Sensuelles aventures pour une même destinée 11 |
Par Julien Graves
f/f exhibition réticence humiliation
Chapitre 5 Séjour éducatif.
La voiture roulait depuis maintenant un long moment.
Coralie, enfermé dans le coffre de cette dernière, réfléchissait à ce qu'elle était devenue en quelques semaines. Elle s’était réveillée depuis une bonne heure, alors que le véhicule roulait déjà depuis plusieurs dizaine de kilomètres.
Elle avait était jusqu'à ce qu'elle rencontre Sylvie, une jeune fille jolie, appréciée et respectée. Et même si elle avait était seule, elle avait était libre de ses choix, et de sa vie.
Maintenant, elle obéissait à une femme, dont elle devait se l'avouer, dont la beauté la subjuguait. Elle était devenue une femme objet, une bonne à tout faire, dépendante et incapable de refuser quelque chose, son esprit, son corps obéissant pratiquement mécaniquement aux volontés de Sylvie.
Pendant qu'elle analysait les évènements de sa vie, la voiture continué de rouler à bonne allure. Elle finit par s'arrêter, et le moteur fut coupé.
Elle entendit la portière claquer, puis le silence.
Après un moment, le coffre s'ouvrit, et Sylvie apparut face à elle.
La nuit était tombée, et La jeune fille put sortir de sa prison à son ordre.
Sylvie se dirigea vers le corps de logis, gravit le perron et entra.
Coralie observa les alentours, restant toujours debout à coté du véhicule, frissonnant sous les courant d‘air qui enveloppaient son corps nu. l’endroit ressemblait à une grande propriété. Un grand bâtiment semblait être la maison principale, des bâtiments se dressaient un peu plus loin, mais il faisait trop sombre pour qu'elle puisse discerner leurs formes.
Alors qu’elle tentait de distinguer quelques formes qui se balançaient au fond de la cour sous les impulsions du vent, Sylvie sortit de la maison et rejoignit Coralie d‘un pas décidé.
« Aller viens je t'amène à ta chambre. Annonça-t-elle, en accrochant une corde à son collier et en l'entrainant vers les bâtiments qui se dressaient au fond de la cour. »
Elle s'arrêta devant une lourde porte de bois, l'ouvrit, et poussa Coralie à l'intérieur. Après avoir marché pendant quelques secondes, elle ouvrit une grille et fit entrer Coralie dans une cage au ras du sol, la verrouilla à l'aide d'un cadenas, puis ressortit du bâtiment par là où elle était venue.
Coralie se blottit le plus confortablement possible, la cage ne lui permettant pas de s’asseoir ni de s’allonger de façon correcte. Elle entendit soudain du bruit non loin d'elle. Elle essaya de percer l'obscurité et parvint à discerner des formes humaines derrière le grillage d’autre cage qui faisaient face à la sienne, qui bougeait faiblement. Elles semblaient être pieds et poings liés, bâillonnées étroitement, tellement les petits gémissements, et imperceptibles grognements qui sortaient des cages étaient dénués de compréhension.
Coralie finit par s'endormir après plusieurs dizaines de minutes, dans cette atmosphère à la fois étrange, et sinistre.
C’est un coup de sifflet strident qui la réveilla en sursaut.
Elle ouvrit les yeux encore tétanisée par ce réveil plus que brutal, et vit une femme vêtue de cuir une cravache à la main qui déambulait dans l‘allée au milieu des cages.
« Allé réveiller vous bandes de fainéantes! Aller on se dépêche! Hurlait-elle. »
La femme ouvrait toutes les cages au fur et à mesure de sa progression, mais ne toucha pas à celle de Coralie.
Lorsque les portes des cages s’ouvraient, des jeunes filles la tête et le corps criblés et enserrés de lanières de cuir formant sur ceux-ci un enchevêtrement compliqué d'arabesques se coupant et s'entrecoupant à plusieurs reprises, et les pieds vraisemblablement enfermés dans de lourd cônes rigides, en sortaient rapidement et partaient en trottinant.
La femme leur appliquait sur la fesse un bon coup de cravache à leur passage, ce qui leur arrachaient un gémissement et les faisaient accélérer le pas.
Une fois que toutes les cages furent vides, elle sortit enfin sans un regard pour Coralie.
Après quelques minutes, Sylvie entra, libéra Coralie, et la fit sortir par l'extrémité opposé à celle par laquelle elles étaient arrivées la veille.
Le vent frais donna des frissons à la jeune fille, qui sentit la pointe de ses seins se durcir par l‘effleurement de l‘air frais sur ces derniers.
Sylvie mena Coralie à la femme qui était entré dans le bâtiment où avait dormi la jeune fille, et celle-ci l’examina minutieusement, la palpant, la pinçant, la caressant, n‘oubliant aucun centimètre du corps de la jeune fille qui frémissait sous les mains expertes de cette femme à l’allure sévère.
«- Elle est en parfaite santé apparemment! C’est bien! Apprécia-t-elle.
Mais je vois qu'elle n'est pas immatriculée?
- Non je n'ai pas eu le temps encore. Répondit Sylvie, c'est encore tout récent.
- Oui mais tu sais que si tu as un contrôle tu risque gros?
- Oui je sais.
- Nous allons le faire ce matin même comme ça tu n'auras pas à te soucier de ça.
-Ok ça marche je te laisse faire ma chère. »
Sylvie se tourna vers Coralie.
« -Ma petite Coralie, dit-elle, je te laisse dans les mains de mon amie Diane, que tu devras considérer comme ta maîtresse également.
- Bien madame. Répondit Coralie en baissant la tête.
- Tu verras elle fera quelque chose de toi! Je lui fais confiance! »
Sylvie donna la corde à son amie qui la saisit et entraîna Coralie vers une aile du bâtiment où la jeune fille avait passé la nuit, qui ressemblait plus à une étable.
Elle tira la jeune fille jusque dans une pièce qui sentait l'hétère et le désinfectant.
Elle la délivra des ceintures, des godes et des entraves qui décoraient le corps nu de la jeune fille, et la fit allonger sur une table médicale, sur laquelle elle lui attacha les poignets au dessus de la tête et les chevilles de part et d'autre de la table.
Coralie vit la femme s'éloigner, revenir près d'elle après quelques secondes, puis lui appliquer une grande compresse sur le nez et la bouche.
Coralie tenta de fuir de ce paquet odorant qui lui emprisonnait le nez, la gorge, et qui gagnait progressivement sa poitrine en s‘arcboutant et en criant, mais elle ne pu résister longtemps et perdit conscience après quelques secondes.
Lorsqu'elle se réveilla, la tête lui tournait un peu. La jeune fille ne se rendit pas immédiatement compte de ce qui s'était passé.
Les éléments se remirent petit à petit à leur place dans sa tête, et elle gémit en sentant son épaule la brûler affreusement. Elle tenta de bouger, mais réalisa qu'elle était toujours immobilisée dans la même position, qu‘une large sangle passait au niveau de sa poitrine, et qu‘une autre passait au niveau de ses hanches, lui empêchant tout mouvement.
La femme revint bientôt auprès d'elle, la délivra, la fit se relever, l’emmena dans la cour, attacha la corde de son collier à un gros anneau celle dans le mur, puis l'équipa de la même façon que les jeunes filles que Coralie avait vu sortir le matin même de là où elle avait du passer la nuit.
Après une vingtaine de minutes, Coralie fut enfermé dans une toile complexe de lanière de cuir qui lui enserraient la tête, descendaient sur les tempes et sur le nez, dessinaient des escarboucles sur ces joues, entouraient ses oreilles et sont menton, tombaient sur ses épaules, se fixaient sur d'autres boucles, qui maintenaient ses épaules vers l'arrière, rehaussaient ses seins, quadrillaient ses flancs, son ventre et son dos, l'obligeant à rester droite, et agrippaient sa taille pour plonger dans ses entrejambes, s'insinuer entre ses lèvres intimes, et remonter entre ses fesses pour gravir son dos.
Elle avait la bouche obstruée par une épaisse barre métallique, qui la contraignait à saliver abondamment, ne pouvant avaler correctement ses sécrétions buccales, sa langue était coincée dans la barre, Lui interdisant la moindre parole.
De part et d'autre de ses yeux, se trouvaient des plaques métalliques qui empêchaient Coralie de voir sur les côtés, et qui pouvaient se rabattre complètement sur ces derniers, l'aveuglant de ce fait intégralement.
La femme vérifia le serrage de chaque lanière afin de s'assurer que le corps de la jeune fille ne pourrait se soustraire à ce harnais compliqué.
Elle lui enferma les tibias, et les pieds, dans d'étranges tubes rigides de forme conique, qui obligèrent Coralie à rester sur la pointe des pieds, et a marché maladroitement.
Les lanières qui s’insinuaient dans son intimité étaient munies de petits ergot métalliques, pénétrant son puis d’amour et sa rosette. Au niveau de la naissance de sa raie culière, une épaisse queue de cheval était fixée, se balançant à chacun de ses mouvements, et lui caressant les fesses et l’arrière de ses jambes.
Ainsi commença le séjour de Coralie.
Elle apprit pendant trois jours les travaux d'une pony girl, en compagnie d'autres jeunes filles équipée de façon identique.
Après ces trois jours, Diane lui enleva les cônes et le harnais, pour lui faire enfiler une épaisse combinaison de fourrure, qui obligea la jeune fille à se tenir à quatre pattes. Puis elle lui fit desserrer les dents pour lui enfiler un appareil simulant la dentition d'un chien, et qui était montait sur un lourd masc. lui aussi recouvert de fourrure.
Coralie sentit bientôt un épais repli de la combinaison se refermer sur sa tête, la cloitrant intégralement dans cette dernière. El sentit que des mains repliaient et bloquait la fente de la combinaison sur ces lèvres intimes, lui permettant si elle en sentait le besoin, de se soulager.
Le masc. qui lui recouvrait le visage, possédait deux lentilles translucides, à travers lesquelles Coralie voyait son environnement en noir et blanc, de façon floue, ce qui lui procura un sentiment troublant, qui lui fit perdre ces repères.
La combinaison qu'elle portait donc à présent étant épaisse et hermétique, Coralie commença à sentir la chaleur l'envahir, et frissonna lorsque la transpiration commença à perler sur son corps.
Bientôt elle haleta pour tenter de trouver un PE d'air, sa poitrine sursautant convulsivement sous la chaleur qui la submergeait, et lui inondait la peau.
Un collier de cuir épais lui fut passé au cou, et elle dû suivre la femme qui la tirait sans ménagement par la laisse fixé au collier.
Elle fut emmenée dans une vaste cage dans une aile du bâtiment qu‘elle n‘avait pas encore découverte, où elle se retrouva face semblait-il à d'autre jeunes filles, recouvertes elle aussi, d'autres combinaison analogues.
Durant les jours qui suivirent, Coralie dû jouer le rôle d'une petite chienne de compagnie, et apprendre toutes les règles et les obligations qui découlaient de ce statut.
Lorsqu'elle pu retirer sa combinaison après une semaine, elle n'eût pas le temps de se reposer, car elle fut rééquipé par un harnais compliqué du même type que celui qu'elle avait dû porter précédemment, à la différence, que celui qu'elle portait laisser ses seins libre et qu'elle devait se tenir à quatre pattes.
Elle fut conduite dans une petite pièce, et y fut attaché à un anneau celé au mur, dont le sol était recouvert d‘une épaisse couche de foin, ce qui diminuait les chocs de ses genoux, et lui évitaient des douleurs insupportables.
Elle attendit plusieurs heures, immobile, ne pouvant faire que peu de mouvement, seule, l'esprit complètement anéantie de toute résistance qu'elle aurait pu encore posséder en arrivant dans ce domaine.
Elle comprit pourquoi sa poitrine avait été laissée libre, lorsque Diane vint la voir quelques heures plus tard.
Celle-ci s'accroupit au coté de Coralie, et lui caressa les seins du bout des doigts ce qui procura à La jeune fille des frémissements, en sentant sa peau parcourut ainsi, et ce qui lui fit pointer les tétons de ses seins tel deux petites verges en érection.
Diane vint placer sur chacun de ces derniers un petit tube relié à une machine, puis appuya sur un bouton.
Aussitôt, Coralie sentit ses tétons se durcir encore plus malgré elle, grandir, et enfler démesurément.
Elle gémit en sentant sa poitrine aspirée dans ces tubes. Ses plaintes les remplacèrent très vite, s‘accompagnant bientôt de flots de larmes discontinus.
" Il faut te traire ma fille, tu as des mamelles de vache tu sais? s'exclama Diane."
Lorsqu’elle arrêta la machine, et qu'elle retira les tube de la poitrine de la jeune fille, les tétons restèrent pendant plusieurs minutes ainsi, violacés, étirés, et très sensibles.
Diane rangea la machine, puis sortit laissant seule Coralie, encore larmoyante, et gémissante du traitement qu'elle venait de subir.
Les jours suivants, Coralie se fit traire de la même façon deux fois par jours.
Au soir de la quatrième journée, après le même traitement, Diane enleva le harnais que portait Coralie, et la laissa inerte, sur le sol, uniquement reliée au mur par la corde de son collier, trop épuisée par la douleur qui la taraudait encore, pour réagir,
Le lendemain, Diane vin la chercher mais ne lui remit pas son harnais.
Elle la fit sortir du box, et la conduisit dans une petite salle.
Elle lui passa des sangles qui tombaient du plafond, et qui lui interdirent bientôt tout mouvement, puis lui enfonça ensuite une grosse boule de latex dans la bouche.
Coralie regarda d’un air affolé Diane s'éloigner puis revenir avec une seringue à la main.
« Ne t'inquiète pas ma jolie, tu va voir ça n'est pas grand chose.»
Coralie essaya de reculer, mais les sangles l'empêchèrent d'éviter ce qui l'attendait, et sentit soudainement l'aiguille s'enfoncer dans sa cuisse droite, puis tomba endormie quelques secondes après.
Son corps bascula en avant, tomba lentement ralenti par les sangles, et se posa enfin sur le sol poussiéreux.