Sensuelles aventures pour une même destinée 13 |
Par Julien Graves
f/f exhibition réticence humiliation
Chapitre 7 Le stage.
La nuit fut douce pour Coralie, qui se reposait pour la première fois dans un lit, depuis maintenant plusieurs mois qu'elle était arrivée chez Sylvie.
Lorsqu’elle se réveilla, la douceur des habits de nuit qu'elle portait, lui donnèrent des sensations agréables, qui ne la tirèrent pas de ses rêves brutalement, comme les réveils habituels.
La lumière s'était éteinte, la musique s'était arrêtée, elle avait chaud, elle se sentait vraiment retomber en enfance.
Elle sentait que les anneaux qu'elle portait ressortaient sous les tissus de sa grenouillère.
Les motifs bleuté peints sur les murs et le plafond de la pièce, firent ressurgir à son esprit des souvenirs enfouis au plus profond de sa mémoire, des souvenirs de sa vie alors qu’elle n’avait que 2 ou 3 ans, période douce et paisible pendant laquelle Coralie avait goûté au bonheur enfantin de devenir princesse. Elle sourit en pensant qu’à cet âge, elle aurait tout fait pour devenir cendrillon, ou la belle au bois dormant. Aujourd’hui, qu’elle était une jeune femme ses rêves ne lui semblaient pas aussi loin qu’elle l’appréhendait il y a encore une année auparavant. En effet, même si elle était soumise à Sylvie, même si elle avait subit, et devrait sans doute subir de nombreuses humiliations et de nombreuses souffrances pour lui plaire, elle sentait au plus profond d’elle-même, que malgré les apparences, elle jouait un rôle important, et qu’à sa manière, elle aussi dominait Sylvie en la rendant dépendante en veillant à son bien être.
Elle était toujours plongée dans ses rêves cotonneux lorsqu’elle entendit du bruit dans une pièce assez proche. Puis une voix féminine dit.
« Mais c'est bien! C’est une grande fille, elle a été propre! C’est bien ma puce! Demain! À l'école! »
Après quelques minutes, la porte de la pièce où se trouvait Coralie s'ouvrit, puis une femme entra, et s'approcha du lit de Coralie.
« Ah! Tu es réveillé? C’est bien! Aller on va aller se changer. Dit-elle. »
Coralie senti qu'elle remontait, et vit les barreaux de son lit diminuaient de taille autour d‘elle.
La femme passa ses bras sous le corps de la jeune fille, la souleva, la porta jusqu’une petite table à langer, sur la quelle elle la déposa.
Elle lui hotta ses habits, et Coralie se retrouva bientôt uniquement vêtu du lange qu‘on lui avait mis la veille, allongée sur la table.
La femme saisit les pieds de Coralie, et les fixa dans des étriers, qu'elle fit remonter, et écarter, afin que le bas du dos de la jeune fille ne touche plus la table, et que ses cuisses restent largement ouvertes.
Elle lui retira le lange, puis le jeta, en disant.
« Et bien ça n'est pas très bien! Les deux! Bahhhhhh! On va nettoyer tout ça. vilaine. »
Elle claqua deux fois sa main sur les fesses de Coralie en signe de réprobation, puis la jeune fille senti bientôt la fraicheur d'un gant de toilette humide passer entre ses cuisses, sur sa fente, ses fesses, et son cul, éliminant peu à peu les traces d‘urine et d‘excréments encore visible sur sa peau. Elle senti également qu'on lui appliquait sur son intimité ainsi que sur ses fesses, une crème douce, puis du talc.
La femme remit ensuite un lange à la jeune fille, puis lui enfila une autre grenouillère, après lui avoir remis une culotte de vinyle blanc en protection.
La jeune fille fut bientôt rhabillée, recoiffée d’un nouveau bonnet, puis emmenée dans son lit.
« Je reviens. Je vais chercher ton petit déjeuner. Déclara la femme en s‘éloignant.»
Elle sorti puis revint un instant plus tard, en tenant un biberon dans la main.
Elle reprit Coralie dans ses bras, s'assis sur une chaise, la tint sur ses genoux, et lui donna le biberon après lui avoir enlevé la tétine que la jeune fille avait toujours dans la bouche.
Après avoir bu le contenu du biberon, Coralie tenta de parler, mais comme la veille la patte qui s'était fixé sur ses dents ne lui permit que de sortir des sons gutturaux.
Elle fut remise au lit, reborder étroitement, et se rendormi peu après, bercée par la faible musique et les oscillations du lit.
On la réveilla quelques heures plus tard, on la mit sur une chaise afin de lui donnait à manger à la petite cuillère, Puis elle retourna dans son lit et elle reçu un biberon après avoir dormi encore. On la changea à nouveau pour la nuit, avant de la remettre au lit.
Plusieurs jours passèrent ainsi, et Coralie perdit la notion du temps, alternant sommeil, repas, et toilette.
Un soir pourtant, la femme qui s'occupait d'elle, lui dit alors qu‘elle la recouchait pour la nuit.
« Demain tu dois entrer à l'école pour la deuxième partie de ton stage. Donc plus de pipi au lit cette nuit sinon tu ne pourras pas valider ton stage et tu devras en recommençait un dans un autre centre. C’est ta propriétaire qui risquerait de ne pas être satisfaite de toi. »
Ce soir là, Coralie s'endormit en se demandant ce que lui réservait l'avenir, et qu'elle pourrait être la deuxième partie de ce stage dont elle se disait que cette première partie avait été fort agréable.
Le lendemain, quand la femme revint la changer, celle ci lui dit.
« C’est bien, tu es grande maintenant, tu n'as pas fait la dégoutante. On va se préparer, et je t'emmène à l'école. »
Elle la déshabilla, la nettoya, et lui enfila une petite culotte blanche de coton, une chemise et des bas blancs, ainsi qu'une veste de couleur bleue foncée, puis une jupe qui tombait au niveau des genoux de la même couleur, et enfin elle lui mit aux pieds des petits souliers vernis.
Elle lui ouvrit la bouche, et gratta la patte qui recouvrait les dents et les mâchoires de la jeune fille pour l’en débarrasser.
Elle lui enleva les traces de salives et de pate qui avait coulaient sur son menton et ses joues, et la coiffa, en lui faisant deux couettes de chaque coté de la tête.
Coralie n'osait pas se regardait dans le miroir qui se trouvait à quelques pas d'elle, tant la honte l'envahit lorsque la femme la fit mettre debout et lui dit.
« Voilà! Tu es toute belle! Aller! Suis-moi. »
Elle lui enfila sur le dos un petit cartable d'écolier, et l’entraina dans des couloirs.
Après avoir marché pendant quelques minutes, la femme s'arrêta devant une porte et frappa trois coups brefs.
« Entrer! »
Elle ouvrit la porte et poussa Coralie dans la pièce en disant.
« Voilà une nouvelle élève. »
Une jeune femme assise derrière un bureau répondit
« Bien, je m'en occupe.
Laissez la moi. »
La femme sortit, et Coralie resta seule face à celle qui allait devenir, elle l'avait compris, sa professeur.
« Assieds-toi! lui dit l’institutrice. »
Coralie enleva son cartable, et s'assit à un petit bureau que lui indiquait la jeune femme.
«- Je suis madame ISA, reprit-elle, je suis ton professeur particulier, et toi comment t'appelle tu?
- Coralie madame.
« Nous allons commencer par une dictée, afin d'évaluer ton niveau. Entama la professeur.
Prends une feuille et un crayon dans ton cartable, et écrit! »
Coralie obéit, tandis que madame ISA commençait à dicter.
La dictée finit, madame ISA prit la feuille de Coralie et lui dit en lui indiquant un coin à l’autre bout de la salle de classe.
« Debout maintenant! Et là bas les mains sur la tête! Pendant que je corrige ton travail. »
Coralie la regarda hésitante.
« Et bien quoi! Il faut que je t'aide peut être! ! Exécution petite effrontée ! »
La jeune fille se leva lentement, se mit dans le coin indiqué, leva les mains et les posa sur sa tête.
« Retourne-toi! Je ne veux pas voir ta vilaine tête de petite sotte !»
Coralie obéit, et fit demi-tour.
Les souliers qu'elle portait, lui rappelaient les bottes qu'on lui avait fait enfiler lors de son séjour chez madame Diane, tant ses pieds étaient serrés à l'intérieur des chaussures.
Elle entendait le bruit du crayon sur la feuille de papier, derrière elle, et se crispait petit à petit.
« Viens ici! Dépêche-toi! »
Coralie revint près de sa professeur.
«- Et bien! Il va falloir t'améliorer! Tu n'as pas un niveau très bon. Tu a quand même fait 12 fautes. Tu connais le tarif? Demanda l’institutrice en fixant Coralie.
5 coups de martinets par fautes.
- Euh ! Euh ! Euh... balbutia la jeune fille.
- Et si tu proteste c'est le double!
- Euh non mais madame s'il vous plait…
- Mais tu va arrêter de gindre?
- Mais madame je, je ...
- Sale gamine!
Viens ici dépêche toi «
Coralie ne bougea pas, trop surprise par la violence de la réaction de son institutrice.
Elle comprenait maintenant pourquoi la première partie de son stage avait été aussi agréable. Cela voulait certainement dire que la seconde partie serait aussi dure que la première avait été douce
Elle ne vit pas arriver la main de madame ISA, qui la saisit par ses couettes et la tira vers un coin de la pièce, où se trouvait un petit portique que Coralie n'avait pas remarqué en arrivant.
Elle plaqua la tête et les poignets de Coralie dessus, et rabattit une pièce de bois par dessus sa nuque, ce qui eu pour effet de bloquer totalement la tête et les bras de la jeune fille.
Coralie avait poussé un cri strident, lorsque madame ISA l'avait saisit par les couettes, et des larmes coulaient sur ses joues;
Elle se tenait maintenant penché en avant, la tête prise et bloquée.
Madame ISA releva la jupe de Coralie, lui abaissa sa culotte, et recula de quelques pas, admirant les fesses rondes et potelées qui se présentaient à elle.
Elle se saisit d’une longue badine de bois souple, et frappa longuement sur le postérieur de la jeune fille qui se tortillait pour tenter vainement d'échapper aux coups qui lui étaient destinés.
Quand madame ISA s'arrêta après le soixantième coups, Coralie pleurait toutes les larmes de son corps. Ses fesses la brûlaient affreusement, et la faisait gémir de douleur.
Madame ISA lui remit sa culotte, lui rabaissa sa jupe, puis lui libéra la tête et les mains.
« Aller! Retourne à ta place! Et arrête de faire ton bébé salle gosse! »
Coralie regagna sa place, tout en essayant de se calmer, et d'essuyer ses larmes;
La journée passa lentement pour Coralie, madame ISA lui donnant des exercices, et lui administrait 5 coups de martinets par fautes, à chaque fois que Coralie se trompait.
Au bout de la journée, Coralie savait à peine s'asseoir sur sa chaise, tellement ses fesses avaient été mises à l’épreuve, et en étaient devenues sensibles.
Lorsqu’elle ressorti de la classe, elle fut conduite à une petite chambre dans laquelle elle dina, se déshabilla, et s'endormi très vite.
Le lendemain, elle dût réenfilait ses vêtements d'écolière, et retournait en classe avec madame ISA. Les jours continuèrent à passé à ce rythme, et Coralie faisait, d'après sa maîtresse, de gros progrès, mais les fesses de la jeune fille montraient que malgré cela, il restait beaucoup d'efforts à faire pour que Coralie rende ses travaux parfaitement faits.
Un soir, après plusieurs jours de leçons et d’exercices intensifs, Coralie, revenue dans sa chambre, se reposait de sa journée de classe, lorsque la femme qui l'avait soignée pendant la première partie de son stage, entra.
« Ton stage est validé, lui dit-elle, C’est très bien! Tu deviens donc à partir de maintenant la propriété exclusive de ta maitresse.
Celle ci viendra te chercher demain dans la journée. Je t'apporterai les vêtements qu'elle désire te voir porter demain matin. Pour l'instant, repose-toi. »
Coralie ne s'endormit pas très vite, tellement l'excitation de sortir de ce centre, et de retrouver Sylvie la réjouissait, malgré la fatigue qui l’habitait, et les douleurs occasionnées par les coups qu’elle avait reçue lors de ses leçons du jour.
La femme lui apporta des vêtements le lendemain matin, puis sortit, en disant
« Tu te prépare, et tu reste là tant que ta maîtresse n'est pas arrivée. »
Coralie, restée seule, considéra les vêtements qu'on lui avait apportés. Des bas en résille crème, un string de vinyle rouge vif, un haut moulant à décolleté plongeant très prononcé, et une mini jupe très courte en cuir. Une boîte contenant des escarpins vertigineux l'attendaient également.
Elle enfila tout ça rapidement, et attendit patiemment qu'on vienne la cherchait, mais la journée passa sans que personne ne vienne.
Enfin, vers 20 heures, la porte de la pièce où se trouvait la jeune fille s'ouvrit. La femme entra.
« Aller debout! Ta propriétaire est là! »
La femme attacha une laisse qu'elle tenait dans la main, au collier de Coralie, puis l'entraina derrière elle.
Lorsque Coralie arriva dans un hall, qui semblait être le hall d'accueil du bâtiment, elle vu Sylvie qui se levait et venait à sa rencontre.
Lorsque les deux femmes rejoignirent Sylvie, celle ci embrassa longuement Coralie.
« - Voilà je vous la laisse, déclara la femme à Sylvie, elle a été très discipliné pour la plupart des exercices, sauf peut être un peu pendant les cours avec madame ISA.
- Bien, bien. Ça n'est pas très grave du moment qu'elle a apprit et qu'elle a progressé. répondit Sylvie.
- Oui je crois que vous remarquerait quelques améliorations.
- Bien, tu dis merci ma chérie? Demanda Sylvie en regardant sa soumise.
- Merci madame de m'avoir accueilli dans votre établissement, et de m'avoir permis de pouvoir profiter de votre savoir. Je vous en suis très reconnaissante. Dit Coralie gênée. »
Sylvie sourit
«- C’est bien ma chérie. Aller nous allons partir maintenant.
Tu dis au revoir?
- Au revoir madame, dit la jeune fille, j'espère avoir été à la hauteur de votre rang et de m'être comporter correctement. Merci encore à vous de tout ce que vous m'avez appris.
- Merci madame à bientôt, compléta Sylvie.
- À bientôt mes dames et merci répondit la femme en les regardant s’éloigner. »
Sylvie fit demi-tour, et sortit en tirant Coralie par sa laisse. .
Elle la conduisit jusqu'à la voiture, où elle la fit monter à l'arrière.
Lorsque la jeun fille s'assis sur la banquette, la jupe qu'elle portait remonta et découvrit les plis de ses entre cuisses, ainsi que la lisière de son string.
Sylvie se mit au volant, se retourna vers la jeune fille, puis l’embrassa avant de lui enfoncer sur la tête une longue perruque blonde, et de la maquiller outrageusement. Ceci fait, elle rangea son nécessaire, et elle démarra en disant.
« Pour fêter notre alliance définitive et ton appartenance, nous allons passer la soirée en ville. »