suviant
Sensuelles aventures pour une même destinée 10
précédant

Par Julien Graves

 

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Chapitre 4 L’adoption de Laura.

 

Dans un hôpital, un homme en blouse blanche s'avança dans la salle d'attente, en disant d'une voix claire :
" Y a-t-il un ou une proche de monsieur et madame VANIER?"
Une jeune fille d'une quinzaine d'années, le teint pâle, se leva et s'avança vers l'homme, le visage crispé par l'émotion et la nervosité.
" Je suis Mademoiselle VANIER, dit-elle, en arrivant près de l'homme, je suis leur fille.
- Bonjour Mademoiselle, répondit l'homme veuillez me suivre s'il vous plaît. Je suis le docteur SALISOF, vos parents nous ont été amenés à la suite d'un accident de la route, ils ont été heurtés par un poids lourd à assez grande vitesse. Leurs lésions été assez sévères, nous avons pu en réparer certaines, mais malheureusement, celles qui restaient étaient trop importantes et malgré tous les efforts de l'équipe médicale, ils n'ont pas pu être sauvé. Ils sont morts, je suis désolé.
- Oh non! Ça n'est pas possible! Sanglota la jeune fille.
- Si je peux faire quoique ce soit, dite le moi.
- Papa! Maman! Sanglota encore plus fort la jeune fille. Je veux les voir, reprit-elle, les yeux pleins de larmes.
- Vous êtes sûre? Je dois vous prévenir que ça n'est pas beau à voir.
- Peut être. Mais je veux les voir. S'il vous plaît.
- Bien comme vous voulez. Sachez tout de même, que nous avons dû les brancher à plusieurs machines afin de les aider à respirer, et pour leurs administrer des médicaments, ils seront donc encore reliés à ces machines.
- Qu'importe. Je veux les voir.
- Bien alors veuillez me suivre."

Le médecin conduisit donc la jeune fille dans une salles, où elle put voir et embrasser ses parents une dernière fois, en versant des torrents de larmes sur leurs corps inertes, sans pouvoir les contenir.

Quelques jours plus tard, avait lieu l'enterrement.
À la fin de celui-ci, une dame vêtue de noir s'approcha de la jeune fille, et posant sa main sur l'épaule de cette dernière lui dit:
" - Tu es Laura n’est-ce pas ?
- Euh oui, pourquoi ?
- Ma pauvre petite, est-ce que tu tiens le coup?
- Oui il va bien falloir, répondit la jeune fille les yeux rougit par les larmes Mais qui êtes-vous ?
- Je suis Diane, une vieille amie de tes parents. Ils m’ont beaucoup aidé lorsque j’étais plus jeune, et dans le besoin. Que vas-tu faire maintenant?
- Je n'en sais rien. La maison va sûrement être vendue, et comme il n'y a plus personnes dans la famille...
- Mais où vas-tu vivre ma chérie?
- Je ne sais pas.
- Si tu le désires, je peux t'accueillir, j'ai une grande propriété, et tu ne manqueras de rien. J’ai toujours voulu pouvoir rembourser tes parents pour ce qu’ils ont fait pour moi, et je crois qu’ils seraient rassurés de te savoir chez quelqu’un qu’ils connaissent bien. C’est la moindre des choses que je puis faire pour les remercier.
- Euh oui je crois que mes parents  apprécieraient beaucoup votre geste, maintenant comme je ne suis pas majeur, ça n'est pas moi qui décide d'après ce que l'on m'a fait comprendre.
- Oui je vois. Je vais voir ça et arranger l'affaire avec maître DURL, ne t'inquiète pas, j’ai de bonnes relations ça ne devrait pas poser de gros problèmes."

Quelques semaines passèrent, pendant lesquelles Laura se trouva placer dans un centre pour adolescents. L'une des éducatrices vint la voir un jour en lui disant :
" Ma petite Laura, Tu vas quitter le centre pour aller habiter chez madame OURILAN. Apparemment tu la connaîtrais?
- Oui c'était une amie de mes parents. Elle m’avait proposé de m'accueillir, mais je n’aurais  jamais cru que cela aurait été possible.
- Et bien ça l'est apparemment? Aller va préparer tes affaires, tu pars dès demain matin."
Le lendemain matin, Laura se prépara rapidement, et lorsqu'elle descendit avec ses deux petites valises dans les mains, elle se heurta presque à l'éducatrice, qui parlait avec une femme.
" - Bonjour  Laura! Voici la dame qui va te conduire chez madame OURILAN. Sa voiture attend devant.
- Bonjour Laura, je suis Laetitia, la voisine de madame OURILAN, elle a eu un empêchement, elle m'a donc demandé de venir te chercher. Laisse tes valises là, je les mettrai dans la voiture. Va déjeuner, et on se retrouve devant la porte."
Laura déposa ses valises contre le mur, et parti déjeuné. Une demi-heure plus tard, elle sortait du centre et rejoignait le véhicule  qui attendait devant la porte. Laetitia était là, lui ouvrit la porte arrière, et la jeune fille s'engouffra dedans  pour s'installer sur la banquette confortable de cuir. Laura regarda longtemps la silhouette du centre s'évanouir petit à petit au loin, derrière les kilomètres parcourus par la voiture.
Après plusieurs heures de route, à traverser plusieurs provinces du pays, Laetitia se gara enfin dans une immense cour encadré par de grands bâtiments, en plein milieu de la campagne.
Elle  descendit, ouvrit la portière à Laura, et la guida  en portant ses valises sur le perron de l'un des bâtiments, qui semblait être le corps de logis.
" - Voilà je te laisse. Bonne chance à un de ces jours sans doute!
- Merci madame, à bientôt."
Laetitia rejoignit sa voiture, et redémarra en faisant un petit signe de la main à la jeune fille.
Celle-ci regarda la voiture s'éloigner, et disparaître sur la route perdue entre les prairies. Après avoir pris une grande inspiration, la jeune fille sonna timidement.
Des bruits de pas se firent entendre, et une femme d'une vingtaine d'années apparut dans l'encadrement de la porte, vêtu d'un tablier et d'une coiffe de bonne.

" - Mademoiselle?
- Bonjour, je suis Laura VANIER, madame OURILAN m'a fait venir chez elle.
- Oh oui, Madame m'avait prévenu de votre arrivée, entrez, entrez!  Madame n'est pas encore revenue, dit la femme en guidant Laura dans un salon immense, et en lui indiquant un fauteuil, elle ne devrait plus tarder. Installez-vous en l'attendant.
- Merci.
- Désirez-vous boire quelque chose?
- Juste un verre d'eau s'il vous plaît.
- je vous apporte ça tout de suite."
La femme disparut pendant quelques secondes, puis revint avec un verre d'eau sur un plateau qu'elle déposa sur la table, avant de repartir.
Laura, bu son verre à petites gorgées en observant le cadre très riche de la pièce, les fauteuils de cuir, les grandes tentures de soies et de satin sur lesquelles étaient peintes des gigantesques fresques, recouvrant la quasi-totalité des murs, les hauts lustres de cristal pendus au plafond et éclairant la vaste pièce d’une lumière pur et intense. Elle  replaça  son verre sur le plateau, et attendit quelques instants, avant d'entendre le bruit d’une porte, des pas qui s'approchaient, puis des bruits de voix. Elle reconnut la voix de la femme qui lui avait ouvert la porte, et la voix de sa bienfaitrice.
La silhouette de cette dernière apparut au seuil de la pièce. Laura se leva, s'avança vers elle, et les deux femmes se saluèrent chaleureusement.
" - Tu as fait bonne route ma petite? Demanda la femme en souriant.
- Oui merci. Diane je peux vous poser une question?
- Oui, vas’ y je t'écoute.
- Je sais que lorsque je suis venu la dernière fois, j'étais toute petite, et que je ne m'en souviens plus, mais papa et maman, m’ont toujours décrit cette maison où vous viviez seule. Vous avez toujours eu des domestiques?
- Et bien non c'est vrai. Geneviève n'est arrivée ici qu'il y a un an. Mais pourquoi tu me demande ça?
- Euh, juste parce que ça me fait bizarre de voir des domestiques, là où nous habitions avec papa et maman, cela était interdit.
- Oui mais dans cette province c'et autorisé, même si tout le monde n'approuve pas et ne comprends pas toujours.
Je t'ai déjà trouvé une école, que je te montrerai demain, et dans laquelle tu rentreras dès la semaine prochaine. Au niveau des règles à respecter, tu devras manger aux horaires qui sont de rigueur ici, et tu pourras demander ce que tu veux à Geneviève, du moment que ce soit fait de manière respectueuse et convenable. Tu n'as pas à t'en faire pour tes dépenses, en ce qui concerne ta garde robe, tes produits personnels, tu auras une carte de paiement pour cela, en sachant que c'est biensur moi qui la contrôlerai et la réapprovisionnerai selon la situation.
Ah oui une autre chose, autant le bâtiment principal de maison t'est complètement mis à disposition, autant le bâtiment qui lui fait face, t'es complètement interdit, quelque soit la raison. C’est la seule interdiction que je te demande de respecter à la lettre. C'est bien clair?
- Euh oui."
Les deux femmes continuèrent à discuter, Diane expliquant brièvement le fonctionnement et les règles de la maison, et Laura posant de temps à autres des questions.
Le lendemain, Laura fut conduite en compagnie de Diane  jusqu’une grande école, dans laquelle elle dût s'intégrer la semaine suivante. Diane avait fait renouveler complètement la garde-robe de Laura, ce qui donna le sentiment à la jeune fille, d'être une grande dame.
Les semaines et les mois passèrent tranquillement, et Laura maintenant se considérait à peu de chose près comme la fille de Diane.
Seul son vouvoiement envers la femme, marquait une distance certaine entre Laura et sa bienfaitrice.
La vie continua donc paisiblement.
Cependant, un peu plus de quatre ans après son arrivée chez Diane, un évènement survint dans la vie paisible de Laura, qui allait changer sa vie du tout au tout, marquant un tournant dans sa vie.
Alors qu’Elle rentrait d'une soirée bien arrosée  entre amis, l'alcool et la nuit aidant, elle ne retrouva pas ces points de repères habituels. Les yeux embrouillés par les vapeurs des boissons qu’elle avait absorbées, la tête lui tournant, elle se dirigea d'un pas mal assuré vers ce qu'elle croyait être la maison, et faillit s'écraser dans le mur du bâtiment. Elle tâtonna jusqu'à ce qu'elle eût trouvé la porte, et tenta d'introduire la clé dans la serrure. Après plusieurs tentatives infructueuses, elle sentit la porte s'ouvrir  sans qu'elle ne sache comment, et entra dans ce qui était pour elle, la maison. Sans trop réfléchir, elle se dirigea à tâtons vers une destination inconnue, et après avoir parcourut quelques pas, de la porte à ce qu’elle prit pour son  lit, elle séffondra dessus, et s'endormit immédiatement.
Lorsqu'elle ouvrit les yeux en entendant du bruit autour d'elle, elle eut la sensation qu'on lui avait  piétiné la tête. Chaque petit bruit se changeait en une explosion qui lui raisonnait à travers tout le crâne.
Elle mit plusieurs minutes avant de retrouver tout à fait ses esprits, et se rendre compte qu'elle ne se trouvait pas dans sa chambre, mais dans une vaste pièce sur les murs de laquelle étaient alignées et empilées d'assez vaste cages grillagées. Dans ces cages, se trouvaient des formes indistinctes. Elle se redressa, en constatant qu'elle portait ces vêtements de la veille, et se dit :
" Je devais être bien éméchée hier soir en rentrant. Oh là, là, ma tête!"
Elle tourna les yeux vers une des formes qui bougeait derrière les barreaux de l'une des cages, s’en approcha, et se rendit compte qu'il s'agissait d'une jeune femme, nue, bâillonnée, pieds et poings liées qui s’y trouvait enfermée, tel un animal que l'on venait de capturer.
Elle songeait à repartir, et se dirigeait vers la porte en comprenant soudain, qu'elle avait dû pénétrer là où on lui en avait interdit l'accès, lorsque la porte s'ouvrit brusquement. La lumière du jour lui fit mal aux yeux, et elle se recula comme si elle avait prit une gifle, en poussant un gémissement de surprise. En fait la gifle arriva deux ou trois seconde plus tard, et la projeta  au sol. Lorsque l'instant d'après, elle se  rendit compte de ce qui lui arrivait, elle vit Diane s'approchait d'elle, portant une tenue de cuir moulante, le visage empourpré par la colère.
" - Puis-je savoir ce que tu fais ici! Rugit Diane.
- Euh, euh, je ne l'ai pas fait exprès, je ne voulais, euh, euh....
- Je t'avais pourtant défendu de venir ici. Je te faisais confiance, tu avais tout ce que tu désirais aux conditions de respecter cette seule règle, mais je vois que c'était trop pour toi ! Tu as su te contenir pendant quatre ans, mais tu as finalement craqué !
- Non, non, sanglota Laura, je ne voulais pas, je vous le promets, je, c'est parce que, je, je....
- Je ne veux rien entendre, c'est bien compris !
- Mais, il faut me croire, je vous en supplie...
- Ferme la maintenant! Ah, tu voulais savoir ce qu'il y avait! Tu ne sortiras plus d'ici, même plus pour aller à l'école!  Et bien tu vas pouvoir goûter à cette vie. La vie avec le confort et les avantages ne te convenait pas, et bien tu vas passer de l'autre côté de la barrière. Si je me souviens bien, le soir où tu es arrivée, tu m'as demandé si ça faisait longtemps que j'avais des domestiques, et bien maintenant je peux tout te dire, puisque tu vas en devenir une, oui ça fait très longtemps, je les dresse même pour ceux qui en désirent.
- Mais, mais, mais....
- Il n'y a pas de mais. Tu n'es qu'une petite ingrate. Je te prends sous ma protection, je t'héberge, je te donne argent, vêtements, bonheur, amour... Et voilà comment tu me remercie! Et bien maintenant il va être temps de rembourser tes dettes ma fille! Te souviens-tu de Geneviève ?
- Euh, oui elle était là lorsque je suis arrivé ici.
- Oui, et si elle est partie quelques mois à peine après ton arrivée, c’est parce que maintenant, elle est chez des clients pour qui je la dressais ! "
Laura n'eût pas le temps de se reculer ou de faire le moindre geste de protestation, quand elle reçut une nouvelle fois, une gifle magistrale qui la rejeta et la fit rouler en arrière. Elle se retrouva allongé sur le dos au  planché, lorsque Diane se penchant sur elle, lui attrapa les mains, et referma une paire de menottes sur ces dernières. La jeune fille voulut lancer son pied vers cette femme que jusqu'alors elle avait considérait comme sa deuxième mère, mais celle-ci fit un pas de côté, évita la menace, et  lui décocha un violent coup de talon dans la hanche.
Laura  cria de douleur, tandis qu'une nouvelle paire de menottes se fermait sur ses chevilles.
La jeune fille voulut hurler de plus belle, mais lorsqu'elle ouvrit la bouche, elle vit un épais bâillon s'enfonçait dans sa bouche, et se nouait derrière sa tête.
Diane la saisit par les aisselles et la fit se mettre à genoux. Les yeux de Laura embrumés par la terreur, inondé ses joues d'un torrent intarissables de larmes, tandis qu’une pellicule de sueur froide se formait dans sa nuque.
" Tu seras sans doute plus coopérative, et moins fière comme ça. Dit Diane d'une voix d'une dureté que Laura n'avait jamais entendue.
La première chose que tu dois savoir dans ta nouvelle vie d'esclave, c'est qu'en tant que vulgaire chose soumise, tu dois vivre complètement nue, sauf sur demande de la part de ta propriétaire. Je serai cette dernière, puisque j'ai des obligations légales envers toi, estime toi heureuse, que je ne puisse pas te vendre une fois dressée."
Laura voyait Diane derrière le rideau de brume vaporeuse de ses larmes, et la vit s'approcher, une paire de ciseau à la main, puis sentit ses vêtements se déchirer, et tomber petit à petit au sol, formant un anneau de tissus inerte autour d'elle. Les deux derniers coups de ciseaux vinrent découper la culotte de la jeune fille, et la firent rejoindre les autres habits.
Laura se trouvait donc nue, au milieu des regards des autres jeunes filles enfermées dans les cages de la pièce, qui n’osait pas faire le moindre mouvement ni le moindre bruit.
La jeune fille, ne pouvant cacher son intimité ni sa poitrine avec ses mains, celles-ci étant entravées dans son dos, subit cet humiliation avec peine, et les spasmes du chagrin et de la peur la secouèrent convulsivement accompagnant les flots discontinus de larmes qui lui inondaient de plus belle le visage, avant de venir mouiller sa poitrine tendre et délicate.
Elle fut bientôt enfermée dans l'une des cages vides de la pièce, rejoignant les autres jeunes filles dans leurs identiques prison.

Les jours, les semaines, et les mois qui suivirent cette matinée, furent pour Laura une période très difficile, La jeune fille devant se plier aux diverses consignes, exercices, exigences, et fantaisies de Diane. Lorsqu'elle fléchissait un peu ou qu'elle commettait la moindre erreur, elle recevait une correction digne de celle que l'on donnait à une  bête, composée de séance de cravache, de fouet, de martinet, d'harnachement de toutes sortes, de dilatation de ses orifices, de pénétrations....
Elle reçut la marque des esclaves qui consistait en un tatouage sur l'épaule faisant apparaître un numéro qui correspondait au matricule de la jeune fille qui le portait, puis reçut la marque de l'aiguille sur ses tétons, ses lèvres intimes, ainsi que sur son clitoris, afin qu'elle porte en permanence des anneaux à ces endroits.
Diane l’avait déclarée officiellement comme disparue, la signalant comme n’étant pas revenue d’une soirée étudiante, justifiant ainsi l’arrêt des fréquentations, des sorties et des apparitions publiques de la jeune fille.
Après plusieurs mois, elle était devenue complètement soumise et dévoué au service de Diane, acceptant chaque exercice, chaque traitement de bonne grâce, l’esprit dépourvu de toute rébellion et de toute fierté.
Le domaine de Diane se trouvant dans une région rurale, Laura était souvent harnaché tel un pony, et devait tirer seule, ou aidé d'une ou plusieurs camarade, calèches, carrioles, et autre machines agricoles.
Les seules récompenses qu'elle recevait de celle qui était devenue sa maîtresse, étaient des sensations de plaisir la conduisant jusqu'à des orgasmes d'une intensité que la jeune fille n'avait jamais connu auparavant.
Au fil des mois, elle voyait partir une partie de ses camarades, pour que celles -ci soient vendues, et voyait arrivés d'autres jeunes filles, qui devaient apprendre leurs rôles, et leurs conditions.
Il y avait déjà deux ans que Laura avait dû accepter sa nouvelle condition, lorsqu'arriva une jeune fille, parmi un lot d'esclave que Diane avait acheté pour le dressage. Elle se prénommait Juliette, et avait le même âge que Laura. Les deux jeunes filles se lièrent d'amitié, et Diane se résolu après maintes hésitations, à ne pas vendre Juliette, afin que les deux jeunes filles ne soient pas séparés, sentant bien que la présence de l'une pour l'autre était importante pour leur équilibre psychologiques.
Juliette reçut à son tour les marques des esclaves ainsi que  celle de  l'aiguille, et arbora à son tour des anneaux aux mêmes endroits que Laura.
Après encore quelques mois de cette nouvelle vie, Laura remarqua, que le nombre d'esclave qui partaient était toujours plus nombreux, et que n'arrivait plus ou très peu d'esclave au dressage.
Bientôt elle se retrouva seule avec Juliette, et menèrent toute deux une vie mêlant plaisirs intenses efforts, épuisement, travail, et souffrance.
Elles eurent droit toute deux,  à de nouveaux tatouages sur les fesses ainsi que sur les lèvres intimes.
Diane les informa un beau jour qu'elles seraient bientôt transférées dans un établissement spécialisé, dont elle serait l'une des responsables, et que les deux jeunes filles devraient cohabiter avec d’autres jeunes soumises appartenant à d’eux de ses amies.
Quelques jours plus tard, Laura tomba évanouie après avoir déjeuné, et lorsqu'elle se réveilla, elle se rendit compte qu'elle avait été transporté dans un endroit aussi étrange et mystérieux que plaisant, qui lui promettait une nouvelle étape encore plus spéciale dans sa vie de soumise.

jujudoka@free.fr

 

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