suviant
Sensuelles aventures pour une même destinée 34
précédant

Par Julien Graves

 

f/f exhibition réticence humiliation

 

Chapitre 10. Deuxième jour de stage.

 

Lorsque Coralie arriva devant la grille de la salle où se trouvait Malaurie, le lendemain matin, elle la trouva dormant, recroquevillée sur elle-même, un sourire se dessinant sur son visage détendu.
La jeune femme sentait bien que sa protégée était bien, et qu'elle commençait à découvrir sa nature profonde, celle qui la guidait depuis qu'elle était toute petite, et qu'inconsciemment elle avait dissimulé sous une carapace. Cette constatation la fit frémir à la fois de plaisir, car elle devait bien se l'avouer, cette jeune fille était absolument magnifique, et avait un charme fou qui ne lui donnait qu'envie de pouvoir être à ses côtés, mais d'autre part, cela lui faisait peur qu'une si fragile jeune fille se soit engagée malgré elle dans cette découverte par l'entremise de ce réseau.
Après avoir longtemps observé Malaurie, Coralie se décida à ouvrir la porte, et à entrer dans la pièce. Elle déposa la gamelle de nourriture dans un coin, et vint s'accroupir près de Malaurie qui toujours plongée dans le sommeil, n'avait rien entendu.
Elle posa sa main sur l'épaule de la jeune fille endormie, et la secoua doucement.
" Ma puce, ma puce, il faut se réveiller! Aller debout!"
Malaurie ouvrit les yeux et tourna la tête vers Coralie. Elle s'assit lentement et passa à plusieurs reprises ses mains sur son visage, essuyant ses yeux encore plein des restes de la nuit qu'elle venait.
Coralie l'aida à se relever, et lui déposa un baisé sur sa bouche. Malaurie encore toute engourdie ne réalisa pas immédiatement, et ne protesta pas.
" - ça va ma puce? Demanda Coralie.
- Oui merci. répondit Malaurie la voix encore un peu vaseuse.
- On va aller se laver, aujourd'hui est une dure journée tu sais?
- Que va-t-il se passer?
- Tu verras, je t'expliquerai en temps voulu. Aller viens suis moi."
Malaurie suivit donc Coralie jusqu'à la salle de toilette.
Arrivée dans cette dernière, Coralie fit prendre une douche à la jeune fille, et une fois celle-ci complètement lavée et séchée, elle vérifia minutieusement son épilation. Elle la fit s'allonger ensuite sur le ventre, sur la table, et prenant un flacon, elle fit couler son contenu dans la raie des fesses de la jeune fille. Le liquide coula le long de celle-ci et poursuivit sa course à travers la fente et les replis intimes de Malaurie.
La jeune fille frissonna en sentant le liquide courir sur son intimité.
Coralie enfila des gants de latex, et badigeonna le liquide sur toute la zone intime de sa protégée, en massant les chaires afin de les assouplir et d'y faire pénétrer le produit.
La jeune fille poussa des gémissements lorsque les doigts pénétrèrent complètement dans son anus et dans son vagin trempé.
Coralie tourna les doigts qu'elle avait enfoncé dans les trous de sa protégée, et effectua quelques va et viens ainsi que des petits cercle afin de les dilater.
Malaurie grognait de plaisir et sentait qu'elle allait bientôt basculer dans la jouissance sans pouvoir se contrôler, lorsque Coralie arrêta son doux traitement.
Elle retira ses gants, les déposa dans un baquet métallique, et examina son œuvre. Malaurie restait là, tremblante, au bord de l'orgasme, son cul et sa chatte complètement ouverts, luisant d'un mélange de jus de chatte, et du liquide qui venait d'être déposé, sous la lumière de la pièce.
Coralie fit relever Malaurie, dont les jambes flageolaient encore, et lui enfila une épaisse cagoule de cuir, dans laquelle se trouvait une boule de latex qu'elle inséra entre les dents de Malaurie. Elle referma la cagoule, ce qui plongea Malaurie dans le noir complet, la cagoule ne disposant que de deux trous au niveau des narines afin de permettre à la jeune fille de respirer. Elle conduisit ensuite sa protégée à travers les couloirs, la guidant précautionneusement, jusqu'une petite pièce sombre.
Malaurie ne pouvant rien dire, ni voir, se laissa guider, à la fois confiante envers sa Marraine, et excitée de la situation, mais aussi effrayée de ce qui lui arriverait.
Le haut de ses cuisses rencontra un obstacle. Elle s'immobilisa sur les conseils de Coralie.
Elle sentit que la jeune femme lui prenait les poignets, et les entouraient par d’épais brassards de cuir. Elle entendit juste un cliquetis métallique, et se sentit tirée vers l'avant. Les mains de Coralie vinrent lui saisir les chevilles, et elle bascula en avant et tomba au ralentit. Elle se trouva bientôt allongée, en appui sur deux barres de métal, placées sous ses tibias, ainsi que sous ses épaules. Ses chevilles reçurent elles aussi, deux épais brassards de cuir, qui furent bientôt reliés à des sangles.
La jeune fille se fit bientôt complètement écartelée, et fut bientôt complètement ouverte, ne pouvant plus esquisser le moindre mouvement.
Coralie relâcha un peu la tension des bras et des jambes de la jeune fille, et vint se placer sur son côté droit.
Elle dit doucement.
" Voilà ma chérie, tu es prête pour ce matin. Tu vas devoir en plus d'apprendre à te contrôler, apprendre à endurer les choses désagréables, et faire  des sensations nouvelles, des sensations plaisantes, ou du moins qui ne soient pas désagréables.
Tu vas donc rester comme ça toute la matinée, à supporter des choses que tu n'as certainement pas connues jusqu'aujourd'hui.
Il te reste aujourd'hui et demain, avant de passer ton test d'aptitude, et les difficultés vont en grandissant, je ne peux pas te le cacher. Mais soit courageuse, je sais que tu peux le faire, que tu peux surmonter les épreuves qui sont encore devant toi.
Aller on y va."
Coralie sortit de sa poche quelques petits objets, qu'elle déposa sur un petit plateau à côté d'elle. Puis, elle en reprit un d'une main, et de l'autre elle saisit le sein gauche de la jeune fille. Elle le caressa quelques secondes, pour que le tétons se durcisse, et vint placer sur celui-ci le petit objet. Malaurie gémit en sentant ses tétons pincés fortement et étiré vers le bas.
Coralie recommença l'opération avec le sein droit de la jeune fille, et vint ensuite faire la même chose sur les grandes et les petites lèvres intimes, et finit par le clitoris après l'avoir complètement mis à découvert.
A chaque objet qui venait accrochait le corps de Malaurie, celle-ci, gémissait de plus belle. Lorsqu'elle sentit son clitoris lui aussi pris par ses tenailles, elle ne pu retenir ses larmes et hurla aussi fort qu'elle le pouvait. Son hurlement fut étouffé en grande partie par le bâillon qu'elle avait dans la bouche, et elle le mordit de toutes ses forces.
Coralie, sentant la détresse de sa protégée, caressa son dos délicatement en tentant de lui parler tendrement afin de la rassurer et de la calmer.
Après quelques minutes, Malaurie ne sentait plus ses tétons, ses lèvres intimes, ni son clitoris. Elle sentait juste une traction ainsi qu'une douleur lancinante, qui l'accompagnait. Elle se calma petit à petit, et bientôt Coralie comprit que Malaurie se laissait aller, et se laissait bercer par ses sensations nouvelles, qui devenaient non plus douloureuses, mais lancinantes, et continues.
Elle se leva, et passa entre les jambes de la jeune fille. Elle constata avec satisfaction que l'intimité et le cul de la jeune fille était toujours imprégnés du produit qu'elle avait mis.
Elle prit deux cylindres assez courts, mais d'un diamètre assez imposant et en plaça un à l'entrée du vagin de Malaurie. Elle appuya un peu, et celui-ci entra assez facilement dans l'orifice de la jeune fille.
En sentant cette intrusion, la jeune fille se contracta, en grognant, ce qui fit osciller les objets qui pendaient à ses seins, à ses lèvres ainsi qu'à son bouton d'or. Elle hurla de plus belle, sous la douleur fulgurante qui résulta de se mouvement. Coralie profita de ce feulement de la jeune fille, pour finir d'introduire le cylindre dans la chatte de la jeune fille, et d'engager l'autre cylindre dans le cul de Malaurie. La jeune fille émit un glapissement strident en sentant son cul transperçait sans préparation. Bientôt Elle resta, comme suspendu, les petits objets toujours pendus, et les deux cylindres, profondément fichés dans ses orifices intimes.
Coralie la caressa les fesses, en lui annonçant qu'elle reviendrait plus tard, et elle sortit.

Malaurie resta donc seule, dans cette position, équipée qu'elle était de ses instruments qui la faisait souffrir.
Après une vingtaine de minutes, elle ne sentait plus les zones prises par les pinces des objets. Une heure plus tard, ces orifices commencèrent eux aussi à  perdre de leurs sensibilités.
Lorsque Malaurie, revint après quatre heures, et qu'elle retira les deux cylindres des orifices de Malaurie, Celle-ci ne sentit même pas que ces derniers avaient libérés ses trous. Ceux-ci restaient grands ouverts, béants, complètement dilatés et étirés.
Lorsque Coralie retira les objets du corps de Malaurie, la jeune fille hurla de douleur, cette dernière étant encore plus intense que lorsque les objets étaient encore sur son corps.
Une fois qu'elle eût retiré tous les objets du corps de Malaurie, Coralie la délivra et la redressa, avant de lui enlever la cagoule qu'elle portait encore sur la tête.
Dès que Malaurie fut délivrée de la cagoule, elle tomba dans les bras de Coralie, et pleura à chaudes larmes.
Coralie la berça tendrement en la rassurant. Elle lui annonça qu'elle avait très bien réagit, et qu'elle avait réussit cette épreuve au combien difficile. Malaurie se blottit contre Coralie, en continuant à verser des flots de larmes.
Pour la première fois depuis qu'elle était arrivée dans le réseau, elle regrettait ce qui se passait. Elle réussit entre deux sanglots à le dire à sa marraine. Celle-ci tenta de la calmer, et de la rassurer autant qu'elle le pouvait.
Peu à peu Malaurie se calma, et finit par contenir ses larmes. Coralie sécha les yeux de sa protégée, et l'embrassa tendrement. Malaurie encore sous le choc de sa matinée, et ne cherchant que du réconfort se laissa faire et vint même à la rencontre des lèvres de sa marraine.
Coralie ramena Malaurie dans la pièce qui lui servait de chambre, et la laissa se reposer en lui disant que son après midi serait assez intense lui aussi.

Malaurie s'allongea au fond de la pièce, et massa délicatement les endroits encore marqués des pinces. Tout d'abord, la douleur se fit sentir, mais laissa assez vite la place à des sensations agréables.
Elle ferma les yeux, et sans s'en rendre compte, elle s'assoupit pendant quelques minutes.
Elle avait rouverts les yeux depuis quelques instants lorsque Coralie revint. Elle entra dans la pièce, et vint s'asseoir près de Malaurie.
" - Comment tu te sens? Demanda-t-elle.
- Euh ça va un peu mieux.
Tu sais ces épreuves ne sont pas là par hasard. Et tu en découvriras les raisons par toi même. Mais as-tu compris la leçon d'hier?
- Euh je crois oui. Je dois apprendre à me contrôler?
- Oui notamment. Mais tu dois aussi chercher le fond des choses, ce fond qui est peut être caché derrière une montagne. Croyais  tu que tu aurais pu réussir à tenir toute la matinée, si je t'avais dit ce qui t'attendais avant que tu te trouves au pied du mur?
- Non, en effet. Admit Malaurie.
- Tant que ça n'est pas dangereux pour toi, il faut tenter. Je veux dire que tant qu’au plus profond de toi, tu ne sens pas que c'est un grand danger, il faut que tu tente.
- Oui je comprends.
- Cette après-midi, la séance sera dirigée par Madame Diane. Je ne pourrais pas y assister comme hier, tu seras donc seule avec. Je vais t'y conduire, et viendrait te rechercher. Nous en parlerons si tu en sens le besoin, mais tu dois te rappeler que tu dois tenter, et tu verras que tu apprécieras énormément de choses, même si ça n'est pas sur le coup.
- Mais en quoi va consister la séance de cet après midi?
- Je ne sais pas du tout ma puce. Mais je peux simplement te dire, que Madame Diane tiens une ferme équestre, et donc et très branché animaux, harnais, et un peu plus brusque....
- D'accord. Ça ne me dit pas grand chose.
- Ne pense pas trop à ça ma chérie. Nous allons y  aller?
- Oui.
- Bien. Avant allonge toi sur le ventre, je dois te mettre un peu de
Crème."
Malaurie s'exécuta, et Coralie lui inséra un tube de crème à l'entré de son anus et appuya deux petits coups brefs. Deux petits filets de crème sortirent du tube et pénétrèrent dans l'orifice de la jeune fille.
Coralie massa un peu le trou de Malaurie afin d'étaler la crème et de la faire pénétrer plus profondément.
Elle releva la jeune fille, et l'entraîna derrière elle.
Elles arrivèrent devant une  porte semblable à celle de la veille, et Coralie y frappa. Elle ouvrit la porte et poussa Malaurie à l'intérieur.
La pièce était garnie de divers objets sur des étagères, et des machines étaient rangées le long des murs.
Personne dans la pièce.
Coralie fit avancer Malaurie et la fit s'agenouiller. Elle recula ensuite et la laissa seule.
Malaurie attendit donc à genoux, tentant de comprendre le fonctionnement de certains instruments de la pièce.
Un bruit de pas se fit entendre, et une porte s'ouvrit face à la jeune fille. Une femme entra. Lorsque celle-ci s'approcha, Malaurie sursauta de surprise. Elle reconnut la femme qui lui avait demandé l'heure la veille de son arrivée dans ce réseau.
La femme vêtue de cuir, comprit immédiatement que la jeune fille venait de la reconnaître.
"- Et oui, ma petite Malaurie, dit-elle tu as bien reconnu. Je suis Madame Diane.
- Mais, vous êtes...
- Oui on s'est déjà vu en dehors du réseau, tout à fait. En fait si tu veux tout savoir, je n'étais là que pour t'observer, alors que nous prenions soin de la jeune Carine.
- Carine?
- Oui Carine, elle est également en stage d'admission je sais que vous avez fait connaissance, puisque vous vous êtes rencontrer alors que vous alliez passer votre entretient. Mais nous ne sommes pas là pour parler d'elle, mais de toi.
- De moi?
- Oui bien sur de toi! Coralie m'a informée que malgré la difficulté, tu as étais à la hauteur ce matin.
- Euh, euh, euh....
- Allons, allons, dit Madame Diane en s'approchant de Malaurie. Nous allons voir comment tu te comporte."

Madame Diane rejoignit la jeune fille, et se saisissant d'un enchevêtrement de lanières de cuir, Elle lui enfila avec une facilité qui surprit Malaurie. La jeune fille se retrouva rapidement, le corps traversé par de multiples sangles, l'obligeant à garder le corps complètement droit.
Elle se laissa guider vers le centre de la pièce, où ses poignets, ses chevilles, ainsi que sa taille furent reliés à des courroies. Elle fut en quelques mouvements rapides de Madame Diane, suspendue, à un mètre du sol, comme le matin, complètement livrée à la disposition de Diane.
La séance se déroula à une vitesse fulgurante pour Malaurie, Diane la fit plonger dans les orgasmes les plus fous et les plus intenses, mais aussi la fit hurler de  douleur comme Elle ne l'avait jamais fait. Lorsque Diane la laissa seule, suspendue, en lui disant que Coralie viendrait la récupérer, Malaurie était épuisé, la tête pleine de feu d'artifices, et le corps brûlant des douleurs de la séance qui venait de s'achevait.
Coralie arriva quelques minutes plus tard, délivra la jeune fille, et la ramena dans la pièce qu'elle occupait maintenant.
Elle la fit parler, et raconter son après midi.
Malaurie récita le déroulement de la séance, les yeux brillants à la fois d'excitation, mais aussi d'angoisse en repensant à ce qu'elle venait de vivre.
Coralie la laissa ensuite se reposer, après lui avoir donné sa gamelle de nourriture et d'eau, en lui demandant de bien dormir, car la journée du lendemain, serait dans le même style que celle qui s'achevait.
Malaurie, s'endormit très vite, éreinté par la journée qu'elle venait de vivre, la tête pleine de souvenirs et d'émotions qui se bousculaient en un formidable chaos.

 

jujudoka@free.fr

 

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