Cher journal intime (5) |
Par Parker
Parker 01: Cher journal intime
Synopsis : Voici le premier épisode du feuilleton de Parker : Deux filles arrogantes se perdirent, furent capturées et dressées à être des esclaves de maison.
ATTENTION : Cette histoire décrit des scènes de bondage, Sado/Masochisme, rapports non consentis, Domination/Soumission et toutes ces sortes de bonnes choses. Si vous ne voulez pas lire ce genre de prose, il serait mieux de stopper maintenant. Je le pense vraiment. Cette histoire n’est PAS POLITIQUEMENT CORRECTE (bien que j’espère qu’elle soit correcte grammaticalement).
Copyright 1993 de Parker (moi).
Adapatation Française : Perverpeper.
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Le 23 aout.
Cher journal,
J’écris ses lignes depuis ma chambre, assise confortablement dans le fauteuil de Nigel. Mes jambes sont grandes ouvertes sur le repose-pieds et notre Jennifer s’acquitte avec zèle de ses fonctions maintenant quotidiennes. Darcy l’a bien dressée et elle est exquise.
Les entraves ne sont plus nécessaires.
La petite chérie semble complètement résignée quant à sa nouvelle condition de bonne à tout faire, et elle ne fais plus preuve de la moindre tentative de rébellion. Quoi que, ça n’est pas tout à fait vrai. Quelque fois, Darcy ou moi l’avons surprise, à un moment ou elle ne s’y attendait pas, à rêver en regardant par la fenêtre, les larmes au coin des yeux.
Et oui… les jeunes filles sont si émotives.
PLUS TARD :
Jennifer en a terminé avec son occupation entre mes jambes et maintenant, elle s’occupe de mon bain. Nigel doit rentrer à la maison demain, et je veux me présenter à mon meilleur avantage.
J’entends un aboiement provenant du jardin.
C’est Darcy, il continue le dressage de Karen. D’après lui, tout se déroule à la perfection. Je jette un œil par la fenêtre. Il la fait courir à travers le jardin, à la poursuite du bâton qu’il vient de lancer et qu’elle doit lui rapporter.
Il s’est surpassé vraiment surpassé.
Bien entendu, elle est entièrement nue (Darcy assure qu’elle ne portera plus jamais de vêtements), excepté un jeu de protections épaisses au genoux et des moufles étroites à ses mains. Ces accessoires ne lui sont jamais ôtés ; Darcy les a cousus définitivement et à appliqué une épaisse couche de colle sur la couture. Sa bouche est maintenue ouverte par une muselière en forme de "O" ; lui permettant de se nourrir et d’utiliser sa langue, mais lui interdisant de mordre ou de prononcer le moindre mot. Seuls les sons identiques à ceux que pousserait un chien lui sont permis : aboiements, jappements et grondements. Darcy dit qu’elle est devenue experte en grondements.
Ses bras et ses jambes sont entravés par un ingénieux jeu de chaînes et de barres qui la contraint à rester en permanence à quatre pattes. De la même façon que les gants, cet équipement est permanent. Il est vrai qu’elle n’aura plus jamais l’occasion de marcher.
Finalement, le plumeau à poussière a été remplacé par une queue de chien criante de vérité. Darcy a modifié l’un de mes godemichés en y insérant une longue touffe de cheveux blonds. Il s’est énormément investi pour que leur couleur soit assortie avec celle de ses cheveux, mais je doute qu’il y soit arrivé. Quoi qu’il en soit, c’est l’intention qui compte. Notre Karen est maintenant en mesure de remuer sa queue convenablement. Il m’a dit qu’il ne lui enleve que lorsqu’elle doit faire ses besoins, ce qu’elle manifeste en gémissant d’une certaine manière.
Evidemment, elle porte aussi un collier de chien en cuir.
Darcy a fait un travail merveilleux. Elle est totalement devenue une petite chienne, et il parle déjà d’acheter un vrai chien – mâle bien sûr – pour lui tenir compagnie dans son chenil. Je trouve que c’est une excellente idée, mais j’attendrais l’avis de Nigel. Bien que je suis certaine qu’il sera lui aussi de cet avis.
Oh, Nigel. J’ai tellement hâte de lui montrer ces nouvelles acquisitions pour notre maison.
Les bruits de mon bain s’interrompent et Jennifer me rejoint dans ma chambre.
« Maîtresse, » dit elle de sa petite voix, les yeux baissés, « votre bain est prêt. » Ses beaux cheveux bruns tombant de façon affriolante sur son visage cramoisi.
Dehors, dans le jardin, Karen a été débarrassée de sa queue et se soulage contre un arbre, une jambe en l’air.
Ca va tellement plaire à Nigel…
FIN