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La louve (7)
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Auteur inconnu – numérisation Perverpeper

 

F+/f+ bdsm uro humiliation

 

Avant propos : J'ai trouvé ce texte sur internet (malheureusement, je n'ai aucun souvenir du site et je ne sais même pas s'il existe toujours) il y a de nombreuses années. L'auteur était spécifié comme inconnu. Si vous êtes l'auteur de cette jolie fable, veuillez me contacter (ici). Si vous ne souhaitez pas que je le publie, je le retirerai immédiatement.

PP

 

Synopsis : Une jeune femme visite une dominatrice qui fait d’elle son esclave vicieuse et consentante.

 

 

Chapitre 7 : Le cinéma

 

La Louve subvenait à tous mes besoins qu’ils soient sexuels ou strictement quotidiens. D’ailleurs mon quotidien était ma sexualité. Elle me nourrissait comme elle m’avilissait, elle m’aimait (je n’en ai jamais douté) et elle me punissait, elle m’abreuvait d’amour et d’urine.
Elle avait pris toute ma vie en main, je le lui avais proposé et elle avait fini par accepter ma proposition. Je m’étais faite câline et coquine, ses yeux de dominatrice avaient craqué et j’en ai bavé, que mon cul en atteste.

C’est elle qui décidait de tout, et donc de mes loisirs. Elle décida de m’emmener au cinéma, elle me dit tout juste cela sans me donner un titre quelconque. D’ailleurs depuis le temps que La Louve m’avait ôtée à la vie de l’extérieur je n’étais même plus au courant des nouvelles sorties.

Elle arrêta la voiture devant la porte, je me tenais derrière la fenêtre, et l’attendais. De son siège elle me fit signe de venir, je me dirigeais vers la porte, l’ouvris et je sortis. J’avais un peu de mal à marcher avec ces nouvelles cuissardes noires et rouges à lacets qu’elle m’avait offertes tant les talons étaient hauts et fins d’autant que ma minijupe en latex rouge ne me facilitait pas la tâche. Au-dessus je portais un superbe petit perfecto de la même couleur fait dans un cuir de première qualité qui ne reposait que sur un soutien-gorge de la même peau. Je me savais belle et provocante, La Louve me regardait avec un sourire carnassier, celui que je préfère.

Dès que j’eus pris place aux côtés de ma belle dominatrice elle démarra. Contrairement à ce que j’avais imaginé elle ne se dirigea pas vers le centre mais vers la banlieue :

Les parkings y sont plus sordides, me dit-elle

Et, en effet, le parking qui jouxtait le cinéma était sordide

La Louve connaissait manifestement bien l’endroit puisqu’elle ne se gara pas au hasard. Il y avait, dans le fond, un coin plus sombre où les néons avaient rendu l’âme. Etait-ce vraiment le hasard qui avait fait que l’endroit le plus obscur était celui qui donnait sur les toilettes publiques. En sortant du véhicule La Louve me lança :

Après la séance je te ferai donner une séance là-bas, me dit-elle en montrant les toilettes du doigt, mais pour l’instant nous allons nous contenter de te montrer à quelques passants et de choquer une petite ouvreuse tout à fait charmante.

Ma tenue était, en effet, tout à fait remarquable et je fus donc très remarquée d’autant plus que je me tenais à côté de ma Maîtresse dont l’aspect ne manquait pas lui non plus, loin s’en faut, d’intérêt. Bien entendu, elle avait comme d’habitude insisté sur l’aspect sévère de sa tenue : Une très longue jupe étroite en cuir, un gros ceinturon métallique, un chemisier de soie très élégant sous lequel sa poitrine menue ne l’obligeait pas à porter de soutien-gorge, des bottillons à lacets aux talons relativement prononcés, des colliers et des bagues à souhait. La Louve me tenait par la main ce qui troubla plus d’un homme qui vint à nous croiser. Quand le regard du passant se faisait plus intrigué encore elle se permettait alors de me prendre par la taille comme pour mieux affirmer que j’étais à elle et uniquement à elle, sauf quand elle décidait de me prêter.

Parvenues à l’entrée du cinéma, La Louve demanda deux places pour un film dont je ne compris pas le titre, pris les deux billets et m’entraîna derrière elle en me tirant par la main. Une ouvreuse s’approcha de nous, elle était très jeune et très belle, nous fit signe de la suivre, lui éclaira les rangées de la salle avec sa petite lampe de poche, nous rendit les tickets déchirés, accepta le pourboire et tourna les talons. Ma Maîtresse nous choisit deux places dans la dernière rangée, elle m’y poussa, indiqua ma place et vint s’installer à mes côtés. Nous n’en étions qu’aux publicités et elle profita de ce moment pour m’ordonner de relever ma minijupe bien haut afin de découvrir facilement ma chatte. Quand les réclames prirent fin, la salle s’éclaira à nouveau tandis que l’ouvreuse réapparut pour tenter de nous vendre des chocolats glacés. Il n’y avait quasiment personne dans la salle obscure et la jeune fille fut très heureuse que ma Maîtresse lui fît signe de s’approcher.

Je voudrais un chocolat glacé s’il vous plaît

Vanille ou chocolat, madame ?

Peu importe, pour l’usage que nous allons en faire

L’ouvreuse sembla surprise mais elle tendit néanmoins un chocolat à La Louve :

Voilà !

Et voilà pour vous mademoiselle, dit La Louve en tendant à la jeune fille un billet qui dépassait de loin le prix de la glace, vous pouvez garder le tout mais je vous demanderai néanmoins de rester ici quelques secondes de plus, je voudrais vous montrer quelque chose

La Louve ôta l’emballage, sortit le chocolat et se tourna vers moi. Elle dirigea l’objet froid vers mon sexe, j’écartai les jambes par réflexe et La Louve me pénétra devant la jeune observatrice. Je n’osais pas lever les yeux mais j’entendis bien la remarque qu’elle fit en s’adressant à ma propriétaire :

Votre amie est très belle Madame… Et elle à l’air très obéissante

Bien plus que vous ne pourriez le soupçonner… Si vous attendez à la sortie à la fin du film nous vous montrerons jusqu’où elle peut aller

N’ayez aucune inquiétude je serai là, mais mon ami m’attend toujours à la sortie et j’aimerais qu’il nous accompagne

Cela ne fait aucun problème, qu’il vienne nous en serons absolument ravies !

Je film pris fin, je n’avais pas tout saisi de l’intrigue, il s’agissait d’un péplum assez cruel retraçant la vie des gladiateurs et des chrétiens offerts aux bêtes sauvages dans les arènes romaines. J’avais apprécié quelques scènes, surtout celles où de belles prisonnières étaient torturées jusqu’à la mort.
Quand la salle se ralluma, La Louve me fit signe de me lever et de la suivre. Ce que je fis, bien entendu. Juste à la sortie, la petite ouvreuse nous attendait avec son ami, un beau jeune homme d’une vingtaine d’années, aux allures timides et au look très rock.

Ah, vous voilà ! Venez, suivez-nous, nous allons mettre mon esclave à l’épreuve dans les toilettes du parking, là-bas plus loin !

Oui, nous connaissons bien l’endroit, nous y faisons régulièrement de petites choses très intéressantes

Une fois encore notre passage fut très remarqué, j’avais l’impression que tout le monde pouvait voir à quel point j’étais excitée. Mes trois accompagnateurs ne dirent plus un mot jusqu’à ce que nous soyons arrivés aux fameuses toilettes. C’est La Louve qui prit l’affaire en main :

Vas-y, chienne, ouvre la porte des chiottes !

Je vacillais déjà, la mouille me coulait entre les jambes, j’avais très chaud et le sentiment d’être rouge, complètement rouge… Etait-ce la honte ou était-ce la chaleur ?
Je pénétrai dans l’une des toilettes et me retournai le regard en forme de question vers ma Maîtresse.

Relève ta minijupe de latex et assieds-toi sur le pot… Bien, et maintenant écarte les jambes !

Elle s’arrêta un instant, puis questionna en lançant un long regard autour d’elle :

Y a t-il quelqu’un qui doive pisser ici ?

Euh, oui moi, madame, fit le jeune homme.

Fort bien, allez donc lui pisser sur la chatte à cette garce !

Il s’approcha de moi, ouvrit la braguette de son pantalon, sortit son sexe à moitié durci et se mit assez rapidement à uriner. Son jet fut puissant et un maximum de pisse m’atteignit que ce soit sur la chatte, sur ma jupe et même sur les seins. J’étais encore plus trempée maintenant.
L’ouvreuse me regardait avec un air à la fois complice, envieux et pervers. Elle demanda :

Puis-je m’occuper d’elle, à mon tour et à ma façon ?

Bien entendu, ma chère, elle est toute à vous !

La belle jeune femme s’approcha de moi, me fit lever, pris ma tête entre ses mains et… Me gifla fortement !

Embrasse-moi, salope !

Hum, comme il était bon d’embrasser une femme comme elle. Elle faisait tournoyer sa langue avec une précision parfaite, je me sentais pénétrée et offerte. Elle collait son corps contre le mien, visiblement elle n’avait pas peur de tâcher ses vêtements, elle non plus.
Elle me glissa à l’oreille :

Ca te plaît vraiment d’être traitée comme ça ?

Oh oui, mademoiselle, j’adore ça… Lui fis-je doucement.

J’aimerais être ta compagne, ta complice de supplice… Crois-tu que ta Maîtresse voudrait de moi ?

Demandez-lui, vous serrez rapidement fixée

Mais que manigancez-vous mes belles ? De quoi parlez-vous à voix aussi basse ? Demanda La Louve.

C’est que, fit l’ouvreuse, j’aurais quelque chose de très particulier à vous demander, Madame.

Mais ouvre-toi, je suis toute prête à t’écouter

C’est que c’est très personnel

Viens donc avec moi jusqu’à ma voiture, nous en discuterons au calme… Pendant ce temps, jeune homme, je vous laisse tout le loisir d’abuser de mon esclave.

Il ne se fit pas prier et il décida de me baiser debout, les mains contre le mur et donc par derrière. Au réflexe qu’il eut de mettre un préservatif je sus immédiatement que j’avais affaire à un homme intelligent et responsable. C’était bien mieux ainsi. Après quelques bons coups il me fit mettre à quatre pattes et entreprit de me fouetter avec sa ceinture. Il y allait graduellement, j’avais affaire à un spécialiste qui savait qu’en débutant doucement il pourrait terminer la flagellation très très fort et me tourmenter avec beaucoup de cruauté. J’allais être rudement marquée et ce n’était pas pour me déplaire.

A la fin de la séance, je remarquai que La Louve et l’ouvreuse étaient de retour. Elles se tenaient fièrement debout juste à côté de moi. Quand je m’écroulai par terre, La Louve parla :

Voilà, j’ai accepté de prendre cette demoiselle pour une semaine de dressage chez moi. Elle sera éduquée en ta compagnie, fit-elle en me désignant, et rendue à son ami dans un parfait état d’obéissance et de discipline. Mademoiselle souhaite, en effet, devenir une parfaite esclave, souhaite obéir à son ami et supporter les pires tourments. Je vais donc me charger de cela.

La Louve ordonna à l’ouvreuse de la suivre, serra la main à son amant en lui disant :

A bientôt, je vous la rendrai parfaitement disponible, dans une semaine… J’ai été très heureuse de faire votre connaissance.

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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