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La louve (8)
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Auteur inconnu – numérisation Perverpeper

 

F+/f+ bdsm uro humiliation

 

Avant propos : J'ai trouvé ce texte sur internet (malheureusement, je n'ai aucun souvenir du site et je ne sais même pas s'il existe toujours) il y a de nombreuses années. L'auteur était spécifié comme inconnu. Si vous êtes l'auteur de cette jolie fable, veuillez me contacter (ici). Si vous ne souhaitez pas que je le publie, je le retirerai immédiatement.

PP

 

Synopsis : Une jeune femme visite une dominatrice qui fait d’elle son esclave vicieuse et consentante.

 

 

Chapitre 8 : Le dressage de Marthe

 

L’ouvreuse et moi, ses deux esclaves, la suivirent jusque dans l’automobile. Quand celle-ci eut démarré puis quitté les souterrains du parking, La Louve commença à questionner sa nouvelle conquête :

Comment t’appelles-tu, petite salope ?

Je m’appelle Marthe, Maîtresse

As-tu déjà quelque expérience de la soumission ?

Un peu. Trop peu au goût de mon amant. Il prétend que, pourtant, je suis susceptible de faire une parfaite esclave, qu’un côté chienne est en moi et qu’il est possible de le faire éclore. Il dit que je serai capable de grandes choses le jour où je serai parvenue à briser le carcan qui entoure mon trop-plein de conventions

Je partage cette analyse… T’a-t-il déjà prêtée ?

Non, mais il en a évoqué la possibilité prochaine

Pourquoi, vous ne voyez pas ton séjour dans mon donjon comme un prêt ?

Non, mon amant dit qu’il s’agit plutôt d’un séjour disciplinaire, il pense que nous êtes plus apte que lui, car plus expérimentée, à m’instruire rapidement

Il doit avoir raison. En rentrant, tu diras à ton amant que ses analyses me plaisent beaucoup !

Je n’y manquerai pas Maîtresse

Quelques instants plus tard nous étions de retour. La Louve indiqua à Marthe la salle des tourments et me glissa discrètement à l’oreille :

Tu sais parfaitement que tu restes ma préférée, mais je pense qu’il serait dommage de laisser passer une si belle occasion

Mais vous avez tous les droits, vous le savez, Maîtresse

Bien entendu, mais tu dois savoir que même très cruelle envers toi, je t’aime et que je tiens beaucoup à ta soumission amoureuse. Tu profiteras donc pleinement du dressage de cette petite garce de Marthe. Vas donc dans cette petite pièce sombre, tu découvriras dans le mur deux petits trous au travers desquels tu pourras tout voir de ce à quoi ma nouvelle élève devra se soumettre. Je te souhaite un bon moment… Marthe doit m’attendre maintenant, ce qui n’est rien, mais j’ai la main qui a envie d’empoigner le fouet !

Je me glissai donc dans cette pièce étroite et encombrée de mille choses diverses que je distinguais mal. Je n’eus aucun mal à découvrir les deux petits trous aménagés dans le mur, ils donnaient de la salle aux tourments une vue parfaite. Marthe attendait l’arrivée de La Louve qui apparut juste après que j’eus fixé mes yeux derrière les deux petits indiscrets.

Alors, chienne, tu n’es pas encore déshabillée ?!

Je vais le faire immédiatement Maîtresse

J’y compte bien et ne traîne pas !

Marthe ôta d’abord son chemisier et découvrit ainsi un très beau soutien-gorge à balconnets noir très provocant, celui-ci semblait être fait de cuir. Puis elle fit descendre le long de ses jambes glissées dans des bas résilles du plus bel effet sa petite jupe de collégienne, elle ne portait pas de culotte et avait le sexe parfaitement rasé. Tandis qu’elle se défaisait de ses bas je puis apercevoir un petit tatouage basé sur le haut de sa fesse droite, une tête de mort. Quand elle se débarrassa de son soutien-gorge, elle fut nue.
Elle tremblait de peur, pas de froid ; il ne fait jamais froid chez La Louve, elle aime trop, comme moi, la chaleur. La Louve tournait autour de son sujet, vint se placer juste devant elle et la gifla violemment.

A genoux ! Prosterne-toi devant ta Maîtresse !

D’un geste rapide, elle prit le martinet qui se trouvait juste derrière elle, accroché au mur, et se mit à cingler violemment le dos et les fesses de Marthe. Celle-ci ne se mit pas immédiatement à gémir, mais après une quinzaine de volées il lui fut impossible de réprimer les premiers gémissements de douleur.

La Louve lui passa alors un gros collier de cuir grossier autour du cou, collier qu’elle relia à une courte laisse métallique. Sitôt fait, ma Maîtresse tira brusquement , et avec force, sur le collier de la soumise qui se leva aussitôt.

Ah je vais te dresser, petite garce ! Tu vas voir, tu vas rapidement y prendre goût !

Mais j’y prends déjà goût, Maîtresse !

Fort bien ! Continuons puisqu’il en est ainsi !

Après quelques secondes d’un lourd silence :

Reste là, comme ça, dans cette position. Les yeux baissés et les jambes légèrement écartées ! Je vais te rapporter une petite surprise

Je vis La Louve quitter la pièce et pu me rendre compte, en analysant la direction de ses pas au bruit qu’ils répandaient autour d’eux, qu’elle se rendait dans la cuisine. Elle n’y fut pas longue et revint encore plus rapidement qu’elle était partie.
Elle ouvrit la porte de la salle aux tourments, la claqua derrière elle et s’approcha de Marthe qui, j’avais pu le vérifier, n’avait pas bougé. La Louve tenait quelque chose en main, ce devait être bien petit pour qu’il me soit impossible de distinguer l’objet. Quoiqu’il en soit elle fit entrer celui-ci dans la chatte de la belle esclave qui, après un sursaut assez violent, se mit immédiatement à gesticuler. Elle grimaçait, cela semblait aussi pénible que petit.

Cela me brûle, Maîtresse, cela me brûle !

Cela ne peut… Ce n’est qu’un tout petit glaçon de rien du tout !

Je n’en peux plus !

Déjà ?

Oui, excusez moi, Maîtresse, mais je n’en peux plus !

Fort bien, je vais te le retirer mais pour t’apprendre à mieux supporter la douleur je vais t’enchaîner cette nuit. Tu n’auras pas droit à un lit, il en sera d’ailleurs ainsi toute cette semaine, tu dormiras sur un peu de paille dans une salle réservée aux salopes de ta race, aménagée, si je puis dire, dans la cave !

Je ferai tout ce que vous jugerez bon de m’accorder Maîtresse

Et La Louve ne s’en priva pas tout au long de cette merveilleuse semaine qui fut, pour moi, comme des vacances. Toutes les nuits ma Maîtresse me faisait l’amour, elle se disait très excitée par le traitement qu’elle infligeait à sa nouvelle recrue et disait vouloir trouver avec moi un peu de repos. Tous les jours, pendant de longues heures, j’assistais au dressage de plus en plus éprouvant de Marthe. Elle progressait très vite et c’était agréable à voir. Marthe et La Louve étaient belles dans leurs déchaînements.

Quand, au bout de la semaine, La Louve rendit Marthe à son amant il paraît que les deux jeunes amoureux étaient ravis et heureux.

Au retour de La Louve j’allais retrouver toute ma place. Je mouillais…

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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