La louve (9) |
Auteur inconnu – numérisation Perverpeper
F+/f+ bdsm uro humiliation
Avant propos : J'ai trouvé ce texte sur internet (malheureusement, je n'ai aucun souvenir du site et je ne sais même pas s'il existe toujours) il y a de nombreuses années. L'auteur était spécifié comme inconnu. Si vous êtes l'auteur de cette jolie fable, veuillez me contacter (ici). Si vous ne souhaitez pas que je le publie, je le retirerai immédiatement.
PP
Synopsis : Une jeune femme visite une dominatrice qui fait d’elle son esclave vicieuse et consentante.
Chapitre 9 : La maison des perversions
— Viens ici Carla, je voudrais m’entretenir quelque peu avec toi
— Me voilà, Maîtresse
— N’es-tu pas fière de te conduire comme une catin ?
— Oui, j’en suis très fière, Maîtresse
— Et te sens-tu capable d’assumer cette pulsion jusqu’au bout ?
— Bien entendu, mais pourquoi ?
— Je voudrais faire de toi une véritable putain !
— Je vous ai déjà assurée que vous pouviez faire de moi ce que vous souhaitiez…
— Fort bien, j’ai trouvé une maison où il est possible de te livrer et te prêter à de nombreux amateurs
— J’ai hâte de connaître, Maîtresse, ce lieu merveilleux
— Cet endroit n’est en rien merveilleux, il est superbe mais surtout glauque et efficace. On y traite les salopes dans ton genre comme de véritables chiennes en chaleur !
— Emmenez-moi là-bas, j’aimerais y vivre des expériences dégoûtantes et dégradantes !
— Nous allons d’abord te vêtir pour la présentation. Va chercher ta minijupe et ta petite veste de latex. Tu passeras cela au-dessus du porte-jarretelles et des bas résilles. Aux pieds tu mettras tes bottillons de cuir noir. Et n’oublie pas de mettre aussi autour de ton cou ton large collier clouté de chienne, il nous sera utile !
Je fus prête rapidement, j’avais maintenant une grande habitude de ce genre de tenue, je me glissai avec facilité dans le latex comme dans le cuir.
Sans attendre plus longtemps La Louve me mena dans cette étrange maison, je ne fus pas déçue.
La bâtisse était grande, vaste, luxueuse. Un petit parc, fort bien entretenu, précédait la maison et notre voiture glissa sur le gravier qui menait jusqu’à la grande porte d’entrée. La Louve fit retentir la cloche qui se trouvait à l’entrée et une jeune soubrette, toute de vinyle vêtue, vint nous ouvrir.
— Je suis La Louve, votre Maîtresse m’attend !
— En effet, Madame, veuillez me suivre je vais vous conduire à son bureau
Nous suivîmes la domestique dont la tenue me faisait très envie, sa jupe ne cachait que la moitié de ses fesses et dévoilait un petit slip en plastique vraiment charmant. Elle ondulait du cul avec plus de talent encore que je ne le faisais moi-même.
La soubrette frappa à une porte devant laquelle elle nous demanda d’attendre, on entendit une voix chaude et autoritaire lui donner l’autorisation d’entrer, elle passa la tête, dit que nous étions arrivées et se retourna vers nous :
— Vous pouvez entrer
— Toi, Carla, me dit La Louve, tu attends ici, dehors !
La Louve disparut dans le bureau et j’attendis son retour. Je n’entendis rien de ce dialogue qui avait lieu à l’intérieur de la pièce.
— Voilà, chère amie, je vous apporte l’esclave dont je vous ai parlé…
— Parfait ! Nous allons nous occuper d’elle… Que préconisez vous comme traitement pour votre esclave ?
— Je crois qu’il serait bon de lui faire apprécier tout ce qu’il existe de plus vil dans la façon dont peuvent être traitées les catins…
— Permettez-moi de vous reprendre, ici toutes les soumises sont bien traitées. Elles sont volontaires et je ne les accepte que si elles prennent vraiment plaisir à la soumission…
— C’est également le cas de Carla mais je voudrais, et elle ne semble attendre que cela, l’humilier profondément
— S’il ne s’agit que de cela, l’affaire sera simple !
— Quelqu’un qui possède votre expérience ne devrait pas avoir de problème pour soumettre Carla de façon extrême…
— Eh bien, débutons sans attendre plus longtemps !
C’est après ces quelques paroles que je vis ressortir La Louve en compagnie de la Maîtresse des lieux, une grande femme rousse, portant de très hautes cuissardes vernies, une mini robe très serrante en cuir sublime qui faisait éclater toute la beauté de sa poitrine généreuse.
— A genoux, chienne !
— Je me mis à genoux et baissai les yeux.
— Viens par ici la soubrette, mets-toi en face de cette salope !
J’entendis les talons de la servante claquer contre le sol carrelé et vis deux superbes escarpins aux talons démesurés se planter devant moi, à quelques pas.
— Prosterne-toi, chienne, et baise les pieds de la soubrette, tu seras désormais la domestique des domestiques, je m’en vais leur annoncer qu’elles pourront toutes abuser de toi pendant 24 heures comme elles le veulent.
Je baisai les chaussures et les pieds de la belle soubrette, ma bouche et ma langue s’activaient sur le cuir et la peau. C’était doux, c’était délicieusement bon, c’était formidablement excitant !
La Maîtresse des lieux et La Louve quittèrent le couloir dans lequel nous nous trouvions et la servante me dit :
— Allons, mets-toi à quatre pattes maintenant ! Je vais te passer une laisse et tu vas me suivre !
Elle m’emmena dans une pièce sombre remplie d’objets étranges et effrayants.
— Assieds-toi sur ce petit banc et attends-moi sans bouger !
— Oui Maîtresse
Quelques instants plus tard la soubrette revint accompagnée par deux autres esclaves qui, pour une fois, avaient perdu leur regard soumis et remplacé celui-ci par un regard de braise qui me donnait très envie de me livrer corps et âme à elles.
— Voilà donc la salope dont la Maîtresse nous a parlé, elle est à nous et il paraît qu’elle adore se faire maltraiter…
— Voyons tout d’abord, lança la petite brune, si elle mouille !
Elle joignit le geste à la parole et engagea sa main sous ma minijupe de latex noir.
— Elle mouille, et abondamment avec ça !
— Moi elle me plaît, dit soudain la blonde, je lui roulerais bien un patin !
Et elle joignit la bouche à la parole.
— Elle donne bien sa langue cette salope, fouettons-la maintenant, j’ai très envie de la voir pleurer !
Les trois jeunes femmes me prirent par les bras comme si j’allais me débattre, il n’en fut rien et c’est très docilement que je m’abandonnais à elles. Elles m’installèrent sur une croix et me bandèrent les yeux. L’une d’entre elles me releva la jupe de latex afin d’offrir mon cul à leurs tourments.
Des lanières de cuir sifflèrent derrière moi et s’abattirent sur mes fesses. Elles me donnaient du martinet avec bien peu de ménagement, il faut dire qu’elles voulaient ma faire pleurer… Les coups étaient vifs, rapides, nombreux et mon cul s’enflamma très rapidement, j’avais chaud, je remuais dans mes liens, je criais, je gémissais… Puis les coups ne furent plus que du son, la douleur avait disparu, je m’envolais, l’excitation avait pris possession de moi et le seuil de la douleur était dépassé. Ce n’était pas cela qui allait me faire pleurer.
— Mettons-la à poil et bourrons-la !
Elles se précipitèrent sur moi, me détachèrent et me déshabillèrent. Je fus nue face aux trois furies. La petite brune s’approcha de moi avec un gode énorme, elle me fit signe de m’installer sur la table gynécologique, posa mes chevilles sur les étriers et présenta le vit devant l’entrée de mes profondeurs.
— Tu vas avaler ma salope, l’avaler complètement !
— Je vais essayer Maîtresse…
— Qu’on lui ferme la gueule à cette truie ! Passez-moi un bâillon que je la fasse taire ! Je n’ai que foutre de son opinion ! Mais pour qui se prend-elle cette salope ?
Le bâillon en latex bien installé dans ma bouche, les trois furies s’acharnèrent sur moi. La petite brune s’activa sur le gode, lui faisant défoncer ma chatte de plus en plus au fur et à mesure que les deux autres s’occupaient de moi. La soubrette s’acharnait sur mes seins, tirant sur mes tétons et les martyrisant à l’aide de pinces diverses. La blonde commença à me cracher au visage et à m’insulter avant de se tourner vers mon trou du cul qu’elle fouilla d’abord avec les doigts avant de s’aider d’un vibromasseur qui me remua les entrailles. J’avais cru pouvoir résister mais il n’en était rien, le gode qui me défonçait la chatte était bien cruel et par uniquement de par sa taille, surtout parce que, et je ne l’avais pas remarqué, hérissé de petites boules en relief. Je crus même, à un certain moment, être déchirée tant la douleur était vive et ne pus réprimer quelques larmes…
— Ca y est, elle pleure !
— Elle est à nous, elle est à nous, elle va souffrir !
Malheureusement, l'histoire se termine après ces quelques mots. Si elle vous a plu, n'hésitez pas à m'en faire part, j'écrirai avec plaisir quelques chapitres faisant suite aux neuf premiers.