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La louve (3)
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Auteur inconnu – numérisation Perverpeper

 

F+/f+ bdsm uro humiliation

 

Avant propos : J'ai trouvé ce texte sur internet (malheureusement, je n'ai aucun souvenir du site et je ne sais même pas s'il existe toujours) il y a de nombreuses années. L'auteur était spécifié comme inconnu. Si vous êtes l'auteur de cette jolie fable, veuillez me contacter (ici). Si vous ne souhaitez pas que je le publie, je le retirerai immédiatement.

PP

 

Synopsis : Une jeune femme visite une dominatrice qui fait d’elle son esclave vicieuse et consentante.

 

 

Chapitre 3 : La douche

 

Lève-toi chienne ! Marche à quatre pattes en direction de la cuisine

Complètement nue, j’obéis à l’ordre de ma Maîtresse. J’étais incroyablement heureuse de pénétrer dès mon réveil l’univers de la soumission. Un bol de lait m’attendait dans la cuisine, je le lapai avec passion. Pendant les quelques minutes que je mis à terminer mon repas La Louve se tenait debout à côté de moi. Ses ravissantes cuissardes de cuir noir étaient à quelques centimètres de ma bouche, je m’imaginais avec envie en train de les lécher goulûment, de faire glisser ma langue sur tout le cuir qui moulait le mollet, sur le talon et même sur la semelle. Du phantasme je fis un retour rapide vers ma condition réelle :

Et maintenant dans la salle de bain, c’est l’heure de la douche !

Je dus me coucher dans la baignoire vide, La Louve se mit elle debout au-dessus de moi et… Elle m’urina sur tout le corps avec un plaisir évident. Ce furent d’abord de longs jets chauds qui vinrent m’inonder, La Louve visait manifestement les poils de ma chatte, mes gros seins et me faisait me retourner pour viser la raie de mes fesses. Quand il ne fut plus question que de petits jets La Louve se mit à s’agiter en même temps qu’elle libérait son urine ce qui avait pour effet de m’envoyer des gouttes de pisse un peu partout sur le corps.

Ce soir je te chierai dessus mais il ne faut pas précipiter les choses. Tu vas mettre la salopette en vinyle que je t’ai préparée mais sans essuyer une seule goutte de ma pisse. Je veux que tu gardes mon odeur, j’aime qu’une esclave pue, cela m’excite énormément et j’espère qu’il en est de même pour toi.

Oui Maîtresse j’adore puer. J’aime toutes ces odeurs corporelles, celle de vos pieds, de votre urine, de votre sueur et de votre chatte.

J’enfilai cette salopette qui moulait avantageusement mon corps de catin. J’aimais cette douceur, cette chaleur, cette couture qui s’insinuait dans mon cul et dans ma chatte. J’aimais le mélange des odeurs : celle de mon corps, celle de la pisse de La Louve qui me collait à la peau et celle du plastique neuf.

Carla, je vais te présenter à quelqu’un…

Mais je suis disponible pour toute personne que vous choisirez…

Nous voudrions te battre… Tu es tellement salope

J’offrirai mon corps à votre douleur, ainsi soit-il

Bon, je te laisse quelques temps. Je m’en vais chercher une amie

Près d’une heure plus tard La Louve était de retour, une belle femme rousse l’accompagnait. Elle portait un fuseau en vinyle over-sexy et hyper-brillant, des escarpins en cuir verni, un grand chemisier noir à jabot qui lui donnait un petit look royalement provoquant. Elle respirait l’érotisme, de tout son corps se dégageait un besoin manifeste de sexe. Elle ondulait toujours, son sourire était plus que simplement coquin, ses mains continuellement en mouvement trahissaient des envies baladeuses, ses ongles peints de noir indiquaient des désirs de cruauté, ses lèvres pulpeuses au rouge très vif ne demandaient qu’à accompagner ses dents blanches dans quelques morsures bien choisies…

Carla, je te présente mon amie, La Panthère, dit La Louve tout en caressant les fesses de sa comparse.

Et elles s’embrassèrent goulûment en se mélangeant profondément les langues expertes et fouineuses. La panthère en profita pour se lover complètement contre ma première Maîtresse et pour laisser partir ses mains à l’aventure sur les courbes de La Louve. Elles s’embrassaient sans délicatesse, prises d’une passion quasiment furieuse, se léchant à grands bruits et détachant leur lèvres pour ne se lier que par leurs langues. La Panthère me jetait de petits regards entendus tandis que La Louve prenait son plaisir en fermant les yeux. Elle semblait s’abandonner à la perversion de son amie dominatrice. Après quelques minutes d’échanges profonds, et après les quelques soupirs qui suivirent leur démonstration impudique et provocatrice, elles revinrent à leur préoccupation première : moi.

Viens, suis-nous, Carla, nous allons dans une pièce que tu ne connais pas encore !

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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