Sensuelles aventures pour une même destinée 43 |
Par Julien Graves
f/f exhibition réticence humiliation
PARTIE 4. le récit de sabine, ou les étapes d'une nouvelle vie.
Chapitre 1 présentation.
Bonjour, je suis Sabine, une jeune femme brune de 23 ans, sportive, aimant la vie, mes amies et plein de choses encore.
Je viens ici vous compter mon histoire, ce que j'ai vécu, mes détresses, mes joies....
Sachez tout d'abord, que je suis une jeune femme assez jolie, qui avait pas mal de succès auprès des hommes, voir mêmes des femmes.
Je dis avais, car ça n'est plus le cas, pour cause, je vis maintenant au sein du réseau S A D, dirigé par trois femmes, d'une main de maître, ou devrais-je dire plus justement de maîtresse.
Je passerai sous silence ici, les circonstances de mon arrivée dans le réseau, ainsi que ma période de pré admission, et d'admission, que je conterai peut être à un autre moment.
Je vis donc dans ce réseau, parmi un groupe de 15 jeunes filles, qui sont très heureux ici tout comme je le suis.
J'ai eu pour marraine, Sophie, que j'ai appris à connaître et à aimer profondément, comme toutes mes autres amis.
Je porte naturellement, comme toutes mes compagnes, les marques d'appartenance du réseau, et même si je trouvais ça humiliant et horrible, je les arbore fièrement à présent, pour montrer à mes amies, et aux responsables, que je suis bien ici, et que je ne souhaite pas en changer.
Je n'ai cependant pas eu un parcours simple, et n'ai pas toujours été aussi épanouie qu'aujourd'hui.
Je vais donc tenter de vous compter ce parcours, mes étapes dans mon évolution à travers ce réseau si mystérieux, si effrayant parfois, si conviviale, et encore si sensuel.
Je crois avoir assez parlé pour ne rien dire, alors commence si vous le voulez bien.
Lorsque j'ai donc été admise dans le réseau, j'ai ressenti un grand soulagement. En effet, je redoutais de ce qui aurait pu m'arriver en cas d'échec de ma part.
Sophie était à mes cotés, assise sur une chaise, et me regardait fixement en souriant.
Je me trouvais, allongée sur une table, me remettant lentement de mon examen, qui avait mis mon courage, ma résistance, et mon corps à rude épreuve.
Lorsque j'ouvris les yeux, et que je tournais la tête vers ma douce marraine, je la vis, le visage illuminé d'un sourire d'ange, des étincelles dansant dans ces yeux.
Sa main tenait la mienne, et je sentais ses doigts fins bien serrés contre la paume de ma main.
J’appliquais, une petite pression sur ces doigts pour lui montrer que j'étais éveillé, et elle me rendit ce signe complice.
Je tournais la tête vers elle, et je la sentie s'approchait lentement.
Toujours les yeux fermés, je senti ses lèvres sucrées venir rencontrer les miennes, et nos langues se mêlèrent dans un long baisé.
Sa main parcourut mon ventre dans une caresse subtile, qui me fit frissonner, et réveilla la douleur sur ma peau encore marquée des coups de cravache et de badine.
Je gémis doucement, et une larme perla de mes yeux pour rouler sur ma joue.
Je senti la langue de ma protectrice se détacher de la mienne, et venir saisir cette larme dans son élan.
Sa bouche vint se coller ensuite à mon oreille, et je l'entendis murmurer :
" Je suis fier de toi ma puce, je t'aime."
Je tournais la tête et vint engloutir sa bouche dans un autre baisée mêlée de passion, d'amour, et de reconnaissance.
Quelques minutes plus tard, je pus me redresser, et nous nous enlaçâmes tendrement, avant que Sophie me conduise dans une pièce non loin de là.
Elle me lava, et m'enduisit tout le corps d'une crème qui eût tôt fait de calmer les brûlures de ma peau, et de soulager mes muscles encore endoloris.
Elle m'aida ensuite à enfiler une tenue comme celle que j'avais dû mettre avant de paraître pour mon examen d'admission, et nous gagnèrent une pièce face à celle que nous occupions pour cette toilette.
Je m'assis auprès de Sophie, et me collait contre elle.
Nous attendîmes un long moment, avant de voir arriver les trois responsables, toutes trois vêtues d'une tenue de cuir.
Sophie me fit signe de m'avancer vers les trois femmes.
J’obéis en rougissant, et m'agenouillait lentement comme me l'avais fait comprendre ma marraine.
Les trois femmes me fixèrent pendant plusieurs secondes en silence, qui me parurent être des heures, avant que madame Sylvie ne prenne la parole.
" Sabine, tu as eu le droit de passer devant nous l'examen d'admission au sein de ce réseau. Je dois te dire, que nous sommes hésitante à te laisser le passage de cette admission, car malgré les efforts que tu nous as montré, nous craignons que tu n'arrives pas à suivre tes camarades, et à te conformer à ce mode de vie.
Nous sommes convaincus néanmoins de ta bonne foie, et nous t'accordons le bénéfice du doute, mais attendons que tu te surpasses.
Sophie, ma douce, veux tu procéder à l'échange de collier?"
J’entendis alors ma marraine s'approcher, venir à mes côtés, s'agenouiller, m'enlever le collier de cuir que je portais au cou depuis quelques jours, et le remplacer par un autre mais de métal, plus fin, qui était gravé à mon nom, comme je pu m'en rendre compte par la suite.
Sophie se releva et recula lentement pour regagner sa place.
Madame Armelle s'adressa à moi.
" Sabine, tu fais maintenant, nous dirons, partie du réseau, sinon complètement, du moins en partie. Tu le seras absolument lorsque tu auras reçu les marques d'appartenance, c'est à dire à partir de demain."
Par réflexe je m'incliner lentement devant les trois femmes, et murmurait un petit
" Bien mesdames, merci à vous de m'accepter ici."
Elles sortirent, après m'avoir lancé un petit sourire, et me laissèrent plantée là, au centre de cette pièce, arborant ce nouveau collier, qui me procurait une sensation d'appartenance encore plus forte, et plus présente que celle que j'avais en portant le collier de cuir.
Les mains de Sophie sur mes épaules, puis me caressant les cheveux me ramenèrent à la réalité.
Elle m'aida à me relever, et me reconduisit dans la petite pièce qui me tenait lieu de chambre.
Elle resta pendant plusieurs minutes à mes côtés, pendant lesquelles nous parlâmes, et nous nous câlinâmes tendrement.
Lorsqu'elle me laissa seule, après m'avoir fait manger, je m'allongeais dans un coin de la pièce, et tentais de m'endormir. Je n'y parvins pas tout de suite, gênée par ce collier rigide.
Je portais mes mains à celui-ci, et l'examinai de mes doigts.
Il était assez fin, d'environ 3 centimètres de large, fermé par un mécanisme complexe, à actionner par une serrure miniature. Je senti une suite de symboles gravée dans le métal, et réussie à déchiffrer mon prénom.
J’eu honte de me trouver ainsi, mais senti un frisson me parcourir le ventre.
Ma main, descendit sur celui-ci, et parvint à mon pubis imberbe. J'allais commencer à me masturber pour me soulager, de ce besoin pressant que l'excitation avait fait naître en moi, lorsque le visage de Sophie apparut, et me rappela à l'ordre.
Je retirai ma main à contre cœur, car je savais que je n'avais pas le droit de toucher à mon intimité, celle -ci, ne m'appartenant plus d'après ce que m'avais dit Sophie.
Je me recroquevillais donc un peu frustrer, et finit par m'endormir.