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Cher journal intime (2)
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Par Parker

 

Parker 01: Cher journal intime

 

Synopsis : Voici le premier épisode du feuilleton de Parker : Deux filles arrogantes se perdirent, furent capturées et dressées à être des esclaves de maison.

ATTENTION : Cette histoire décrit des scènes de bondage, Sado/Masochisme, rapports non consentis, Domination/Soumission et toutes ces sortes de bonnes choses. Si vous ne voulez pas lire ce genre de prose, il serait mieux de stopper maintenant. Je le pense vraiment. Cette histoire n’est PAS POLITIQUEMENT CORRECTE (bien que j’espère qu’elle soit correcte grammaticalement).

Copyright 1993 de Parker (moi).

Adapatation Française : Perverpeper.

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Le 23 mai.

 

Cher journal,

 

            Des nouvelles mitigées, je le crains. Comme je le soupçonnai, la plus agée fait quelques difficultés. Elle se débat sans cesse, et refuse de coopérer de quelque façon que ce soit. C’est pourquoi j’ai été obligée de…

            Hmmm, peut-être que je vais trop vite. Je vais relater les évênements tels qu’ils se sont produits. Il faut rester methodique, même dans son propre journal.

            La première chose que je fis le lendemain fut de rendre visite à Jennifer. Elle avait l’air si mignonne, attachée comme ça sur son lit, se contorsionnant en vain tandis que mon petit compère fredonnait gaiement en elle. Son corps, admirablement proportionné bien qu’il ne soit pas aussi harmonieux et musclé que celui de sa copine, était recouvert d’une mince pellicule de transpiration.

            Lorsque je tendis la main pour ôter le vibromasseur, elle était glissante et humide ; visiblement, elle appréciait. Eh bien dis donc, me dis-je, une fille aussi jeune. Je fus tentée de me facher, mais ses yeux implorants étaient si jolis que je ne pouvais tout simplement me mettre en colère. Elle est si mignonne. De plus, j’étais, peut-être au moins partiellement, responsable de son comportement. Comme je le disais, j’aime voir le côté positif des gens.

            Délicatement, afin de ne pas l’effrayer, je dégageai ses cheveux bouclés de son visage et ôtais le bâillon (je dois mentionner que Darcy avait encore une fois fait un merveilleux travail en transformant quelques-uns des accessoires sportifs, cette fois en un merveilleux "ball-gag").

« S’il vous plaît. »

            Sa voix n’était qu’un chuchotement rauque. Je portai ma tasse à ses lèvres dessechées et lui donnait une gorgée de mon thé. Elle se deshaltéra avec gratitude puis me regarda.

« S’il vous plaît, » murmura-t-elle. « Où suis-je ? »

            Elle avait une jolie voix douce, altérée uniquement par son rude accent Américain.

« En Écosse, ma chère, » répondis-je. « Tu es chez moi, dans mon domaine, à la limite de Braemar. »

            Elle regarda autour d’elle, perplexe. Presque sans s’en rendre compte, elle commença à se cabrer dans ses liens.

« Qui êtes-vous ? Qu’est-ce qu’il m’arrive ? » Puis après coup : « Où est Karen ? »

« Ton amie est dans une autre chambre, » lui répondis-je. « Mon nom n’a pas d’importance. Tu dois m’appeler (je pense que c’était assez judicieux) "Maîtresse". Maintenant, tu travailles pour moi.

« Maîtresse ? »

            Au début, elle semblait plus curieuse qu’effrayée, mais par la suite, des larmes perlèrent aux coins de ses grand yeux marron et elle se mit à sangloter. Pauvre petite, au début, cela devait être un choc pour elle.

            Je remis en place le merveilleux bâillon de Darcy et attachai les fixations sur le bandeau de cuir. Jennifer me regarda en gémissant à travers ses larmes, mais cela ne m’infléchit pas. Je ne peux pas me permettre d’être faible devant une domestique.

            Avant de partir, je replaçai le vibromasseur. Elle se cabra et remua sa tête mais je peux dire qu’elle appréciait. Elle était absolument délicieuse.

            Malheureusement, je ne peux rapporter la même chose à propos de Karen. Lorsque j’entrai dans sa chambre, elle se mit immédiatement à se débattre sur son lit, à hurler sur moi à travers son bâillon, employant les mots les plus choquants. Imagine. Bien entendu, elle avait fait en sorte d’expulser mon petit camarade de son ventre, il gisait en vibrant inutilement sur le lit entre ses jambes écartelées.

            Alors je tentai de la calmer. Je m’assis à côté d’elle sur le lit en murmurant des paroles appaisantes tout en lui caressant le front, mais il n’y eut rien à faire. Elle continua à me foudroyer de son regard haineux avec ses petits yeux verts débordants de méchanceté. Dieu seul sait ce qui se serait passé si j’avais ôté son bâillon.

            Que pouvais-je faire ?

            À la fin, je me résolus à lui consacrer plus de temps à l’aide du vibromasseur. Afin d’être certaine qu’elle ne s’en débarrasserait pas à nouveau, j’appelai Darcy et il improvisa – très ingénieusement – un harnais à l’aide de quelques vieilles lanières de Nigel. Il en positionna une première autour de la taille mince de cette fille odieuse, et passa l’autre, fixée au vibromasseur, entre ses cuisses et la fixa devant et derrière. Elle hurla et se débattit comme une gamine mais l’intrus resta en place.

            Ainsi, elle apprendrait peut-être les bonnes manières.

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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