Sensuelles aventures pour une même destinée 01 |
Par Julien Graves
M/f M+/f exhibition réticence humiliation boulot lent
PARTIE 1. LES AVENTURES D'ÉLISE OU QUAND LE RÊVE REJOINT LA RÉALITÉ
Chapitre 1. L'admission.
Il était 16 heures 30, lorsqu’élise gara sa voiture sur le parking de l'hôpital.
Cette jeune femme de 24 ans, avait subit il y a quelques temps, une petite intervention chirurgicale, et devait refaire des examens pour vérifier que l'intervention donnait tous les résultats sans complications.
Elle sortit de son véhicule, prit le petit sac où elle y avait glissé quelques affaires, et se dirigea vers le grand perron du bâtiment principal.
Une fois au guichet d'accueil, elle expliqua son cas à l'hôtesse qui la reçut.
"- bonjour madame, je dois être admise en chirurgie pour une intervention demain matin.
- avec le docteur.....
- le professeur Dolose.
- euh le professeur Dolose est souffrant, on ne vous a pas prévenu?
- euh non. S’étonna élise.
- Bon, un instant je vais me renseigner. Dit l’hôtesse.
- merci vous êtes bien aimable."
L'hôtesse décrocha son téléphone, et composa un numéro.
"Bonjour, c'est Béatrice à l'accueil principale, j'ai une dame qui devait être admise pour le professeur Dolose, il est rentré?
Ah d'accord, bien je l'a préviens et l'envoie. Merci, bon courage."
Elle raccrocha.
"- bien, apparemment le professeur Dolose est toujours en arrêt mais c'est le professeur Mutulida qui reprend ses patients en attendant son retour, expliqua l’hôtesse en se tournant vers élise, cependant, il n'opère pas dans cette aile de l'hôpital.
Il vous faut aller dans l'aile sud, au premier étage, unité 4.
-bien merci.
- prenez le couloir là bas, et longez-le jusqu'à la troisième entrée puis prenez l’ascenseur.
- d'accord merci madame."
Elise emprunta donc le long couloir indiqué et le longea. Au
Fur et à mesure qu'elle avançait, elle se sentait mal alaise, comme si quelque chose aller lui arriver, si elle continuer à progresser dans ce tunnel parcemé de pénombre et e lueurs blafardes distillées par les néons stérils du plafond.
Une fois dans l'ascenseur, elle appuya sur le bouton du premier étage,
Quand les portes se fermèrent elle hésita à faire demi-tour, tellement elle avait l'impression bizarre de marcher sur un chemin dangereux, duquel elle ne pourrait plus s’écarter.
Les portes se rouvrirent bientôt dans un chuintement de ferraille graisseuse. Élise les franchit et après quelques pas se trouva face à un guichet d'accueil.
" Bonjour madame, lui dit l'hôtesse qui se trouvait derrière ce dernier.
- bonjour je viens pour... commença élise.
- je sais vous venez pour une admission avec le professeur Mutulida? -euh oui. Répondit élise en sursautant.
- on m'a prévenu de votre arrivée. Je vais vous demander de remplir ce dossier puis je vous ferai signer les papiers d'admission. Dit l’hôtesse en sortant
Des papiers.
- d'accord merci.
Élise pris le dossier et le compléta sans difficulté majeure. Elle commençait à avoir l'habitude de ce type de paperasse.
" Voilà madame Dit élise en tendant le dossier rempli;
- merci beaucoup, voilà signer ici, là, et encore ici
Élise parapha les documents sans trop les lire, connaissant leurs contenus.
" Bien, je vous emmène à votre chambre. Veuillez me suivre s'il vous plaît. Annonça l’hôtesse en se levant et rejoignant élise devant le guichet.
C'est une chambre individuelle.
Élise suivit l'hôtesse qui s'arrêtant devant une porte et l'ouvrant annonça
Voilà c'est ici chambre 162. Mettez vous à l'aise quelqu'un va passer un peu plus tard.
- oui merci.
- je vous laisse vous installé. Si vous avez besoin, n'hésitez pas.
L’hôtesse sortit de la chambre, laissant élise seul.
Elle observa ce qui composait le mobilier, un lit, une petite table de chevet sur lequel était posé un téléphone, un placard, un téléviseur en hauteur...
Élise s'assit sur le lit, puis sorti les affaires de son sac. Quelques culottes, des soutient gorges, des teeshirts, Une petite trousse de toilette elle rangea dans le placard les habits qu'elle avait amenés, et mis la trousse de toilette dans la salle de bain.
Elle s'allongea sur le li, en réfléchissant à sa situation, à ce pressentiment de danger qui ne la quitté plus.
Environs 45 minutes plus tard, on frappa à la porte.
Entrez! Dit élise d’une petite voix.
- bonjour madame, je viens prendre votre tension et voir les détails du déroulement des évènements pour demain. dit un infirmier en entrant et en refermant
La porte derrière lui.
Comment allez-vous? Demanda t il?
- euh ça va, un peu peur mais ça va.
- oui je comprends l'angoisse d'avant l'intervention.
Ne vous inquiétez pas le professeur est au courant de la situation, et je puis vous assurer que c'est l'un des meilleurs de la région.
Pour ce qui est du déroulement de demain. Vous devrez être à jeun à partir de minuit, vous ferai votre toilette à 7h
Et à partir de 8H vous devrez être prête pour partir au bloc opératoire.
- oui, acquiesça élise, combien de temps doit durer l'intervention?
Environs une à deux heures.
- d'accord.
- bien maintenant avez vous des objets de valeurs à mettre au coffre fort?
- euh non.
- bien je vais prendre votre tension.
Tout de suite élise eu un frisson qui lui traversa tout le corps.
- bien 12.8 c'est normal. Annonça t il en retirant le tensiomètre du bras de la jeune femme.
Je vous laisse dans la salle de bain une chemise de nuit de l'hôpital;>
- mais j'en ai apporté une ? S’étonna élise.
- non ça n'est pas la peine, il faut que vous mettiez celle ci je suis désolé.
- ah bon. Dit élise à la fois surprise et de plus en plus mal alaise.
- allez vous changé je vous attends.
Élise entra dans la petite salle de bain qui ne comportait juste pour mobilier qu’un petit lavabo et un petit VC, referma la porte, et commença à se déshabiller.
Une fois nue, elle enfila la petite chemise et la boutonna par derrière.
la chemise était à la fois assez large pour lui permettre de faire des mouvements sans être gênée, mais lui arrivait juste au haut des cuisses, ce qui laissait entrevoir la naissance de ses reins, et dévoilait toute son intimité lorsque la jeune femme ferait des mouvements trop brusques.
Elise se regarda pendant un moment dans le miroir de la petite salle de bain et elle pensa :
" Si Bernard me voyait, il me trouverait sans doute excitante comme ça. "
Après avoir remis ces affaire sur le petit meuble, elle retourna dans la chambre où se trouvait toujours l'infirmier;
Dès qu'elle vit son regard se posait sur elle, élise rougit. En effet c'était la première fois que depuis son mariage
Avec Bernard, qu'elle se montrait pratiquement nue devant un homme.
" Venez vous allongez sur le lit s'il vous plaît je dois prendre votre température et vous faire une prise de sang. Vous serez mieux installé.
Élise obtempéra, tandis que l'infirmier relevait le dossier du lit.
Elle s'allongea sur le lit, l'infirmier approcha une table roulante et prépara le bras, puis piqua.
Élise ne pu retenir un sursaut et une grimace.
" Je vous ai fait mal? Demanda t il.
Non, non ça va j'ai était surprise c'est tout.
- bien maintenant je vous allonge complètement, allez y mettez vous sur le coté. Voilà, comme ça, je vais prendre votre température.
Voilà, ne bougez plus c'est très bien.
en disant cela, l'infirmier souleva le bord de la chemise et insinua le thermomètre entre les fesse d'élise.
Le bout de l'appareil tâtonna afin de trouver son orifice puis rentra en douceur.
Élise, senti une petite vague de plaisir et de honte mélangés, en sentant le thermomètre rentrer en elle et se sachant observer dans sa simple petite tenue. Ses joues s’empourprèrent rapidement, et elle ferma les yeux pour ne pas croiser le regard de l’infirmier.
Après un moment, il retira le thermomètre.
Bien vous n'avez pas de température. Annonça t il. Vous pouvez vous rallonger normalement.
Élise se remit sur le dos puis le dossier fut remis en position oblique.
" Glissez vous sous les couvertures, pour ne pas avoir froid. Votre repas va arriver d'une minute à l'autre, profitez en et reposez-vous. "
L’infirmier sorti.
Élise passa ses pieds sous les couvertures, et remonta celles ci, jusqu'au milieu de ses cuisses.
Après avoir diné et que le repas ait été débarrassé, élise se dit qu'elle allait passer au toilette et se remettre au lit pour lire avant de dormir.
Elle repoussa ses couvertures et c'est à ce moment là qu'elle s'aperçu que sa chemise avait sans qu'elle s'en rende compte remonté sur le bas de son ventre
Sans doute lorsqu'elle s'était rallongé après la prisse de température. Mais alors, cela voulais dire aussi que son
Intimité avait été à la vue non seulement de l'infirmier mais aussi des personnes qui lui avait apporté et débarrassé son plateau repas.
Elle eu honte d'une telle impudence, elle qui ne se mettait nue juste que lorsqu'elle était seule ou avec son Bernard.
Elle se leva, passa au toilette, et revint s'allonger.
Une fois allongée, elle passa sa main sous sa chemise et commença à se caresser les seins car malgré la honte de se savoir la vulve exposée à tous
Les regards, cela l'excitait énormément.
Elle tripota ses tétons, en tirant dessus, les pinçant, elle poussa un petit soupire de plaisir, et avec son autre main passa un doigt sur sa fente qui
Commençait à s'humidifier d’excitation.
Elle fit rentrer un de ses doigts dans sa crevasse maintenant complètement trempé de désire, et entrepris des va et viens.
Le plaisir monta en elle avec une vitesse qui la surprise totalement, et elle ne tarda pas à jouir en grognant de satisfaction.
Elle reprit ses esprits après quelques instants, et réalisa qu'elle aurait pu être découverte par quelqu'un, mais elle s'en fichait elle était
Bien fatigué, mais soulagé également. Avec une gourmandise teintée de malice et de provocation, elle nettoya de sa langue, ses doigts inondés de cyprine.
Elle se mit sous les couvertures et ne tarda pas à s'en dormir profondément.
(à suivre)