suviant
Sensuelles aventures pour une même destinée 36
précédant

Par Julien Graves

 

f/f exhibition réticence humiliation

 

Chapitre 12. L'examen final.

 

Malaurie se réveilla transpirant à grosses gouttes, sa bouche encore imprégnée par la saveur étrange des sécrétions de Madame Armelle.
La jeune fille se déplaça à tâtons dans l'obscurité, et trouva après quelques instants la gamelle d'eau que Coralie laissait pour la nuit. Elle bu une grosse lampée, et revint s'allonger. Sur la paille. Elle passa ses mains sur son visage, en tentant d'éponger la sueur qui perlait sur son front. Elle essaya de se rendormir, mais les images des trois derniers jours tournaient tellement dans son cerveau, qu'elles l'empêchèrent de trouver le sommeil. Le collier de cuir épais qu'elle portait de puis maintenant plusieurs jours, lui rappelait à chaque instant qu'elle  était là non pas pour elle, mais pour les autres, et pour les satisfaire avant de penser à son propre plaisir.
Elle savait que le jour qui se dessinait devant elle, serait celui qui déciderait définitivement de son avenir, et au cours duquel elle n'aurait pas le moindre droit à l'erreur.
Elle revoyait passer devant ses yeux toutes les images de ses quatre derniers jours, et entendait les paroles de Coralie.
Elle resta allongée, immobile, pendant plusieurs heures, perdant complètement la notion du temps, et ne sachant pas combien de temps lui faudrait-il attendre. À plusieurs reprises, elle entendit des pas furtifs passer non loin de la pièce où elle se trouvait, mais ils s'éloignèrent aussi rapidement qu'ils étaient apparut.
Enfin, Coralie arriva. Elle ouvrit la porte et entra dans la pièce.
Malaurie ne bougea pas, gardant les yeux fermés. Coralie, s’approcha, vint déposer un baisé sur la bouche de la jeune fille. Elle lui caressa la joue en lui murmurant :
"Tu es réveillée?"
Malaurie ouvrit lentement les yeux, et saisit les mains de Coralie pour l'attirer vers elle.
Les deux jeunes femmes vinrent s'enlacer et restèrent pendant plusieurs minutes, immobiles, s'embrassant en silence.
Malaurie, hésita, puis finit par dire son trouble à sa marraine.
Celle-ci l'écouta sans mot dire, et tenta de la rassurer par des mots doux et tendres. Après quelques minutes, Les deux femmes se redressèrent, et se rendirent dans la salle d'eau.
Coralie fit faire ses besoin à sa protégée, puis  lui fit prendre une longue douche, et la nettoya centimètres carré, après centimètre carré. Elle lui vérifia ensuite minutieusement son épilation, l'état de ses ongles, la propreté de ses oreilles, de son nombril, et lui fit se laver les dents.
Elle l'habilla ensuite d'une grande aube blanche de lycra, qui descendait jusqu'aux pieds de la jeune fille, et lui fit enfiler un micro string de dentelle. Elle vint ensuite fermer l’aube par une ceinture dans la même matière. Elle lui enfila aux pieds des chaussures lassées en vinyle, et vint compléter la tenue de la jeune fille par une coiffe bleue clair.
La sensation de la ficelle qui passait entre ses fesses était nouvelle pour Malaurie. En effet c'était la première fois que la jeune fille portait ce type de sous vêtement, considérant jusqu'alors, qu'il était réservé aux filles qui voulaient se montrer, et faire retourner les hommes sur leurs fesses.
Cette sensation étrange, à la fois oppressante mais aussi de nudité excitait les sens de la jeune fille.
Coralie fit asseoir sa protégée sur une chaise, et lui fixa aux poignets ainsi qu'aux chevilles, des bracelets de métal chromé, sur lesquels on pouvait relier des chaînes ou des cordes.

Une fois ceci fait, Coralie se plaça derrière Malaurie, retira la coiffe,  et commença à lui peigner les cheveux en disant :
" Aujourd'hui ma chérie, c'est le grand jour. Il faut donc que tu sois resplendissante pour paraître devant les responsables.
- Que va-t-il se passer?
- Tu vas devoir passer devant les trois responsables en même temps. Tu auras donc des épreuves à passer décidées par chacune d'elles. Si tu réussis toutes les épreuves elles se concerteront pour savoir si tu peux être admise.
- Tu seras là? Demanda Malaurie anxieuse.
- Non je n'ai pas le droit d'assister à ces instants, mon statut ne me le permet pas. Mais je t'attendrai à la sortie ne t'en fais pas.
- Mais, je ne crois Pa pouvoir être à la hauteur, sans toi.
- Pardon? Demanda Coralie en s'arrêtant brusquement. Biensur que tu vas être à la hauteur. Moi je le sais, je le sens.
- Oui mais j'ai peur, de ne pas y arriver.
- Tu vas y arriver. J’en suis sûr ma puce.
- Je voudrais tellement pouvoir rester avec toi.
- Si tu veux rester avec moi ma puce, alors fais le, gagnes, montre moi que tu le veux vraiment. Et si tu ne le fais pas pour les autres, fais le pour nous, pour nous deux.
- Je ferai ce que je peux pour te montrer que je veux vraiment être avec toi.
- C'est bien ma puce."
 Tout en parlant, Coralie avait finit de peigner les cheveux de sa protégée, et les avaient noué en un joli chignon. Elle replaça la coiffe sur la tête de Malaurie et repassa devant elle en se reculant de quelques pas afin de juger du résultat.
Elle la fit se mettre debout, se recula à nouveau, et la rejoignit pour l'embrasser longuement.
" - Tu es magnifique.
-Merci, murmura Malaurie en rougissant.
- Aller on va devoir y aller, il va être l'heure. Dit Coralie alors que la jeune fille la prenait dans ces bras et venait poser sa  tête sur son épaule. "
Elle la redressa et la prenant par la main, la conduisit vers sa destinée.
Elles arrivèrent bientôt dans un long couloir  assez large, où étaient disposées des chaises. Sur l'une d'elles, Malaurie reconnut Carine, vêtue tout comme elle, et qui semblait attendre.
Coralie vint faire asseoir Malaurie sur l'un des  sièges  juste à côté de Carine. Elle l'embrassa, et après lui avoir murmuré quelques mots d'encouragements, elle s'éloigna.

Malaurie la regarda partir et disparaître dans le couloir. Elle resta là, hésitante, ayant peur de la suite des évènements.
Ce fut Carine, qui rompit le silence :
" -  tu vas bien depuis l'autre jour?
- Euh oui, et toi?
- Moi oui, beaucoup de choses ont changé, et se bousculent dans ma tête mais ça va à peu près. Toi ça n'a pas l'air d'aller comme tu veux?
- Euh, oui, enfin, j'ai un peu peur de ce qui va arriver.
- Oui moi aussi. Mais si nous sommes là, c'est que nous sommes bientôt au bout du suspens."
Les deux jeunes femmes continuèrent à parler, pendant quelques minutes. 
Soudain, la porte de l'autre côté du couloir s'ouvrit et elles  entendirent une voix annonçait :
" Carine entre ici!"
La jeune fille sursauta de stupeur, puis après quelques secondes, se leva et marcha lentement vers la porte. Une fois qu'elle l'eût franchi, cette dernière se referma derrière elle.
Malaurie se trouva donc seule, se demandant pour la centième fois depuis le début de la journée, si elle n'avait pas finalement pas fait une erreur d'accepter. Mais sinon, que serait-elle devenue?
Elle tenta de ne plus penser à cela, et attendit patiemment.
Après une heure, la porte s'ouvrit et elle entendit la même voix dire :
" Malaurie entre ici!"
Elle se leva et prudemment, elle s'avança vers la porte. Elle la franchit à petits pas et la porte se referma derrière elle. Elle savait qu'elle ne pouvait plus reculer.
Ça n'était pas l'envie de partir qui lui manquait, mais elle repensa à Coralie, et à ces paroles. Elle prit donc la résolution d'aller jusqu'au bout d'elle même, pour son amie.
Elle était là debout, lorsqu'elle entendit la voix qui dit:
" Malaurie enlève tes chaussures, ton aube, et ta coiffe. Et avance dans le corridor devant toi! "
Elle obéit et elle longea le corridor qui lui avait été indiqué. La moquette sous ses pieds amortissait le bruit de ses pas. Elle était donc nue, ne portant sur elle, que son micro string, ses bracelets aux poignets et aux chevilles, ainsi que son large collier de cuir.
Arrivée au bout du couloir, elle attendit, et la voix se fit de nouveau entendre.
" Malaurie assit toi et attends! "
La jeune fille obtempéra. Le cuir du siège sur lequel elle vint poser ses fesses la fit frémir. Elle attendit donc ne sachant toujours pas ce qui l'attendait, ayant une boule dans le ventre, et tentant de se rassurer en pensant à d'autres choses.

Les minutes s'égrainèrent les unes après les autres.
Elle sursauta brusquement.
Un cri. Elle avait entendu un cri. Un deuxième se fit entendre de façon plus précis et plus net, encore un autre, puis de longs soupires, et de longs gémissements vinrent à ses oreilles. Elle semblait reconnaître Carine, mais elle ne pouvait pas en jurer. Le bruit semblait venir de derrière le mur à sa gauche.
Pendant plusieurs heures, elle entendit les bruits de son amie, gémissant, soupirant, criant, hurlant, pleurant... A la fois ces bruits l'effrayaient car elle se disait qu'elle serait dans la même situation dans quelques minutes voir quelques heures, mais ils l'excitaient fortement également.
Les bruits se calmèrent enfin. Le silence revint pendant plusieurs dizaines de minutes. Enfin la voix se fit entendre de nouveau.
" Malaurie, debout!"
La jeune fille se leva en tremblant un peu, et vit le mur devant elle se fendre pour lui laisser le passage.
" Malaurie, avance! dit la voix."
La jeune fille avança, et le mur se reforma derrière elle. Elle se trouva dans une atmosphère chaude et moite. La pièce dans laquelle elle venait d'entrer, était immense, et très sombre. Elle n'était éclairée que par de rare spot de lumière feutrée, qui donnaient une ambiance intime et assez obscure. Malaurie tourna la tête, et vit sur sa droite, un écran affichant en diaporama les photos qu'elle avait dû prendre la veille. Elle se vit donc dans toutes les positions et toutes les tenues qu'elle avait adopté lors de cette séance. Elle sentit bientôt qu'un voile opaque tombait sur elle.
Elle voulut s'en dégager, mais sentit des mains qui s'afféraient sur son corps, et cessa de se débattre.
Elle se trouva portait puis déposait au sol quelques mètres plus loin. Le voile se retira, et elle se trouva aux pieds des trois femmes, dont elle avait fait la connaissance durant les trois derniers jours.
" - A genoux ! s'écria madame Sylvie.
- tu vas devoir passer ta dernière grosse épreuve. Continua Madame Diane, une fois que la jeune fille  se fut mise à genoux.
- Tu l'auras moins facile que les jours précédents, mais si nous te permettons d'être ici, c'est que nous estimons que tu en es capable. Déclara madame Armelle."
La jeune fille baissa la tête et attendit.
" Tu vas devoir enchainer trois séances dans cet ordre: une avec Madame Armelle, une avec Madame Diane, et une dernière avec moi. Dit madame Sylvie. Si tu nous as satisfaite au cours des trois séances et je dis bien les trois séances, nous prendrons notre décision après concertation.
Es- tu prête?
- Oui mesdames. Murmura Malaurie.
- Comment?
- Oui mesdames. S’efforça de dire Malaurie d'une voix forte.
- Alors que le test commence! s'écria madame Sylvie."
Malaurie fur relevée, et conduite sous un treuil, où elle fut suspendue par les pieds. Elle reçut la morsure du fouet sur tout son corps, ce qui après quelques coups où la jeune fille parvint à retenir ses cris, la fit hurler, pleurer, comme elle ne l'avait jamais fait depuis sa plus tendre enfance. Son corps se zébra de traces rougeâtres, puis violacées. Les derniers coups qui vinrent frapper sa fente et même atteindre son bouton d'or, lui arrachèrent de puissants hululements félins. Lorsqu'elle fut détachée, elle resta par terre, à bout de forces, mais Madame diane s'avança vers elle, et la saisissant par le bras, la traina vers une large croix sur laquelle elle la plaqua. En un clin d'œil, Malaurie fut attaché sur celle-ci par les bracelets qu'elle portait aux chevilles et aux poignets. Elle était donc face à  cette croix, les bras et les jambes largement écartées, ne pouvant plus bouger.
Elle sentit tout d'abord des doigts fouiller  ses trous intimes, puis son anus fut transpercer par un gros gode  métallique qui lui fit lâcher un cri strident de douleur. Madame Diane, effectua des va et viens avec ce godes dans le fondement de la jeune fille, lui tirant à chaque fois des gémissements plaintifs. Bientôt les gémissements se transformèrent en soupires et la jeune fille finit par jouir en hurlant à plein poumons.
Le gode se retira, laissant béant le trou de la jeune fille. Les doigts de diane ne tardèrent pas à venir inspecter l'endroit, et à y pénétrer. Ils furent bientôt trois, puis quatre, puis cinq, et la main transperça enfin l'orifice de la jeune fille.
Après encore quelques minutes, et deux autres orgasmes pour Malaurie, elle fut enfin détachée et tomba au sol, haletante, le corps secoué de spasmes.
Madame Sylvie ne lui laissa pas le temps de reprendre ses esprits, et vint lui enfiler une culotte de latex équipé de deux gros godes. Elle vint l'allonger sur le ventre, lui attacha les poignets et les chevilles ensemble, et vint rejoindre ses pieds et ses mains qu'elle fixa de façon à ce que la jeune fille ne pu s'en servir. Elle lui dit :

" Si tu reviens jusqu'à nous, ton test sera finit!"
Malaurie, épuisée, tenta d'avancer avec le peu de force qui lui restait. Elle savait que cette dernière épreuve était pour la tester, pour l'humilier jusqu'au bout. Elle avait fait la moitié de la distance, lorsqu'elle sentit les deux cônes fichés dans son cul et dans sa chatte, vibrer, provoquant un spasme la stoppant net dans son élan. Les larmes se remirent à couler sur ses joues, la douleur et le plaisir se mélangeaient confusément dans sa tête. Elle savait qu'elle ne devait pas jouir et se retenir pour avancer le plus possible. Cependant Les vibrations des deux cylindres dans ses orifices étaient en train de lui bloquer et lui faire fondre les maigres forces qui lui restaient encore.
Elle était sur le point d'abandonner, lorsqu'elle vit  l'image de Coralie, devant ses yeux, qui l'encourageait.
" Vas’ y ma puce! Je sais que tu peux le faire, j'ai confiance en toi! Fais le pour moi, fais le pour nous!"
Ces encouragements lui redonnèrent un soupçon de force, et malgré les spasmes de son corps, elle finit de parcourir la distance qui la séparait encore des trois femmes.
Lorsqu'elle s'écroula aux pieds de celles-ci, Sylvie appuya sur un bouton de la télécommande qu'elle tenait dans la main, et les cônes s'arrêtèrent immédiatement.
Les trois femmes la débarrassèrent de ces  bracelets et de sa culotte, et l'allongèrent sur un matelas posé sur une table roulante.
A ce moment, Malaurie, à bout de force, tomba évanouie.

Lorsqu'elle se réveilla, elle se trouva dans une pièce lumineuse. Coralie était à son chevet. Dès qu'elle l'aperçut, Malaurie l'agrippa et se mit à pleurer.
Son corps et ses trous la faisait affreusement souffrir, et elle eût du mal à se calmer et à raconter à Coralie ce qu'elle ressentait.
Coralie l'écouta, et lui sourit. Elle la calma doucement
"  Chut, c'est tout ma puce, c'est fini. Je suis fière de toi. Tu as fait ce qu'il fallait.
- Mais, Mais, je ne suis pas sûre d'avoir réussit j'ai tellement hésité! Sanglota Malaurie.
- C'est tout. C'est tout. Tu as fait comme tu le sentais, tu es allé jusqu'au bout de tes possibilités c'est ça ce qui compte."
Les deux jeunes femmes continuèrent à parler doucement, et Malaurie se calma peu à peu. Une fois qu'elle se fut totalement remise, Coralie la conduisit dans une grande salle d'eau où Elle lava, et soigna sa protégée. La crème qu'elle lui passa sur la peau, fit énormément de bien à Malaurie, et apaisa les brûlures du fouet.
Coralie rhabilla Malaurie, de la même façon que le matin, et elle la conduisit dans une salle, où attendaient Carine et Juliette.
" - Tiens, Malaurie? Dit Juliette, ça s'est bien passée?
- Euh je ne sais pas, hésita >Malaurie en lançant de petits regards à Coralie.
- Tu sais, je crois qu'elle a eu assez peur, et trop d'émotion d'un coup. Elle n'est pas encore habituée à tout ça. Dit Coralie en souriant.
- Oui pour Carine c'est pareil.  Tiens Virginie semblait dire que la prochaine brochette d'arrivante serait  pour la semaine prochaine.
- Oui Jai entendu dire ça."
Les jeunes femmes parlèrent entre elles, tandis que Malaurie, et Carine, restaient silencieuses, encore fatiguées et retournée de leurs récents tests.
Quelques moments plus tard, une porte s'ouvrit. Les trois dames entrèrent l'air grave.
Elles vinrent s'arrêter au centre de la  pièce. Juliette et Coralie, firent un signe à leurs protégées  pour qu'elles s'avancent et s'agenouillent devant les trois femmes.
Les jeunes filles s'avancèrent donc. Madame Sylvie les considéra, et déclara :
" Mesdemoiselles, vous avez décidé il ya quelques jours d'accepter de vous offrir à nous et à ce réseau. Vous avez suivit un stage jusqu'à aujourd’hui afin de commençait votre découverte, et il y a quelques instants à peine vous venez de passer les tests d'admission au sein de cet endroit. Sachez que si vous n'avez pas réussi, vous serez conduite dans une aile du réseau ou vous retrouverez vos instincts primitifs d'animaux. Si vous avez réussit ce test, vous serez donc admises parmi les membres du réseau S A D. Cependant cette admission ne veut pas dire qu'elle vous permet de vous soustraire à quoi que ce soit. Bien au contraire. Ce que vous avez accepté il ya quelques jours s'en retrouve renforcé, et vous devrez chaque instants vous en souvenir, afin de pouvoir aider et guider d'autres jeunes filles comme vous à arriver à votre niveau.
Ceci dit, voici vos résultats. Après vos tests, et après concertations, des responsables, vous avez été déclarées admises au sein du réseau. Carine, tu devras néanmoins apprendre à te contrôler mieux. Malaurie, il faudra t'endurcir un peu plus si tu veux pouvoir évoluer au même rythme que tes camarades.
Vous ne serez admises officiellement que lorsque vous aurez reçu les symboles du réseau S A D, c'est à dire à partir de demain soir.
- Coralie, et Juliette, dit Madame Diane, veuillez enlever le collier de pré admission de vos filleules, et leurs mettre ces colliers qu’elles porteront définitivement."
Les deux jeunes femmes s'avancèrent, et effectuèrent l'échange des colliers de cuir pour des colliers métalliques un peu moins larges.
" Maintenant, dit Madame Sylvie, reposez-vous. Demain est un autre jour. "
Les trois femmes sortirent.
Une fois qu’elles furent partie, les deux jeunes filles se jetèrent dans les bras de leurs marraines en pleurant.  De joie, et d'émotions. Coralie et Juliette reconduisirent chacune des jeunes filles dans la pièce qui leur servaient de chambre, après leur avoir donner à manger et à boire, et après avoir passé un moment avec ces dernières, Elles les laissèrent seules.
Malaurie, même si elle était excitée et énervé d'avoir réussit là où elle ne croyait pas pouvoir prendre le dessus sur sa peur, et sur elle-même, s'endormit pratiquement immédiatement, trop épuisée pour lutter contre la fatigue qui habitait tout son corps et son esprit.

 

jujudoka@free.fr

 

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