suviant
Sensuelles aventures pour une même destinée 15
précédant

Par Julien Graves

 

f/f exhibition réticence humiliation

 

Chapitre 9 Soirée en ville.

 

Après avoir roulé pendant quelques temps à travers le flot interminable de la circulation habituelle d’une fin de journée,  , les deux femmes se garèrent dans une grande rue du centre ville.
La nuit commençait à tomber lentement,  et les rues s'emplissaient peu à peu de badauds marchant au hasard,ou prenant place aux terrasses des cafés et autres restaurants des longues avenues illuminées.
Sylvie descendit de voiture, et ouvrit la portière arrière, pour que Coralie sorte à son tour du véhicule.
Elle attrapa la laisse qui pendait toujours au collier de  sa compagne et toutes deux longèrent le trottoir pour finalement entrer dans un restaurant, et  s’installer à une table libre.
En s'asseyant, Coralie  ressentit encore les lancinantes morsures des coups qu'elle avait reçu lors du stage qu'elle venait de suivre.
Sylvie caressa la main de Coralie en la regardant dans les yeux.
« Alors ce stage ma chérie? Tu as appréciée? »
Coralie baissa la tête.
«- Euh oui madame. Répondit-elle.
- Raconte-moi ça ? »
Coralie relata les évènements qui s’étaient déroulés  depuis que Sylvie l'avait laissé chez l'homme qui devait officialiser son appartenance, jusqu’à leurs retrouvailles, en détaillant comment elle avait été emmené avec d'autres jeunes filles au centre, comment elle avait été examinée à son arrivée, son séjour en nurserie, puis son séjour à l'école, les leçons qu'on lui avait données, les punitions qu'elle avait reçue à la moindre erreur qu'elle faisait.....
 « -Qu’en tires-tu de ce stage, ma chérie?
- euh que je dois obéir en tout point à ce qu'on me dit ou demande, que mon esprit et mon corps ne dépendent que de la bonne volonté de la personne à qui j'appartient et que je dois satisfaire, dit la jeune fille se surprenant elle-même de ses paroles.
- Ça me semble bien pour un premier ressenti. Se réjouit Sylvie. »
Un serveur s’approcha, pris leurs commandes, et après quelques minutes, revint pour  déposer deux assiettes devant les deux femmes.
« - Vas’ y mange ma chérie.»
Coralie pris sa fourchette,  mais hésita à manger la nourriture délicate qu’elle avait face à elle, et à laquelle elle n’était plus habituée.
 « Allez mange, tu peux ma chérie! Pour une fois! Mange! Mange! Vassy! »
Coralie baissa la tête
«- Merci madame de me permettre cet honneur.  Je vous suis reconnaissante de bien vouloir m'accepter à votre table et de me traiter ainsi.
- Allez dépêche toi, insista Sylvie, ça va être froid. »
Coralie commença donc à manger. Elle n'avait pas mangé aussi bien, ni de cette façon,  depuis le premier jour  où elle était entré chez Sylvie.
Ellles mangèrent lentement, en se lançant de petits regards à la dérobée. après un moment, Sylvie l'interrompit en lui disant.
« Je dois aller au VC! Viens! »
Coralie posa ses couverts, s’essuya la bouche, se leva, et suivit sa compagne en trottinant sur ses escarpins qui lui donnaient beaucoup de mal pour garder son équilibre.
Elles traversèrent la grande salle du restaurant qui commençait à se remplir abondemment de couples, de familles, et de groupes de personnes plus ou moins jeunes.
À chaque pas que faisait Coralie, celle ci sentait des regards se posait sur elle, sa tenues très ouverte, dévoilant la quasi-totalité de ses courbes féminines.
À son passage, des hommes et des femmes sourirent à la vue de cette image provoquante, Un homme alla même jusqu'à tendre le bras et lui toucha les fesses, d’autre personnes en revanche se turent, en marquant l’indignation sur leurs visages, mais la jeune fille ne réagit pas, et continua son chemin pour ne pas se laissé distancé par Sylvie.

Arrivée dans les toilettes pour dames, Sylvie poussa Coralie dans l'un des cabinets, et  entra avec elle puis referma la porte au verrou.
Elle l'embrassa pendant une bonne quinzaine de secondes. Sa main passa sous la jupe de Coralie, caressa la fente de celle ci, puis remonta sur ses fesses.
En sentant cette caresse, Coralie tressaillit, lorsque la main toucha les
Zébrures laissé par la règle.
« Enlève ton string et montre-moi ces marques qui te font souffrir.  Lui chuchota-t-elle à l’oreille de la jeune fille.»
Coralie obéit, se tourna, et souleva sa jupe.
Sylvie passa sa main sur la croupe de sa compagne, qui frissonna à son contact.
« Écarte un peu tes cuisses ma puce, je vais te préparer pour la suite de la soirée. »
Coralie obtempéra, et sentit s'enfoncer deux objet  aux creux de ses reins, ainsi que dans sa grotte d’amour.
Elle sentit ensuite que Sylvie lui fixait une ceinture à la taille, sur laquelle pendait un petit appareil auquel étaient reliés les deux objets, puis  Sylvie fit enfiler à sa protégée une culotte de latex qui empêcha ces derniers de pouvoir sortir de ses orifices.
Sylvie se redressa et pris Coralie dans ses bras en  l'embrassant tendrement.
« Tu vas voir nous allons passer une très bonne soirée. »
Alors que les deux femmes sortaient des VC, une dames qui entraient au même moment, regarda de travers Coralie et maugréa quelques mots à son intension, mais les deux femmes regagnèrent leurs places, et reprirent  leurs repas.
Coralie cru s'étouffer et lâcha sa fourchette, lorsqu'elle sentit les objets en elle, gonfler comme des ballons de baudruche.
Après environs 20 minutes, Coralie était obligé d'écarté largement ses cuisses pour supporter la dilatation imposé par le gonflement des objets, qui lui procuraient une douleur sourde et lancinante dans le bas ventre.
Elle  poussa un petit cri lorsque l'objet dans son  postérieur atteint un volume qui ne lui permit plus de supporter l'étirement de son orifice anal.
Le gonflement des objets s’arrêta enfin, et elles finirent d’avaler le reste de leurs repas.
Lorsque Sylvie décida de partir, elles se levèrent, traversèrent la salle pour aller payer, et sortir.
Les gens riaient tout bas, de voir la pauvre Coralie qui marchait bizarrement, forcé d'écarter les jambes de façon outrageante, le buste courbé vers l’avant, comme si un mal de dos la tenaillait.
elles regagnèrent la voiture, et remontèrent à l’intérieur.
Sylvie se tourna vers Coralie qui grimaçait, tellement les objets dilataient son intimité, et l'obligeait à écarter les jambes afin de trouvé une position à peu près supportable.
 « C’est juste pour préparer la suite de la soirée ma chérie. Dit-elle en souriant. »
La voiture roula pendant quelques kilomètres à travers les rues de la ville, et se gara devant un haut bâtiment.
Sylvie fit sortir Coralie de la voiture, et la mena  à l'intérieur de ce dernier.
Une fois entrée, Coralie constata que Sylvie avait du tout prévoir car apparemment son amie était attendue.
Elle salua plusieurs personnes,  leurs présenta sa protégée,  avant de la conduire dans une petite pièce. Elle lui enleva la culotte de latex, et la déshabilla de sorte que Coralie se retrouva rapidement en jupe, bas et porte jarretelles, puis lui passa une paire de menottes aux chevilles, entre lesquelles était fixé un anneau plus grand que les autres.
Elle lui banda les yeux et lui lia les mains dans le dos, puis sortit.
environs une heure plus tard, Coralie sentit qu'on la tirait par la corde toujours fixée à son collier,  et suivit le mouvement docilement.
Elle sentit qu'on lui saisissait les mains, puis qu'on lui attachait celles-ci à un anneau au dessus de sa tête.
La jeune fille entendait du bruit autour d'elle, comme si une groupe de gens l’entourrait, et parler entre eux sans se soucier de sa présence.
Il se passa encore plusieurs instants, puis elle entendit une musique retentir, avant qu’on lui défit son bandeau.
Tout d’abord, elle ne vit que l'obscurité, puis une lampe très forte s'alluma au dessus d'elle, et elle découvrit qu’elle se trouvait au centre d'une pièce, sur un petit podium Autour duquel étaient assis des hommes et des femmes, qui la regardaient, et qui l'observait en silence.
Elle rougit en se sentant ainsi exposée, tel une bête de foire, un objet inanimé que l’on présenterai dans une galerie d’exposition.
En tournant la tête, elle reconnu parmi la foule qui l'observait, Sylvie, puis un peu plus loin, Diane,  sa nurse, madame IZA, L’avocat Maître DURL…..
Une main passa soudain entre ses cuisses, et tira sur l'objet maintenant complètement coincée dans son vagin.
Elle hurla de douleur lorsque l'objet parvint à s’extraire de son orifice, faisant jaillir Des larmes de ces yeux.
immédiatement après, elle sentit ses bras se tendre et fut tiré vers le haut, s’élevant jusqu’à un mètre cinquante au dessus du podium, se trouvant vite  suspendu par les poignets, ses pieds ne touchant plus le sol. On installa quelque chose sous elle, puis  elle sentit qu'elle redescendait lentement.
Soudain,  la tension dans ses bras fut complètement relâchée, et elle retomba brutalement. Dans sa chute, elle  sentit un long cylindre  pénétrer son vagin, ce qui la fit hurler de douleur, et relancèrent de plus belle ses jets de larmes.
Coralie était maintenant, à quelques centimètre du sol, empalée sur ce sexe synthétique , sans possibilités de pouvoir faire le moindre mouvement.  Elle pleurait de honte, de douleur mélangée, de cette nouvelle humiliation qui lui semblait être la pire qu’elle ait jamais connue.
Tout le monde la regardait sans mot dire, et attendait patiemment la suite de la soirée.
Elle tourna la tête vers Sylvie pour avoir son soutient, mais celle ci n'était plus à sa place.
Elle l'entendit cependant, quelques secondes après derrière elle.
Ses mains passèrent sur la poitrine de la jeune fille et posèrent des pinces  à linge sur ses tétons, ainsi que sur toute la surface de ses seins.
Puis un doigt s'insinua dans sa bouche, et lui fit l'ouvrir toute grande, pour permettre la pose d'un bâillon anneaux, qui ne permit plus)à Coralie de fermer celle ci.
Un geste furtif fit tomber la jupe de la jeune fille à ses pieds.
Le silence s'installa de nouveau pendant plusieurs minutes, juste entrecoupé des reniflements et des petits sanglots de Coralie.
Un sifflement, puis un autre, et encore un autre.
Coralie reçu un coup, puis deux, puis trois, sur les fesses.
Progressivement, les coups étendirent leurs marques sur son dos, et ses cuisses.
Après plusieurs dizaines de coups, le silence reprit ses droits. Coralie avait l'arrière du corps complètement brulant, sanglottait, et hoquetait à tout rompre sans discontinuer.
Des mains saisirent Coralie par les hanches et l'obligèrent à tourner sur son pivot, ce qui la fit hurler de plus belle.
Elle se trouva finalement face à Sylvie, toujours empalait profondémment sur son falus factis qui la reliait au sol.
La pluie de coups reprit, sur l'avant du corps de la jeune fille, cette fois, son ventre, ses épaules, ses cuisses, son pubis, et sa poitrine n'y échappèrent pas.
Les pinces sautèrent, une par une, au fur et à  mesure des coups, ce qui arracha de nouveaux cris à la jeune fille, au bord de l’évanouissement.
Quand la pluie s'arrêta de nouveau, la jeune fille fut obliger de nouveau de pivoter, et on lui retira l'objet qu'elle avait encore dans sa rosette, laissant son orifice largement béant, et affreusement dilaté.
Sylvie la rejoignit, l'embrassa sur les seins ainsi que sur le pubis, et lui glissa à l'oreille avant de s'éloigner.
« Bonne chance ma chérie. »
Coralie se demanda pendant quelques secondes ce qu'avait voulu dire sa maîtresse, elle eu vite la réponse.
Elle senti qu'on lui pénétrer  l'anus. Elle cru qu'on allait lui déchirait sa rondelle.
Les mouvements de va et viens lui provoquait des douleurs insupportables et lorsque on jouit en elle, elle n'avait déjà plus de force.
On se retira de son orifice. Elle n'avait pas eu le temps de reprendre son souffle qu'elle sentait de nouveau quelque chose la pénétrait.
Le temps  passa, et la jeune fille du subir les assauts de multiples pénétrations. Lorsque son conduit anal  fut empli pour la troisième fois, Coralie, déjà pratiquement évanouie lors de sa séance de fouet,  s'évanouit à bout de force.

Lorsqu’elle reprit connaissance, elle était allongé sur une table, elle avait été débarrassé du reste de ses vêtements, tout son corps la brûlait et une douleur intense lui vrillait l’estomac et les reins, alors que Sylvie était penché au dessus d'elle et lui souriait.
«- Tu reviens à toi ma chérie?
- Oh madame, j'ai, j'ai, j'ai mal! Sanglota Coralie. »
Sylvie lui caressa les seins tendrement.
 « - Nous allons bientôt rentrer ma chérie ne t'en fait pas. J’ai passé en tout cas une excellente soirée et toi?
- Si vous avez été satisfaite, madame, je suis comblée renifla la jeune fille. 
- As-tu passé une bonne soirée aussi, ma chérie? Il ne s’agit pas de moi, mais de toi?
- Oui madame, et mon bonheur est complet si vous êtes heureuse et satisfaite de moi.
- Oui ma chérie ne t'inquiète pas tu as été très bien ce soir.
Je vais aller chercher quelqu'un qui va te préparer pour que nous puissions rentrer. »
Sylvie sortit de la pièce, puis revint quelques minutes après, accompagnée d'un homme.
Sans un mot, celui ci commença à préparer la jeune fille,  en entourant les orteils de Coralie, un par un, puis les entoura ensemble avec du film plastique.
Il monta progressivement en enroulant les jambes de Coralie.
Arrivé au milieu des cuisses, il  s'arrêta, et
Obstrua complètement la chatte et l'anus de la jeune fille avec le film plastique, en passant et repassant celui ci dessus, en entourant les cuisses et
Les hanches de la jeune fille.
Puis il reprit son ascension  en enroulant le haut des cuisses, puis les hanches, et le buste jusqu'aux aisselles de Coralie.
Il emballa ensuite les doigts un par un, puis les mains, et remonta jusqu'au haut des bras puis des épaules toujours de la même façon.
Coralie avait maintenant le corps totalement plastifié, hormis sa tête.
Il coupa le film plastique, le fixa, puis reprit son emballage, en repartant des pieds de Coralie, en les emballants ensemble.
Elle sentait au fur et à mesure que l'homme faisait monter le film plastique sur son corps, et l'emballer, qu'elle pouvait de moins en moins bouger.
À la hauteur de ses hanches, il prit les bras dans son emballage.
Bientôt Coralie ne pouvait plus bouger que la tête, le film plastique étant au niveau de son cou.
Il lui fit ouvrir la bouche, lui replaça le bâillon anneau qu'elle avait eu quelques heures auparavant, qui lui empêcha encore de fermer la bouche.
Il reprit le film plastique, et continua son ouvrage, pour arriver au niveau des yeux.
Il fit en sorte de finir son emballage, en forçant la jeune fille à garder les yeux ouverts sous le film plastique.
Quelques instants après, Coralie était complètement momifiée, prisonnière, ne pouvant esquisser le moindre mouvement.
L’homme la souleva, la déposa dans un bac transparent, puis découpa le plastique devant sa bouche afin de lui permettre de respirer
En plaçant un tube à travers celui ci.
Il referma le couvercle du bac, en fixant le tube qui sortait de la bouche de Coralie, de façon à ce que celle ci puisse respirer convenablement, même
Lorsque le couvercle serait clôt.
Il verrouilla le couvercle en fermant deux petites serrures, dont il donna les clés à Sylvie, puis sortit.
Celle ci fit un geste, deux jeunes filles arrivèrent en courant, soulevèrent le bac et le transportèrent dans une grande pièce, où elles le déposèrent
De manière à ce que Coralie se trouve debout, sur une estrade, à coté d'autres bacs du même type, contenant d'autres jeune filles.

Sylvie avait rejoint Diane, et buvait une coupe de champagne en parlant avec elle.
Les personnes qui l’avait observé quelques heures auparavant, Coralie les reconnaissait, elles étaient là, à quelques mètres d'elle,
 Buvant et mangeant, sans se soucier de ces jeunes filles momifiées, dans leur prison transparente, à la vue de toutes et de tous.
La soirée continua par l'exhibition d'autre soumises, subissant les mêmes supplices que Coralie, empalées sur un sexe sur pied, puis
Sodomisées par plusieurs hommes et plusieurs femmes portant des godes ceintures.
La plupart des suppliciées tombait évanoui, comme Coralie, après quelques minutes, puis étaient emmenées, et revenaient après
Quelques moments momifiées et emprisonnées dans des bacs transparents, qui rejoignaient les collections dans laquelle figurait maintenant Coralie.
La position debout, imposées aux jeunes prisonnières, les forçaient à rester éveillées, à regarder, et découvrir  les supplices subit par leurs semblables.
Coralie reconnue une des jeunes filles avec laquelle elle avait été attelé lors de son stage au domaine de madame Diane.
Après plusieurs heures, les gens commencèrent à partir, et le monde disparut peu à peu
Sylvie s'éclipsa également.
Coralie se rendit compte au bout d'un moment, qu'il ne restait plus personne dans la pièce appart elle et ses compagnes de prison, puis les lumières s'éteignirent.
La douleur que Coralie avait ressentit lorsqu'elle était suppliciée, était toujours présente, malgré les heures écoulées entre ce moment et l'instant présent. Elle sentait que ses trous avaient été complètement dilatés et brutalisés comme jamais il ne l'avait été.
Le temps passa encore et encore sans que rien ne se passe pour ses prisonnières de fortune.
les lumières se rallumèrent enfin, et pendant plusieurs heures, elle vit défiler devant elles et ses compagnes, des femmes et des hommes, les observant,
Prenant des notes, s'arrêtant, repartant, revenant sur leurs pas pour revoir une ou l'autre des jeunes filles.

Lorsque les lumières se réteignirent, les deux jeunes filles qui avait amenées les jeunes soumises dans leurs prison, revinrent et les emmenèrent une par une, or
De la pièce.
Elles soulevèrent enfin le  bac contenant Coralie, et le transportèrent, pour le déposer dans un camion,
Où était les autres jeunes filles qui avaient  déjà été sorties et emmenées.
Une fois toutes les prisonnières transportées dans le camion, celui ci démarra.
Lorsque celui ci s'arrêté de temps en temps, les deux jeunes filles prenait un ou plusieurs  bacs contenant une prisonnière, et l'emportait hors du camion.
Au bout d'un moment, ce fut le tour de Coralie.
Elle fut transportée, et se retrouva dans la maison de Sylvie.
Cette dernière, ressortit en accompagnant les jeunes filles, puis revint après quelques minutes.
Elle ouvrit le couvercle de la prison de Coralie, puis le souleva.
Sa main caressa le corps de Coralie, avant de la délivrer de ses bandages et de la faire sortir de sa prison, et de la faire enfin  descendre dans sa demeure.
Coralie ne se posa même pas de question lorsque Sylvie lui présenta sa gamelle, et  dévora le contenu de celle ci, et bu jusqu'à plus soif.
Sylvie la fit entrer dans sa cage, dans laquelle, une fois enfermée, Coralie pu

Prendre un repos qu'elle attendait depuis déjà un bon moment, et s'endormit immédiatement.

jujudoka@free.fr

 

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