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Cher journal intime (4)
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Par Parker

 

Parker 01: Cher journal intime

 

Synopsis : Voici le premier épisode du feuilleton de Parker : Deux filles arrogantes se perdirent, furent capturées et dressées à être des esclaves de maison.

ATTENTION : Cette histoire décrit des scènes de bondage, Sado/Masochisme, rapports non consentis, Domination/Soumission et toutes ces sortes de bonnes choses. Si vous ne voulez pas lire ce genre de prose, il serait mieux de stopper maintenant. Je le pense vraiment. Cette histoire n’est PAS POLITIQUEMENT CORRECTE (bien que j’espère qu’elle soit correcte grammaticalement).

Copyright 1993 de Parker (moi).

Adapatation Française : Perverpeper.

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Le 29 mai.

 

Cher journal,

            La plus effrayante des choses s’est produite aujourd’hui.

            Un officier de police – Ned Smith de Braemar ; je l’ai reconnu car je l’avais rencontré à la dernière kermesse du village (bien que lui n’ait pas semblé me reconnaître) – est venu dans la journée pour poser des questions à propos de deux américaines qui avaient disparu dans les environs. Bien sûr, il enquêtait sur Karen et Jennifer.

            De l’endroit où je me trouvais, à la porte, je pouvais voir les deux filles au centre du salon.

            Jennifer était agenouillée devant Darcy, vêtue seulement de son uniforme de soubrette et sa jolie bouche rendait hommage au penis de Darcy.

            Karen aussi était là.

            Nous avions finalement décidé de la faire sortir de la chambre d’invités, au moins pour que Jennifer ait la possibilité de changer les draps. L’infortunée jeune fille avait été attachée dans une position très inconfortable par cet homme plein de ressources qu’était Darcy. Mains liées dans le dos, elle était à genoux et maintenue penchée en avant par son collier en cuir qui était connecté à un anneau fixé dans le sol. Ses genoux étaient sévèrement étirés par deux solides courroies en caoutchouc qui la contraignaient à lutter pour empêcher, tant bien que mal, ses jambes de s’écarter. Si elle se relâchait, ses genoux étaient aussitôt écartelés par les bandes élastiques, ce qui empalait immanquablement son sexe sur le gros godemiché (un autre de mes "gadgets" de Soho) que Darcy avait fixé sur le sol. Durant les quelques dernières heures, elle avait grogné et transpiré, essayant désespérément de préserver son bas-ventre de l’innévitable. Malheureusement pour elle, la puissance du caoutchouc l’avait implacablement vaincue, abaissant innéxorablement, son centre de gravité vers le pénis factice. Après un long moment, elle avait semblé abandonner la partie, se laissant empaler complètement (imagine ! le "gadget" mesurait vingt-cinq centimètres de long), mais alors, elle s’était cabrée avec rage dans ses liens et avait monopolisé toutes ses forces pour se dégager de l’intrus.

« Désolé de vous déranger M’dame, » avait déclaré l’officier, « je me demandais si vous n’auriez pas aperçu l’une ou l’autre de ces filles dans les environs. » Il me présenta une photo de Karen et Jennifer.

            Il parlait avec un épais accent Écossais, mais pas au point que les filles ne puisse l’entendre et le comprendre ! Karen réagit la première, grognant aussi fort que possible à travers son bâillon et cognant énergiquement sa tête et ses épaules contre le sol. Jennifer gémit et tenta de tourner sa tête, mais Darcy l’en empêcha tout en s’empressant de monter le son de la stereo de Nigel. La musique couvrit aisément tous les bruits que les filles pouvaient faire. Je pouvais toujours les voir se démener, mais il n’y avait aucune chance que l’officier de police les entende.

            Je fis semblant d’examiner la photo.

« Non, » déclarais-je finalement, « Je ne pense pas. Alors elles ont disparu ? »

« Eh oui, » approuva le policier. Il récupéra la photo et la rangea précautionneusement dans la poche de sa veste. Au centre du salon, Jennifer tentait toujours de se dégager d’entre les cuisses de Darcy, mais il la maintenait fermement. Il semblait au bord de l’orgasme.

« Elles ont disparu il y a environ une semaine. » Continua l’officier. « Elles faisaient du camping au bord du Loch Corivain avec quelques amis et étaient parties se promener.

« Bien, » dis-je vivement, « elles ne sont pas venues par ici. Je vous appellerai si je les vois. »

« D’accord M’dame, » conclut-il en faisant demi-tour, « ce serait bien et nous pourrions boire quelque chose ensemble. »

            Il s’éloigna lentement le long du chemin pour rejoindre la route. Dans le salon, Darcy était visiblement en train de jouir, Jennifer avait cessé de se débattre et avalait aussi rapidement que possible. Comme Darcy l’avait dit plus tôt, elle commençait à être vraiment bien dressée.

            D’un autre côté, Karen semblait devenir folle !

            Elle ruait dans ses liens avec toute son énergie, pleurant et grognant aussi fort que possible. Le godemiché entrait et ressortait de sa chatte mal lubrifiée tandis qu’elle se jetait en avant et en arrière pour tenter de se libérer. Finalement, elle poussa un long cri et s’écroula en avant, secouée par les sanglots.

 

            C’est alors que c’est produit la chose la plus dégoûtante qui soit. En émettant un énorme pet (le simple fait d’écrire ce mot me fait rougir), cette horrible fille relâcha ses intestins et se mit à déféquer et à uriner sur le sol.

« Mon dieu ! »

            Darcy repoussa brusquement Jennifer et un long filament de sperme s’étira entre son pénis et la bouche de cette dernière. Sans y prêter attention, il remonta son pantalon et se précipita à grands pas vers Karen qui continuait à se soulager.

J’ai honte de relater que je ne pu qu’assister à cette scène en silence, incapable de réagir. Réellement, il faut reconnaître que ce n’est pas le genre de situation à laquelle on peut être préparé. Particulièrement quand on est une dame de ma condition.

            Darcy abattit vigoureusement sa main sur le derrière de cette misérable fille.

« Arrête ça, » tonitrua-t-il. « Arrête ça immédiatement. »

            Il continua de la frapper tandis qu’elle cessait de déféquer et que le jet d’urine se réduisait à un petit filet. Finalement, il s’interrompirent tous les deux, et Karen s’effondra dans ses propres immondices.

« Espèce de petite bête ! »

            Je peux te dire que Darcy était enragé. Il ne se met pas en colère très souvent, mais quand ça arrive, c’est un spectacle terrible. C’était sa responsabilité de maintenir la maison propre et en ordre et il prenait ça très au sérieux. Je l’ai déjà vu battre une servante parce qu’elle n’avait pas fait le ménage correctement.

« Si tu n’es pas capable de te contrôler, » continua-t-il, « tu as peut-être besoin que nous nous en chargions. »

            Il regarda autour de lui, à la recherche de quelque chose, et s’empara du plumeau à poussière. D’un geste brusque, il en inséra la l’extrémité du manche entre les fesses dégoûtantes de Karen. La pauvre fille se mit à nouveau à gémir, mais fut incapable de l’en empêcher. Lorsqu’il fut arrivé à ses fins, seule une quinzaine de centimètres du manche était toujours visible entre ses fesses et le bouquet de plumes.

« Darcy ! »

            J’avais enfin retrouvé l’usage de ma voix. Il se raidit, se redressant de toute sa hauteur et se retourna vers moi. Son visage était rouge pivoine.

« Madame ? »

« Êtes-vous devenu fou ? »

            Je lui avais expressément signifié qu’il ne devait en aucun cas se servir des filles de cette façon. C’était réservé à son Maître !

            À ses pieds, Karen tentait d’expulser l’intrus en remuant son derrière, mais elle ne réussissait qu’à agiter les plumes. Cette image me semblait étrangement familière.

« Madame ? » Répéta-t-il.

            J’avais besoin de temps pour réfléchir.

« Jennifer, » je me tournai vers notre petite soubrette brune. Elle était toujours à l’endroit où Darcy l’avait laissée, à genoux avec son joli menton souillé de traces de sperme. « Va te nettoyer et occupe-toi du sol. Je veux que toutes les traces de ce déplorable incident aient disparu du salon d’ici une heure. »

« Bien Maîtresse, » répondit-elle, en se remettant rapidement sur ses pieds. Lissant sa jupe, elle quitta la pièce, se déplaçant à tous petits pas, autant que le lui permettait la chaîne qui entravait ses chevilles.

Je me retournai vers Darcy.

            Il attendait patiemment, les yeux fixés sur moi. Karen continuait remuer son postérieur, mais sans beaucoup de succès. Ses gémissements ressemblaient à de petits jappements, presque comme…

            C’est alors que j’eus une idée merveilleuse ! Peut-être que Darcy avait raison ; elle se comportait comme une petite bête. Et nous avions déjà une soubrette.

            Peut-être allions-nous trouver quelque utilité aux chenils de Nigel après tout…

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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