Sensuelles aventures pour une même destinée 22 |
Par Julien Graves
f/f exhibition réticence humiliation
Chapitre 16 . Le projet S A D.
3 semaines s’étaient écoulées, depuis le retour d'Élise. Coralie avait retrouvé le sourire, et se sentait bien auprès de son amie, pour la soutenir et être soutenue, lorsque l'une ou l'autre avait une baisse de moral.
Sylvie rivalisait d'imagination, et d'idées plus vicieuses et tordues les unes que les autres, pour s'amusait avec ses deux protégées, et leurs faire parcourir et découvrir les recoins les plus secrets des labirymthe de leurs fantasmes enfouis.
Armelle et Diane étaient revenues plusieurs fois, pour des séances de travail, et prenait temporairement soin de l'une ou l'autre des deux jeunes filles, pour leur faire à leur tours vagabonder entre humiliations et plaisirs intenses.
Les deux amies, malgré les fantaisies toujours plus pimentées des trois femmes, commençaient peu à peu à prendre l'habitude et un certain goût à ces jeux, et même si elles versaient des flots de larme, et si elles ressentaient des douleurs telle qu'elles ne l'avaient jamais senties auparavant, elles éprouvaient malgré tout ça, un sentiment étrange, une excitation incontrôlable, un développement dans leurs sensibilité, et des jouissances fulgurantes, aussi intense que violentes.
Elles commençaient donc à accepter de plus en plus leurs statuts, et éprouvaient maintenant l'une et l'autre un amour sans bornes pour leurs maîtresses, qui savaient être aussi dur et implacables, mais aussi douce et tendre, modelant ses soumises comme elle le désirait.
De son coté, Sylvie aimait et chérissait ses protégées comme ses filles, même si elle savait devoir garder une distance de sécurité, afin d'entretenir une marque hiérarchique constante, ce qui ne lui fut pas aussi facile qu’elle aurait pu le croire, et ce qui ne lui permit pas d’exprimer tout ce qu’elle aurait voulut montrer à ses deux créatures pour lesquelles elle se sentait mère louve.
Elle avait remarqué que depuis le retour d'Élise, ses deux soumises faisaient de leurs mieux afin de la satisfaire le plus possible, en se livrant complètement dans les jeux dans lesquels celles-ci les entrainaient. Ce comportement même si il lui plaisait, lui semblait parfois absurde au point qu’elle aurait presque fondu elle-même en larme devant ses soumises, en leurs avouant tout son amour.
Les tatouages, et les anneaux des deux jeunes filles étaient complètement cicatrisés, et les deux jeunes femmes arboraient maintenant ceux ci fièrement, lorsqu'elles n'étaient pas habillées.
Élise avait eu droit tout comme Coralie, a une séance chez Armelle, où elle avait à la fois eu les soins dont avait profité Coralie, mais aussi au lavement, au cours du quel elle avait souffert énormément.
Sylvie les avait conduite chez une de ses amie coiffeuse, qui avait pris soin de leurs chevelure, qui leurs tombaient jusqu'alors, dans le milieu du dos, ayant eu le temps de pousser à loisir, n'étant pas surveillés par leurs détentrices.
Les deux jeunes femmes avaient donc retrouvé leurs beauté, leurs charmes, leurs féminités, si toutefois puisse-t-on dire qu'elles en avaient perdu un peu.
Ce jour là, Sylvie contemplait des photos récemment prise lors d'une séance de prise de vue, comme elle aimait en provoquée, régulièrement.
Elle avait envoyé ses soumises nettoyer les pièces de la maison, et installée dans un fauteuil, les jambes négligemment entre ouvertes, qui provoquait la remontée de sa petite jupe en cuir, et qui dévoilait cachée derrière le voile de soie blanche de sa culotte, sa fente intime dissimulant son bouton d'or.
Elle parcourait les photos des deux jeunes femmes, et s'arrêta pour en contemplait une, où on pouvait voir Élise, nue, campée sur des escarpins vertigineux, qui était de face regardant l'objectif en souriant. Ses cheveux d'un blond platine, retombaient délicatement sur les côtés de son visage, l'encadrant harmonieusement. Ses yeux d'un vert émeraude, scintillaient d'un éclat à la fois malicieux, mais aussi dur et froid. Un visage bien proportionné, fait de joues bien dessinées, lui conférait un air angélique. Son corps mince et allongé, ne portait comme relief, juste que sa paire de seins, arrondis, semblant se balançait langoureusement, frémissant à chaque vibration de l'air, et arborant leurs anneaux traversant chacun l’un des tétons, lui donnant une stature supplémentaire. Le ventre plat, la taille fine, les hanches biens formées, sculptaient sa silhouette élancée. Ses jambes effilées, montées sur ces escarpins donnait un surplomb à son mètre 70 de hauteur, et exagéraient avantageusement la cambrure de ses reins. Ses cuisses un peu écartées, laissaient entrevoir et s'entrouvrir ses grandes lèvres, dévoilant à demi, son intimité profonde, suggérant le point où se trouvait la clé de son coffre au trésor.
L'attitude de la jeune femme, laissait paraître une pointe d'excitation de se dévoiler ainsi, et d'être vu par cet objectif, derrière lequel pouvait être n'importe quel œil, mais aussi une certaine allure enfantine, qui n'était infirmée par le collier métallique qui entourait le cou de la demoiselle.
Sylvie resta longtemps devant cette image, la détaillant, ce disant que s'était l'une des images les plus belles qu'elle avait pu voir de la féminité.
Elle continua à passer en revue les autres photos. Une autre photo attira soudain son attention.
C'était cette fois, une photo de Coralie.
La jeune fille était elle aussi nue, cette fois agenouillée au sol.
Sa chevelure noire ondulait et donnait à son visage enfantin une animation constante. Ses yeux d'un bleu profond semblaient éteints au premier abord, mais étaient traversés de petits éclairs, les illuminant.
Sa petite bouche aux lèvres d'un rouge franc, la faisait ressortir.
Ses frêles épaules encadraient son mince corps qui laissait paraître une fragilité de petite fille. Seule sa poitrine proéminente, prouvait qu'elle avait passé l'âge de la puberté. Ses deux bras de fillette disparaissaient derrière son dos, cachant ses mains. Ses cuisses largement ouvertes, laissaient apparaître et devinées sa longue fente, dans laquelle se localisaient ses points d'or, et de plaisir.
Les lèvres de ses replis sexuels, imberbe de tout poil, renforçaient l'idée première qui se dégageait de cette jeune fille, cette idée de petite fille, fragile, vierge, innocente...
La seule marque de sa soumission était tout comme pour Élise, le collier de métal froid argenté, qui entourait son cou.
D'autres photos défilèrent. Sylvie s'arrêta sur nombres d'entre elles, les détaillant chacune leur tour. Les photos montraient les deux jeunes femmes, dans des positions plus indécentes et provocantes les unes que les autres. On pouvait également voir l'une ou l'autre des filles se faisant torturer, par quelques machines, ou attachées sur des croix de saint André, ou encore pendu par des treuils, par les mains, les pieds, la taille, les seins...
Chaque image faisait frémir Sylvie et la plongeait dans des souvenirs de séances où elles revivaient l'ambiance, l'excitation des jeune filles, elle entendait leurs cris, leurs pleures, leurs soupires...
; Lorsque la dernière photo fut passée, elle resta immobile perdue dans ses pensées. Quelques minutes après, elle se ressaisit et se redressa, vint poser les photos sur la table devant elle, puis, se leva.
Elle marcha un peu, puis se dirigea à la recherche de ses protégées.
Elle progressait sans bruit, en tendant l'oreille, en écoutant pour détecter et localiser les deux jeunes femmes.
En s'approchant de l'un des salons, elle entendit du bruit.
Elle rejoignit la porte en silence, regarda prudemment dans la pièce, et ce qu'elle vit la fit sourire.
Les deux jeunes femmes étaient bien là, l'une debout, à astiquer et à lustrer la vitre d'une des fenêtres, faisant de grands mouvement avec ses bras ce qui provoquait un balancement de sa poitrine, l'autre à quatre pattes, frottant le sol, ce qui provoquait une cambrure exagérée et donc faisait ressortir le postérieur de la jeune femme. Elles étaient toute deux en nage, s'épongeant le front de temps à autres, et se parlant à mi voix.
Sylvie fit involontairement craquer une planche. En entendant cela, Élise se figea soudain.
"- qu'est-ce que tu as? Demanda Coralie.
- Tu, tu as entendu?
- Quoi?
- Le bruit, le craquement.
- euh non.
- Mais non.
- Mais, mais...
- Tu sais, ça arrive souvent ma puce.
- tu es sûre?
- mais oui, ne t'en fait pas."
Sylvie, ne voulant pas se faire voir, s'éloigna sur la pointe des pieds, le sourire aux lèvres, et revint dans le salon.
Elle rangea les photos, prit une revue, s'installa dans son fauteuil, sonna sa clochette, et fit mine d'être absorber dans sa lecture.
Après quelques secondes, Élise arriva, vint s'agenouiller et se prosterna aux pieds de Sylvie.
Celle ci fit semblant de ne pas l'avoir vu, tandis que la jeune fille attendait docilement sans bouger.
Sylvie lui fit signe après l'avoir considéré pendant quelques instants.
La jeune fille se redressa et se plaça en position d’attente, patientant après les consignes de sa maîtresse.
" - ma chérie, dit Sylvie, j'ai soif, apporte moi à voire, et puis va chercher ta camarade, je dois vous parler à toute les deux.
- bien madame. Répondit Élise d'une petite voix. Souhaitez-vous boire d'abord?
- Tu fais comme tu veux, c'est à toi de voir, il faut que tu prennes des initiatives, et que tu fasses des choix ma chérie."
Élise se recula, se releva, et sortit, parcourant les grandes pièces et rejoignit Coralie presqu'en courant.
" - viens, vite, la maîtresses veut nous parler.
- Tu es sûre? répondit Coralie surprise. D'habitude elle ne fait pas comme ça.
- Oui, oui, viens! "
Coralie posa sa brosse, et suivit Élise.
Cette dernière s'arrêta à la cuisine et prit un plateau, sur lequel elle posa un verre et une bouteille.
Elle repartit en portant le plateau et les deux jeunes femmes entrèrent dans le salon.
Elles s'approchèrent, Élise déposa le plateau sur la table, et elles se prosternèrent aux pieds de Sylvie.
Celle ci les contempla pendant plusieurs secondes, puis les fit se redresser. Elle fit un signe à Élise, qui lui servit un verre, et lui tendit.
Sylvie saisit le verre, but une grande rasade, toussota, finit son verre, le rendit à Élise en lui faisant signe d'en resservir, ce que celle ci fit immédiatement, puis elle reprit le verre, et but une autre gorgée.
" - Mes chéries, dit-elle, vous savez que je vous aime, et je suis sûre que c'est réciproque. Si je vous ai fait venir ici, c'est parce que je dois vous parler.
Vous avez sans doute remarqué qu’en ce moment, je suis beaucoup prise par mon travail, et que mesdames Diane et Armelle, viennent souvent ici, où que je me rends chez l'une d'entre elles, pour travailler.
De ce fait, lorsque ces dames sont ici, vous êtes mises à rudes épreuves, mais je dois vous dire que ces épreuves ne sont pas anodines.
En effet, elles étaient là et sont là, pour vous tester, savoir si vous êtes vraiment digne de faire parti de notre projet.
Pour l'instant vous l'êtes, bien au-delà de nos espérances, alors continuez à donner le meilleure de vous même.
Le projet en lui même est le suivant.
Armelle, Diane, et moi même, avons acheté un terrain sur lequel nous avons fait construire un complexe pour des gens comme vous. Nous en sommes les patronnes, et il n'appartient qu'à nous de décider qui rentrera dans ce complexe.
Nous avons baptisé ce complexe réseau SAD.
Et vous mes chéries, vous en êtes les premières membres.
D'ailleurs, vous en portez le symbole sur votre fesse et sur vos lèvres intimes.
Voilà la situation telle qu'elle se présente mes chéries.
Maintenant je dois vous dire que nous allons déménager, et allons partir dans quelques jours pour aller vivre là bas directement.
Il nous reste quelques formalités, à remplir pour le moment, mais sachez que nous partirons au maximum dans deux semaines.
Je vous demanderai donc dans quelques jours, de commencer à emballer, à ranger, tous les objets que je vous indiquerez.
Lorsque nous aurons déménagé, nous ne reviendrons plus ici. Sachez aussi que vous ne serez pas les seules à entrer dans ce complexe.
En effet nous choisirons des jeunes filles entre 20 et 35 ans, semblant avoir les mêmes comportements, les mêmes attirances, les mêmes penchants que vous.
Vous serez chargés de vous en occuper en dehors des soins que Diane, Armelle, ou moi même leurs donneront.
Tout est bien compris? Pas de question? "
Les jeunes femmes baissèrent la tête, puis après un moment elles murmurèrent un oui affirmatif.
Elles avaient reçu, à cette annonce, comme un coup de massue.
Savoir, que d'autres jeunes filles se feraient prendre dans les filets de ces trois femmes, les chagrinait, et même cette idée les dégoutait. Malgré cela, une pointe d'excitation était présente dans leurs bas ventres, ne demandant qu'à grandir, à se développer.
Sylvie les considéra pendant plusieurs secondes et ayant perçu leurs troubles, leurs dit :
" Quelque chose vous chagrine, mes chéries?
Si c'est pour vos futures autres camarades, ne vous inquiétez pas. Il est fort possible que vous soyez concernées pour les faire entrer dans le réseau."
Élise ferma les yeux tentant de penser à autres choses, Coralie quant à elle, essaya de repenser à ce qu'elle avait vécu ses derniers mois, mais pour chacune des deux jeunes femmes, les paroles de Sylvie revenaient sans fin et irrémédiablement à leurs esprits, accompagnées d'images floues, de leurs futures camarades subissant les tortures et les supplices des trois femmes qui les contrôlaient déjà.
Le téléphone sonna brusquement, rompant le silence.
Sylvie se leva et se dirigea vers celui-ci, en laissant Élise et Coralie sur place, agenouillées, attendant immobile.
Elle décrocha et discuta avec la personne qui l'appelait pendant un bon moment.
Pendant ce temps, Coralie passa sa main sur la hanche d'Élise. Celle ci lui attrapa la main et la serra de toutes ses forces. Coralie se rapprocha de son amie, et vint se coller contre elle.
Sylvie raccrocha.
Lorsqu'elle se retourna, elle vit ses deux protégées main dans la main, joue contre joue. Elle sourit.
" Mes chéries, j'ai une bonne nouvelle, je viens d'avoir Maître DURL, qui a réglé les derniers petits points de détails, et nous emménageons au réseau dans 8 jours."
Les deux jeunes femmes sursautèrent, et tentèrent de reprendre leurs positions initiales, mais Sylvie leurs fit un signe leurs indiquant qu'elle pouvait rester comme ça.
" Vous êtes très belles comme ça! Ça vaut une photo mes chéries ne bougez pas."
Elle se dirigea vers une commode, ouvrit un tiroir, duquel elle sortit un appareil photo. Elle vint se placer devant les deux jeunes femmes, se recula et après avoir cadré son objectif sur Élise et Coralie, déclencha l'obturateur et pris plusieurs clichés.
Elle vint se rassoir devant elles, déposa l'appareil sur la table basse, saisit Coralie par les aisselles et vint la placée sur sa cuisses gauche, et fit la même chose avec Élise et vint la mettre sur sa cuisse droite. Elle les serra contre elle. Les deux têtes vinrent se poser sur les épaules de Sylvie, qui les berça lentement sans bruit.
Elle embrassa longuement l'une et l'autre à plusieurs reprises.
Quelques minutes plus tard elle remit ses protégées par terre, en disant doucement :
" Aller, il est temps de se remettre au travail sinon vous ne pourrez pas profiter de votre après midi. Lorsque vous aurez fini, vous préparerez le déjeuner, il est noté sur le tableau de service."
Les deux jeunes femmes se relevèrent lentement et quittèrent la pièce.
Sylvie ferma les yeux pendant quelques secondes. Elle passa sa main sur sa poitrine, la laissa descendre sur son ventre et gagner son pubis, elle passa sous sa petite jupe et caressa la soie de sa culotte. Elle se rendit compte avec satisfaction que les derniers instants avaient provoqués une émotion qui avait eu pour signes principal, une mini inondation de son sous vêtements et de son intimité.
Ce sentiment la ravit, et la conforta dans l'idée qu'elle avait de ses soumises.
À l'heure du déjeuner, Coralie frappa à la porte, puisentra sur l'ordre de Sylvie.
"- Madame, dit la jeune fille, votre déjeuner est prêt.
- Bien ma chérie, j'arrive d'ici quelques instants.
- Bien madame. "
Coralie sortit de la pièce.
Sylvie continua à lire le livre qu'elle avait commencé depuis une dizaine de minutes, et après avoir fini le chapitre qu'elle avait entamée, elle se leva pour gagner la salle à manger.
Élise fit une révérence, et lui présenta une chaise.
Sylvie s'assit, et Coralie arriva quelques secondes après portant un long plat rempli de victuails qu’elle servit.
Elle mangea tranquillement, puis lorsqu'Élise et Coralie eurent débarrassé la table, elle leurs dit :
" Faites la vaisselle et rejoignez moi dans votre demeure. Lorsque vous aurez fini."
Elle se leva et sortit de la pièce, laissant les deux jeunes femmes finir de débarrasser et de ranger.
Lorsqu’elles eurent fini de tout nettoyer et que la cuisine et la salle à manger furent impeccables, elles descendirent dans leurs demeures, et vinrent se mettre aux pieds de Sylvie, qui était assise dans un fauteuil de la pièce, rangeant des bouquins dans un grand carton.
Lorsqu'elles rentrèrent Sylvie fit signe à Élise de se mettre sur la table, et à Coralie de s'agenouiller dans un coin de la pièce.
Elle s'approcha d'Élise, et la dévêtit intégralement. Elle la fit mettre à quatre pattes et relia le collier que portait la jeune fille, au mur par une chaine assez courte.
Elle fit signe à Coralie de s'approcher et la dévêtit également puis relia également le collier de la jeune fille au mur par une chaine de la même longueur.
Elle les regarda puis leur dit :
" Mes chéries, aujourd'hui, exceptionnellement, vous avez le droit de passer l'après midi dans le jardin. Mais je veux simplement que vous le passiez en tant que chienne soumise, donc je vais me permettre de faire en sorte que vous fassiez les chiennes comme je les aime."
Sur ces mots, elle enfourna dans la bouche de chacune de ses protégées, un appareil qui n'empêcha pas les jeunes filles de fermer ou d'ouvrir la bouche, mais d'articuler correctement. Elle leurs fit boire deux verres chacune dans lesquels, elle avait délayé un produit au préalable.
Elle fixa enfin aux anneaux des seins des lèvres intimes et du clitoris des deux jeune femmes des poids, ce qui provoqua des gémissements et des soupires.
Elle les détacha enfin, et les tira derrière elle jusqu'au perron.
" Aller, filez mes chéries, amusez vous bien, et monter la garde... "
Les deux jeunes femmes s'éloignèrent en marchant prudemment, toujours à quatre pattes, ce qui faisait balancer leurs fesses.
Sylvie les regarda pendant quelques minutes, se déplacer, s'éloigner... Elle vit Élise qui tenta de parler à Coralie, mais l'appareil que la jeune femme avait dans la bouche, ne lui fit sortir qu'un son guttural et monocorde, comme un grognement de bête.
Coralie, par réflexe essaya de lui répondre, mais elle aussi ne sortit qu'un son plaintif.
Sylvie rentra enfin, laissant ses deux protégées livrées à elle même dans le jardin.
Elle revint jeter de temps à autres un coup d'œil, afin de vérifier qu'il n'y avait pas de souci.
Elle surprit ses deux protégées se soulageant, ce qui lui confirma l'efficacité du produit qu'elle leurs avait administré.
Elle ne les fit rentrer que bien après que la nuit soit tombée, et une fois que les deux jeunes femmes ne se soient lavées l'une l'autre à coup de langues.
Elle les fit descendre dans leurs demeures, les fit manger, les équipa pour la nuit, et les enferma dans leurs cages.
Elle ne retira pas l'appareil de leurs bouches, afin d'être sûr qu'elles ne puissent pas communiquer entre elles de façon claire, puis elle sortit.
Les deux jeunes femmes tentèrent vainement de parler, mais fatiguées par leurs tâches de la matinée, et par le bol d'air de l'après midi, elles s'endormirent très vite.