Sensuelles aventures pour une même destinée 17 |
Par Julien Graves
f/f exhibition réticence humiliation
Chapitre 11 Une nouvelle amie.
Lorsque Coralie se réveilla, l'obscurité régnait encore dans la pièce. Elle entendait la respiration régulière d'Élise, qui devait, à ce qu’elle en jugea, dormir profondémment.
elle réfléchit à sa pauvre compagne, qui était tombé dans le piège de la réalité de ses comportements enfouis, qui l'avaient conduite ici, et qui ne l'avait fait devenir qu'une chose, un objet, dont on se sert, qu'on apprécie, qu'on casse, si il déplaît, et ne rempli pas sa missions à cent pourcent, et dont on se sert et que l’on jette dès qu'on en a plus besoin.
Elle savait très bien qu’elle suivait le même chemin, elle, qui était devenue ce qu'elle n'aurait jamais pu imaginer.
Elle comprenait maintenant, que si Sylvie, un beau jour ne voulais plus d'elle, elle serait vendue, tel une vulgaire peluche, une poupée, et il en serait de même pour son amie.
Coralie ne connaissait pas encore sa camarade, elle n'avait pas pu encore parler tranquilement avec elle depuis que Sylvie l'avait acheté et faite entrer chez elle, mais elle commençait à l'appréciée. Élise était une jeune femme sensible, jolie, et craintive comme une petite souris dans une cage d'un laboratoire scientifique.
Il y avait maintenant une semaine qu’Élise était arrivée, et les deux femmes ne se croisaient que pour sortir de leurs cages le matin, et y entrer le soir, toute deux bâillonnées, ce qui ne leur permettaient pas de communiquer entre elles.
Coralie, espérait malgré tout, que Sylvie après quelques temps leurs permettrait de travailler ensemble, et qu'elle pourrait en profiter pour apprendre à mieux connaître Élise.
Elle en était là de ses réflexions, quand elle entendit son amie remuait. Ce mouvement lui indiqua qu'elle était également réveillée.
Sylvie descendit bientôt et fit sortir Coralie de sa cage. Elle lui dona à manger, puis l'envoya se laver. Pendant ce temps elle fit sortir Élise, la fit manger, et lui enleva sa ceinture.
Elle la fit monter, et lorsque Coralie fut sortie de la salle de bain, elle la fit entrer pour qu'elle puisse se laver.
Sylvie rejoignit ensuite Coralie, vérifia son épilation, l'habilla de bas blanc transparent, d'un string, d'une guêpière moulante et d'une micro jupe en cuir, puis Elle la maquilla et la chaussa de talons aiguilles.
Elle sourit en regardant la jeune fille tendrement.
«- Tu es magnifique comme ça ma chérie.
- Merci madame, mais vous êtes d'une beauté qu’on ne peut égaler.
- Flatteuse! Souffla Sylvie.
Dit moi franchement, comment trouve tu Élises?
- Elle est très jolie madame! Vous avez fait un très bon choix.
- Oui ça je le sais. Mais en tant qu'soumise? Reprit Sylvie.
- Je ne saurais vous dire madame. Je ne suis pas digne d'en juger. dit Coralie en baissant la tête.
- Je te le demande ma chérie dit moi.
- Elle est très sensible. Et parfois elle est de ce fait émotionnellement débordée c'est sans doute pour ça qu'elle ne réagit pas forcément comme une soumise comme vous aimez en avoir.
- Moui c'est sans doute vrai. Mais à ton avis peut-elle progresser? Insista Sylvie.
- Je ne saurai vous répondre madame je ne la connais pas plus que vous.
Voulez vous que je lui parle ?
- Que voudrais-tu lui dire? Interrogea Sylvie surprise.
- Je ne sais pas madame mais peut être se confiera-t-elle plus à quelqu'un qui est à son niveau et avec qui elle ne risque pas de sanction directe.
- Oui ça peut être une idée ma chérie. Prononça Sylvie pensive.
Nous allons donc faire ceci. Vous allez travailler ensemble aujourd'hui, et essaie de voir ce qu'elle a dans la tête.
- Bien madame je le ferai si cela peut vous convenir.
- Bien agenouille toi là dans le coin, les mains sur la tête, en regardant le mur, je vais la chercher pour l'habiller et la préparer.
Ne bouge plus, je reviens. »
Sylvie sorti et revint bientôt, accompagnée d'Élise qui la suivait à petit pas.
Celle ci, encore complètement nue, et tentant de cacher sa nudité, avait placée ses mains devant son intimité.
Sylvie la fit asseoir sur la table que Coralie venait de quitter, et l'habilla d'un ensemble de vinyle, qui ne cachait rien de sa poitrine, et de sa fleur dont les formes se devinaient à travers et sous la jupe qu'elle portait. Elle la maquilla ensuite , la chaussa, puis elle la fit se mettre à genoux, avant d’appeler Coralie et de la faire s'agenouiller aux cotés d'Élise.
« Mes chéries, aujourd'hui, vous travailleraient ensemble. Ce matin tache ménagères, et cet après midi, nous verrons, nous ferons peut-être une promenade ou nous jouerons ensemble, tout dépends de votre travail, du temps de mon humeur. Enfin ça dépend de beaucoup de choses, et donc vous le saurez au moment voulu.
Pour l'instant taches ménagères pour toutes les deux.
Je veux que vous nettoyer par terre, au ré de chaussée et que vous fassiez mon lit en changeant les draps. Vous ferez les poussières partout et nous verrons ensuite.
Aller filez maintenant! Exécution!
Les deux jeunes femmes se levèrent, et d'un même pas montèrent l'escalier.
Après avoir préparées leurs matériels elles commencèrent à laver par terre conscencieusement.
Après une petite démonstration de la part de Coralie, les deux femmes prirent leurs serpières, se mirent à quatre pattes, et commencèrent à frotter le carrelage.
Après plusieurs minutes de travail en silence, Coralie s'arrêta et s'épongea le front
«- Il fait chaud non?
- Oui répondit furtivement élise.
- Ça va tu t'en sors?
- Oui
- Tu peux parler tu sais la maîtresse est sortie nous ne risquons rien.
- Oui
- Ça n'est pas trop dur?
- Non ça va.
- Non ! Je veux dire tu t'habitue ici?
- Il le faut je crois bien. Soupira élise
- Tu sais la maîtresses n'est pas méchante dans le fond.
- Peut être….
- Et tu sais, continua Coralie, si tu ne fais pas d'écart, et si tu fais ce qu'elle te demande tu verras qu'elle ne te punira pas pour rien. Et pour ma part j'ai découvert des choses étrangement agréables dont certaines dormaient en moi.
Si la maîtresse a voulu que tu sois là c'est que tu dois en avoir aussi.
- Mais pourquoi devons nous être à son service si elle n'a pas de but négatif?
- Ça je ne le sais pas tellement.
- Et comment es tu arrivée ici? Demanda élise.
- Et bien en fait, j'ai fait sa connaissance sur un chat par internet. Nous avons discutées, liées connaissance, puis amitié, et un soir je me suis confiée et je croie bien que j'en ai trop dit. nous nous sommes rencontrer près de chez moi. Tout de suite, je ne sais pas pourquoi ni comment l'expliquer, mais j'ai été impressionnée par sa façon d'être. Elle m’a invité à passer une journée chez elle, je suis venue, et lorsque nous avions bu un ou deux verres je me suis évanoui. Lorsque je me suis réveillée elle s'est présentée à moi comme tu la connais, et j'ai dû malgré moi me soumettre. Et toi ? C’est ton mari c'est ça?
- Et bien oui, je crois bien. D’après ce qu’a raconté la maîtresses, ça colle avec ce que j'ai vécu.
- C'est-à-dire ?
- J’ai dû il ya 5 ans, subir une intervention chirurgicale, et un an plus tard, de nouveau une intervention de contrôle.
Lorsque je suis entrée pour ce contrôle, je ne me sentais pas à l'aise et les évènements se sont bizarrement passés. J’ai été conduit au bloc opératoire, et à mon réveil je me suis retrouvé complètement impuissante face à des attouchements de la part des infirmiers et des médecins qui m'avaient opérée. J’ai été transférer dans un centre privé, et j'ai subit des examens. Puis, j'ai été réopéré contre mon gré. Lorsque je me suis réveillé de la deuxième intervention, j'étais de nouveau dans l'hôpital dans lequel j'étais entré la veille, avec mon mari à mes cotés.
Malgré ma position d'impuissance à me défendre contre ses attouchements, ceux ci m'ont procuré des sensations que je ne soupçonnais pas pouvoir exister.
Je ne sais toujours pas si c'était un rêve ou la réalité.
Et puis je suis sorti de l'hôpital. Mais ces sensations me manquaient même si ça n'avait été qu'un rêve, je ressentais le besoin d'éprouver de nouveau ce sentiment d'être impuissante d'une certaines façon, lors de mes moments intimes, j'ai donc fini par en parler à Bernard. Au début il n'a pas tellement compris ce que je voulais.
Nous avons fini par aller voir un conseiller qui nous a questionnés, et après nous avoir écoutés tous les deux, il nous a simplement dit que j'attendais plus à être guidé qu'à guider mon partenaire.
Bernard au début a fait des efforts c'est vrai, mais je crois maintenant que ça a dû lui peser trop. L'autre soir, il m'a préparé pour notre anniversaire de mariage un bon repas.
Et après avoir mangé nous avons bu un verre. Et puis je ne me souviens plus de rien, si ce n'est de me réveiller prisonnière, je ne pouvais plus bouger du tout, j'étais complètement momifiée et enfermé dans une boîte transparente. Au début, j'ai cru que Bernard me faisais une surprise, et que nous allions passer un bon moment si tu vois où je veux en venir. Enfin, on est venu chercher la boite, et on la placer dans un camion avec d'autres femmes enfermé comme moi dans des boites transparentes. Et après un assez long moment, on a descendu la boite dans laquelle j'étais et voilà que j'arrive ici. »
Tout en parlant, les deux jeunes femmes s'étaient remises à leur ouvrage.
«- Mais je ne comprends toujours pas trop la réaction de Bernard, de vouloir se débarrasser comme ça de moi, et pourquoi c'est moi qui ai été choisi. Reprit élise.
- Elle a sans doute eu des informations sur ton passé. Répondit Coralie. Tu sais je crois que la maîtresse n'est pas quelqu'un qui fait les choses sans prendre des renseignements et des précautions. Plus j'y réfléchis et plus je me dis que pour moi, elle m'a enlevée parce qu'elle savait pertinemment que j'étais seule sans aucune famille et aucune attache.
Ta beauté a dû jouée également.
- Oui mais quand tu pense à ce paramètre, rétorqua élise, d'après ce que j'ai pu voir, toutes les filles qui étaient dans les boites comme moi, n'étaient pas des laiderons bien au contraire.
- Oui je sais. Dit Coralie en souriant. D’ailleurs j'en faisais parti.
- Ah tu étais donc là ?
- Et oui j'étais là aussi.
- Mais pourtant d'après ce que j'ai compris, tu étais déjà ici avant? S’étonna élise.
- Oui, mais en fait, si tu veux je vais t'expliquer.
De toute façon tu devras passer par là, donc ....
Regarde ! »
En disant cela, Coralie posa sa serpières et fit descendre son haut sur son bras afin de découvrir son épaule.
Élise tourna la tête et voyant l'épaule de Coralie, poussa un cri d'exclamation et en lâcha sa serpières.
Coralie sourit tristement.
«- Mais qu'as tu fais? S’écria élise, Ça veut dire quoi? C’est quoi?
- En fait, répondit Coralie, c'est tout simplement le signe que je ne suis plus une femme libre. Et je crois bien que très prochainement tu auras quelque chose sur l'épaule qui y ressemblera très fortement.
- Mais je ne veux pas! S’indigna son amie.
- Je crois bien que tu n'auras pas le choix ma pauvre. C’est en fait un numéro qui te référence comme esclave, et avec ça sur l'épaule, tu appartiendras toujours à quelqu'un. S’il me prenait l'envie de m'enfuir, et que j’étais retrouvée, je serais arrêtée, on serait d'où je viens et on me ramènerait ici. »
Coralie réajusta son haut, et reprit son travail.
« Et encore j'ai eu de la chance dans mon malheur, reprit-elle, car la maitresse a été bienveillante avec moi. Elle m'a demandé mon avis pour rester ici où non.
- Et tu as dit oui, moi j'aurais dit non. S’écria élise surprise.
- Si j'avais dit non, j'aurais risqué soit, de voir sa décision confortée, car c'est elle qui a quand même le dernier mot. Et si elle m'avait suivie, j'aurais été vendue au marché aux esclaves.
Quand je dis vendue, je veux dire soit à quelqu'un de très riche qui m'aurait certainement considérée comme juste une chose, un paillasson, soit à un bordel, dans lequel j'aurais fini mes jours.
- Oui mais je crois que quelque soit notre réponse,, on n’est pas bien gâté.
- Oui peut être continua Coralie.
J’ai été tatoué lors de mon premier stage dans la ferme de madame Diane, une amie de la maîtresse,où tu iras très certainement faire un stage. Puis j'ai eu mon deuxième stage au centre de l’enfance.
- Parce qu’on a des stages à faire? Demanda élise toujours plus surprise.
- Oui, pour être reconnue comme esclave officiellement, tu dois avoir suivi au moins deux stages qui doivent être validés. Donc tu peux très bien devoir en faire plus. Mais il faut au moins en valider deux.
Et si j'étais dans le même véhicule que toi pour arriver ici, c'est que la maîtresse après être venue me récupérée au centre de l’enfance après mon stage, m'a emmené en ville. Et je me suis retrouvé là, comme toi en fin de soirée, momifiée dans une boite transparente. »
Les deux jeunes femmes continuèrent à parler tout en travaillant,et au fur et à mesure, Élise se détendait, commençant à prendre confiance en Coralie.
Celle-ci lui décrivit sa vie au quotidien depuis qu'elle était chez sa maîtresse. Élise posait des questions, s'étonnait, et lorsque celle ci apeurée par ce que lui disait Coralie, se figeait de stupéfaction, Coralie savait la rassurer.
Élise, même si elle craignait de subir et de vivre des choses comme celle que Coralie lui décrivaient, sentait néanmoins une sorte d'excitation la parcourir et la chatouiller.
La matinée se poursuivit et s'acheva lentement sur les discussions des jeunes femmes.
Sylvie rentra à son domicile en début d'après midi, et y pénétra silencieusement, en entandant ses deux soumises parler entre elles. Elle sourit, et s'approcha sans bruit.
Après avoir écouté pendant plusieurs minutes, elle repartit s'asseoir dans un fauteuil au salon, puis fit teinter une clochette.
En entendant ce bruit caractéristique, Coralie tressaillit.
«- Qu’est ce que c'est ?demanda élise.
- C’est la maîtresse. Elle est rentrée. dit Coralie.
Viens vite! »
Coralie se leva, et suivie d'Élise, entra dans le salon puis vint s'agenouillée aux pieds de Sylvie. Élise imita sa camarade, craignant trop de malfaire en tentant de prendre des initiatives.
«- C’est bien mes chéries vous êtes obéissantes, j'apprécie.
Vos taches sont elles finies?
- Pratiquement madame. Répondit Coralie.
- Comment pratiquement? S’étonna Sylvie.
Vous n'avez pas eu le temps de tout faire?
- Euh c'est à dire que...balbutia élise.
- Bon, bon, bon heureusement que j’ai déjeuné en ville et que je ne compte pas sur vous pour le repas. Soupira Sylvie.
Élise, va finir le ménage dépêche toi. Toi Coralie prépare moi un rafraîchissement. »
Les deux jeunes femmes disparurent rapidement,
Et Coralie revint quelques instants après, avec un plateau sur lequel elle avait posé un verre et une bouteille. Elle s'agenouilla aux pieds de Sylvie, et attendit que celle ci lui demande de la servir. Sylvie ne prêta pas attention à elle pendant un moment, plongée dans la lecture d'une brochure qu'elle avait sortie de son sac, et dégnant la regarder après plusieurs minutes, elle lui dit enfin
«- Vas’ y tu peux servir.
- Merci madame. »
Coralie posa le plateau sur la petite table, remplie le verre, et le présenta à Sylvie.
Celle ci le saisit, et bu. Lorsqu’elle l'eu fini, elle le rendit à Coralie qui le reposa sur le plateau.
«- Désirez-vous un autre verre madame? S’enquit Coralie.
- Non merci tu peux débarrasser. Et lave le verre immédiatement. Répondit Sylvie.
J’ai du matériel à préparer en bas. Rejoignez-moi lorsque vous aurez fini. Et pas dans une heure. Dans dix minutes je vous veux en bas.
- Bien madame. »
Coralie se leva et emporta le plateau à la cuisine. Elle le débarrassa, rangea la bouteille, lava et essuya le verre, le rangea, et revint dans le salon pour passer un coup de lavette sur la petite table. Sylvie n'était plus là. Elle revint dans la cuisine, rangea la lavette, et rejoignit Élise qui finissait les poussières, du rez de chaussée.
«- Tu crois qu'elle est fâchée? Demanda élise.
- Euh je ne sais pas trop si elle est fâchée mais à mon avis on va devoir accepter ses fantaisie de l'après midi. Répondit Coralie.
- Et quelles sont-elles?
- Je n'en sais rien. On ne sait jamais avant d'être sur place et de plus pouvoir y échapper.
Allez rangeons, et descendons elle nous attend. »
Les jeunes femmes débarrassèrent et remirent en place les serpières, les seaux, et les autres choses dont elle avaient eu besoin avant de descendre dans leurs demeures.
Arrivées devant Sylvie, elle se prosternèrent. Sylvie les contempla pendant quelques instants, avant de se lever en disant .
« Relevez-vous et déshabillez-vous. »
Les jeunes filles obtempérèrent, et déposèrent sur la table leurs vêtements correctement pliés, puis reprirent leurs positions de soumission.
« Mesdemoiselles, je ne suis pas contente de vous. Vous avez eu toute la matinée pour faire quelques taches ménagères et vous en avez profité pour trainer ce qui vous as mis en retard.
Mais bon nous verrons comment vous serez sanctionné plus tard.
Pour l'instant je veux tester du matériel que je viens d'acquérir. »
Elle les fit lever et les plaça face à face. Elle relia leurs colliers par une chaîne métallique, leur entrava les mains dans le dos ainsi que leurs chevilles.
Elle les équipa des ceintures qu'elles avaient porté la nuit même, en leurs plaçant des sexes métalliques d'un diamètre impressionnant dans leurs fondements et leurs fontaine d’amour, ce qui fit lacher aux jeunes femmes de petit cris lorsqu'e les objets pénétrèrent en elles. Sylvie bloqua les falus en tendant et en verrouillant les chaînes sur les ceintures.
Elle plaça ensuite un tube sur chaque téton de Coralie, et plaça l'autre extrémité des tubes sur chaque téton d'Élise.
Elle leurs plaça un gros bâillon à chacune de façon à ce qu'elle ne puissent plus émettre aucun son, et appuya enfin sur un bouton situé sur un boitier placé au centre des tubes avant de se rasseoir dans son fauteuil en disant.
« Vous voilà prête mes chéries.
Vous allez pouvoir tester la machine à faire danser les soumises. »
Immédiatement, les deux jeunes femmes poussèrent un petit cri en sentant leurs tétons aspirés vers l'intérieur des tubes. Elles étaient maintenant reliées par la chaine tendue entre leurs colliers, mais également par leurs seins qui s’étiraient l’un vers l’autre, aspirés par une force invisible et incontrolable.
Élise regarda Coralie d'un air complètement affolée, mais celle ci tenta de la rassurer d'un clin d'œil.
Soudain leurs corps fut traversés d'un long spasme. Suivit d'un long gémissement. Les godes qu'elles avaient en elle vibraient.
Leurs corps se tordaient, secoués par des spasmes de plaisir. Elles se tortillaient toute deux en gémissant.
Au plus elles se tortillaient, au plus la douleur sur leurs ceins qui étaient aspiré dans les tubes, se faisait présente, et plus elles gémissaient. Après quelques instants, elles étaient toute deux, complètement crispées par la douleur et l'excitation mélangés, leurs courbes fémines ondulant, tréssautant, et dansant sous les impulsions des instruments dont elles avaient été équipé. .
Après quelques minutes, Élise, ne sachant plus tenir debout, tomba à genoux et emporta Coralie avec elle
Elles tentèrent de se remettre debout, mais retombèrent emportées par un orgasme aussi soudain que violent.
Elles ne tardèrent pas à en avoir un second puis un troisième.
Sylvie fit un geste, et les cylindres arrêtèrent enfin leurs vibrations infernales.
Les deux pauvres soumises étaient allongées sur le côté, obligé de se faire face, reprenant peu à peu leurs respirations et leurs esprits.
Sylvie appuya sur le bouton, situé sur le boitier placé sur les tubes, et libéra les seins des jeunes femmes, qui restèrent violacés et excessivement étirés.
Elles les débarrassa ensuite de leurs ceintures, et hotta les pénis factis maintenant profondément implanté en elles, avant de les faire s'agenouiller, et leurs retirer leurs baillons.
«- Merci madame s’écria élise.
- Oh oui merci madame de nous avoir permit de monter si haut pour votre plaisir. Réussi à articuler Coralie dans un soupire. »
« je vois que ce matériel est très efficace.
Maintenant il vous faut nettoyer vos cochonneries. »
Elle présenta devant les deux jeunes femmes, les quatre godes dégoulinant de leurs jus de plaisir, et colorés d'un liquide sombre.
« Vous aller chacune nettoyer les instruments de l'autre. »
Joignant le geste à la parole, elle présenta devant Coralie les objets quelle venait de retirer du corps d'Élise et présenta à Élise ceux qu'elle avait retiré du corps de Coralie.
Les jeune filles se regardèrent pendant un instant, regardèrent Sylvie puis ouvrirent la bouche. Celle-ci leur enfourna les instruments à l’intérieur, les enfonçant pratiquement au fond de leurs gorge.
Élise, trop craintive de pouvoir faillir aux ordres qu’elle recevait, imitait plusse sa nouvelle amie qu’elle obéissait à sa maitresse. Coralie eu une grimace de surprise en sentant le goût étrange qui emplissait sa langue, mais s'appliqua à lécher consciencieusement sérvilement les sexes encore chaud, en tachant d’emporter tout ce qui les souillait.
Une fois les objets propres, Sylvie les reprit, les rangea, puis se tourna vers ses deux esclaves restées au sol.
« Pour le reste de l'après midi, je vous veux toute deux chiennes, entièrement obéissantes. C’est bien compris ?. »
Elles mit une laisse à leurs colliers après les avoir libéré de leurs entraves, et les fit monter au ré de chaussée. Les deux filles suivaient comme elle pouvaient à quatre pattes, leurs genoux et leurs poignets heurtant brutalement le sol dur, et leurs ocasionnant des bleus voir des écorchures.
Sylvie sortit dans le jardin, Coralie et élise à sa suite, et après avoir détachait les laisses de ces deux soumise, elle s'assit dans un fauteuil en les regardant s’éloigner.
Élise suivit Coralie dans la pelouse, mais celle-ci lui glissa à l'oreille.
« Il vaudrait mieux que tu reste à quelques mètres, afin qu'elle ne voit pas que tu reste à proximité. On risquerait une punition. »
Élise s'écarta donc de quelques pas, fégnant de regarder ailleurs et de sentir quelques plantes auprès d’elle.
Coralie pour sa part, sentit subitement sa vessie se contracter. Elle savait qu'elle ne devait pas parler, sous peine d’être punie.
« Une chienne ne parle pas »
lui avait déjà dit Sylvie.
Elle se dirigea donc vers un coin du jardin et s'accroupit auprès d'un arbre.
Elle se ravisa en entendant Sylvie lui crier.
« Que fais tu ? Une chienne ne se met pas accroupi que je sache! «
Coralie reprit sa position quadrupédique et dû se soulager ainsi, le feu aux joues, puis vit qu’Élise la regardait de loin, ce qui la fit rougr de plus belle.
Après un instant d’intense honte, elle se pétrifia alors qu’elle allait quitter son arbre, en voyant Élise se tortiller drôlement, avant de partir rapidement vers le fond du jardin. Elle n'en avait pas parcourut la moitié,, lorsqu'elle dû s'arrêter brusquement. Coralie compris la cause de ses tortillements, en voyant son amie écarter largement le compas de ses cuisses, son postérieur se baisser, puis son œillet se dilater et enfin éclore pour laisser passer une masse brunâtre, qui roula et s’écrasa au sol dans un bruit mou, avant qu’une autre, puis une deuxième la rejoigne.
Après quelques minutes, élise revint auprès de Coralie, rouge de honte et de confusion.
« C’est très bien mes petites chiennes allez aux pieds! Dépêchez vous. »
Les deux jeunes filles se hâtèrent et arrivèrent bientôt aux pieds de Sylvie, qui leurs caressa les cheveux pendant quelques instants, puis Elle se redressa et repoussa les deux jeunes filles du bras en disant
« Il va falloir vous nettoyer après ce que vous venez de faire. Vous n'avez qu'à vous nettoyer l'une l'autre, je ne vais pas gaspiller du savon pour vos saletés. »
Les deux jeunes filles se regardèrent, interdites.
« Oui allez petite salope vous allez aimer ça j'en suis sûr! Dépêchez vous!
De toute façon, nous ne rentrerons pas, enfin vous ne rentrerez pas avant de vous être nettoyer l'une l'autre, alors exécution! »
Elles se reculèrent timidement d'un pas, puis Coralie se tourna lentement et présenta le dos de ses cuisses à son amie.
Celle ci se pencha, hésitante, et approchant ses lèvres de l'intimité de sa camarade, sortit sa langue, pour venir la poser sur la fente intime qui était devant elle.
Lorsqu’elle entra en contact avec l’intimité de son amie, Élise commença à donner des petits coups de langues, en les appuyant petit à petit,sur l’invitation de Coralie, qui frémissante sous ses attentions, écartait les cuisses d'avantagent pour lui faciliter sa tache.
Le goût de la sueur intime de son amie ne dégouta pas Élise, elle trouva même ça agréable, Ce qui la surprit d'aimer des choses qu'elle avait toujours un peu refusé de goûter, jugeant que ces actes n’étaient que réserver à des jeunes filles de petites vertues.
Lorsqu’elle eu fini, elle se retira des cuisses de Coralie, et se tourna à son tour.
Coralie pivota également, et se retrouva le nez pratiquement sur le bouton d'or d'Élise.
Elle insinua sa langue entre les fesses de son amie, et la passa à plusieurs reprises sur ses orifices, afin de récupérer les parcelles de la matière sombre et odorante qu'avait enfantée sa compagne. Elle eu une grimace de dégoût lorsque ses papilles entrèrent pour la première fois en contact avec cette matière encore molle et fraiche, mais surmontant son dégoût, elle continua, et s'activant de sa langue eu bientôt lavé la rée et le trou d'Élise.
Lorsqu’elles se tournèrent vers Sylvie, selle ci était aux anges de voir ses soumises s'humilier de cette façon devant elle.
« Bien nous allons pouvoir rentrer il se fait tard. »
Elle rattacha leurs laisses et les fit rentrer, en les les laissant dans le vestibule après avoir attaché leurs laisse à la poignée de la porte, et disparut pour revenir bientôt. Elle leur jeta deux minuscules tabliers de latex blanc.
« Allez enfiler ça ! Dépêchez vous ! Assez joué! »
Elles obéirent sans discuter, et enfilèrent les petits vêtements, pendant que sylvie leurs hottaient leurs laisses
« Allez ! à) la cuisine pour le diner ! Le programme est au mur ! Exécution ! »
Les deux jeunes femmes se hâtèrent de rejoindre la cuisine, préparèrent le diner de Sylvie sans un mot, le servirent, attendirent que Sylvie eut mangée, et débarrassèrent la table, pour rejoindre Sylvie au salon lorsque cette dernière les appela, en s'agenouillant puis se prosternant à ces pieds.
« Mes chéries, je voulais vous prévenir que demain matin Élise part pour effectuée son premier stage chez madame Diane.
Elle a accepté de bien vouloir te prendre en apprentissage, et tu devras lui obéir comme si tu lui appartenait.
C’est bien compris ?
- Oui madame. Répondit élise en baissant la tête.
- ça sera un stage de 15 jours. Tu verras tu y apprendras beaucoup de choses.
Maintenant il faut aller dormir. La journée a été longue pour vous et risque fort d’être aussi dure demain voir plus. »
Elle les fit descendre dans leur demeure, et après les avoir fait se
Déshabiller, les équipa des ceintures ainsi que des falus dans leur intimités et leurs rosettes, elle les bâillonna et leur entrava les poignets et les chevilles, pui les fit entrer dans leurs cages, arima la chaîne de leur poignet à un anneau celé dans le sol, ferma les portes soigneusement, et sortit enfin, après leurs avoir souhaité une bonne nuit.
Coralie tenta de percer l'obscurité de la pièce pour voir son amie, mais n'y parvint qu'à peine, ne la distinguant que très faiblement. Elle toussota donc pour se signaler, et son amie lui répondit par un petit bruit identique.
Coralie s'endormit peu après, tout en pensant qu'elle était bien contente d’avoir trouvé une nouvelle amie, avec laquelle elle partagerait toutes ses émotions, et qu'elle ne se sentirait plus aussi seule qu’elle avait pu l’être.