suviant
Sensuelles aventures pour une même destinée 16
précédant

Par Julien Graves

 

f/f exhibition réticence humiliation

 

Chapitre 10 Une visiteuse.

 

Coralie avait dormi très profondément, malgré la douleur toujours présente, des zébrures laissées par les coups sur sons corps, qui lui mordaient les chairs. Elle s’était réveillée quelques minutes avant que Sylvie n’arrive pour la libérer, mais elle était rester immobile, les yeux clos, jusqu’à son entrée, afin de savourer les quelques instants de calme qui s’offraient à elle.
Lorsque Sylvie lui eût ouvert la porte de sa cage, Elle en sortit péniblement, car chaque mouvement lui était difficile tellement ses muscles étaient ankylosés, et meurtris.
La jeune fille suivit Sylvie jusqu'à la salle de bain, où elle se lava soigneusement, mais en tournant la tête ver le miroir, elle ne pu s’ empêcher de frémir en voyant les marques rouges et violacées qui lui traversaient la poitrine, les épaules, et le ventre.
Une fois être redescendue  dans sa demeure, Coralie se plaça sur la table maintenant traditionelle, pour que Sylvie  l'habille et la maquille.
Cette dernière  fixa Coralie dans les yeux pendant plusieurs secondes, sourit, et lui dit
« -Ma chérie, aujourd'hui je vais te donner une tache spéciale, car il risque d'avoir une personne de plus chez nous.
Vient avec moi. »
En prononçant  ces derniers mots, elle entraîna Coralie vers l'escalier, Elle traversa la maison, sortit dans le jardin , le traversa et arriva devant la porte qui donnait sur la cave, dans laquelle Coralie s'était réveillé après son sommeil forcé au jour de son arrivée, avec la jeune fille sur ses talons.
Sylvie ouvrit la porte, puis entra, et descendit l'escalier toujours suivit de Coralie.
L’obscurité régnait, d’un noir d’encre, mais Sylvie appuya sur un interrupteur et la lumière s'alluma dans la pièce.
Coralie sursauta immédiatement en découvrant le spectacle qui était devant elle, et  comprit pourquoi Sylvie lui avait dit qu'il y aurait une visite.
Au milieu de la pièce, un coffre transparent couché, comme celui dans lequel elle avait passé un long moment la veille, et à l'intérieur, une jeune fille peut être un peu plus âgée qu'elle, nue,
Complètement momifiée, incapable de bouger, les yeux ouverts, la regardait.
«- Je te présente Élise ma chérie, dit Sylvie, je l'ai  acheté hier lors de l'exposition à laquelle vous avez toute les deux participées. Et dans laquelle vous vous êtes fait remarquées.
Elle a 28 ans, donc quelques années de plus que toi.
Elle a été mise en vente par son mari qui désirer changer de femme car Élise avait un comportement trop soumise, et que ça ne lui convenait pas, d'après ce qu'il disait,.
Il l'a donc amenée après l'avoir endormi, et moi je l'ai acheté.
Elle n'est pas éduquée, mais nous allons remédier à cela ensemble ma chérie non?
- Madame je ne suis que votre humble servante, répondit Coralie, je ferai ce que vous me direz. Même si je ne sais si étant votre soumise j'ai le droit de pouvoir avoir le contrôle de quelqu'un d'autre.
- Non bien sur pas en permanence ma chérie, car Élise n'est pas à toi mais à moi. Cependant nous allons l'éduquer ensemble.
Pour commencer pendant que je vais remplir son dossier, tu vas la délivrer de ce coffre et de ses bandages. Puis tu lui passeras ce collier et ses chaines et tu l'amèneras dans ta demeure, qui deviendra non plus la tienne, mais la vôtre.
- Bien madame, il sera fait selon vos désires. »
Coralie baissa la tête.
Sylvie sortit de la pièce, et Coralie restée seule devant le coffre, respira profondément, en regardant ce corps offert devant elle, impuissants et inofensif.
L’idée que Sylvie aurait une seconde fille à ses pieds ne l'enchantait guère. non qu'elle soit jalouse d'une autre qui pourrait prendre sa place, mais l'idée qu'une autre jeune fille ce soit fait piégée parce qu'elle avait tendance à se laissée guidé à certains moments, et qu'à présent elle soit contraintes à suivre un chemin tortueux sans pouvoir décider elle même de son avenir, la dégoûtée.
Même si elle aimait Sylvie, car elle savait qu'elle ne pouvait pas le nier, elle en était tombé amoureuse sans s'en rendre compte, elle ne pouvait comprendre qu'avoir quelqu'un sous sa joue était source de plaisir et de bien être.

Elle se décida enfin à ouvrir le coffre, et petit à petit, enleva les bandages entourant la jeune fille.
Une fois complètement libérée la jeune fille frissonnait.
Elle n'osait bouger.
Coralie articula doucement
« À genoux! Dépêche-toi ! »
La jeune fille la regarda interdite.
«- Dépêche toi je t'ai dit. Insista Coralie en rougissant.
Si tu ne veux pas avoir d'ennuis, et que je n'en ai pas non plus, alors obéis moi.
- Mais, mais qui êtes vous? Demanda élise.
- À genoux et je te réponds s'il te plaît. Reprit Coralie,  si elle revient nous sommes très mal je peux te le dire.
- Mais qui reviendrait ? mais… s’inquiéta élise.
- Chut elle va t'entendre. Souffla la pauvre Coralie un peu affolée.
Aller, s'il te plaît, je te le demande, mets toi à genoux.
- Mais, mais bon très bien mais vous me dites qui vous êtes. Bredouilla La jeune fille en se  mettant à genoux lentement
Coralie s'approcha, sourit tristement, puis se mit à genoux à son tour.
« - Je suis Coralie, et je ne te veux pas de mal, bien au contraire tu sais. Je peux simplement t’assurer que si tu suis et fait et tout ce que l'on te dit, tu n'en aura pas
- Mais que me racontez vous je ne comprends pas. Et où est Bernard?
- Bernard c'est qui?
- Mon mari bien sur?
- Euh je crois bien qu'il n'est pas ici et que tu ne le reverras pas de si tôt.
Tutoie-moi s'il te plaît.
- Si tu veux mais je ne comprends toujours rien.
- Ne t'inquiète pas et ne bouge pas. »
Coralie saisit le collier et le passa autour du cou de la jeune fille, puis le referma. Celle ci tenta de se dérober mais il était déjà trop tard.
« - Et voilà. Je suis désolé mais j'obéis aux ordres. dit tristement Coralie.
- Mais que fais-tu? Vas-tu m'expliquer?
- En fait, tu es chez une dame qui s'appelle Sylvie.
Elle est devenue ma maîtresse après m'avoir soumise malgré moi, et elle vient de devenir la tienne.
- Pardon? Mais c'est n'importe quoi!
- Malheureusement non.
Il va falloir y aller, sinon je vais me faire taper sur les doigts et toi aussi.
Lève-toi s'il te plaît?
- Mais aller où? Je ne veux pas te suivre, et d'ailleurs je rentre chez moi. »
En disant cela, Élise se leva et fit quelques pas vers la porte.
Coralie lui attrapa le bras et tenta de la retenir.
« Non, non, non, reste s'il te plaît on risque d'avoir de gros ennuis. »
Élise fit un geste de la main pour écarter Coralie, mais celle ci plongea dans ses jambes et la fit tomber.
Avant que la jeune femme pu s'en rendre compte, Coralie, lui passa les menottes autour des chevilles et des poignets.
«- Mais, mais, que fais tu! Relâche-moi, dépêche-toi, allé! S’écria élise.
- Non, non, il faut y aller maintenant aller je t'aide à te mettre debout et tu me suis.
- Mais non mais non!
- Mais si je dois t'emmener et je ne peux pas faire autrement. »
Après plusieurs minutes, Coralie réussit enfin à convaincre Élise de la suivre.
Élise se leva et Coralie l'entraina après lui avoir attaché une chaîne au collier.
Elle la guida à l'extérieur, à travers le jardin et la fit entrer dans la maison. Elle la fit descendre en lui disant à l'oreille
« Nous descendons chez nous. »
Arrivée dans la pièce, Coralie s'approcha de Sylvie qui remplissait des papiers à une table, et fit s'agenouiller la pauvre Élise qui ne savait  plus du tout quoi faire ni quoi penser.
Elle s'agenouilla à son tour, et se prosterna en disant
«- Madame, voici Élise que vous avez acquit hier, et que je vous amène.
- Merci ma chérie, c'est bien! Tu es brave et obéissante. »
Coralie se redressa et recula lentement
«- Ma chérie, mets toi là dans le coin à genoux, les mains sur la tête, en regardant le mur.
- Bien madame. »
Coralie vint se placer à l'endroit et dans la position demandée, pendant que Sylvie se tournait vers Élise.
« - Alors tu as bien dormie?
- Euh, oui, mais je ne veux pas rester ici. S’entêta élise.
- Ah  bon et tu veux faire quoi?
- Partir et reprendre ma vie.
- Mais ta vie est ici maintenant.
- Mais non!
- Mais si! Regarde Coralie elle est bien ici? N’est ce pas ma chérie?
- Oui madame. Approuva Coralie.
- Mais moi je ne veux pas! Je ne veux…  
- Bon c'est bon maintenant tu te tais! Coupa Sylvie
- Non je ne me tairai pas
- Si ! tu te tais avant que je me fâche
- Non, non. « 
Sylvie se leva, et au moment où Élise ouvrait la bouche pour parler,
Elle lui appliqua une paire de gifles magistrales.
La jeune femme n'eu pas le temps de réagir,
Qu’elle avait déjà un bâillon qui lui emplissait la bouche et les joues, et lui bloquait toute parole.
« Alors maintenant tu vas m'écouter sagement petite salope.
Tu n'es plus qu'une esclave une chienne, comme Coralie, et tu me dois obéissance, respect, et soumission.
Lorsque je dis quelque chose, tu n'as pas le droit de discuter. Tu dois accepter et ramper à mes pieds comme une larve que tu es.
Est-ce bien compris? »
Élise ne bougea pas.
En un éclair, elle reçu un coup de cravache sur les fesses.
Elle sursauta mais garda sa position.
« As-tu compris? »
Elle ne bougea toujours pas
Cette fois, elle reçu un coup de cravache sur chaque sein, en plus de deux autres sur les fesses.
Élise tenta de résister encore, mais après quelques minutes, elle Ocha la tête anéantie par les coups de plus en plus violent et fort, son courage et sa fièreté craquant sous le traitement de la cravache.
« -Coralie, viens ma chérie! Demanda Sylvie. »
Coralie s'approcha, toujours à genoux,les mains sur la tête, yeux baissés vers le sol.
« Nous allons la mettre sur cette table là bas. »

Coralie aida Sylvie à porter Élise tétanisée par la peur et les coups, sur la table qui avait été désignée. Sylvie attacha la pauvre jeune fille, encore choquée par la violence  qu'elle venait de subir, les bras et jambes en croix, puis l'épila intégralement, comme elle l’avait fait avec Coralie lors de son premier jour dans cette propriété.
Elle la détacha, la fit s'asseoir, et se tourna vers Coralie.
« Ma chérie, tu va l'emmener et la laver intégralement. Elle doit être propre pour mettre ses vêtements de poupée. »
Coralie fit une révérence, puis mena Élise jusqu'à la salle de bain, la fit monter dans la baignoire, et la lava complètement. Élise ne bougeait plus complètement paralysée par la peur et le stress, n’osant plus prononcer le moindre son.

Lorsqu’elle fut propre, Coralie la sécha et la fit redescendre dans leur demeure. Elle l'amena près de Sylvie qui l'habilla, et enfin la maquilla.
Coralie regardait cette scène, se remémorant les sensations qu'elle avait éprouvaient lorsqu'elle était pour la première fois à la place même d'Élise.
La journée se déroula sans complications pour Coralie ni pour la pauvre Élise, qui n'osait plus dire ou faire quelque choses de peur de recevoir encore la cravache en retour.
Le soir arriva donc bientôt, Sylvie fit manger Coralie dans sa gamelle, et en présenta une autre à Élise, qui à contre cœur, dû imiter sa compagne.
Une fois que les deux jeunes femmes eurent avaler leurs repas, Coralie dû sur l'ordre de Sylvie, déshabiller intégralement Élise, puis aida ensuite Sylvie à lui installer une ceinture comme celle qu'elle portait régulièrement, équipée également d'une chaîne passant entre ses cuisses et remontant entre ses fesses afin d'interdire l'accès aux parties intimes de la porteuse.
Une  fois Élise équipée, Sylvie montra à Coralie comment tenir les hanches de la jeune fille, pendant qu’elle  enfonçait sans trop de douleur les falus  métalliques dans les orifices intimes de la jeun femme.
Celle ci hurla de douleur lorsque le cylindre froid perça son anneau culier, mais son hurlement fut étouffer par le bâillon qu'elle portait toujours.
Après avoir complètement verrouiller la ceinture d'Élise, elle lui entravèrent les poignets et les chevilles avec des menottes, puis la firent entrer à quatre pattes dans une cage, à quelques mètres de celle de Coralie, et lui attachèrent les menottes qu'elle portait aux poignets à un anneau sellé au sol.
Elles refermèrent la porte à clé et la double verrouillèrent avec un code que Sylvie composa.
Sylvie prépara ensuite Coralie pour la nuit après que celle ci se soit déshabillée à son tour, puis lui passa une ceinture identique à celle d'Elise, en disant:
« Il n'y a pas de raison que tu n'en porte pas si Élise en porte une. »
Puis la fit entrer dans sa cage pour la nuit et lui glissa à l'oreille avant de sortir
« Tu va voir nous allons passer de bons moments à trois. »
Coralie entendit sangloter Élise, et se revit quelques
Mois auparavant lors de ses premières nuit dans cette prison. Puis après quelques minutes elle s'endormit.

jujudoka@free.fr

 

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