Cher journal intime (3) |
Par Parker
Parker 01: Cher journal intime
Synopsis : Voici le premier épisode du feuilleton de Parker : Deux filles arrogantes se perdirent, furent capturées et dressées à être des esclaves de maison.
ATTENTION : Cette histoire décrit des scènes de bondage, Sado/Masochisme, rapports non consentis, Domination/Soumission et toutes ces sortes de bonnes choses. Si vous ne voulez pas lire ce genre de prose, il serait mieux de stopper maintenant. Je le pense vraiment. Cette histoire n’est PAS POLITIQUEMENT CORRECTE (bien que j’espère qu’elle soit correcte grammaticalement).
Copyright 1993 de Parker (moi).
Adapatation Française : Perverpeper.
=================================================================
Le 28 mai.
Cher journal,
Nous n’avons pas eu une minute à nous ces derniers jours ! Qui aurait imaginé que le dressage des nouvelles domestiques nécessiterait autant de temps et d’énergie ? Je crains d’avoir été quelque peu fautive en gardant pour moi ces derniers évènements, mais je vais essayer de me rattraper maintenant. Jennifer a beaucoup progressé, cette petite est douée. Après avoir passé deux jours sur le lit avec son nouveau petit camarade, elle est devenue particulièrement coopérative. Je suis maintenant convaincue qu’elle est une jeune fille des plus sensibles. J’avoue que cela me surprend un peu. Je m’attendais à ce que toutes les américaines soient rustres et grossières (comme karen – je reviendrai sur elle plus tard). Je soupçonne qu’il me faille reconsidérer ma position sur ce point.
J’ai demandé à Darcy de m’accompagner lorsqu’il fut temps de la libérer de ses liens. Tout d’abord, il a fixé une laisse à son collier en cuir, puis il a détaché ses chevilles et ses poignets. Jennifer c’est contentée de joindre ses mains sur son buste afin de dissimuler autant que possible ses petits seins. C’est exquis !
« Jennifer, » déclarais-je, en tentant de m’exprimer d’un ton ferme, « la modestie est nécessaire chez une jeune fille de bonne famille, mais c’est quelque peu anachronique chez une servante. »
Elle renifla, comme si elle allait se mettre à pleurer, puis, lentement, elle ôta ses mains de sa poitrine.
« C’est mieux, » lui dis-je pour l’encourager. « Maintenant, n’as tu pas faim, jeune fille ? »
Elle hocha la tête en signe d’assentiment.
« O-oui… Maitresse. »
Elle s’était souvenue ! Quelle fille intelligente.
« Très bien, » lui dis-je, « Alors tu ferais mieux de suivre Darcy. Il va te trouver quelque chose à manger et t’expliquer quelles seront tes tâches.
À ces mots, ces yeux s’écarquillèrent, mais elle obéit immédiatement, se redressant lentement avec raideur. Darcy imprima une secousse sur sa laisse et elle le suivit docilement.
« Un moment, ma chère, » lançai-je. « Tu es sûre de ne rien oublier ? »
Elle me regarda, visiblement interloquée.
« Ton petit camarade, » expliquai-je en désignant son entrecuisse. « Tu devrais peut-être le laisser ici. »
Rouge de honte, elle se saisit du vibromasseur et l’ôta de sa… (Eh bien, je suppose que je ferai aussi bien de le dire) "minette". Il était brillant et trempé.
« Hmmm, » dis-je, « Vous vous êtes bien entendus non ? »
Elle sembla rougir encore plus et baissa les yeux en acquiescant de la tête timidement. Puis elle fit mine de se retourner pour suivre Darcy, mais je l’interrompis en la saisissant par le menton et en la forçant à me regarder dans les yeux.
« Jeune fille ! Quand je te pose une question, j’entends que tu me regardes et que tu me répondes. Est-ce que je me fais bien comprendre ? » Il est préférable d’être sévère au début, cela évite tant de désagréments par la suite.
« O-oui Maîtresse, » bégaya-t-elle.
« Bien, alors as tu apprécié la compagnie de ton nouveau petit camarade ? »
« Oui Maîtresse… J’ai ai-aimé l’avoir… En moi. » Elle rougit à nouveau mais ne baissa pas les yeux. Une larme coula sur l’une de ses joues.
Je l’essuyai. Je pourrais tomber folle amoureuse de cette fille.
Darcy tira à nouveau sur la laisse et elle le suivit hors de la chambre.
Comme auparavant, Karen réagit violement à ma présence.
Cependant, cette fois, je lui ôtai son bâillon dans le but de lui donner quelque chose à boire. Elle engloutit à grands traits le verre d’eau, mais lorsqu’elle eut terminé, elle se remit à me hurler dessus.
« Qui êtes vous bordes de merde ? » Hurla-t-elle. « Pourquoi me sequestrez-vous, espèce de salope ?
« Eh bien, alors… »
Je tentais de lui expliquer la situation, mais elle refusa obstinément de m’écouter. Elle ne fit que hurler après moi, tout en tirant sur ses liens. Quelques instants plus tard, Darcy me rejoignit dans la chambre et m’aida à remettre son bâillon en place. Ce ne fut pas facile et elle tenta même de me mordre, mais nous arrivâmes quand même à nos fins.
« Madame, » me dit Darcy haletant quelque peu après tous ces efforts, « peut-être devrions nous user d’une forme de persuasion plus… Convaincante ? »
Il faisait, bien entendu, référence à la canne. Nigel en conservait une dans son antre en souvenir des jours durant lesquels il avait exercé le métier d’enseignant.
Je baissai les yeux sur la jeune fille infortunée qui se démenait sur le lit. Le harnais qui maintenait le vibromasseur à l’intérieur de sa chatte était toujours intact, mais elle ne montrait pas ou peu de signe d’excitation. Le lit était humide, mais mon sens de l’odorat me laissait à penser qu’il ne s’agissait pas d’excitation.
« Bien, » décidais-je, s’il faut en arriver là… »
Je hochai la tête en guise d’approbation.
« Et fais venir Jennifer, » ordonnai-je. « Elle doit assister à ça. »
Darcy quitta la pièce pour aller chercher la canne. Je baissai les yeux sur Karen. Elle me fixait d’un regard furieux.
« Tu ne peux t’en prendre qu’à toi. » Lui dis-je. « Un tout petit peu plus d’effort de comportement et tout ceci n’aurait pas été nécessaire. »
Je trouve qu’il est important d’exposer la raison d’une punition avant de l’appliquer. C’est bien plus efficace si le sujet comprend les raisons de sa pénitence.
Lorsque Darcy revint dans la chambre, il tenait la canne d’une main et la laisse de Jennifer de l’autre. Elle trébuchait à sa suite. Les yeux de la petite chérie s’écarquillèrent de stupeur lorsqu’elle revit son amie pour la première fois depuis plusieurs jours, mais elle se garda bien de piper un mot.
Je quittai la pièce tandis que Darcy commençait à composer un motif tout en zebrures rouges sur le ventre de l’incontrôlable jeune fille.
À compter de ce jour, Jennifer s’acquitta de ses tâches avec beaucoup plus d’empressement.
Je ne sais comment il s’y prit, mais Darcy lui dénicha un merveilleux petit uniforme de soubrette, tout minuscule et plein de fanfreluches. Il couvrait à peine ses coquins appâts. Il faut avouer qu’elle est mignonne à croquer là-dedans.
Nous lui avons laissé ses entraves avec une petite chaîne qui relie ses chevilles lorsqu’elle s’occupe de la maison, mais je prense vraiment que ce n’est plus nécessaire. Pourtant, prudence est mère de sûreté.
Darcy n’à eu à se servir de la canne qu’une fois, l’autre jour. C’était son idée – et un bon coup retentissant par la même occasion) – cette petite Jennifer a dû prendre quelques leçons sur l’art de donner du plaisir à un homme. Nigel exigera certainement un minimum de talent dans ce domaine de la part d’une domestique.
Je lui avais accordé mon autorisation, mais à condition qu’il se serve uniquement de sa bouche. Cette jeune fille n’est pas vierge, mais je suis certain que Nigel voudra s’occuper personnellement de cet aspect des choses.
Jennifer reçut ses instructions, mais refusa de les appliquer, y compris lorsqu’elle fut menacée de recevoir la canne. Je suppose que c’était innévitable. Quoi qu’il en soit, il ne fallut qu’une douzaine de cinglades sur son joli posterieur avant qu’elle ne change d’avis, les larmes aux yeux.
Darcy, toujours attentif à l’ordonnance, lui prodigue ses conseils speciaux et éclairés au moins deux ou trois fois par jour. On peut l’entendre délivrer ses instructions de sa voix calme et distinguée.
« Là… Tu y es jeune fille » dit-il, « prends la entièrement dans… Tu dois la sucer avec le fond de ta bouche et, en même temps, la caresser en dessous avec ta langue… Voilà ; tu fais ça très bien maintenant. Très bien. Maintenant, ouvre ta gorge et laisse là glisser vers le fond… Respire avec ton nez… C’est ça. Il n’y a pas de raison de paniquer. Tu dois pouvoir sentir mes bourses contre ton menton… »
Et ainsi de suite. Darcy m’assure qu’elle progresse brillament.
Toujours aucun progrès avec Karen, en dépit du fait que Darcy à dû utiliser la canne à trois reprises differentes maintenant. Je ne sais pas ce que nous allons pouvoir faire avec elle.