suviant
Sensuelles aventures pour une même destinée 20
précédant

Par Julien Graves

 

f/f exhibition réticence humiliation

 

Chapitre 14 Séance chez l'esthéticienne.

 

Il y avait maintenant plus d'une semaine, qu'élise était parti en stage chez Diane, et la vie pour Coralie n'avait jamais été aussi longue et si triste.
En effet, depuis qu'elle avait été surprise par Sylvie, celle ci l'obligeait   à vivre complètement harnachée, tel que devait l'être son amie au même moment.
Les lanières de cuir qui recouvraient et quadrillaient son corps, la serraient comme pour lui montrer qu'elle était prisonnière de son emprises.
À plusieurs endroits, sa peau était devenue  boursouflé par les frottements continus des boucles de métal.
Sylvie, voyant bien que sa soumise commençait à changer, et à perdre sa mine agréable, décida de lui changer les idées.
Un après midi, elle la fit descendre dans sa demeure, puis la débarrassa de tout son harnachement.
La jeune fille se retrouvait pour la première fois depuis plusieurs jours, nue devant sa ~maîtresse.
Elle obéissait à Sylvie sans mot dire, sans enthousiasme.
Elle s'agenouilla lorsque Sylvie lui demanda, en adoptant la position qu'elle avait pris l'habitude de prendre, genoux au sol, cuisses écartées, mains sur la nuque, gonflant la poitrine, et cambrant un peu les reins.
Elle baissa la tête.
 « - ma chérie, déclara Sylvie, je vois que en ce moment, il y a quelque chose qui ne va pas. alors dit moi tout.
- il n'y a rien madame. Répondit Coralie.
- allons, allons! Insista Sylvie, Je le vois ma chérie dépêche toi qu'est-ce qu'il y a dans ta tête qui ne te plaît pas? Qui te donne cette mine   si triste.
- euh il n'y a rien madame.
- moi je crois que si. Il y a quelque chose qui ne tourne pas correctement dans cette petite tête que j'aime, et que je vois dépérir tout doucement ces derniers jours. »
Coralie baissa la tête et rougit alors que Sylvie lui caressait la joue tendrement.
« - alors ma chérie dit moi ce qui te tracasse.
Souffla tendrement Sylvie.
-   madame, je ne sais pas, je ne sais plus. Balbutia Coralie.
- tu ne sais pas, tu ne sais plus quoi ma chérie?
- je ne sais plus qui je suis, ce que je dois faire, ce que je fais, pourquoi je suis là...
Coralie eût les larmes qui lui montèrent aux yeux, et qui commencèrent à perlaient sur ces joues.
Sylvie s'accroupit et la saisit par les épaules.
« - ma chérie tu te pose beaucoup de questions. c'est tout, va; c'est tout. »
Coralie s'effondra dans les bras de Sylvie.
Celle ci la serra contre elle, en la berçant doucement.
Elle l'embrassa tendrement puis vint placer la tête de
Coralie sur sa poitrine et continua à la bercer tendrement en lui parlant tout bas.
Elle passa sa main dans les cheveux de la jeune fille, et lui caressa les épaules et le dos du bout de ces doigts.
Coralie mit du temps à se calmer. Lorsqu’elle le fut,
Sylvie d'une main lui releva le menton et la fixa en souriant. Coralie la regarda les yeux encore mouillés des larmes qu'elle venait de verser. Les lèvres des deux femmes se rapprochèrent puis se joignirent pendant un long moment. Leurs langues s'entrelacèrent tandis que leurs respirations s'unirent pendant quelques instants pour n'en faire plus qu'une.
Après avoir relâché leurs étreintes elles se regardèrent et Coralie posa sa tête contre Sylvie, telle une petite fille qui cherche la protection de sa mère.
« - ça va mieux ma puce? Demanda Sylvie.
- oui un peu. Renifla Coralie.
  Merci madame.
- est-ce que ces dernières minutes ont répondues à quelques une des questions que tu te posais?
- euh oui madame. Je sais que je vous aime et que je ferai tout pour vous.
- moi aussi je t'aime ma chérie. Même si des fois je suis un peu brusque avec toi, c'est pour ton bien et pour que tu sois encore plus heureuse par la suite. Et malgré tes écarts cela ne m'empêche pas de t'aimer.
- merci madame, merci.
- là c'est tout. C’est tout. »
Elles restèrent encore un long moment comme ça, dans les bras l'une de l'autre, puis après plusieurs minutes, Sylvie déposa Coralie sur le sol et se redressa.
« - on va s'habiller ma chérie? Demanda-t-elle ?
- oui madame comme vous voulez.
- et je t'emmène en ville chez une amie esthéticienne afin qu'elle s'occupe de toi. Tu verras ça va te faire le plus grand bien.
- merci madame de penser à moi. »
Coralie grimpa sur la table, et Sylvie sortit des vêtements qu'elle enfila à sa protégée.
Coralie porta   donc après quelques minutes,   des bas de satin blancs, avec un string et un soutient gorge dans la même matière et la même couleur, ainsi que des portes jarretelles de dentelle, et une robe assez courte au décolleté plongeant.
Sylvie ne maquilla pas Coralie, jugeant que ça ne servirait pas à grand chose car elle devrait l'enlever très peu de temps après.
Sylvie lui mit aux pieds une paire de chaussures à talons aiguilles vertigineux, sur lesquels Coralie eut du mal à maintenir son équilibre.

Sylvie entraina sa protégée hors de la maison et la fit monter à l'arrière de la voiture après avoir changer sa tenue de cuir moulante pour un tailleur strict et respectable.
La voiture démarra et les deux femmes roulèrent pendant plusieurs minutes en silence, pour finalement se garer dans une petite rue tranquille.
Sylvie fit sortir Coralie du véhicule, et la  guida jusqu'une petite boutique à la vitrine montrant des modèles de beauté et des flacons de produits corporels.
Sylvie ouvrit la porte de la boutique, poussa Coralie devant elle et entra.
Le mouvement de la porte déclencha un carillon, puis une jeune femme arriva.
«  - bonjour! Ah Sylvie! S’écria la jeune femme.
- bonjour Armelle.
- je te demande quelques minutes je finis avec une cliente et je suis à vous. Dit la jeune femme en souriant. Asseyez vous je vous en prie.
- bien sur ma chère prends ton temps. »
La jeune femme disparut. Sylvie tira Coralie vers des sièges sur l'un desquels elle prit place, laissant Coralie debout à coté d’elle.
Après quelques minutes, la jeune femme revint dans la pièce.
« - bien je suis à vous. Dit-elle en refermant la porte. C’était pour?
- pour mademoiselle... indiqua Sylvie en montrant
Coralie.
- ah oui c'est vrai tu m'en avais parlé.
- oui tout à fait.
- on va passer par ici. Suivez-moi s'il vous plait. »

Sylvie se leva, et suivit de Coralie, emboita le pas à la jeune femme.
Cette dernière ouvrit une petite porte et les fit entrer.
«  tu la déshabille complètement et tu la démaquille si nécessaire.
Je passe de l'autre coté pour vous faire entrer dans le cabinet. Annonça la jeune femme en montrant une autre porte. » 
Au moment où elle s'apprêtait à refermer la porte, le carillon de la porte d’entrée de la boutique teinta.
«  Je vais voir ce que c'est et j'arrive. 
Murmura-t-elle. »
La porte se ferma, tandis que Sylvie enlevait  déjà la robe de Coralie, l'accrocha au porte manteau fixé au mur, dégrafait son soutient gorge, ainsi que ses portes jarretelles. Elle la déchaussa ensuite et la débarrassa des bas. Coralie n'était plus qu'en string que Sylvie lui enleva après avoir plié et rangé les autres vêtements.
Une porte située face à celle par laquelle les deux femmes étaient entrées s'ouvrit et la jeune femme apparut.
«  - ça y est elle est prête? Interrogea-t-elle.
- oui. Répondit Sylvie Aller avance par là. »
Coralie suivit de Sylvie entra dans la pièce qui s'ouvrait devant elle.
Une grande table trônait au milieu, sur les murs des étagères remplies d'accessoires, de flacons, de tubes....
La jeune femme referma la porte derrière Sylvie et lui indiqua un siège.
Elle s'approcha ensuite de Coralie et passa ses mains sur la peau de la jeune fille, qui resta immobile, se laissant faire.
« - voyons, voyons! Elle est très belle. Une très belle peau. Déclara-t-elle.
- oui je fais attention à ce qu'elle soit bien entretenue. Répondit Sylvie en souriant.
- oui ça se voit. »
La jeune femme passa et repassa ses mains sur le corps de
Coralie, la palpant, la caressant, pinçant la peau, la pétrissant.
«  Mets-toi sur la table! Ordonna-t-elle. »
Coralie obéit et s'allongea sur le ventre.
Le contact de sa peau sur le plastique de la table la fit frissonner.
La jeune femme prit un flacon sur une étagère, l'ouvrit, versa un peu du contenu dans ses mains et commença à étaler une crème sur le dos et les épaules de Coralie.
  La jeune femme reprit de la crème dans ses mains et continua à l'étaler sur tout le corps de la jeune fille.
La crème et le massage des mains sur son corps la firent se détendre. Elle sentait sa peau s'assouplir, sous l'effet bénéfique du travail des doigts de la jeune femme.
Après quelques instants, lorsque le corps de Coralie n'eut plus un centimètre carré de peau sans crème, la jeune femme la fit se retourner afin que celle-ci s'allonge sur le dos, et recommença ses massages sur le ventre, les jambes, les bras, la poitrine, et le visage de Coralie.
Une fois finit, elle se recula, rangea le pot de crème, puis alla se laver les mains à un petit lavabo dans un coin de la pièce.
Coralie, complètement détendue, restée immobile, les yeux fermés, essayant d'apprécier ces instants délicieux où l'on s'occupait d'elle comme si elle était une princesse. Elle savait que ces instants étaient rares, souvent très courts, et était suivit de moments souvent assez corsés pour elle.
Mais malgré la pensée de ces moments qui se préparaient à être moins supportables, elle aimait les attentions que Sylvie lui portait.
Sylvie rompit le silence.
« - alors ma chère comment la trouves-tu?
- très franchement? Magnifiquement proportionnée. Déclara la jeune femme.
- tu vois je ne t'avais pas menti?
- non en effet. Ces anneaux qu’elles portent mettent en valeur ces tétons et attire l'œil.
- ça c'est l'œuvre de Diane ma chère. Précisa Sylvie.
- ah mademoiselle est passée par les mains de Diane? Oui c'est vrai qu'on reconnaît la patte de l'experte.
- je crois que je n'aurais pas pu trouver meilleure experte pour ça. D’ailleurs, mon autre soumise  y est en stage en ce moment.
- ah oui je vois je vois.
Bien nous allons vérifier cette pilosité maintenant. Ne bouge pas ma mignonne. Dit la jeune femme. »

La jeune femme s'approcha, ayant pris un nécessaire sur une table, et commença à examiner très minutieusement la peau de Coralie.
Lorsqu’elle fut au niveau de son pubis, elle fit écarter largement les cuisses de la jeune fille afin de continuer son investigation.
Lorsqu’elle rencontrait un point qui nécessité une intervention de sa part, Coralie sentait le travail de la jeune femme sur sa peau.
Une fois le corps de Coralie intégralement vérifié, et débarrassé de tout poil,   la jeune femme retourna au lavabo afin de laver son nécessaire.
« - voilà une bonne chose de faite. Déclara t elle satisfaite. 
-   tu va passer à quoi maintenant ma chère Armelle? Demanda Sylvie.
- je vais passer dans la pièce réservé aux clientes particulières. Attends-nous ici. »

Armelle fit relever Coralie et la fit passer dans une pièce plus petite, et referma la porte derrière elle.
La pièce était beaucoup plus petite, et ne se composait juste que d’un
WC et d'une baignoire.
Armelle se tourna vers Coralie, et lui dit en désignant le VC.
« Va faire tes besoins là! Aller exécution!»
Coralie la regarda en hésitant pendant quelques secondes, puis obéit tout en  ayant du mal à exécuter l'ordre qu'elle venait de recevoir   ne sachant pas faire ses besoins sur commande, mais après plusieurs minutes, elle y parvint enfin.
« - et bien c'est pas trop tôt! Soupira Armelle.
Aller dans la baignoire! »
Coralie grimpa dans la baignoire, se demandant ce qu'il allait lui arrivait, et se disant que les moments agréables était fini une fois encore.
«  À quatre pattes aller dépêche toi! Lança
Armelle. »
Coralie s'accroupit et se mit dans la position demandée, tandis qu’armelle enfilait  une paire de gants de latex, puis sortit pour revenir avec des produits qu'elle posa non loin d'elle.
Sans ménagement ni préparation, elle introduisit un doigt entre les fesses de Coralie et transperça son bouton de rose.
Un deuxième doigt suivit, puis un troisième.
Coralie étouffa un cri en sentant cette pénétration forcée.
Armelle fit tourner ses doigts dans l'anus de la jeune fille afin de le dilater fortement, alors que la jeune fille  poussait  des gémissements plaintifs.
Elle  retira ses doigts et s'empara d'un long tube qu'elle enfila dans l’orifice culier  de la jeune fille.
Elle le brancha ensuite au robinet et fit couler de l'eau.
Coralie sentit le liquide couler dans son fondement et remplir son intérieur progressivement.
Armelle arrêta l'eau, débrancha le tube, et saisissant un flacon, versa le contenu de celui-ci dans le tube. Puis elle le rebrancha au robinet, et refit couler de l'eau pendant quelques secondes.
Elle retira enfin le tube de l’œillet  de Coralie, et dona deux claques sur l'extérieur de ses fesses en disant:
«  Garde ça en toi pendant un moment. On fera un autre passage de produit pur après. Ça c'est pour t'habituer. Ne bouges plus je reviens et ne perds rien du produit tant que je n'ai rien dit. »
Armelle sortit, laissant Coralie seule debout dans la baignoire, le ventre gonflé et gargouillant d’un produit qui commençait à lui brûler et lui démanger les chaires.
Après quelques minutes, elle gémissait tant elle avait du mal à retenir ce produit qui lui arrachait les entrailles.
Lorsqu’Armelle revint enfin,  Coralie commençait à avoir les larmes aux yeux.
«  Aller au toilette! Vas te vider! »
Coralie ne se fit pas prier, elle se leva et se précipita sur les toilettes. À peine était elle assise qu'elle se relâcha et sentit le liquide s'évacuer par son trou, emportant des fragments solides, et tombait avec un bruit mou dans la cuvette.
Lorsque plus rien ne coula hors du corps de la jeune fille, Armelle la fit remonter dans la baignoire et lui réintroduit le tube entre ses fesses.
Elle versa ensuite du produit directement dans le tube, et enleva celui-ci, avant de laisser à  nouveau Coralie seule pendant plusieurs minutes.
Le produit recommença son travail et arracha bientôt de nouveaux gémissements, puis des cris plaintifs à la pauvre jeune fille.
Armelle la fit retourner sur les toilettes pour que la jeune fille évacue le produit à nouveau.
L’opération se renouvela à plusieurs reprises, Jusqu’à ce que le produit ressortit complètement limpide du corps de Coralie.
Armelle fit enfin retourner Coralie dans la baignoire, pour la laver intégralement et minutieusement, Puis la sécha délicatement.
Elle la fit retourner dans la pièce où Sylvie les attendait toujours, et la guida vers la table lui indiquant d'un geste de reprendre place dessus.
Armelle s'occupa de Coralie délicatement. Elle lui passa une lotion sur la peau, lui posa un masque de beauté sur le visage, et soigna ses ongles.
Coralie était allongée sur la table et se remettait lentement des douleurs causés par son lavement. Les soins qu’elle recevait à présent, contrastaient à nouveau avec les derniers qu’elle venait de recevoir, et la conduisirent très vite dans un état de semi conscience, entre sommeil et béatitude.
Armelle la fit soudain se mettre sur le ventre.
À peine avait elle changer de position que Sylvie lui attrapa les mains et Armelle lui saisit les pieds. En quelques secondes elle fut sanglée cuisses écartées ne pouvant plus bouger.
Armelle passa une sangle au niveau de ses aisselles et une autre au niveau de ses reins, ce qui empêcha le moindre mouvement à
Coralie.
La jeune fille tourna la tête vers Sylvie, et n'eût pas le temps de réagir car cette dernière lui ouvrait la bouche et lui enfourner une balle de latex de laquelle partait un petit tuyau. Sylvie actionna une petite pompe située à l'autre bout du tuyau, et Coralie sentit la bale gonflait dans sa bouche. Elle crut que sa mâchoire allait se décrocher tellement la boule se gonfla.
Coralie était donc là, allongée sur la table, ne pouvant plus bouger du tout, et ne pouvant plus émettre le moindre son. Elle comprit que son suplice allait reprendre de plus belle, et qu’elle allait devoir à nouveau se dépasser.
Armelle saisit un appareil et le posa sur le dos de
Coralie, Puis commença à l'aide d'une aiguille à piquer sur la fesse droite de la jeune fille. Après quelques minutes elle passa à la fesse gauche.
Sylvie observait, et les deux femmes discutaient pendant qu'Armelle continuait son ouvrage.
La pauvre Coralie mordait la balle qu'elle avait dans la bouche, tout en déversant de nombreuses larmes  et gémissant lugubrement, tant la douleur de l'aiguille lui irradié les fesses avec une intensité qu'elle ne supportait plus.
Bientôt la jeune fille arbora sur sa fesse droite l'image d'un blason fait à l'encre rouge dans lequel apparaissait des symboles étranges et les lettre: S A D.
Sur la fesses gauche un texte à l'encre bleue où on pouvait lire :

«  Coralie.
21.533.374u k.
Propriété exclusive de
ME Sylvie DUFRILES »

La jeune fille pleurait toute les larmes de son corps.
Sylvie s'approcha, s'accroupissant  afin d'avoir son visage face à celui de Coralie. Elle lui essuya les yeux avec un mouchoir de soie et l'embrassa tendrement   en lui caressant les cheveux.
« C’est tout ma chérie c'est bientôt fini. Murmura-t-elle. Tu va être toute belle après tu vas voir. C'est tout. »
Elle se redressa mais Armelle l'interrompit.
«  Non reste près d'elle et calme la. Je vais poser le dernier dessin. »
Sylvie se remit au niveau de Coralie et reprit ses caresses rassurantes, et vint poser sa joue sur celle de sa protégée  tout en lui murmurant des paroles réconfortantes.
Armelle passa son aiguille sur les lèvres intimes  de la jeune fille et fit apparaître les trois lettres S A D sur chacune d'elle.
Lorsqu’elle commença à dessiner ces dernières, Coralie sursauta, et se contracta. Sylvie passa ses mains sur les épaules de sa protégée et vint serrer tendrement la tête de la jeune fille contre elle.
Les larmes et les hululements avait réapparut dans les yeux et la gorge de Coralie.
Sylvie la câlina comme si elle aurait câlinée une toute petite fille jusqu'à ce qu'Armelle ait finit son travail, tentant de contenir le chagrin de sa soumise.
Armelle posa des grand pansements sur les dessins qu'elle venait de faire et libéra enfin Coralie, tandis que Sylvie lui hottait le bâillon  après l'avoir dégonflé au préalable.
Dès que celui ci fut enlevé elle embrassa goulument sa protégée, tout en la faisant pivoter, puis  la prit dans ses bras. Coralie agrippa le cou de Sylvie et se blottit contre elle.
Sylvie souleva Coralie, et vint s'asseoir sur un fauteuil en la posant sur ses genoux.
« - et bien elle est si traumatisée que ça? S’étonna
Armelle.
- non mais je crois qu'en ce moment, elle a besoin d'être couvée et d'être câlinée comme ça. Répondit Sylvie. Elle traverse une période de doute et tu sais comme moi que si le doute s'installe trop, après on n’en tire plus rien.
- oui je vois. L’autre n'est pas comme ça j'espère pour toi?
- ça je verrais bien lorsqu'elle reviendra. Répondit
Sylvie en souriant. On va rentrer ma chérie?
- oui madame. Renifla Coralie en enfouissant de plus belle sa tête dans le cou de sa maîtresse.
- allons! Allons! Sois courageuse ma chérie tu verras tu va être toute belle dans quelques jours. Souffla Sylvie en embrassant la jeune Fille.
- merci madame. Je vous aime, et ferai tout pour vous.
Renifla Coralie.
- moi aussi je t'aime ma chérie. Aller on va te rhabiller et rentrer. »

Elle se leva, déposa Coralie dans le fauteuil qu'elle venait de quitter, et s'éloigna pour récupérer les vêtements de la jeune fille.
Elle revint près d'elle et la rhabilla.
Armelle regardait la scène en souriant.
« -allez ma chérie dit merci à Armelle, et nous rentrons. Demanda Sylvie.
- merci madame de bien avoir voulu vous occupé de moi   et de m'avoir permis de devenir plus belle pour ma maîtresse. Articula Coralie doucement. Je vous en suis reconnaissante.
- mais de rien ma petite Coralie nous aurons l'occasion de nous revoir. Répondit Armelle. 
- oui madame merci encore. »
Sylvie salua Armelle tendrement, et sortit avec
Coralie qui la suivait de très prêt.
Les deux femmes remontèrent en voiture et regagnèrent le domaine de Sylvie.
Une fois entrée dans la   maison, Sylvie demanda à Coralie d'aller lui servir un verre.
Coralie obéit, et revint avec un plateau sur lequel était posait un verre et une bouteille.
Sylvie lui fit signe de servir, ce que fit la jeune fille.
Après quelques instants, Sylvie montra à Coralie qu'elle pouvait débarrasser.
Coralie ramena le plateau dans la cuisine, lava le verre, et rangea la bouteille, avant de venir  se remettre à genoux devant Sylvie, qui entrouvrit ses jambes et indiqua à Coralie de venir se placer entre ces dernières.
La jeune fille obtempéra, alors que Sylvie écartait  largement ses cuisses et relevait sa jupe. Coralie comprit où sa maîtresse voulait en venir et approcha sa tête de son  bas ventre.
Elle sortit sa langue, et bientôt  vint toucher du bout de cette dernière, le tissu de la culotte de soie que portait Sylvie. Après quelques secondes, Coralie écartait de deux doigts le tissu, afin de venir plonger sa langue et ses lèvres vers le trésor ultime de sa maîtresse. Les mouvements du bassin de cette dernière, apparurent après quelques instants, et augmentèrent rapidement. La respiration de Sylvie s'accéléra, et après très peu de temps, elle fut secouer par un orgasme brutal, puis un deuxième de la même intensité qui innondèrent le visage de la jeune fille.
Reprenant ses esprits, Elle repoussa la tête de Coralie du revers de la main pour lui montrer qu'elle en avait assez, et saisit sa protégée par les aisselles pour la ramener sur elle. Leurs deux corps s'entrelacèrent et elles s'embrassèrent longuement.
«  - c'est comme ça que je t'aime et j'aime te voir.
Murmura Sylvie à l’oreille de la jeune fille. Amoureuse, soumise, dévouée, câline...
- merci madame répondit Coralie en venant se blottir encore plus contre sa maîtresse.
- c'est tout là. C’est tout. Interrompit Sylvie en enfouissant sa langue dans la bouche de sa protégée. »

Après une dizaines de minutes, Sylvie décida d'arrêter pour le moment ces instants câlins, et qu'il était temps que toute deux se reposent.
Elle fit descendre Coralie, et après lui avoir donné à manger, l'avoir fait déshabiller, lui avoir fait passer sa ceinture équipé des traditionnelles sexes métalliques, qui accompagnait désormais
  Coralie dans toutes ses nuits, elle la fit entrer dans sa cage, et l'enferma en disant :
« Demain est une grosse journée car il va falloir
Préparer la maison. Dans quelques jours je reçois Armelle et diane qui revient avec Élise;   alors repose toi bien ma chérie. »
Elle éteignit la lumière et sortit en fermant la porte à clé.
Coralie, exténuée par les derniers évènements de la journée, s'endormit très vite, tout en pensant aux instants qu'elle avait passés dans les bras de Sylvie et pendant lesquels elle s'était sentit protégée et amoureuse comme jamais elle ne l’avait été auparavant.

jujudoka@free.fr

 

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