suviant
Sensuelles aventures pour une même destinée 12
précédant

Par Julien Graves

 

f/f exhibition réticence humiliation

 

Chapitre 6 Transformations, et retour en enfance.

 

Lorsque Coralie se réveilla, elle ressenti immédiatement une vive douleur sur le bout de ses seins, ainsi qu’entre ses cuisses.
Elle ne pu pas bouger, la douleur et la fatigue la terrassant trop violemment.
Elle tourna la tête et se rendit compte qu'elle était dans une petite pièce où en son centre se trouvait une table sur laquelle elle était allongée.
Elle constata que la pièce n'était pas celle dans laquelle Diane l'avait conduite juste avant que celle ci la pique et que Coralie ne perde conscience.
Ne sachant pas faire le moindre mouvement, elle attendit donc patiemment, que les évènements arrivent tel qu’on les avait préparés.
Le temps passa lentement, sans que personne ne vienne. La douleur était de plus en plus présente et intense au fur et à mesure que son corps se réveillait, et s‘échappait du sourd engourdissement qui l‘avait étreint.
Elle finit par sentir des larmes couler le long de ses joues, et pleura de plus en plus fort, la douleur lui semblant de plus en plus insupportable, lui transfixiant la poitrine et son entre jambe.
La porte s'ouvrit soudain et Diane et Sylvie entrèrent.
Les deux femmes s'approchèrent et Sylvie caressa la joue de Coralie en essuyant les larmes qui coulaient encore.
«- Et bien et bien ma belle ! Pourquoi pleures-tu encore? 
- Mais que m'est il arrivée madame, s'il vous plait, expliquez moi. J’ai mal j'ai mal. Sanglota Coralie.
- Ça n'est rien ma jolie, dit Diane d’une voix rassurante, j'ai juste fait  en sorte que tu sois plus belle que lorsque tu es arrivé chez moi en accomplissant le souhait de ta maitresse.
Je t'ai juste percé les tétons et les lèvres de ta fleur intime pour y poser des petits anneaux.
Ne t'inquiète pas je vais vérifier tes pansements, et les changer. »
Diane, joignant le geste à la parole retira d'un coup sec les pansements des tétons de Coralie, lui arrachant un long hululement plaintif accompagnant de nouveaux sanglots convulsif de son corps.
« Regarde moi ça comme elle est belle! S’écria Diane. Bien sur elle est encore un peu gonflé par le choc, mais ça va disparaître assez rapidement.
- Oui en effet ça risque d'être pas mal. Acquiesça Sylvie.
- Je vais désinfecter tout ça et changer les pansements, mais il faudra que tu le fasses deux fois par jour jusqu'à ce que ça soit complètement cicatrisé.
- Oui bien sur, c'est évident. »
Diane nettoyât les seins de Coralie, refit ses pansements et fit de même avec le pansement qui couvrait la fente  de la jeune fille.
Après avoir refait tous les pansements, Diane fit avaler un cachet à Coralie
«- Tiens ça calmera tes douleurs. Après tu mangeras un peu. »
 La jeune fille fut dessanglée, et Sylvie lui donna à mangé à la petite cuillère, tel une toute petite fille que l‘on nourrissait, puis une fois le maigre repas ingurgité, elle fut rallongées, puis les deux femmes sortirent après l'avoir sanglé, et fermèrent la porte à clé.
Coralie, encore à moitié assommé par la piqure qu'elle avait reçue, et les médicaments qu'el venait de prendre commençant à agir, s'endormit dans un profond sommeil.
Elle ouvrit les yeux en entendant un bruit près d’elle, et vit Sylvie et Diane suivit de deux jeunes filles portant un grand coffre.
«- Nous devons partir maintenant ma chérie. Annonça Sylvie à Coralie. Je te demanderai de remercier Diane pour tout ce qu'elle t'a appris durant ton séjour.
- Merci madame pour tout ce que vous m'avait enseigné.  Je vous dois beaucoup et ne l'oublierai jamais. bredouilla Coralie.
- Mouais, tu m’as déjà habitué à mieux! Mais on mettra ça sur le compte des médicaments. Répondit Sylvie en faisant la moue.
Comme tu ne peux pas marcher, vu ta faiblesse, nous allons t'aider à sortir. Mesdemoiselles faites votre travail! »
Sylvie se recula, les jeunes filles s'approchèrent, retirèrent les sangles qui entravaient Coralie, la saisirent, la soulevèrent, et la déposèrent dans le coffre qu'elles avaient ouvert.
Coralie s'enfonça dans une épaisse mousse contenu dans le coffre, qui  se modela autour de son corps et l'empêcha de faire le moindre mouvement.
Diane lui fit ouvrir la bouche, puis lui introduisit un tuyau de caoutchouc assez profondément dans la gorge,  si bien que Coralie ne pu que le garder en place, sans possibilité de le recracher.
Les jeunes filles déposèrent ensuite des grandes plaques de mousse, qui recouvrirent le corps de Coralie intégralement.
La jeune fille était maintenant complètement ensevelie sous la mousse, qui l’immobilisait  maintenant entièrement.
 Elle ne voyait plus rien, la mousse qui l'entourait étouffer énormément les sons, et atténué fortement son audition.
Elle ne pouvait faire rien d’autre que de respirer que par le tube qu'elle avait dans la bouche
Elle senti quelques choses coulissait au dessus d’elle, puis se fut le noir complet.
Elle se senti soulever et balancer. Elle comprit que le coffre dans lequel on venait de la mettre avait était soulevé et qu'on le déplacer.
Puis après quelques instants elle senti qu'on posait le coffre et qu'on le faisait glisser sur un planché.
Elle entendit au loin un faible claquement, puis senti un moteur démarrer, et elle comprit que le véhicule dans lequel le coffre avait était mis, commençait à rouler.
Coralie fini par se rendormir, plongée dans l‘obscurité, et bercée par les oscillations du véhicule qui la transportait.
Lorsqu’elle se réveilla, elle était  en sueur.
Le véhicule roulait toujours lui semblait il, mais la douleur à sa poitrine et entre ses cuisses était moindre.
Elle ferma les yeux, et se laissa aller et bercer lentement.
Après quelques minutes, la voiture s'arrêta, et le moteur fut coupé.
La jeune fille senti qu'on la soulevé et qu'on déplaçait le coffre dans lequel elle était enfermé.
Quelques secondes plus tard, on posait  le coffre, et quelque chose coulissait au dessus d'elle.
Les plaques de mousse furent retirées, faisant apparaître son corps nu trempé par sa transpiration.
« Lève toi allez sort de là!  S’écria Sylvie.»
Coralie se redressa lentement, grelottant en sentant la fraîcheur de l‘air ambiant dans son cou et sur ses épaules, et réalisa qu'elle était dans le salon de Sylvie.
« Aller sort de là dépêche toi. répéta Sylvie impatiente. »
Coralie sorti de la boite péniblement et se trouva rapidement assise par terre.
Les deux jeunes filles qui l’avaient mise dans le coffre étaient là, accompagnant Sylvie et Diane qui se tenait en retrait.
Elles ramassèrent les plaques de mousses, les remirent dans le coffre, et le fermèrent avant de l'emmener hors de la pièce.
Diane embrassa longuement Sylvie et les deux femmes se séparèrent après que Sylvie l'ai raccompagné à la porte.
Coralie, toujours assise par terre, entendit un bruit de moteur qui démarrait et qui s'éloigna peu après.
Elle observa les pansements qui recouvrait sa poitrine et qui passait entre ses cuisses, alors que Sylvie revenait dans la pièce.
Elle s'assit dans un fauteuil, fit mettre Coralie à genoux à ses pieds, lui caressa la joue, puis les cheveux en disant:
«- Alors ma chérie tu es contente de ton séjour?
- Oui madame répondit Coralie servilement…
- Tu a beaucoup appris et beaucoup progressé tu sais.
- Oui madame je sais et je vous en remercie. Souffla la jeune fille.
- Mais ne te fais pas d'illusions, tu ne connais pas tout, et tu découvriras toujours des choses nouvelles dans ton rôle et dans ta mission de me satisfaire.
- Oui madame, je ferai de mon mieux pour vous convenir en tout point.
- je te fais confiance pour ça ma chérie.
Mais pour l'instant, je vais te laver et te faire manger, et nous ferions  mieux de nous coucher, car demain est une autre journée, qui risque de compter dans ton apprentissage et ta progression, comme toute les journées qui se sont écoulées depuis que tu es là, et  comme celles qui s'écouleront encore.
Allez! Maintenant, va préparer la salle de bain, pour que je te nettoie.
- Bien madame. »
Coralie, après avoir embrassé les pieds de sa maitresse, partit dans la salle de bain, où Sylvie la rejoignit quelques moments plus tard.
Celle ci nettoya la jeune fille intégralement, et lui renouvela ses  pansements le plus délicatement possible.
«- Le pansement à l'épaule nous pourrons l'enlever d'ici deux ou trois jours. Déclara-t-elle.
 Nous verrons pour les autres selon la cicatrisation. Tu verras tu seras toute belle après.
- Oui madame, si ça vous fait plaisir de me voir ainsi, je le serai pour vous. »
Après avoir finit la toilette et les pansements de sa protégée, Sylvie la conduisit dans la pièce qui lui servait de pièce à vivre, et la fit manger comme à l'accoutumée, puis l'enferma dans sa cage pour la nuit.

Le lendemain, Coralie repris les habitudes de la maison en faisant les tâches ménagères le matin, et en obéissant aux fantaisies de Sylvie l'après midi.
Les jours continuèrent à passés lentement, et les pansements de Coralie furent enlevés plusieurs semaines après.
 Les petites cicatrices aux tétons et aux lèvres intimes de la jeune fille ne la faisaient plus souffrir, tant que celles ci n'étaient pas trop mises à l'épreuve.
Coralie arborait donc maintenant un petit anneau qui pendait à chacun de ses tétons, quatre autres sur chacune de ses lèvres intime, et enfin un dernier sur son clitoris.
Le tatouage de son épaule avait lui aussi complètement cicatrisé, et Sylvie fit revenir Diane afin que celle ci puisse raviver l'encre de ce dernier lorsqu'il commença à pâlir.
Diane  trouva que la jeune fille avait embellit avec les anneaux qu'elle lui avait posé, et fit remarqué à Sylvie que pour véritablement marqué sa propriété de son nom, elle devrait faire tatoué son emblème sur la poitrine ou les fesses de Coralie.
Sylvie sourit en entendant cette proposition:
« Moui, tu as raison c'est quelque chose à envisagée. »
Une semaine après que Diane soit venue raviver le tatouage de Coralie, Sylvie fit venir Coralie à ses pieds,  et lui présenta un petit livret.
« Ma petite chérie, dit-elle, il faut que nous parlions sérieusement. Car comme tu l’as déjà compris, le matricule qui t'a été posé sur l'épaule, donne, et affiche ta condition et ton statut aux yeux de tous, ainsi qu‘au niveau de la loi.
Cependant, voici par ce livret, le document officiel qui défini ton appartenance à moi, ou une autre personne.
Il te faut choisir, si tu veux devenir officiellement à moi, ou si tu décide de refuser mon offre. Au quel cas, je devrais te confier à un  placeur qui te vendra au marché au plus offrant.
Et là, soit tu seras juste bonne à faire le ménage chez des personnes qui ne se soucieront pas forcément de toi, ou autre possibilité, tu seras prostitué dans un bordel de la ville, et sera considéré comme objet à plaisir.
Alors, que choisis-tu?
- Euh je ne sais pas ! Je ! Je… bredouillai la jeune fille.
- Tu dois choisir ma chérie. Reprit Sylvie.
Mais je t'avoue sincèrement, que je me suis attaché à toi, et que je t'aime. Ça me ferait donc beaucoup de peine de te perdre.
Ma décision dépendra de toi, car je ne veux pas te forcer, bien que je le puisse totalement, car normalement je n'ai pas à te demander ton avis.
C’est pour ça que si tu refuse, tu accepte en même temps de te livré a n'importe qui.
- Euh madame, je vous aime aussi, et je ne veux pas tellement tombé avec des gens méchants.
- Alors si je comprends bien tu te confie à moi? Demanda Sylvie.
- Euh ben je préfère madame vous confier mon corps et ma vie plutôt que de risquer de trouver moins que ce que j'ai maintenant.
- Bien je vois. Alors nous irons chez l'avocat demain en fin d'après midi pour remplir le livret et valider officiellement le document. »
Le lendemain, Sylvie fit descendre Coralie dans sa demeure, comme elle aimait appeler la pièce qui lui servait de donjon et de salle de jeu avec sa soumise, et l'habilla de bas, d'une jupe très courte en cuir, et d'un haut moulant qui faisait ressortir la poitrine de la jeun fille.
Elle la fit monter à l'arrière de sa voiture, après l'avoir maquiller, et l'avoir chaussé de talon aiguille.
Elle lui attacha les mains par des menottes, elles partirent, et après plusieurs dizaines de minutes, arrivèrent en ville, et se garèrent dans un parking.
Sylvie fit descendre Coralie de la voiture, et lui mit une laisse à son collier;
Elle la guida jusqu'à un bureau non loin de là. Les rues étaient calmes, et les deux femme ne croisèrent personne au grand soulagement de Coralie.
Sylvie s'adressa à la secrétaire lorsqu‘elles entrèrent dans l‘office.
« -Bonjour j'ai rendez vous avec maître DURL.
- Oui je vais le prévenir de votre présence. Asseyiez vous je vous prie. Répondit la secrétaire. »
Sylvie s'assis donc en laissant Coralie debout à coté d'elle, et en la tenant toujours par la laisse.
Une porte s'ouvrit peu après, et un homme sortit d‘un bureau.
Il accueillit Sylvie, et  fit entrer les deux femmes dans ce dernier.
« -Bien c'est pour? Demanda-t-il.
- Pour une validation d'appartenance pour mademoiselle. Répondit Sylvie.
- Bien, bien. Nous allons procéder.
Je vous rappelle qu'après avoir signer ce document, vous serez lié l'une à l'autre et il n'y a que la mort qui pourra rompre l'effet de ce document devant la loi.
Êtes-vous décidé à accepter cette condition?
- Oui moi je le suis. dit Sylvie.
- Et vous mademoiselle.
- Euh oui monsieur.
- Bien alors signez ici, et vous ici. »
Sylvie signa à l'endroit indiqué et Coralie en fit de même.
Il reprit le livret et commença à le remplir.
« -Elle a déjà fait des stages? demanda-t-il.
- Oui au centre de dressage équestre de madame OURILAN.
- Bien, d'autres?
- Non.
- Vous savez qu'il en faut au moins deux>?
- Oui je le sais. Acquiesça Sylvie embarrassée.
- Vous connaissez donc la procédure, si vous voulez que je valide définitivement le document.
- Oui bien sur. »
Il sortit un classeur et le feuilleta.
-« Bien elle ira donc au centre de l'enfance. annonça-t-il en consultant une feuille.
- Bien.
- Le stage se fera pendant deux semaines. Continua-t-il.
- D’accord, quand doit elle partir?
- Je peux l'insérer dès tout à l'heure il reste de la place.
- Bien oui, au moins ça sera fait. »
Il referma son classeur, finit de remplir le document, et le tendit à Sylvie.
Celle ci se leva et le rangea dans sa poche.
«-  Bien laissez la moi, je la ferai partir avec les autres.
- D’accord. »
Sylvie donna la laisse à l'homme, embrassa Coralie, puis sorti.

Coralie ne comprit pas ce qu’il se passait lorsque L’homme tira sur la laisse en disant
« Aller suis moi toi!»
Il l'emmena dans une petite pièce, et lui dit:
« Maintenant tu te déshabille, et tu mets toutes tes affaires dans ce sac.
Tu te démaquille ensuite complètement, là au lavabo, voici du produit.
Et tu te tiens tranquille. »
Coralie obéit. Il lui passa un collier de cuir au cou, qui était relié par une chaîne, à des sangles qu'il fixa au poignet et aux chevilles de la jeune fille. IL lui enfourna ensuite un bâillon dans la bouche qu'il serra derrière sa tête.
Il lui fit descendre un escalier, et la conduisit dans une petite pièce où d'autre jeune fille étaient enchainé les unes aux autres.
Il saisit les chaînes de la dernière jeune fille de la file, et enchaina Coralie par les chevilles, les poignets, et le collier, à cette dernière.
Il sorti ensuite, et quelques heures après, revint avec d’autres jeunes filles qu’il enchaina de la même façon derrière Coralie.
Au total, Coralie compta 10 jeunes filles.
Elles furent emmener, et conduites à travers le couloir puis, les rues de la ville.
Les passants les regardaient en les pointant du doigt, en faisant des remarques sur elle, s'imaginait Coralie.
Elle dut monter sur la plate forme d'un camion, qui partit peu après, pour s'arrêter devant un grand bâtiment en périphérie de la ville.
Coralie et ses compagnes de voyage, furent débarquées, puis amenés dans une grande pièce très lumineuse.
Elles furent détaché les unes des autres,  et attachées chacune à un anneau celé au mur par leur colliers.
L’une après l'autre, les jeunes filles étaient emmenés hors de la pièce, et ne revenait pas.
Bientôt se fut le tour de Coralie.
Un homme la détacha, et la tira hors de la pièce, pour la conduire à travers les couloirs
Elle entra dans une salle, et l'homme lui enleva les chaines qui lui entravaient mains et pieds, et lui hotta le bâillon qui lui bloquait la bouche.
Il lui fit un geste, en lui indiquant qu'elle devait s'allonger sur une table au fond de la salle.
Coralie obéit sans dire un mot, trop terrifié de ce qui pouvait l'attendre, si elle avait la mauvaise idée de se révolter.
L’homme lui attrapa les bras puis les pieds, qu'il attacha en croix par des sangles de cuir.
Il actionna un bouton, et Coralie senti que ses mains et ses pieds s'écarter de plus en plus.
Lorsqu’elle fut complètement écartelée, et incapable de faire le moindre mouvement, il stoppa le mécanisme.
Il lui ouvrit la bouche, et lui fit mordre dans une patte molle, qui se fixa sur ses dents, les recouvrant entièrement.

La vulve, l‘œillet, et les seins de Coralie, étaient complètement à découvert, complètement offerts à tous les regards.
L’homme inséra un spéculum dans la fente intime  de Coralie, et un autre dans son orifice anal.
Il joua avec l‘écartement des instruments, dilatant progressivement les trous intimes  de la jeune femme, qui geignait de douleurs.
Après quelques minutes, et après plusieurs manipulations sur les trous de sa pauvre  prisonnière, l'homme lui provoqua plusieurs orgasmes consécutifs, toujours plus intenses et plus violents que les précédents.
Coralie avait la tête qui lui tournait, tellement les sensations et les émotions avaient étaient fortes et brutales. Elle mit plusieurs minutes à reprendre totalement ses esprits et sa respiration.
L’homme nettoya l‘entrejambes de sa détenue, et lui installa un lange comme elle en avait eu étant toute petite, puis il actionna le mécanisme, afin de lui détendre les jambes et les bras.
Il lui passa  une culotte  de protection en vinyle blanc, puis une grenouillère comme elle en avait vu porté par les nourrissons.
Il lui mit un petit bonnet sur la tête, avant de la glisser dans un sac de couchage, qui se finissait par des bretelles, qui lui enfila et referma dans son dos.
La jeune fille ressemblait à) un bébé qu'on aurait préparé pour lui faire passer une bonne nuit.
Il lui fit rouvrir la bouche, et constata que la patte avait durci.
Elle essaya de parler, mais ne pu sortir que des sons monocordes.
Il la prit dans ses bras, et la conduisit dans une pièce aussi grande que
Le box qu'elle avait occupé lors de son séjour chez madame Diane.
Il la déposa dans un lit à barreau et lui mis dans la bouche un biberon, qu’elle bu avidement, affamée après cette journée pleine d'émotions.
Lorsqu’elle eu finit, la main de l'homme lui enfourna une tétine dans la bouche, qu'il fixa derrière sa tête par deux petites sangles, qu‘il relia et noua solidement, avant de d‘étendre une couette sur le corps de la jeune fille et de la border étroitement
Le tissu était orné de motif enfantin, et fit sourire Coralie malgré elle.
Une fois ceci fait, l’homme s'éloigna du lit, avant de sortir de la pièce. Coralie senti rapidement quelle
Descendait, et bientôt les barreaux du lit  l'entourèrent.
La lumière s'éteignit, et une musique douce se fit entendre doucement, alors que le lit  commença lentement à se balancer.
Coralie ferma les yeux, et se senti alaise pour la première fois depuis qu'elle était arrivé  chez Sylvie.
Elle était allongée confortablement dans un lit douillé, bien au chaud sous une épaisse couette.
Elle se sentait retomber en enfance, et était bercer par la musique, qui l’entraîna sans qu’elle s’en rende tout à fait compte, dans un sommeil profond.

jujudoka@free.fr

 

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