suviant
Sensuelles aventures pour une même destinée 21
précédant

Par Julien Graves

 

f/f exhibition réticence humiliation

 

Chapitre 15 Le retour d'élise.

 

Il était 8 heures, lorsque Sylvie descendit les escaliers pour rejoindre sa protégée.
Celle ci, recroquevillait dans sa cage, dormait profondément. Son corps complètement nu,  à la peau d’une blancheur immaculée, hormis les traces de la soirée de la veille, cachées par de grands pansements, semblait ressortir dans l'obscurité de la pièce.
Sylvie la contempla pendant un long moment. C'était la première fois depuis bien longtemps, que sa protégée dormait encore lorsqu'elle arrivait pour la délivrait de sa cage, où ne se réveillait à son approche.
Elle ressentait dans le sommeil de la jeune fille, une sérénité, et un repos tranquille qu'elle n'avait pas vu depuis qu'elle avait accueillit Coralie chez elle, et qu'elle l'avait mis à son service.
La ceinture que portait la jeune fille, équipée des falus factis qu'elle avait en Elle, tendaient et étiraient la peau entourant ses orifices, ce qui les dégager complètement et les mettait bien à la vue de Sylvie, lui dévoilant tous leurs secrets.
Sylvie sourit, et s'accroupit lentement, sans bruit, sur le coté de la cage, puis approcha sa main et passa ses doigts entre deux barreaux pour toucher le coté de la cuisse de la jeune fille toujours endormie.
Le contact de ses doigts sur cette peau lisse et douce, la fit frissonnait de plaisir, et elle ressentit un imperceptible plaisir montait dans son ventre.
Elle retira ses doigts et déplaça sa main de quelques centimètres avant de les repasser entre deux autres barreaux, pour  frôler de nouveau la peau de la jeune fille au niveau de son flanc.
Alors qu’elle laissait aller ses pensées tout en carressant lentement ce satin frais vivant sous  ses doigts, Coralie ouvrit lentement un œil, encore l'esprit plongé dans ses rêves de la nuit.
Elle ne compris pas immédiatement ce qui se passait, mais tournant la tête, elle aperçut Sylvie près d'elle et lui sourit.
"- Bonjour ma chérie. Dit Sylvie, tu as bien dormis à ce que je vois.
- Bonjour madame, oui je vous remercie.
- On va se préparer?
- Oui madame
- Il y a beaucoup de travail."
Sylvie se déplaça un peu afin de se rapprocher de la porte de la cage qu'elle déverrouilla, puis libéra Coralie de la chaine qui lui entravait les poignets et qui les rattachaient au sol.
La jeune fille sorti lentement de la cage à quatres pattes en grimaçant, sous la douleur provoquée par ~les mouvements de sa peau encore endolorit des piqures de la veille.
Lorsqu'elle se fut redressée, Sylvie l'accompagna à la salle de bain et lui fit sa toilette, puis lui  changea ses pansements.
Les deux femmes redescendirent une fois Coralie lavée, et les pansements changés, puis Sylvie la fit s'asseoir sur la table, et comme à l'accoutumée l'habilla comme une petite fille habillerait sa poupée.
Elle la fit s'allongeait sur la table, avant de lui installer un lange puis de la redresser.
" Tu ne pourras sans doute pas aller te soulager aujourd’hui avec ton travail qui t'attend, et tes pansements qui vont te gêner. Dit-elle. Alors je prends mes précautions. Je n’ai pas envie que tu pisse partout"
Elle lui enfila ensuite de longs collants de latex blancs, puis une robe très courte également en latex de couleur bleu, tombant juste sur le haut des cuisses et faisant ressortir  les seins de Coralie.
Elle fit apparaître les mamelons par les ouvertures prévues à cet effet, en passant les anneaux que portait la jeune fille par ces dernières.
Elle lui passa aux pieds des petites bottines et les ferma sur les chevilles de Coralie à l'aide d'une chaine Elle même fermée par un cadenas.
La jeune fille sentit tout de suite que les chaussures était un peu trop petites et qu'elle aurait mal aux pieds toute la journée.
Sylvie lui enfila ensuite, de longs gants de latex blancs, qui remontaient jusqu'au dessus de ses coude, puis lui passa des bracelets sur ses avants bras et les verrouilla solidement, empêchant la jeune fille de les enlever, et de ce débarrasser de  ses gants.
Elle compléta l'équipement de sa protégée en lui enfonçant sur le crâne un bonnet lui aussi en latex simulant une coiffe de bonne, après quoi elle se recula, et admira son travail.
" Tu es magnifique comme ça, dit-elle, tu me donne envie."
Coralie sourit.
Sylvie s'approcha et les deux femmes s'embrassèrent longuement, en silence.
Coralie ferma les yeux, afin de pouvoir savourait plus profondément encore ce moment, qui maintenant lui procurait un plaisir qu'elle n'avait jamais ressentit auparavant.
" Je te maquille et après, au boulot."
La voix de Sylvie sortit la jeune fille de ses pensées, la faisant sursautter, et rouvrir les yeux pour la voir s’éloignée, pour prendre son nécessaire à maquillage.
Après quelques instants, Coralie fut aprêtée, le visage orné d’un rouge à lèvres proéminant voir provoquant, d’un phares bien marqué...
"- Maintenant, dit Sylvie, au travail ma douce!  Nous devons préparer la maison pour ce soir. Armelle vient ainsi que Diane car nous devons travailler ensemble sur un projet important, et Élise revient également de son stage.
- Bien madame. Que dois-je faire? demanda Coralie en baissant la tête.
- Tu vas nettoyer la maison de fond en comble, je veux que tout brille, meuble~, sol, vitres...
- Bien madame je le ferai.
- Et ensuite tu viendras ici afin de ranger et de nettoyer également. J'ai l'intension qu'après notre séance de travail, nous puissions nous amuser un peu.
- Bien madame."
Sylvie fit lever Coralie, et celle-ci parti en marchant maladroitement à cause des chaussures trop petites.
La journée passa très vite pour Coralie, qui n'arrêta pas de nettoyer centimètres carré par centimètres carré, chaque pièce et chaque meuble de la maison.
Au milieu de l'après midi, elle descendit dans sa demeure pour y passer le balai, puis lava par terre, et enfin nettoya et rangea chaque objet sur les étagères, sur les murs, sur les présentoirs.
Elle découvrit des instruments, des objets, des machines,  qu'elle n'avait encore jamais vu nul part ailleurs, et eu un frisson mêlant terreur et excitation, en pensant qu'elle pourrait peut être un jour, devoir subir la torture de l'un ou l'autre de ces appareils.
Enfin, vers 17 heures, elle remonta au ré de chaussée.
L'énergie qu'elle avait employée durant la journée, l'avait fait transpirer abondamment, et elle sentait que son corps ruisseler sous ses vêtements de caoutchouc, ainsi que dans son lange, où sa sueur se mélangeait à son urine.

Sylvie s'était assise dans son canapé et lisait une revue, lorsque Coralie entra, et vint se prosterner à ses pieds.
"- Madame, j'ai fini mes travaux, comme vous me l'aviez demandé.
- Très bien ma chérie. Va à la cuisine mettre le repas en route, puis rejoins-moi à la salle de bain afin que je fasse ta toilette pour ce soir.
- Oui madame j'y vais."
La jeune fille se recula et sortit. Sylvie l'entendit rentrer dans la cuisine et manipuler des plats.
Elle lu encore pendant quelques minutes, posa sa revue, puis se rendit dans la salle de bain, où Coralie la rejoignit quelques instants après.
Sylvie la débarrassa de ses chaussures, de son bonnet, des bracelets, de ses gants,  de sa robe ainsi que de ses collants. Elle lui enleva le lange, et constata avec satisfaction, que la jeune fille s'était soulagée, à plusieurs reprises, innondant et gonflant le coton absorbant de la protection.
Le corps de la jeune fille était constellé de gouttes de sueur, qui perlaient, et coulaient suivant les courbures de sons dos, de ses fesses, de ses cuisses...
Sylvie la lava complètement et la fit descendre dans sa demeure, afin de l'habillait.
Elle ne lui enfila pour tout vêtement, qu'un petit tablier lui couvrant le ventre et le haut des hanches, et des escarpins de vinyle, avant de la maquiller de nouveaux, et de la faire remonter pour s'occuper du repas.
Coralie obtempéra sans discuter et disparut dans la cuisine, pendant que Sylvie s'installait dans un fauteuil, reprenait sa revue, et recommençait sa lecture.

Dans la cuisine, Coralie s'afférait, préparant le repas que Sylvie lui avait indiqué sur le tableau de service.
Lorsque tout fut à peu près prêt, elle dressa la table avec la belle vaisselle pour trois personnes.
Sa peau encore rafraichi par l'air ambiant et la douche qu'elle venait de prendre, la firent frissonner à plusieurs reprises, lorsque des petits courant d’air glissèrent sur elle.
Elle se doutait que lorsque Sylvie avait dit qu'elle désirerait s'amuser avec ses amies, elle devait s'attendre à ce qu'Élise et elle même, doivent subir les fantaisies de ces trois femmes aussi belles que vicieuses. Cependant, même si elle savait que ces instants ne seraient pas forcément agréables, elle les attendait, les désirait avec force, et impatience, alors qu’un an avant elle les aurait redoutait.
Elle venait de finir de dresser la table, et était juste revenue dans la cuisine, lorsque l'on sonna à la grande grille d'entrée.
Elle savait pertinemment que se serait à elle d'aller ouvrir, et d'accueillir les invités, mais même si elle y avait pris une certaine habitude, et avait perdu une certaine pudeur, elle redoutait toujours de s'afficher d'une telle façon, au regard éventuel du passant.
Prenant sur elle, elle se dirigea vers la porte d'entrée et prenant la clé de la grille, elle sortit sur le perron.
Elle traversa la grande allée qui reliait la maison à la route, et ouvrit la grille. Une voiture passa devant elle en entrant dans la propriété. Elle s'arrêta au niveau de la jeune fille, et la vitre de la place du conducteur s'abaissa.
Coralie reconnu Armelle, et lui souriant, elle lui fit une révérence en lui disant:
" Bienvenue madame, je suis heureuse de vous accueillir chez ma maîtresse"
Armelle lui rendit son sourire mais ne lui adressa pas un mot. Elle tendit simplement sa main hors de la voiture, passant celle ci par la vitre ouverte.
Coralie s'agenouilla, et saisissant cette main, déposa ses lèvres dessus en marque de respect.
Armelle retira sa main, remonta sa vitre, et démarra laissant la jeune fille agenouillée seule face à la route déserte.
Coralie se releva, referma la grille et remonta l'allée en trottinant, alors qu’Armelle l'attendait déjà sur le perron.
"- Bonsoir ma petite Coralie. Dit-elle.
- Bonsoir madame. Je suis heureuse de vous revoir.
- Moi aussi ma petite. Conduit moi à ta maîtresse.
- Bien, tout de suite madame. Si vous voulez bien me suivre?"

Coralie ouvrit la porte de la maison, et entra suivit d'Armelle. Elle referma la porte derrière la jeune femme, puis la guida jusqu'au salon.
Elle frappa à la porte.
" - Entrer! Répondit Sylvie.
- Madame, annonça Coralie en entrant et faisant une révérence, voici Madame Armelle.
- Merci ma chérie. Répondit Sylvie en souriant. Tu peux nous laisser je t'appellerai si j'ai besoin de toi.
- Bien madame."
Coralie fit une révérence, s'inclina, puis sortit.
Armelle s'approcha de son amie, et toute deux se saluèrent tendrement, avant de s'asseoir et de commencer à discuter.
Une demi heure plus tar, la sonnette retentit à nouveau.
Coralie sortit de nouveau, et rejoignit la grille, l'ouvrit, pour laisser passage à la camionnette dans laquelle Diane était venu la fois précédente.
Tout comme la dernière fois, et comme elle l'avait fait avec Armelle, elle fit une révérence lorsque la camionnette s'arrêta devant elle,  puis saisit la main que lui tendait Diane et y déposa ses lèvres.
Diane abandonna Coralie en redémarrant, et la laissant sur place.
La jeune fille ferma la grille et revint vers la maison rejoignant Diane, qui l'attendait auprès de la camionnette.
La jeune fille arriva à son niveau, et lui adressa de nouveau une révérence, en lui disant :
" - Bonsoir madame, je suis heureuse de vous revoir.
- Pas autant que moi ma douce Coralie. Je vais faire descendre ton amie. Nous l'attacherons sur le perron en attendant que ta maîtresse donne des consignes à ce sujet. De plus cela lui fera du bien d'être un peu à l'air libre."
Tout en parlant, Diane était passée à l'arrière de la camionnette, et avait ouvert les portes.
Elle fit descendre le plan incliné, et monta à l'intérieur. Elle revint quelques secondes plus tard tirant Élise par une chaine reliée à son collier. La jeune femme avait les poignets entravés par des menottes et portait un gros bâillon dans la bouche.
Lorsque Diane fut descendue du véhicule, et eut attaché la jeune femme à un anneau celé dans le mur de la maison, elle revint et referma son véhicule.
Coralie n'avait jusqu'à présent pas osé regarder son amie, mais lorsqu'elle le fit, elle tressaillit.
Élise portait sur l'épaule ce qui pouvait être une combinaison de chiffres ou de lettres. Ceci ne l'étonna pas outre mesure, mais ce qui la surprit fut les pansements qu'Élise portait sur les tétons, et au niveau de son intimité.
" Ma pauvre Élise, se dit elle, alors toi aussi tu es passé par là?"

Lorsqu'Élise fut de dos par apport à elle, elle cru vraiment qu'elle allait défaillir. Sur les fesses de la jeune femme, des tatouages, semblant marquer son corps au plus profond d’elle même.
Diane la sortit de  sa méditation et de sa surprise.
" - Bien conduit moi à ta maîtresse.
- Bien madame, tout de suite. Répondit Coralie en se redressant, et s'efforçant de faire bonne figure."
Coralie conduisit Diane jusqu'au salon, et l'annonça de la même façon qu'elle avait annoncée Armelle. Puis sur l'ordre de Sylvie, elle repartit dans la cuisine, mais fut rappelée par la cloche de Sylvie quelques minutes après.
A peine était elle rentré dans la pièce, que Sylvie lui lança :
" Ma chérie, sert nous à boire! Dépêche-toi! Apporte-nous du champagne."
Coralie, comprenant qu'elle ne devait pas faire attendre les femmes qu'elle devait servir, disparut dans la cuisine, et revint bientôt avec un plateau, sur lequel, trônait trois fluttes de cristal, une bouteille de champagne dans son sceau, et quelques coupelles qu'elle avait garnit de biscuits.
Elle le déposa sur la table en s'agenouillant, et attendit.
Sylvie lui fit signe, Coralie servit les verres avant de les présentés aux femmes, qui discutant, ne se préoccupaient même pas de la jeune fille.
Elle attendit les consignes, et obéit lorsque Sylvie lui fit signe de resservir un verre et de présenter les coupelles aux convives.
Elle dut ensuite débarrasser son plateau, et le ramena dans la cuisine.
Quelques minutes plus tard, elle fut rappelé, et arrivant dans le salon, Sylvie lui fit signe qu'elle et ses invités allaient passer à table.
Elle prépara donc les plats à servir dans la cuisine, et lorsque les trois femmes se furent installées autour de la table, elle les servit, le plus gracieusement possible, puis elle débarrassa la table lorsque le repas fut finit.
Sylvie la regarda, et lui dit :
" Ma chérie, une fois que tu auras fini de débarrasser, tu iras chercher Élise, et tu la conduiras à la salle de bain afin de la nettoyer, voici les clés de son bâillon et de ses menottes. Puis vous descendrez et nous attendrez sagement là bas. Nous devons travailler un peu avant de penser à nous amuser."
La jeune fille acquiesça, et repartit dans la cuisine, les bras chargés de plats.
Lorsqu'elle revint dans la salle à manger, les trois femmes avait disparut.
Coralie finit de débarrasser, et après avoir nettoyé la table, elle sortit sur le perron, et s'approcha de son amie.
Élise sursauta, en sentant les doigts de son amie la froler
" C'est moi chut. Aller viens ma puce."
Elle détacha la chaine du mur, et emmena Élise dans la salle de bain, la délivra de ses menottes et de son bâillon, la fit monter dans la baignoire, et la lava minutieusement.
Le stage de deux semaines que venait de faire Élise, restait visible sur son corps.
Celui-ci était marqué par de longue traces rouges, qui semblaient être les restes des coups de cravache ou de fouets qu'avait du recevoir son amie. Il était également taché de marques sombres qui partait petit à petit au fur et à mesure que Coralie frottait la peau de son amie.
Elle se rendit vite compte, qu'il s'agissait de traces de boue ou d'excréments, qui avait séchés sur la peau de la jeune femme.
L'odeur que cette dernière portait, Coralie la reconnaissait, c'était l'odeur du foin, du bétail, du box dans lequel elle avait elle-même passé plusieurs nuits lors de son propre séjour  chez Diane.
Peu à peu, le corps d'Élise retrouva une apparence féminine, et une odeur plus digne de la jeune femme.
Coralie passa sa main sur le pubis de son amie, en lui disant.
" Je vais te passer le rasoir et l'épilateur, car si la maîtresses te vois comme ça avec la toison qui t'es revenu, elle ne sera pas ravi."
Ainsi fut fait. Élise retrouvait, grâce à son amie, l'apparence physique qu'elle avait lorsqu'elle avait quitté la demeure de Sylvie, pour partir en stage.
Il ne restait plus à présent, que les traces rouges et violacées qui zébraient le corps de la jeune fille, pour attester de son passage chez Diane.
" - Voilà tu es toute propre. Dit Coralie en tendant une serviette à son amie.
- Merci ma puce. Répondit Élise. Tu sais, ça a été terrible pour moi.
- Oui je sais, chut, on pourrait nous entendre. On va descendre et nous pourrons parler plus tranquillement. Nous devons attendre ses dames en bas."
Une fois Élise séchée, les deux femmes sortirent de la salle de bain, et descendirent l'escalier, qui les amena dans leurs demeures.
Coralie s'assit dans un coin par terre, et invita Élise à venir s'asseoir près d'elle.
"- Alors, raconte? Demanda-t-elle.
- Ce fut dur, très dur. Lorsque je suis arrivé, on m'a tout d'abord emmené dans un box comme pour les chevaux.
Puis on m'a passé un truc autour de la tête, et on m'a attaché à un anneau fixé dans le mur.
On m'a laissé là je ne sais combien de temps, et puis on est venu enfin me chercher.
J'ai été conduite dans une pièce, ou j'ai été jeté, c'est le mot, sur une table sur laquelle je me suis retrouvé complètement attachée, sans avoir le temps de m'en rendre compte, et sans pouvoir résister.
Et puis voilà le résultat."
En disant cela, Élise montra son épaule puis ses fesses.
"- Mais! C'est! S'écria Coralie, en regardant le tatouage qui apparaissait sur l'épaule d'Élise.
- Oui, c'est pratiquement le même que celui-ci. Répondit Élise, en désignant l'épaule de Coralie.
- Mais, mais, ils sont...
- Non ils ne sont pas pareils, puisque se sont des numéros de références.
- Oui c'est vrai je n'y pensais plus.
- Le plus douloureux, ça n'a pas était celui là, mais plutôt celui fait ici. Ajouta Élise en s'allongeant, et écartant les cuisses, faisant apparaître sa fente et trois lettres tatouées sur chacune des lèvres de son intimité (S A D).
- Mais! Mais! Mais....
- Quoi, quoi?
- Mais, je crois qu'on m'a posé les mêmes lettre, hier même. En tout cas, c'était au même endroit.
- Ah oui?
- Oui je te le dis. Mais vas’ y, reprend ton récit s'il te plait.
- Bien, alors, après ça on m'a ramené dans mon box. J'ai compris que c'est là que je dormirai. J'ai demandé pour aller au toilette, mais on m'a répondu : tu n'a qu'à faire dans un coin.
Du coup, j'ai passé toute mes nuits, là, attachée à cet anneau dans le mur, avec une chaine juste assez longue pour faire quelques pas et pour m'allonger.
- Oui j'ai eu le même traitement. Acquiesça Coralie.
- Le jour d'après, on m'a harnaché, avec quoi, je ne saurai pas te le dire ou te le décrire, mais j'avais bientôt des sangles partout. Mes poignets était reliés à ma taille, et on m'a forcé à ouvrir la bouche, pour m'enfourner un mord, qu'on a fixé derrière ma tête. On m'a fait enfiler des bottes, dix fois trop petites pour moi, que je ne pouvais plus enlever, et qui pesaient très lourds
On m'a fait courir, marcher, m'arrêter, durant les jours suivants, en me cravachant quand j'allais trop vite, ou pas assez, selon leurs goûts.
On m'a attelé avec d'autres jeunes filles, et nous avons dû à plusieurs reprises, tirer soit une calèche dans laquelle venait s'asseoir Diane, seule, ou accompagné de ses amies, ou des machines, ou des charrettes pour les champs. Je me souviens même qu'un jour nous avons dû tirer une charrette, dans laquelle se trouvait deux jeunes filles que Diane voulait vendre au marché aux esclaves, et nous sommes revenus avec trois autres filles, qui ont dû subir le même traitement que moi.
Les jours ont passés comme ça, il y en a même où je me suis effondrée juste après avoir mangé, dans la paille et me suis éveillait lorsqu'on venait me cherchait le lendemain.
Et puis je crois que ça devait être avant hier, on m'a débarrassé du harnais, et on m'a amené dans une grande pièce, où on m'a fait une piqure, et là je me suis endormi.
Quand je me suis réveillé, je me suis vu avec ses pansements, et des douleurs presque insoutenables. Je crois bien, que tout comme toi, j'ai cela. Dit-elle, en désignant les anneaux qui pendaient aux tétons de Coralie.
- Euh, oui je crois bien, en effet.
- Mais toi? Qu'as tu fait pendant que j'étais parti? Demanda Élise.
- Euh, moi? Pas grand choses tu sais.
Appart le jour où tu es partie, et où j'ai voulu me soulager un peu, et que la maîtresse ma surprise, et m'a puni, il n'ya rien eu jusqu'à hier.
La maîtresses a du voir que je ne me sentait pas bien, alors elle m'a emmené chez l'esthéticienne, où j'ai eu droit, je crois, aux meilleurs massages et soins de toute la terre, mais aussi aux pires tortures.
(- Ah bon?
- Oui, et ça ne m'étonnerai pas que tu y es droit, ou même qu'on y est toute les deux droit ce soir.
- Pourquoi ce soir?
- Parce que tout simplement, la maîtresse reçoit madame Diane, comme tu le sais, mais également, madame Armelle qui est l'esthéticienne.
- Oh là, oui, ça ne présage rien de bon pour nous.
- Je ne crois pas non plus."

Elles étaient là à parler, lorsque la porte s'ouvrit en haut des escaliers.
Les deux jeunes filles se redressèrent, se mirent à genoux face au mur, les mains sur la nuque, cuisses écartées, qui mettaient à nue leurs fentes intimes, imberbes de tout poils.
Les trois femmes arrivèrent en bas de l'escalier. Sylvie dénoua le tablier de Coralie, et celui-ci tomba au sol, laissant apparaître les hanches de la jeune fille, qui resta immobile.
Armelle s'exclama en fixant les fesses d'Élise :
" - Mais c'est que tu as réussi à faire quelque chose de très réussi!
- Oui, je suis assez contente de moi. Répondit Diane.
- Oui, tu peux l'être, ma chère. Continua Sylvie. C'est parfait.
- Puis-je voir le résultat sur la belle Coralie? Demanda Diane.
- Oui, bien sur, Vas’y! Dit Sylvie en souriant."
Diane s'approcha, et arracha brutalement les pansements  qui recouvraient les fesses de la jeune fille.

" - Eh! Mais c'est que toi aussi tu as fait du beau travail ma chère Armelle. Dit Diane en se reculant pour admirer.
- Oui, ça va, c'est correct. Acquiesça Armelle.
- Est-ce que vous croyez que les pansements qu'elles portent chacune, sont vraiment nécessaires? Demanda Sylvie.
- Euh, pour Élise, je pense que les pansements ne sont plus utiles, non. Ça a eu le temps de cicatriser. Répondit Diane.
- Pour Coralie, ça m'a l'air d'être bon également. Reprit Armelle. Il ne faudra pas utiliser nos instruments à cet endroit là, pour ne pas trop exciter la sensibilité de sa peau encore fragile."
Et comme pour vérifier ses paroles, elle passa sa main sur les fesses de la jeune fille. Celle-ci frémit imperceptiblement. Après quelques caresses, elle tapota de sa main le cul de Coralie, et augmenta progressivement l'intensité de ses coups. Très vite, la jeune fille poussa des gémissements de douleurs.
" Voyez mesdames, dit Armelle, elle est encore bien sensible du cul."
Coralie se relâcha, lorsque la main d'Armelle se retira.
Sylvie s'approcha d'Élise, et lui passa la main dans les cheveux très doucement.
" - Comment a-t-elle été pendant son stage? Demanda-t-elle?
- Dans l'ensemble, assez bien et obéissante.
Parfois un peu entêtée, mais soit elle a laissé tombé assez vite, soit il a fallut lui remettre les idées en place.
- Je t'avais dis qu'elle serait un peu moins coopérative.
- Oui, mais c'est bien, ça prouve qu'elle garde certains traits de caractère, et c'est important tout de même.
- Que veux-tu dire? Demanda Sylvie.
- Je veux simplement dire, répondit Diane, que c'est mieux si elles gardent un peu de rébellion en elle. Quelqu'un qui ne résiste pas, qui accepte tout sans broncher, qui ne réagit pas, à force ça n'est plus agréable, non?
- Oui c'est sûr. Acquiesça Armelle.
- Mais, dit Sylvie, tu trouves que, que ce soit Élise ou Coralie, elle garde une trace de rébellion? Pour Élise, à la limite, je veux bien te croire, tu l'as eu pendant deux semaines avec toi, mais Coralie?
- Souviens toi ma chère, intervint Armelle, lorsque vous êtes venu à la boutique, et lorsque je lui ai tatoué les fesses et les lèvres, heureusement qu'elle était attachée, non?
- Euh, oui.
- Si elle a pleuré, et si elle l'avait pu elle aurait très certainement hurlé, c'est pourquoi? Parce que même si elle essayait de faire bonne figure devant toi, elle n'acceptait pas complètement ce qu'elle subissait.
- Je suis tout à fait d'accord. Reprit Diane.
- Oui, vous avez sans doute raison. Enfin, l'important c'est que ces deux belles créatures m'appartiennent, et soient les premières du réseau SAD."

Coralie écoutait la discussion des trois femmes, mais ne saisissait pas tout le sens de leurs vocabulaire. L'expression, réseau SAD, la frappa. Et lui resta dans la tête.
Elle regarda à la dérobée son amie, à genoux non loin d'elle. Celle-ci ne semblait pas se préoccupait de la discussion, elle semblait au contraire perdu dans ses propres pensées, les yeux dans le vague.
Coralie entendit un sifflement, et eu juste le temps d'apercevoir le bout d'une cravache frappait la hanche d'Élise.
Celle-ci se contracta, en lançant sa tête vers l'arrière, et  en poussant un gémissement plaintif.
Un autre coup lui cingla l'autre hanche, ce qui provoqua une autre torsion du corps de la jeune femme.
Coralie se risqua à tourner la tête, pour voir ce qu'il se passait, mais au moment où, elle pivota un peu le menton, elle reçu à son tour, un coup qui vint laisser une longue trace rouge sur le coté de son sein gauche.
" Est-ce qu'on t'a demandé de participer? Qui t'as dit que tu pouvais regarder?
Hurla Armelle, dans l'oreille de la jeune fille.
- Debout cria Sylvie."
Coralie obéit, et fut tirer jusqu'à un mur de la salle.
Elle fut, en un clin d'œil, liée, les bras et les jambes écartés, sur une immense plaque de bois épais.
Quelques secondes après, Coralie sentit qu'elle pivotait, et se retrouva bientôt tête en bas, complètement paralysé par ses liens.
" Ah tu veux regarder? S'écria Sylvie, je vais t'en donner la liberté, pendant que nous nous occupons d'Élise. Tu auras tout le temps d'observer la situation de la où tu seras."
Sylvie  s'approcha de la jeune fille, enfonça sans ménagement un énorme sexe dans la rosette et un autre dans la fente de la jeune fille, se recula, appuya sur un interrupteur, puis la plaque monta et la pauvre Coralie se vit prêt du plafond, suspendu la tete en bas, ses orifices emplis par des objets au diamètre impressionant.
Immobile, ne pouvant plus bouger, et rempli par les engins qui la dilater petit à petit, elle ne pu échapper à la scène dont Élise devenait la principale protagoniste.

Tout d'abord, Diane se  saisit de lourdes menottes, et les passa aux chevilles, et aux poignets d'Élise en les plaçant dans son dos. Elle la fit se retourner, et lui banda les yeux. Les trois femmes vinrent chacune leurs tour, la cravacher, de dix coups chacune, sur sa poitrine.
La jeune femme pleurait, en implorant ses bourreaux, d'arrêter son supplices.
Mais les trois femmes ne l'entendaient pas comme cela.
Armelle l'attrapa ensuite par les cheveux, et l'amena vers une machine que Coralie avait croisée lors de son rangement de la journée, mais qu'elle ne connaissait pas.
Armelle fit allonger la jeune femme sur une longue planche, sur laquelle elle la sangla, et lui retira son bandeau.
" - Tu as déjà gouté à la douche d'or? Lui demanda-t-elle, en souriant et en la fixant droit dans les yeux.
- Euh, non, euh, c'est quoi, euh, non... Tenta d'articuler Élise entre deux sanglots, les yeux pleins de larmes.
- Tu va voir, c'est agréable. Ne t'inquiète pas."
Armelle lui écarta les mâchoires, et lui plaça deux barres dans la bouche, l'obligeant à garder celle-ci grande ouverte.
Puis elle poussa la planche, qui coulissa et le corps d'Élise disparut dans la machine.
La tête de la jeune femme réapparut sous une trappe, Armelle souleva cette dernière, et vint s'asseoir en plaquant pratiquement sa vulve contre la bouche toujours ouverte de la jeune femme.
" Tiens, reçois la douche d'or ! S'écria Armelle."
Quelques secondes après, on entendit un gémissement de la part d'Élise, puis elle se mit à tousser.
" - Bois ma fille, bois! Vociféra Armelle. "
Coralie ne comprenait pas tout de ce qui se passait, mais eu les explications qui lui manquaient lorsqu'Armelle se leva, avant de se replacer, toujours en appuyant sa fente contre le visage de la pauvre Élise.
Coralie pu entrevoir le visage d'Élise, lorsqu'Armelle se releva. Son visage était inondé d'un liquide jaune, dont un long filet coulé des lèvres de la jeune femme.
Elle compris qu'Armelle venait de se soulager dans la bouche même de la pauvre Élise, qui ne pouvant éviter ce jet acide, avait tout reçu de plein fouet, et en avait même du avaler quelques gorgée.
" Lèche et nettoie moi ça, espèce de vicieuse! S'esclaffa Armelle, au comble de l'excitation."
La pauvre Élise, anéantie par ce traitement, et ne pouvant faire autrement, se mit à nettoyer la fente, la naissance des cuisses, et le con qui se présentaient devant sa bouche.
Une fois qu'elle eu finit, et qu'Armelle eu joui, en déversant sa liqueur intime dans la bouche d'Élise,  la pauvre jeune femme du nettoyer à nouveau l'instrument à plaisir de sa maîtresse temporaire. Armelle se leva, remit sa robe, et actionna une manette qui fit ressortir la planche  sur laquelle Élise se trouvait. Elle la libéra, la fit se lever, et la jeta littéralement vers Diane.
 Élise tomba à genoux, à bout de souffle.

Diane la tira vers un chevalet, sur lequel elle l'installa.
La jeune femme était à présent penchée, les bras et les jambes écartées, solidement arrimé au chevalet, ne pouvant plus bouger du tout pour la deuxième fois en 10 minute de temps, le cul bien offert, et largement ouvert.
Diane lui enleva le bâillon que la jeune femme portait encore, et lui présenta un pénis boursoufflé à certains endroits, et piqueté de clous en caoutchouc assez dur.
" - Si tu veux atténuer la douleur, il faudra bien le lubrifier avec ta salive! Lui dit-elle sur un ton cynique."
Les yeux d'Élise, qui ne désemplissaient pas de larmes, brillèrent de peur.
Sans attendre, Diane enfonça l’objet dans la bouche d'Elise, et effectua des va et viens pendant 2 à trois minutes.
L’instrument devait mesurer une trentaine de centimètre de long, et devait atteindre à certains endroits le diamètre impressionnant d'une cannette de soda.
Soudain, Diane le retira brutalement de la bouche de la pauvre Élise.
" Oh! Mais c'est que tu salive bien! Dit Diane en observant l'instrument recouvert d'une épaisse couche de salive."
Elle vint se placer derrière Élise, et fixa à sa taille, une ceinture  sur laquelle, elle attacha le falus.
Puis elle s'approcha en guidant le bout de l'instrument vers la rondelle de la jeune femme, et venant le poser dessus, d'un mouvement de reins, elle transperça l’anneau culier  d'Élise, qui poussa un cri strident.
Puis elle effectua des vas et viens, de plus en plus rapides, et de plus en plus grands, alors qu’Élise hurlait, en implorant Diane de la laisser, d'arrêter cette torture, mais celle-ci  ne tint pas compte des plaintes de la jeune femme.
Petit à petit, les cri de la jeune femme, furent remplacé par  des gémissements mêlant douleur, et plaisir, et enfin, le corps d'Élise se cambra, emporté par un orgasme foudroyant, puis retomba. Il fut aussitôt remporté par un deuxième orgasme tout aussi intense.
Diane se retira, laissant la jeune femme inerte, haletante, et ok tante des spasmes qui venaient de la traverser.
Diane détacha l’instrument souillé  de la ceinture et le considéra.
" Bah! Il est dégoutant! Dit-elle avec un dégoût déguisé, tu vas me nettoyer tes saletés."
En disant cela, elle s'approcha de la tête de la jeune femme, et enfonça de nouveau l'instrument dans sa bouche.
La pauvre jeune femme, passa sa langue sur l'instrument sans réfléchir et emporta des bouts de matières molles pris dans les clous de caoutchouc. Elle était néanmoins sure, de ne pas les avoir sentit lors de la première introduction de cet instruments dans sa bouche, et compris qu'il s'agissait de quelque matière venant de son fondement.
Elle tenta de les cracher, mais Diane enfonça encore plus profondément l’appareil vers le fond de sa gorge, ce qui lui demanda un gros effort. Elle du donc avaler ses matières infâmes, qui la dégoutaient, au plus haut point.
Lorsque Diane retira l'instrument de sa bouche, il était complètement propre. Diane délivra Élise, et la tira jusqu'à Sylvie, qui la pris dans ses bras tendrement, puis la berça doucement, en lui murmurant des paroles douce dans l'oreille tandis qu’Élise se blottit contre elle, et fondit en larmes.
" - Là c'est tout ma chérie. Dit Sylvie calmement, doucement, calme toi.
- Madame, madame...
- C'est tout, c'est tout, tu as été très bien. Je suis fière de toi.
- Je ne veux pas, je ne veux pas...
- C'est tout, c'est tout... Répéta Sylvie, en embrassant langoureusement la jeune femme."
Élise se blottit encore plus dans les bras de Sylvie, et ferma les yeux, en serrant le corps de sa maîtresse pour lui montrer qu'elle ne voulait plus la lâcher.
" C'et tout, c'est finit. Dit Sylvie. Doucement là voilà calme-toi."
La jeune femme se calma peu à peu,  après plusieurs minutes.
Elle sursauta en entendant un long soupire.
Elle ouvrit les yeux, et aperçut son amie, toujours la tête en bas, attachée sur la plaque, descendre et arrivée à 1 mètre du sol, alors qu’Armelle appuyait sur un bouton d'une télécommande.
Un spasme parcourut le corps de Coralie, Puis un autre. La jeune fille soupira, puis gémit de plus en plus vite, et de plus en plus fort. Ses traits  se crispaient à chaque gémissement, et bientôt tout son corps se contracta, et elle fut emportée à son tour par un violent orgasme, puis un second, et un troisième qui secouèrent son corps convulsivement. Armelle appuya sur un autre bouton, et la jeune fille retrouva bientôt son souffle, avant qu’on ne la fasse redescendre, qu’on lui remette la tête à l'endroit, et qu’on la libére de ses liens.
Les trois femmes donnèrent à mangé au deux jeunes femmes, les équipèrent de leurs ceintures maintenant traditionnelle, les firent entrée dans leurs cages, verrouillèrent les portes, puis sortirent.
Quelques instants plus tard, Coralie Se risqua à appeler son amie.
" - Élise?
- Oui.
- ça va?
- Euh tout dépend.
- Euh je veux dire... Hésita Coralie.
- Oui ça peut aller. J'ai mal partout, je ne sens plus mon trou, j'ai un mauvais goût dans la bouche, mais ça va."
- Tu as été très courageuse, et je crois sincèrement que la maîtresse était vraiment fière de toi.
- Tu crois?
- Très franchement oui.
- De toute façon, je ne vois pas ce que ça changerai, je ne crois pas qu'elle m'aime.
- Tu sais, si elle ne t'aimais pas, elle ne t'aurais pas pris dans ses bras et ne t'aurais pas réconforté comme ça.
- Tu es sûr?
- Oui bien sur. Je crois qu'elle a voulu faire ça se soir pour te tester, voir si ton stage chez madame Diane t'avais transformé, et je crois qu'elle a vu que oui.
- Oui peut être. Tu as sans doute raison. Tu les connais mieux que moi.
- Euh oui peut être. Bon je crois qu'il faut qu'on dorme car demain c'est un autre jour, et qui sait  ce qu'il nous réserve.
- Oui tu as raison.
- Bonne nuit ma puce.
- Bonne nuit ma douce."
Élise ferma les yeux et s'endormit presqu'aussitôt. Les évènements de la journée, et de la soirée l'avait épuisée.
Coralie resta éveillé plus longtemps, et se dit qu'elle était vraiment heureuse d'avoir retrouvé son amie, et d'être tombé sur quelqu'un comme Sylvie, car même si celle-ci était exigeante envers ses soumises, elle cherchaient à les comprendre, à les aimer, et à les réconforter lorsque celles ci n'allaient pas bien. Elle se dit également que si elle était tombée chez Diane ou Armelle, ça ne se serait sans doute pas passé comme ça.
Elle continua à réfléchir pendant quelques minutes, et fut emportée à son tour par le sommeil.

jujudoka@free.fr

 

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