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La louve (2)
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Auteur inconnu – numérisation Perverpeper

 

F+/f+ bdsm uro humiliation

 

Avant propos : J'ai trouvé ce texte sur internet (malheureusement, je n'ai aucun souvenir du site et je ne sais même pas s'il existe toujours) il y a de nombreuses années. L'auteur était spécifié comme inconnu. Si vous êtes l'auteur de cette jolie fable, veuillez me contacter (ici). Si vous ne souhaitez pas que je le publie, je le retirerai immédiatement.

PP

 

Synopsis : Une jeune femme visite une dominatrice qui fait d’elle son esclave vicieuse et consentante.

 

 

Chapitre 2 : Offerte

 

Elle revint quelques minutes plus tard armée uniquement d’un foulard de soie noire. Elle m’ordonna de remettre de l’ordre dans ma tenue mais en quittant néanmoins mon slip au plus vite. Elle me fit la suivre au-dehors pour prendre place à l’arrière de son automobile, elle me banda les yeux, pris place à l’avant du véhicule et démarra.
Elle me transportait vers l’abus, là où les femmes comme les hommes allaient pouvoir abuser de moi.
Le voyage ne fut pas long, je mouillais d’angoisse. La Louve me fit descendre de voiture, quelques pas suffirent à nous mener dans un nouveau lieu. Quand La Louve m’ôta mon bandeau, elle souriait. Le sourire était à la fois complice et moqueur, cela me plaisait. Ce que La Louve m’avait préparé devait être proche de ce pourquoi mon corps brûlait.
Elle m’abandonna seule dans la pièce alors que j’entendais des bribes des conversations qu’elle tenait juste derrière la porte avec plusieurs personnes. Les mots : salope, offerte, soumise, indécente, pénétrée, possédée, mouille, suce, queue, esclave, fouet, croix, menottes, attachée et feu me parvinrent aux oreilles. Il devait être question de moi et, en ces termes, cela me flattait.

La Louve entrouvrit la porte et me dit :

Viens !

Elle me fit passer au milieu d’un groupe d’hommes et de femmes qui n’avait d’yeux que pour moi et qui rapidement se permit de joindre le geste au regard en me tâtant les fesses, en me caressant les seins et même en m’embrassant de force. Je me laissais faire, mouillant comme une pute qui a toujours rêvé d’être offerte.
Deux femmes me prirent par les bras, m’entraînèrent sur un petit matelas, me firent relever la jupe, m’attachèrent les bras en croix dans des menottes de cuir reliées au sol et me dirent :

Tous les hommes vont te passer dessus, salope !

L’une d’elles ajouta même :

J’aimerais être à ta place

Le premier homme qui s’approcha de moi n’était ni beau, ni élégant, il semblerait même qu’il ne souhaitait donner de lui qu’une image négative, je sus plus tard qu’il revendiquait le qualificatif de "gros porc" et cela lui allait plutôt bien. Il n’eut aucune difficulté à me pénétrer, je mouillais tant, l’idée de n’être qu’un objet à la disposition de ces hommes excitait toutes mes fibres.

Au "gros porc" ce fut trois hommes superbement membrés qui succédèrent. Ils semblaient avoir pour spécialité de prendre une fille ensemble par ses trois trous : la chatte, la bouche et le cul. C’est pourquoi ils m’attachèrent dans l’autre sens afin que je puisse leur être offerte à quatre pattes. Le premier se mit sous moi pendant que le deuxième m’enculait et que le dernier me défonçait la bouche à grands coups de queue. S’il m’avait été possible de m’offrir mieux encore je l’aurais fait.

Une femme à l’allure très distinguée s’approcha de moi quand les trois hommes me délaissèrent. Elle portait une superbe tenue en cuir : un pantalon très serrant par-dessus lequel un slip du même cuir venait renforcer le côté provoquant en tirant sur le trait qui sépare les fesses et un bustier qui remontait ses seins très hauts portés sur un chemisier transparent noir. Son maquillage était très fin et stylé, mais son regard trahissait son besoin de vice. Son regard était dur, sévère et presque malsain. J’aime être offerte à son regard. La dame portait de longs gants en cuir très souple, elle approcha une de ses mains de mon cul et dirigea un doigt très nettement en direction de mon petit trou. D’un coup sec, elle me le fit mieux connaître, je criai… La douleur fut vive mais brève. Une fois pénétrée, je me mis à remuer le cul tandis que ma visiteuse me massait l’intérieur. J’en vins à jouir du cul.

Je ne perdis pas connaissance mais je perdis toute conscience, mon état de salope était évident et je m’abandonnais à la douceur de cette sensation moderne. Les queues se succédèrent en moi, partout, auxquelles des mains et des langues vinrent s’ajouter. Ils m’abandonnèrent où ils m’avaient trouvée, complètement cernée par les préservatifs remplis de sperme. Cela puait la chatte et le foutre.
La Louve m’aida à me relever et me ramena chez elle.

Excellents débuts de salope, Carla.

 

La Louve m’autorisa à dormir, nue, alors qu’elle se coucha à mes côtés glissée dans une combinaison de latex. Nous avons passé une tendre nuit ensemble avant de retrouver l’ampleur du ravin qui sépare nos deux rôles au petit matin.

 

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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