suviant
Sensuelles aventures pour une même destinée 33
précédant

Par Julien Graves

 

f/f exhibition réticence humiliation

 

Chapitre 9. Première leçon.

 

Une voix réveilla Malaurie en sursaut.
La jeune fille ouvrit les yeux, et aperçut Coralie, qui entrait dans la pièce et qui la rejoignait.

" Aller debout ma puce, lui dit-elle, il faut aller à la douche, tu as des choses à apprendre aujourd'hui."
Tout en disant cela, Coralie avait détaché la chaîne du collier de Malaurie, et l'aidait à se relever.
La jeune fille se mit péniblement debout, et eût du mal à garder son équilibre. Coralie la prit par le bras, et l'entraîna hors de la pièce. Malaurie crut plusieurs fois qu'elle allait tomber, mal soutenue par ses jambes encore un peu endormies, et ankylosées. Heureusement Coralie, la soutint lorsque la jeune fille défaillit. Elles arrivèrent dans une salle assez spacieuse, où se trouvait tout le matériel d'un cabinet de toilette. Coralie fit prendre une douche à Malaurie, ce qui permit à la jeune fille de se débarrasser de l'odeur de paille et de transpiration dont sa peau s'était imprégnée durant la nuit.
Une fois Malaurie, lavée, et séchée, Coralie la fit allonger sur une longue table, et malgré les timides protestations de la jeune fille, elle lui immobilisa les poignets, les chevilles, après lui avoir fait largement écarter les jambes et les bras.
Malaurie se trouvait donc complètement immobilisée, tout son corps à la disposition de Coralie. Cette position lui causait un trouble immense, mêlant honte, sentiment d'humiliation, excitation... Elle sentait la pointe au creux de ses reins se réveillait et bondir dans son ventre, le sang lui montait aux joues, puis passer dans les tempes à une vitesse vertigineuse. Après quelques instants, elle sentit que son bouton d'or se gonflait, et sa fente s'emplissait de désir.
Coralie l'observait debout non loin de là.
" - Je t'avais dit ma puce, dit-elle après que ces yeux se furent attardés entre les cuisses de la jeune fille, je t'avais dit, la véritable Malaurie commence à se révéler.
- Mais, mais, de quoi tu parle? Demanda Malaurie en soufflant tant l'empourpre ment de la honte et de l'excitation mélangée la troublait.
- Je veux dire, que tu n'as jamais eu l'occasion de faire sortir ta vraie personnalité auparavant, et de ce fait, tu n'arrives pas à la contrôler, lorsqu'elle se manifeste. C'est normal, et le but des jours qui vont arriver, va être de savoir à la fois développer mais aussi contrôler ta vraie nature. Allons essaie de te calmer maintenant. Je te laisse quelques minutes pour t'aider, à toi d'apprendre seule.
- Mais comment faire?
- Il n'y a pas de solution miracle nous avons chacune une manière différente, à toi de trouver, en apprenant à te découvrir, et à te connaître."

Coralie disparut. Malaurie resta seule, et eût un grand mal à faire redescendre la tension de ses muscles, et l'excitation demeura longtemps dans son intimité.
Elle y parvint enfin, après de longues minutes d'efforts et de concentration. Coralie revint peu après, et constata avec satisfaction que sa protégée avait réussie à calmer le désir qui l'électrisait quelques instants auparavant.
Elle prépara du matériel, et s'approcha de Malaurie. Elle posa sa main sur le ventre de la jeune fille, et promena un doigt sur celui-ci, en le faisant passer sur la poitrine de la jeune fille, et en le faisant redescendre jusqu'à la naissance de sa fente. Malaurie, poussa un grognement de plaisir en sentant ses tétons se dresser, et sa peau frémir.
" Non, non, non, contrôle toi! dit Coralie, il faut que tu apprennes."
La jeune fille se concentra davantage, et aux prix d'un effort immense elle réussit à contenir le désir provoqué par ce doigt qui la parcourait et la torturait.
Coralie passa sont doigt longuement sur le pubis de la jeune fille, se saisit d'un tube et  fit couler une crème de celui-ci dans ses mains, qu'elle passa sur le corps de Malaurie. Elle prit ensuite un petit rasoir, et commença à  éliminer chaque poil du corps de la jeune fille. Chaque centimètres carré de peau de Malaurie fut examiné, et reçu la visite du rasoir.
Malaurie concentrée de toutes ses forces, pour se contenir, ne broncha pas lorsque Coralie passa le rasoir sur le pubis de la jeune fille, puis vint éliminer les quelques poils qui subsistaient encore sur ses lèvres intimes. Malaurie reçu l'inspection de l'épilateur, qui finit d'éradiquer la pilosité qui pouvait encore avoir échappée au traitement du rasoir.
Coralie passa ensuite une crème apaisante sur la peau échauffée de la jeune fille, puis recommença les différentes opérations, après avoir fait mettre Malaurie sur le dos.
Ceci fait, elle la détacha, et la fit relever, et la plaça devant un miroir afin que la jeune fille puisse voir le résultat.
Lorsqu'elle se rendit compte de ce que son corps était devenu, Malaurie rougit, se voyant comme elle l'était à l'âge de 7 ans. La suite de la matinée, fut plus agréable pour Malaurie. Coralie s'occupa ensuite de ses ongles de mains et de pieds, puis prit longuement soin de ses oreilles, de son visage, de ses yeux, de sa bouche....
La matinée s'acheva ainsi sur la fin des soins que Coralie apporta au corps de sa protégée.
Malaurie avait grand mal à retenir son excitation, et quand celle-ci parvenait à faire apparaître une marque de sa présence, celle-ci se voyait immédiatement, marquant fortement la peau nue de la jeune fille.
Une fois qu'elle eût finit ses soins, Coralie dit à Malaurie :
" - C'est comme ça que ton corps doit être en permanence à partir de maintenant.  Tu auras des séances pour le soigner, mais c'est aussi à toi de me le signaler si tu en sens le besoin. On va retourner dans ta salle, et je viendrais te chercher  pour ta première séance d'apprentissage avec l'une des responsables. En tout il y en aura trois, une avec chacune d'entre elle, à raison d'une séance par jour. Au quatrième jour, un test d'aptitude, et si tu le réussis, tu auras une petite transformation corporelle avant de pouvoir nous rejoindre définitivement et venir t'intégrer à l'une des équipes. Des questions?
- Oui j'en ai une. Demanda Malaurie timidement.
- Je t'écoute.
- Je voulais savoir, Carine, la fille qui a passé l'entretient avant moi, elle la réussi?
- Je ne sais pas. Je me renseignerai, mais si elle ne l'avait pas réussi, j'en aurais entendu parler. Autre chose?
- Euh non."
Coralie fit relever la jeune fille, et la reconduit vers la pièce dans laquelle elle avait passé la nuit. Elle l'y fit entrer,  attacha les mains de la jeune fille dans son dos par des menottes, sortit de la pièce, referma la porte derrière elle puis disparut.

Malaurie vint s'allonger sur le ventre au fond de la pièce, et se décontracta. Aussitôt la pointe de plaisir qu'elle avait contenu en elle, se raviva. Il ne  suffit que de quelque secondes pour que  toute son intimité soit inondée de désir. Elle se contracta, ce qui provoqua un petit mouvement de ses hanches. Lorsque ses hanches basculèrent imperceptiblement, un brun de paille vint se frottait sur son clitoris. Ce contact lui provoqua un électrochoc, ce qui la fit se cambrer violemment vers l'arrière, et la fit retomber lourdement dans la paille. Ne pouvant se rattraper par les mains, celles-ci étant immobilisées dans son dos, son visage vint s'enfouir dans la paille, étouffant son gémissement. Il ne suffit que d'un autre contact de la paille sur son mon de vénus, pour qu'elle reçoive un autre électrochoc encore plus puissant et intense que le précédent, qui la fit de nouveau se cabrer brutalement et retomber, l'emportant dans l'orgasme le plus violent qu'elle eût connu jusqu'alors. La cyprine s'écoulait  abondamment d'entre ses lèvres complètement ouvertes. Ses yeux révulsés  emplis de larmes et d'émotions restaient grands ouverts sans qu'elle  puisse les refermés.
Elle mit un long moment à reprendre sa respiration, et à retrouver ses esprits.
Une fois calmée, elle regarda le haut de ses cuisses, ainsi que sa fente encore inondée de son jus. Elle prit peur et se demanda si elle n'avait pas commis une faute. Elle se mit en devoir d'effacer ses marques qui pourraient trahir son relâchement. Elle tenta de frotter sa fente sur la paille afin d'essuyer le reste de cyprine encore présent sur ses lèvres, et dans les replis de son intimité, mais elle se résigna vite à abandonner cette méthode, en sentant le désir revenir en elle.
Elle était assise, en train d'essayer de trouver une solution, lorsque Coralie revint.
  Cette dernière était nue, tout comme Malaurie, un collier métallique au cou.
" - On va y aller?
- Euh, euh, euh...
- Ah d'accord, je vois, dit Coralie, en remarquant les traces de cyprine sur les cuisses de la jeune fille. Tu n'as pas su te retenir?
- Ben, c'est aller tellement vite, balbutia Malaurie.
- ça n'est pas grave. On va passer nettoyer ça rapidement. C'et la première fois, je comprends donc que tu n'ais pas pu te retenir, les prochaines fois, il va pourtant falloir le faire, car sinon tu ne pourras pas t'intégrer."
Coralie fit sortir Malaurie de la pièce, ses mains toujours attachée dans le dos, et la fit repasser dans la pièce où elle lui avait fait sa toilette le matin même. Elle lui nettoya rapidement les traces que la  jeune fille portait encore sur la peau, et elle la conduisit ensuite dans une grande pièce  où les attendait l'une des responsables.
Lorsqu'elles arrivèrent devant la porte, Coralie s'arrêta, et frappa trois fois. A l'ordre d'entrer, elle poussa la porte et entra en poussant Malaurie devant elle.
Elle la guida jusqu'au centre de la pièce, et s'agenouilla en indiquant à Malaurie qu'elle devait en faire autant.
L'une des responsables que Malaurie reconnut comme étant Madame Sylvie, se tenait dans un fauteuil à quelques mètres d'elle.
" - Madame, commença Coralie en baissant la tête, me voici avec Malaurie ma filleule, nous sommes prêtes.
- Bien mesdemoiselles. Coralie! Là bas! Dit Madame Sylvie en indiquant un grand panneau de bois qui faisait face à Malaurie."

Coralie se leva lentement, et vint se placer dos au panneau, face à Malaurie, bras et jambes largement écartées.
Madame Sylvie se leva et vint immobiliser Coralie dans cette position, à l'aide de chaîne sur le panneau.
Malaurie tressaillit lorsqu'elle distingua des petits anneaux fixés aux tétons, aux lèvres intimes et au clitoris de Coralie, les traversant de part en part.
Coralie voyant que sa protégée venait de voir ce détail, lui sourit et lui adressa un regard apaisant.
" Malaurie debout!"
La jeune fille surprise du ton qu'avait pris Madame Sylvie, et effrayée de la manière dont elle était traitée, n'osa pas bouger.
" Debout! J’ai dit! S'écria Madame Sylvie de plus belle."
Malaurie se releva précautionneusement et resta immobile.
Madame Sylvie se dirigea vers elle, la saisit par les épaules, attrapa une chaîne qui tombait du plafond, la fixa aux menottes qui bloquaient les poignets de la jeune fille, et appuya sur un bouton. En quelques secondes Malaurie se retrouva sur la pointe des pieds, pratiquement suspendue par les mains. Madame Sylvie attacha les chevilles de la jeune fille à une large barre d'écartement. La jeune fille trop paralysée de surprise et de peur pour réagir, se laissa manipuler.
Elle se retrouva donc bientôt les cuisses largement ouvertes, immobilisée, sans pouvoir refuser quoique se soit à Cette femme.
La pointe de désir se faisait ressentir de plus belle depuis qu'elle était entrée dans la pièce. Elle se rendit compte néanmoins qu'elle avait un peu plus de facilité à la contenir que la première fois.
" C'est bien. Tu t'offres sans protester, c'est un point très positif. Dit Madame Sylvie en caressant les fesses et le cul de la jeune fille.
Les mains de la femme explorèrent le corps de la jeune fille, frôlant, caressant, pinçant, tordant, malaxant, les seins, l'intimité, la peau de Malaurie, lui arrachant de petits cris. La pointe de désir progressait malgré elle dans son corps, tant elle ne semblait pas pouvoir l'arrêter ni la freiner. Elle allait être emportée par un orgasme aussi puissant que ceux qu'elle avait eu quelques heures auparavant, lorsque les mains se retirèrent, laissant la jeune fille sur sa faim, au bord de l'extase. Madame Sylvie laissa tomber Malaurie pour s'occuper de Coralie, de la même façon. Lorsque Malaurie vit revenir Madame Sylvie auprès d'elle, son excitation était complètement retombée croyait-elle, car dès que la main de Madame Sylvie vint toucher son bouton de rose, La flamme du plaisir se redressa encore plus forte et encore plus puissante que la dernière fois.
Madame Sylvie vint se placer sur le coté gauche de Malaurie, et deux des doigts de sa main gauche vinrent s'insinuer dans les replis intimes de la jeune fille, et pénétrèrent dans son trou, arrachant un gémissement à Malaurie. La main droite de Madame Sylvie vint caresser ses fesses, et un doigt puis deux vinrent forcer l'entrer de son orifice anal, et y pénétrèrent délicatement. Cette nouvelle intrusion eût pour effet de faire gémir Malaurie de plus belle. Madame Sylvie se mit à faire de petits va et viens de ses mains, arrachant de nouveau gémissement à la jeune fille.
! Quelques minutes plus tard, un orgasme l'emportait, la faisant se cambrer violemment en arrière, laissant partir sa tête, la bouche grande ouverte, feulant comme un animal, les yeux empli d'étoiles. Lorsque l'orgasme emporta Malaurie, ce fut comme une explosion dans sa tête, comme si un feu d'artifice explosait à l'intérieur de son corps... Elle retomba mollement, haletante, tentant de reprendre son souffle. La vision qui suivit, fut les doigts de Madame Sylvie qui vinrent lui emplir la bouche, et qu'elle suça avidement, encore dans un état second.
Elle reprit ses esprits lentement, alors que Madame Sylvie finissait de s'occuper de Coralie. Puis elle fut détachée, et épuisée, elle tomba à genoux.
Coralie fut à son tour délivrée, et vint se placer à coté de Malaurie. Après avoir remercié Madame Sylvie de ses attentions, Les deux jeunes filles sortirent de la pièce, Coralie reconduit Malaurie dans la pièce où elle avait passée la nuit, lui donna sa gamelle de nourriture, sa gamelle d'eau, puis  la laissa seule.
Malaurie, s'allongea sur la paille, ferma les yeux, repensa  aux évènements de la journée, passa son doigt sur son pubis lisse, en frémit de plaisir, repensa à la séance qu'elle venait de vivre, et après s'être soulagée dans  un coin comme la veille, elle s'endormit très vite.

 

jujudoka@free.fr

 

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