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Les deux soeurs (02)
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Auteur inconnu – numérisation Perverpeper

 

F+/f+ bdsm uro humiliation

 

Avant propos : J'ai trouvé ce texte sur internet il y a de nombreuses années. Malheureusement, je n'ai aucun souvenir du site et je ne sais même pas s'il existe toujours. Si vous êtes l'auteur de cette jolie fable, veuillez me contacter (ici). Si vous ne souhaitez pas sa publication, je le retirerai immédiatement.

PP

 

Deuxième partie : La petite sœur.

Laura est pitoyable. Ah elle est loin la grande sœur que mes parents ont toujours citée en exemple... Intelligente, sérieuse, stable, équilibrée, réfléchie, toujours numéro un en classe, l'élève et la fille modèle... Et où est elle en ce moment cette fille modèle ? Allongée au travers de mes genoux, plus soumise et plus chienne que jamais, venant de recevoir la plus belle fessée déculottée qu'elle n'a jamais reçu !
Son cul est aussi rouge qu'une flamme ardente, et bientôt il va se résumer à une rondelle informe après ce qui va lui arriver. Plus elle est chienne, plus j'aime ça, et plus mon envie de la pénétrer est grande. C'est sa première fois, mais je ne vais pas y aller de main morte, ça non, elle va s'en souvenir, je vous le promets !
- Ecarte tes fesses et tes jambes salope ! Vite !
- Oui Maîtresse.
Je présente mon gode ceinture à l'entrer de son anus. Je  passe doucement le bout de mon sexe de fortune sur la chatte trempée de ma sœur. Rien qu'au contact de ma bite de plastique elle manque de peu d'avoir un orgasme. Puis avec une délicatesse toute mesurée, j'enfonce mon gode dans son cul. Elle relève la tête violemment, j'ai du y aller un peu fort, mais je suis sûre qu'elle aime ça. Le va et viens commence.
- Oh Maîtresse, arrêtez ça me fait mal !
- Espèce de pute, tu mouilles tellement que ça te coule le long des cuisses et tu oses me dire que ça te fait mal ? Tu te moques vraiment de moi ! Je vais accélérer le rythme puisque t'aimes ça avoir mal !
- Oh Maîtresse, doucement s'il vous plaît, j'ai mal !
- Ta gueule chienne !
Le rythme s'accélère cette fois j'encule ma grande sœur comme la salope qu'elle est, son cul n'offre plus aucune résistance au passage de mon gode, ma grande sœur, cette fille hautaine qui m'a toujours considérer de haut, est tombée bien bas. Son cul est maintenant défoncé par mon gode. Je l'ai choisi très long comme ça elle le sent bien en elle, cette salope.
- Maîtresse aïe ! S'il vous plaît !
- Tu vas te taire salope, ce n'est pas possible t'es une gueularde, mais je vais régler le problème !
Pour enfiler mon gode ceinture j'ai du retirer mon string, car ce que ne sait pas ma chère sœur, c'est que pendant qu'elle se fait défoncer, mon gode ceinture est équipé d'un plug, qui en l'enfilant, est rentré sans mal dans ma chatte et me fait mouiller bien plus qu'elle. Je récupère mon string posé à quelques centimètres de moi.
- Vois tu salope, avant je te bâillonnais avec tes propres culottes, mais comme aujourd'hui tu n'en portes plus, je suis obligée de te mettre les miennes dans ta bouche.
Ma grande sœur vient de comprendre toute la perversité de ma stratégie. Jusqu'à présent m'a sœur n'a goûté que le goût de sa propre jouissance mais maintenant elle va connaître le goût de la mienne.
- Oh Maîtresse, je vous promets que je ne dirais plus rien !
- Espèce de chienne, serais tu en train de dire que mon string dans ta bouche de salope n'est pas pour toi un immense honneur ?
- Oh si Maîtresse, bien sûr, ce n'est pas ce que je voulais dire, mais...
- Il n'y a pas de mais, ouvre ta bouche salope !
Entre deux grimaces provoquées par le vas et viens de mon gode ceinture dans son cul qui n'a plus rien d'étroit, elle ouvre sa bouche de chienne et je n'ai alors aucun mal à lui enfoncer mon string encore humide de la folle journée que j'ai eu. Je le porte à mes narines, curieuse, mais je grimace en sentant mon odeur intime, mélange de sueur, de jouissance et d'urine.
- Ma pauvre petite chienne en chaleur, regarde à quoi tu es réduite, ton pauvre petit cul est complètement défoncé et tu suces mon string que j'ai porté toute la journée...Comme ça t'as l'impression d'avoir ma chatte dans la bouche ! Ca aussi va falloir t'habituer soeurette, y'aura un moment où j'aurais envie de te voir me bouffer la chatte !
Ma salope de sœur vient d'avoir un haut le cœur, quelle jouissance c'est pour moi. Est-ce le fait de s'imaginer entre mes cuisses, obligée de me lécher ?
Cette pute est entrain de sucer mes restes de pisse et de transpiration que mon string avait pompé toute la journée. Mais je sens mon plaisir monter grandement en moi et je ne peux pas jouir avant cette salope, elle ne doit pas savoir à quel point cette situation me rend folle, il faut que j'accélère le processus.
Alors que mon gode lui ramone le cul sans aucun ménagement, mes doigts se posent sur sa chatte et commencent à stimuler son clitoris, et connaissant ma salope de sœur, elle ne va pas tarder à jouir comme une chienne.
Les effets de mes doigts se font ressentir, Laura couine et se tortille dans tous les sens, elle me surprend à chaque fois, toute cette situation l'excite au plus au point, et pour elle, le fait que je sois sa petite sœur, inconsciemment, l'excite au plus haut point. Cette pute prend son pied à se faire défoncer le cul par sa propre sœur. Dire que j'attends depuis longtemps le moment de la défoncer comme une pute... est un doux euphémisme.
- Ah oui, Ingrid, j'aime ça continue je n'en peux plus, puis-je jouir ?
- Salope attends encore avant de jouir retiens toi un peu, n'oublie pas que c'est ta petite sœur qui t'encule ! Tu devrais avoir un peu plus de retenue.
Je sais que ses paroles vont avoir sur elle un effet dévastateur et je ne me suis pas trompée, la phrase n'est pas si tôt prononcée que son ventre part dans une série de convulsions impressionnantes et malgré mon string dans sa bouche qu'elle mord à pleine dents, les couinements qu'elle pousse sont très distincts.
- Salope ! Je ne t'ai pas autorisé à jouir, arrête ça de suite !
Mais elle est déjà partie, alors je me concentre moi aussi sur mon orgasme, qui arrive quelques secondes après celui de ma grande sœur. Mon sexe est au bord de l'implosion et cet orgasme non contenue, m'emmène au bord de l'évanouissement. Seulement je ne peux pas me permettre de me laisser complément aller, je dois reprendre mes esprits avant que cette salope ne comprenne que j'ai joui.
Lorsque j'ai repris mes esprits, que je suis assurée que ma grande sœur n'a rien vu de mon plaisir, je me mets à la houspiller violemment.
- Salope relève toi ! Allez grouille, les parents vont rentrer !
Cette phrase provoque chez Laura comme un électrochoc, elle se redresse alors toute chancelante.
- Il ne me semble pas t'avoir donné l'autorisation de jouir, si ?
- Non Maîtresse.
- Depuis quand tu te permets de jouir sans mon autorisation ?
- Ingrid j'en suis désolée.
- De plus, tu n'es plus autorisée à m'appeler Ingrid, pour toi c'est Maîtresse et seulement Maîtresse !
- Oh oui Maîtresse Ingrid, avec plaisir !
Quel pied de l'entendre m'appeler « Maîtresse Ingrid ». Cela provoque en moi un sentiment de puissance extraordinaire.
- Tu vas me payer le pied que tu viens de prendre, crois moi, ta punition n'en sera que plus dure et plus humiliante, je te prépare quelque chose que jamais tu n'imagines même pas en rêve !
- Oh !
- Tu penses ne pas mériter cette punition peut être ?
- Si Maîtresse, je la mérite entièrement !
- Montre ton cul en attendant 
Laura, en bonne chienne, pose à 4 pattes le visage plaqué au sol et écarte ses fesses avec ses deux mains.
- Putain !
Je n'ai pu retenir cette expression à la vision de son cul, si on peut encore appeler cela un cul, s'est une rondelle difforme et quand elle me dit qu'elle a eu mal, je comprends maintenant pourquoi, elle a subi ma fureur pendant 10 longues minutes. Si besoin était, la vision du cul de ma grande sœur, me confirme le fait que c'est bien une salope soumise et maso qui se complaît à m'obéir !

perverpeper@perverpeper.com

 

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