suviant
Sensuelles aventures pour une même destinée 37
précédant

Par Julien Graves

 

f/f exhibition réticence humiliation

 

Chapitre 13. Les symboles du réseau.

 

La nuit fut source de repos intense pour Malaurie. Son sommeil fut si profond que Coralie mit plus de 10 minutes à la réveillée  complètement.
Après de multiples baisés, et un long câlin entre les deux jeunes filles, Coralie fit manger puis boire Malaurie. Elles se rassirent dans la paille, une fois le repas de Malaurie complètement avalé.
Coralie entoura la taille de sa protégée avec un bras, et l'attira vers elle. Malaurie fis de même et considéra son corps criblé de marques brunâtres  qui serpentaient sur sa peau. Elle frémit en repensant aux instants qui avaient fait apparaître ses traces sombres.
Coralie parcourut de l'un de ses doigts, l'une des longues cicatrices, qui partait de la hanche droite de la jeune fille, progressait en zigzag sur son abdomen, remontait sur le sein gauche, dérivait sur le flanc et allait presque rejoindre la raie des fesses.
Les deux jeunes filles restaient là, en silence, celui-ci n'étant troublé que par les bruits des lèvres et des langues lors des embrassades des deux amies.
Après un long moment, Coralie dit doucement :
" - Je vais devoir te laisser, je viendrais te rechercher tout à l'heure pour la dernière étape à l'issue de laquelle tu seras officiellement admise dans le réseau, et donc tu ne seras plus ma filleule, mais mon égale.
- Mais je veux rester avec toi encore et encore?
- Mais nous serons toujours ensemble ma puce, mais plus en tant que marraine, filleule, mais en tant que amies, et égales. Et puis il se peut très bien, que dès la semaine prochaine, tu sois désigner comme marraine comme je l'ai été pour toi, et tu t'occuperas de ta filleule aussi bien que j'ai essayé de le faire pour toi, et une fois qu'elle aura été admise ou refusée, tu recommenceras et ainsi de suite, mais nous serons toujours l'une avec l'autre.
- Oui je comprends, mais j'aimerais tellement...
- Oui je vois. Saches qu'ici, tout le monde est amoureux de tout le monde. Tu seras amenée à avoir des séances en compagnie d'autres jeunes filles, comme celle que nous avons eue ensemble, et là tu devras sans doute faire l'amour avec ta partenaire, pour satisfaire la responsable avec qui tu te trouves. Il ne faut pas que tu te focalise sur moi ma puce. Je sais comme j'aurais été ta marraine, tes sensations, et tes sentiments, se seront développés avec moi beaucoup plus qu'avec une autre, mais il faut que tu passe outre. Ça fait aussi partie de ta découverte, et de ton apprentissage.
- Je comprends ce que tu veux dire. Mais ça va être dur de faire ça avec une autre alors que c'et toi qui m'a aimé la première.
- En es-tu vraiment sûre? Que se soit élise, Mathilde, Virginie, Laura, Juliette, les responsables, Madame Sylvie, Madame Armelle, Madame Diane, ou même Carine, tout le monde t'aime ma puce. Les sentiments ne se montrent pas de la même façon chez l'une ou l'autre, mais toutes les jeunes filles ici t'aiment.
- Mais Lorsque je suis arrivée ici, j'étais au moins la Cinquième, si ça n'est pas plus. Les autres jeunes filles sont où?
- Tu es exactement la 7ème jeune fille qui est arrivée ici. Carine est la sixième.
- Que sont devenues les autres?
- Deux ont refusées, et ont été conduites dans l'aile du réseau réservée aux jeunes filles non admises, et les trois autres sont encore en période de stage.
- Mais si elles sont arrivées avant moi, elles devraient avoir fini et être admises?
- Non pas forcément. Tout dépend de leurs résultats aux examens préliminaires. Carine et toi avaient réussi mieux qu'elles, et êtes passé directement en stage courts. Elles, sont parties en stage moyen voir longs.  Bon je vais te laisser maintenant repose-toi, profite bien de ses moments, ceux qui vont arriver risquent d'être un peu moins agréables à vivre."
La jeune fille s'accroupit, se releva après avoir embrassé une dernière fois sa protégée, puis sortit en refermant la grille de la pièce. Malaurie se plaça dans le coin dans lequel elle avait pris l'habitude de se soulager, y déposa de petits tas brunâtres, ainsi qu'une marre sombre, qu'elle recouvrit du mieux qu'elle pouvait, de paille, et vint se rallonger. Elle porta la main à son cou et tâtant son collier se rendit compte, qu'il était fermé par une petite serrure, et donc qu'elle ne pourrait l'enlever seule. Sa main descendit sur sa poitrine, et vint frôler son téton droit. Elle le pinça entre deux doigts, pour le faire ressortir, et frémit de frayeur et d'excitation en pensant que dans quelques heures, il serait perçait de par en par. Sa main continua sa progression, et passa sur sa fente. Elle ne comprenait pas comment elle allait pouvoir avoir ses lèvres perçaient, à plusieurs   reprises, et supporter cela sans broncher. Elle se recroquevilla ensuite sur elle-même, et tenta de penser à autres chose et de se détendre. Elle ferma donc les yeux, et s'assoupit pendant moins deux heures.

Lorsqu'elle se réveilla, Coralie était à ses côtés et la regardait en silence. Malaurie ouvrit les yeux et se retournant, vit son amie.
" - Tu es réveillée? Demanda doucement Coralie.
- Euh oui, je crois. Répondit Malaurie en se redressant lentement et en se frottant les yeux.
- Je suis passé il ya une heure mais tu dormais. Alors je t'ai laissé te reposer.
- Il fallait me réveiller?
- Pourquoi? Tu avais besoin de sommeil, Je n'avais pas de raison de te réveillé. Ton après midi va être assez riche, et fatigant, pour que tu en profite. On va aller se préparer?
- Oui je te suis."
Malaurie se leva péniblement,       ses muscles encore endoloris, et les zébrures de sa peau mordant encore assez vivement ses chaires.
Elles arrivèrent dans la salle d'eau, où Coralie fit prendre une douche à sa protégée, la lava, la sécha, et vérifia son épilation. Elle la conduisit ensuite dans une pièce non loin de là, où elle la fit s'allonger sur le ventre, sur une longue table. Coralie aida son amie à s'installer sur celle-ci, en positionnant les seins de sa protégée, dans les emplacements perçaient à cet effet dans la table. Elle sangla ensuite solidement Malaurie, jambes largement écartées. Elle la fit mordre ensuite dans une boule de caoutchouc, qu'elle condamna à rester dans la bouche de la jeune fille, en venant placer et nouer un épais bandeau sur cette dernière.
Malaurie, était donc allongée sur le ventre, ne pouvant plus bouger ni émettre le moindre son, les cuisses largement ouvertes, présentant son intimité à la vue de quiconque entrerait dans la pièce, les seins pendant sous la table.
Malaurie entendit bientôt quelqu'un s'approchait et sentit qu'on venait déposer quelque chose de pesant sur son dos.
" A nous! s'exclama une voix."
Malaurie reconnut immédiatement la voix de Madame Armelle. Elle sentit presque aussitôt après, sa fesse droite la picoter, et s'irradier de plus en plus intensément et violement. Sa fesse gauche reproduisit cette sensation qui fit pousser de petits gémissements plaintifs à la jeune fille. Elle sentit bientôt ses lèvres intimes chauffer à leurs tours. Elle feula autant qu'elle le pouvait sous la douleur provoquait par ce picotement. Quelques minutes plus tard se fut son épaule qui l'a fit souffrir. Elle ne pu plus retenir ses larmes, et sanglota en poussant de petits gémissements plaintifs.
Elle entendit la voix de Madame Armelle dire :
" - Voilà la première étape est finie. Qu'en penses-tu Coralie?
- C'est superbe Madame. Vous avez encore réussit du grand art.
- Je te remercie du compliment. Je vais aller voir Carine de l'autre côté pour passer à la deuxième étape, et je reviens après. Essaie de la calmer avant de passer à la suite."
Les pas s'éloignèrent, et le visage de Coralie apparut soudain devant les yeux brouillés de larmes de Malaurie.
La main de Coralie vint caresser la joue et essuyer les yeux mouillés de son amie.
Elle murmura :
" Là c'est tout. C'est tout. Tu as déjà fait la moitié du chemin. Tu peux y arriver, j'en suis sûre. Concentre-toi, pense à moi, pense à nous, pense à ce que ça t'apporteras. Chut. C'est tout. Là. "

Elle déposa un baisé sur la tête de la jeune fille, et reprit ses caresses, tout en parlant doucement afin de calmer sa protégée.
Quelques minutes plus tard, Madame Armelle revint. Elle installa un pansement sur l'épaule de Malaurie et s'accroupit en disant :
" Nous allons passer à la dernière étape. Coralie, continue de lui parler, et essaie de la calmer le plus possible."

Elle se saisit d'une pince ressemblant à une pince à riveter, et vint saisir de l'autre main l'un des seins de Malaurie. Coralie parlait à son amie calmement, en tentant de la détendre au maximum.
Madame Armelle pinça le mamelon entre deux doigts ce qui provoqua un nouveau cri de Malaurie, et plaça la pince sur celui-ci. Un appui sec et la pince se referma sur le téton de Malaurie, Celle-ci, se contracta violemment en arrière en hurlant de douleur, pleurant de plus belle. Le sang perla du trou qui venait d'apparaître dans le téton de la jeune fille. Madame Armelle essuya la plaie, vint passer un anneau à travers le téton, qu'elle referma. Elle couvrit  d'un pansement le sein  blessé. Elle répéta l'opération sur l'autre téton de la jeune fille, et vint ensuite se placer entre les cuisses de Malaurie.
Elle perça tout d'abord les grandes lèvres, et poursuivit immédiatement par les petites lèvres. La jeune fille se tortillait dans ses liens pour échapper à la douleur de ce traitement, sans y parvenir, versant des flots de larmes, malgré les encouragements, les gestes, et les paroles douces de Coralie.
Madame Armelle vint pour finir percer le clitoris de Malaurie de la même façon qu'elle l'avait fait pour les lèvres intimes et les tétons de la jeune fille. Elle couvrit ensuite son intimité et ses fesses par des pansements, après avoir passé et fermer les anneaux dans les trous qu'elle venait de faire.
" Voilà c'est finit ma belle, dit-elle en tapant délicatement sur le dos de Malaurie. Tu fais parti du réseau officiellement. Jeté laisse avec ta marraine, pour le reste de la journée. Et demain il faudra prendre ta place parmi les autres."
Elle sortit rapidement, après avoir rangé ses instruments.
Coralie défit le bâillon ainsi que les liens de Malaurie, et la prit dans ses bras.
Malaurie pleurait à chaudes larmes, ne parvenant pas à articuler le moindre mot correctement.
Coralie berça doucement sa protégée, et l'embrassa longuement. La jeune fille finit par se calmer après de longues minutes, même si son intimité, ses fesses, ses seins et son épaule la faisait encore énormément souffrir.
Coralie emmena sa protégée dans une pièce assez petite, et isolée, et les deux jeunes femmes passèrent la fin de la journée ensemble, presque sans mots dire, dans les bras l'une de l'autre.
Après quelques heures, Coralie se leva et prit Malaurie dans ses bras en lui disant :
" - Aller ma puce on y va on va voir les autres.
- Quelles autres?
- Et bien élise, Mathilde, Juliette, Virginie, Laura, et Carine. Tu fais parti des nôtres maintenant.
- Oui mais bon je ne sais pas trop...
- Mais si ne t'inquiète pas ça va aller, tu vas réussir."
Elles arrivèrent bientôt dans une grande pièce où les autres jeunes filles les attendaient. Coralie vint placer Malaurie sur ces genoux, après s'être assise aux côtés de Juliette, qui en avait fait de même avec Carine.
Les deux jeunes filles étaient blotties contre leurs marraines, comme si elles craignaient d'être séparées d'elles.
Soudain Madame Sylvie entra dans la pièce.
" Mesdemoiselles, dit-elle d'une voix forte, votre attention s'il vous plaît. À partir de ce soir, vous compter deux jeunes filles de plus parmi vous. Carine, et Malaurie. Carine sera rattachée à l'équipe de Juliette et Laura, et Malaurie à celle de Coralie et élise. Nous avons trouvé judicieux de laissé ces jeunes filles dans l'équipe de leurs marraines respectives. À vous de ne pas nous décevoir. Comme vous le savez, la garde de cette nuit est prise par élise, et Virginie, mais nous remodèlerons les tours des jours suivants afin d'y inclure les nouvelles arrivantes. Jusqu'à présent aucun incident entre vous ne s'est produit, je vous demanderais donc de continuer dans cette voie. Bien Maintenant il va être temps de manger, et pour celle qui ne sont pas de garde, de se coucher. Je le dis pour les nouvelles, ce sont les jeunes filles qui seront de gardes qui seront chargée de s'occupé de leurs consœurs pour l'avant et l'après nuit. Je vous laisse maintenant. Bonne fin de soirée."
Madame Sylvie tourna les talons et repartit comme elle était venue. Quelques minutes après, élise et Virginie se levèrent et disparurent. Puis se fut au tour de Laura et Mathilde, puis celui de Juliette et Carine. Enfin après un long moment, Coralie conduisit Malaurie avec elle, et toute deux mangèrent leurs gamelles cottes à cottes.
Elle emmena ensuite Malaurie auprès de Virginie et élise dans la salle contiguë, et la laissa en leurs compagnie.
La jeune fille, trop endolorie, par les derniers traitements infligé à son corps, et usée par la fatigue nerveuse, se laissa faire sans réagir. Elle fut lavée, ses pansements changés. On lui installa un lange, et elle fut coucher dans un bac de pvc transparent, semblable à celui dans lequel elle avait couché les premiers jours de son arrivée. Le bac fut conduit dans une grande pièce, où s'en trouvaient déjà plusieurs, dans lesquels Malaurie reconnut les corps de Juliette, Carine, Mathilde, et Laura, tout comme elle, nue, ne portant sur elle qu'un lange. Elle semblait être comme elle, également sanglée, et de leurs bouche partait un tube qui sortait du bac et rejoignait une machine. Les couvercles des bacs étaient fermés.
Élise, qui conduisait Malaurie, s'assura de la fixations des sangles qui immobilisaient la jeune fille, et lui inséra entre les dents un tube similaire à ceux que les autres jeune filles avait, et après avoir enfoncé le tube assez profondément dans la bouche de Malaurie afin que celle-ci ne puisse pas le recracher, et après avoir refermés le couvercle par un cadenas, elle sortit.
Malaurie attendit comme ça immobile, respirant à l'aide du tube dans sa bouche, tentant de se détendre et de trouver le sommeil. Après quelques minutes, Elle aperçu élise qui amenait un autre bac, dans lequel était couchée Coralie. Après avoir finit d'installer la jeune fille, élise sortit en éteignant la lumière.
Malaurie resta dans l'obscurité pendant quelques minutes, et fut rapidement emporté par le sommeil.

 

 

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