions.

            Avec un grand sourire, elle produisit un nouveau contrat et le lui tendit. C’était le rigoureusement le même document spécifiant des "Services de distraction", au même titre que le précédant, à ceci près qu’il était daté du jour même où l’autre expirait. Il était au nom d’une certaine "Sherri La Rou". Durant un instant, le directeur resta perplexe, mais soudain il comprit.

« Sherry l’écolière, » s’exclama-t-il. « Elle va se prostituer ! »

« Effectivement, » confirma Francesca en récupérant le document. « Je me suis entretenue avec Mlle. La Rou, et notre petite Charlotte débutera sa nouvelle carrière dès qu’elle aura fini de travailler chez vous. » Elle se pencha à nouveau et tapota affectueusement la tête de la jeune fille qui montait et descendait entre les cuisses du directeur. L’humiliation fit grogner Charlotte mais elle ne s’interrompit pas. Le directeur était sur le point de jouir… »

« De cette façon, lorsque ses trois années sous la coupe de Sherri seront écoulées, » continua Francesca. « Elle sera devenue une telle petite salope que personne ne la prendra pour autre chose qu’une pute. »

            En dépit de l’expérience infernale qu’elle avait enduré tout au long de sa semaine d’"entraînement", Charlotte aurait bien voulu dire quelque chose – au moins protester – mais, à cet instant précis, le directeur éjacula dans sa bouche. Ainsi qu’elle y avait été dressée, la pauvre fille avala tout, ne laissant échapper qu’un petit filet le long de son menton pour l’effet. Elle avait maintenant pratiqué cette technique bon nombre de fois et était devenue experte.

            Ses efforts lui valurent une dernière tape sur le crâne.

            Francesca se leva et s’apprêta à partir. « Et n’oubliez pas, » lança-t-elle tandis que le directeur extrayait son membre flasque des lèvres de la fille aenouillée entre ses jambes. « Je vous attends pour dîner demain soir. »

« Bien sûr Mademoiselle, » répondit-il. « Ma femme et moi sommes impatients de vous visiter. »

            La porte se referma. Henri resta silencieux, les yeux baissés sur Charlotte qui avait replaçé son pénis dans son pantalon et refermait sa braguette.

            Elle avait été bien dressée.

« Bien, » dit-il en la tirant par sa queue-de-cheval pour la remettre sur pieds. « Allons visiter ta nouvelle maison ; je suis certain que le personnel de cuisine sera très content de te revoir. »

            Il se dirigea vers la porte de son bureau, suivi par une Charlotte silencieuse et docile, le filet de sperme pendait toujours sur son menton. S’il l’avait regardé à cet instant, alors qu’elle se hâtait pour le suivre, il aurait remarqué la grosse larme qui perlait au coin de son œil étincellant, qui se mit à couler sur sa joue.

            Néanmoins, il ne se retourna pas.

            Ce n’était pas nécessaire.

FIN

perverpeper@perverpeper.com

 

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