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La louve (4)
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Auteur inconnu – numérisation Perverpeper

 

F+/f+ bdsm uro humiliation

 

Avant propos : J'ai trouvé ce texte sur internet (malheureusement, je n'ai aucun souvenir du site et je ne sais même pas s'il existe toujours) il y a de nombreuses années. L'auteur était spécifié comme inconnu. Si vous êtes l'auteur de cette jolie fable, veuillez me contacter (ici). Si vous ne souhaitez pas que je le publie, je le retirerai immédiatement.

PP

 

Synopsis : Une jeune femme visite une dominatrice qui fait d’elle son esclave vicieuse et consentante.

 

 

Chapitre 4 : Le martinet

 

La Louve ouvrit une porte à laquelle je n’avais pas encore prêté attention, elle alluma les lumières et je découvris une salle de torture, réplique hypermoderne d’une salle digne de l’inquisition. Tout y était de cuir ou de métal. Une roue brillait de son métal argenté sous le trait de lumière envoyé par un éclairage discret, une table d’écartèlement mêlait le cuir et le bois peint de noir, une cage attendait, la porte ouverte, des chaînes pleuvaient de tous les recoins du plafond pour s’arrêter dans leur course vers le sol à quelques centimètres, d’étranges engins indescriptibles semblaient n’avoir été conçus que pour le Mal.
Je fus prise à la gorge, l’ambiance était glauque, la nervosité rencontrait l’excitation : j’avais peur et j’en mouillais.

Fous toi à poil !

La Panthère s’approcha de moi et lança à La Louve :

Mais elle pue la pisse cette petite cochonne ! N’est-ce d’ailleurs pas la délicieuse odeur de ton urine qu’il me semble reconnaître ma belle Louve ?

Parfaitement, Carla a pris une petite douche ce matin

Elles me firent coucher sur le sol, passèrent autour de mes chevilles et de mes pieds des menottes de cuir destinées à un usage précis : la suspension par les pieds. En tirant sur la chaîne La Louve me fit perdre pied et tête à la fois, j’étais suspendue dans le vide, à quelques centimètres du sol, je fermai les yeux pour goûter complètement le bonheur de ma situation.

Nous allons te fouetter avec un martinet peu cruel, cela a deux avantages : d’abord celui de ne pas abîmer le corps de notre petite salope préférée et ensuite de pouvoir faire durer le plaisir. Avec ce type de martinet, nous pouvons taper avec force, cela nous défoulera et cela te chauffera le dos, les seins et les fesses

Mes deux Maîtresses avaient raison, elles me fouettèrent durant plus d’une heure sans me laisser un instant de répit, se consacrant donc uniquement à mon plaisir. J’ai toujours aimé la chaleur, les rayons de soleil, porter du vinyle ou du cuir quand il fait très chaud, prendre des bains bouillants, le sauna ; j’étais donc parfaitement bien maintenant.

Elles avaient commencé par me martyriser le cul avant de s’attaquer au dos et enfin aux seins. Ceux-ci bénéficièrent d’un traitement plus élaboré. Après quelques dizaines de coups La Panthère me fixa des pinces japonaises à chaque bout après quoi elles reprirent leur flagellation. Et même quand la flagellation fut terminée elles ne se décidèrent pas à abandonner mes gros nichons. Elles choisirent des poids et firent suspendre aux pinces. Cela devenait de plus en plus dur, le sang me montait à la tête et je me sentais vraiment décoller. Elles semblaient tout deviner de mon état puisqu’elles tenaient déjà à la main un superbe godemiché en latex, une pièce de belle taille qui allait me défoncer comme je le méritais. C’est La Louve qui me poussa le monstre dans le sexe tandis que La Panthère qui avait tout caché de ses intentions, me glissa un plug également en latex noir dans mes entrailles postérieures.
Je me sentais distendue, presque éclatée. Pour compléter le tableau elles me mirent un bâillon dont la boule était remplacée par une tête de bite de grand format qui me fit très mal aux mâchoires.
Mes deux propriétaires se mirent à agiter sans douceur mes deux godes qui me trouaient le cul comme la chatte. Il y avait quelque chose de divin dans leur attitude tandis que moi je devais probablement être l’esclave vivante que l’on offre aux dieux.
J’entendais tout de ce que s’échangeaient La Panthère et La Louve mais je ne prêtai pas tellement d’attention à leurs mots :

Tu vois, c’est comme je te l’avais dit, une véritable chienne !

J’adore son indécence et son obéissance

Tu sais, elle a toujours adoré cela

L’a t-elle toujours su ?

Je le crois, elle le prétend…

Quand on me ramena à la vie ce fut pour m’allonger sur une couverture moelleuse. La Panthère et La Louve se tenaient debout au-dessus de moi, elles semblaient fières de moi… Fière d’une salope n’est-ce point étrange ?

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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