La louve (6) |
Auteur inconnu – numérisation Perverpeper
F+/f+ bdsm uro humiliation
Avant propos : J'ai trouvé ce texte sur internet (malheureusement, je n'ai aucun souvenir du site et je ne sais même pas s'il existe toujours) il y a de nombreuses années. L'auteur était spécifié comme inconnu. Si vous êtes l'auteur de cette jolie fable, veuillez me contacter (ici). Si vous ne souhaitez pas que je le publie, je le retirerai immédiatement.
PP
Synopsis : Une jeune femme visite une dominatrice qui fait d’elle son esclave vicieuse et consentante.
Chapitre 6 : Sur la route
Cette nuit-là nous ne sommes pas rentrées immédiatement. La Louve et La Panthère me réservaient d’autres surprises. La Louve emmena le véhicule sur une autoroute toute proche pendant que La Panthère me fouilla le sexe ardemment à l’aide du manche de son fouet fait de grosses lanières de cuir entrelacées. Quand elle sortait celui-ci de mes profondeurs il était toujours complètement baveux et c’est sans doute pourquoi elle prenait tant de plaisir à me le faire sucer et lécher. Le goût de cyprine m’envahissait peu à peu toute la bouche, je devais avoir une haleine de pute, ce qui n’était pas pour me déplaire non plus.
La Panthère m’avait complètement allongée sur le siège et je mis assez longtemps, j’avais les yeux bandés, à comprendre que mes deux Maîtresses étaient en train de m’exhiber devant ces routiers qui m’excitaient tant. En effet, La Louve mettait un temps fou à doubler les camions qui restaient condamnés sur la bande de droite. Elle s’amusait à calquer sa vitesse sur ceux-ci et à installer la banquette arrière au niveau de la cabine du voyeur involontaire.
Manifestement le manège de mes belles Maîtresses fonctionnait à merveille, La Louve était prise régulièrement d’un petit rire nerveux à chaque scène réussie. Je n’ai malheureusement pas pu goûter au regard de mes spectateurs mais l’expérience semblait procurer bien des joies à mes propriétaires.
Subitement le véhicule quitta la route et nous nous sommes retrouvées sur un parking. La Panthère s’adressa à moi :
— Enfile-moi ceci et remets un peu d’ordre dans ta tenue !
Et elle me tendit une minijupe en vinyle rouge, un body noir en dentelles, un porte-jarretelles, des bas résilles, une paire d’escarpins rouges et une petite veste de vinyle noir. J’enfilai ce nouvel uniforme digne de la pire catin et attendis les ordres :
— Très bien, ma salope, sortons maintenant faire un petit tour !
J’eus un peu de mal à m’extraire de l’automobile tant le plaisir m’avait volé le sens de l’équilibre. La hauteur des talons ne me facilita pas la tâche mais j’étais très fière d’être en compagnie de ces deux ravissantes femmes. Je me mis immédiatement à onduler du cul, remarquai que mes pointes de seins s’offraient au regard de tous à chaque fois que s’entrouvrait ma petite veste et ne fis riens pour empêcher cette exhibition. Mes pointes se durcissaient d’ailleurs, était-ce le vent frais ou l’excitation ?
Sur notre passage tous les regards se retournaient, quelques sifflements se firent entendre également. Les hommes comme les femmes ne semblaient pas en croire leurs yeux. On décelait de l’envie, de la jalousie, du désir mais peu de condamnation. Trois femmes bardées de cuir, manifestement provocantes et indéniablement désirables ce n’est pas fait pour décevoir le peuple, qui n’en demande pas tant. La Louve pressa un peu le pas, me fit signe de la suivre en direction des toilettes et me lança un regard plein de vice et de promesse de fornication.
— Allez entre, me dit-elle en me poussant vers l’intérieur.
Les lieux étaient crasseux, la puanteur extrême pourtant il n’y avait personne, l’endroit était vide.
— Tu vas prendre place dans la première cabine et te branler convenablement à l’aide du gros gode en latex que voici… Vas-y entre et surtout ne ferme pas la porte. Pendant ta nouvelle mission nous nous referons une petite beauté.
Je pénétrai dans cet espace réduit, relevai ma jupette et m’assis sur la lunette. Le gode que je tenais en main était impressionnant mais j’y avais déjà goûté, je pouvais me l’engouffrer presque totalement. Avec passion et concentration je m’appliquai à me l’enfoncer le plus loin possible et me mis ensuite à l’agiter avec de plus en plus d’ardeur. Je ne mis pas longtemps à être à nouveau très excitée. J’en avais même totalement oublié où je me trouvais quand :
— Oh pardon, excusez-moi… me lança une dame très stylée qui venait de me surprendre dans ma coupable position. Mais que faites-vous d’ailleurs… Vous pourriez fermer la porte quand même !
— Cela m’est interdit chère madame, veuillez m’excuser…
— Interdit ? Je ne vois pas bien ce qui vous fait dire cela…
— Mes Maîtresses, les deux dames qui se dressent juste derrière vous, ce sont elles qui m’obligent à m’exhiber ainsi.
En se retournant vers La louve et La Panthère :
— Ah bon ! Et vous n’avez pas honte mesdames d’abuser ainsi d’une jeune créature !
— Pas le moins du monde, répondit La Louve, et d’ailleurs n’est-elle pas charmante ?
— Si très charmante mais elle ne semble pas très volontaire, pourquoi lui imposez-vous ce genre de chose dégradante ?
— Mais je suis totalement volontaire, lui répondis-je, je ne souhaite qu’une telle humiliation et j’en remercie mes deux Maîtresses.
La dame semblait véritablement déconcertée…
— Ah, s’il en est ainsi faites comme il vous plaira !
Je me jetai alors aux pieds de La Louve et le regard empli de provocation et de lubricité me mis à lécher les cuissardes vernies et lacées de haut en bas de ma Maîtresse. Mais la dame n’en fut pas plus choquée que cela et pris place dans la seconde cabine. Elle prit soin de fermer la porte derrière elle.
La Louve et La Panthère ne mirent pas pour autant un terme à mon exploitation. La Panthère s’approcha de moi, me bouscula à l’intérieur de ma cabine et cria :
— Alors cela t’a excitée de te montrer ainsi ?
— Notre voisine devait tout entendre très distinctement.
— Oui Maîtresse, beaucoup
— Tu n’as vraiment aucun honneur !
— Non Maîtresse, aucun honneur, ni aucune pudeur je suis votre chienne lubrique
— Retourne-toi, je vais te rougir le cul !
Je lui tendis les fesses, toujours nues depuis ma première entrée en cabine, et elle se mit à me les griffer à l’aide de ses ongles qu’elle avait longs et couleur de sang.
Je gémissais, La Louve ne ratait rien de la scène.
La porte de la cabine s’ouvrit, la dame en sortit et nous lança au passage un large sourire. Elle était déjà tombée sous le charme de notre perversion.
Quand mes fesses furent plus que striées et donc parvenues à un rouge complet, La Louve fit signe à sa comparse qu’il était temps de rentrer maintenant.
— Allons rabaisse ta jupe et suis nous !
— Bien Maîtresses, j’arrive
Il faisait toujours nuit et je suivais mes Maîtresses en direction de la voiture. Juste avant d’entrer dans le véhicule La Louve me dit :
— Ne te faut-il pas pisser petite catin ?
— Si Maîtresse, mais vous ne m’en avez pas laissé l’occasion quand nous nous trouvions dans les lieux appropriés à ce type de chose…
— Mais il n’est pas question pour toi de faire les choses comme tout le monde. Tu sais la perversion, c’est goûter aux plaisirs dans des lieux autres que ceux prévus initialement à cet effet.
— Ah, et comment me faut-il faire alors ?
— Mais tu vas pisser entre ses deux voitures ! il te suffit de bien écarter les jambes et de te laisser aller. Ta jupe est si courte qu’il ne te faut même pas l’ôter et l’absence de slip te facilitera encore plus la tâche !
Je me mis donc dans cette position, l’accentuant même en poussant mes genoux en avant et mon cul en arrière, me concentrai et sentis soudainement un flot d’urine s’échapper de moi. J’éclaboussai mes chaussures et vit une petite rivière jaune se former sur l’asphalte.
Débarrassée de ce bon litre de liquide chaud, je me dirigeai vers la porte arrière de l’automobile.
— Non, non, Carla, tu vas faire le voyage ailleurs…
— Mais où, comment… Maîtresse ?
— Ici, dans le coffre, allez n’aie pas peur, prends place !
Je mis un pied puis l’autre dans le coffre avec l’aide de La Panthère qui sortit ensuite de grosses menottes de cuir noir avec lesquelles elle m’emprisonna les mains dans le dos et m’attacha les chevilles. Elle fit claquer la porte du coffre et j’entendis le moteur se mettre en marche. C’est ainsi qu’elles me ramenèrent chez nous.