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Les deux soeurs (01)
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Auteur inconnu – numérisation Perverpeper

 

F+/f+ bdsm uro humiliation

 

Avant propos : J'ai trouvé ce texte sur internet (malheureusement, je n'ai aucun souvenir du site et je ne sais même pas s'il existe toujours) il y a de nombreuses années. L'auteur était spécifié comme inconnu. Si vous êtes l'auteur de cette jolie fable, veuillez me contacter (ici). Si vous ne souhaitez pas que je le publie, je le retirerai immédiatement.

PP

 

Première partie : La grande sœur.

Les mois passent, ma vie est très différente désormais. Ingrid s'améliore de jour en jour. Aujourd'hui elle est une dominatrice experte, et moi son esclave la plus obéissante. Elle a réussi à lever en moi plusieurs tabous et j'arrive à me soumettre aux moindre de ses désirs sans aucune retenue.
Il y a quelques jours, nous apprenions que nos parents allaient nous laisser la maison durant une semaine. Je vois sans aucun doute sur le visage d'Ingrid briller ce sourire pervers qui la caractérise désormais quand l'envie lui prend de me dominer. Rien que d'imaginer ce qui m'attend durant cette semaine je suis excitée au plus au point.
Mais comme je le dis, beaucoup de choses se sont passées depuis ce fameux soir. Ingrid étend son emprise aux delà de mes fantasmes les plus lubriques. Elle a encore grandi et elle apprend vite, et moi je m'abandonne à elle avec délice.
Un soir où nos parents se sont absentés, elle m'a fait me déshabiller, puis j'ai du lui préparer son repas et ranger sa chambre, c'est devenu une habitude, chaque fois que nos parents s'absentent, je dois exécuter mes corvées.
Ce soir là, Ingrid décide de me faire faire mes tâches avec les boules de geisha dans ma chatte. Etant une salope je dois prendre mon pied en permanence, c'est ce qu'elle dit bien sûr. Ingrid sait bien que ces boules dans ma chatte m'excitent beaucoup mais ne me font pas jouir comme je l'aime. Cela me frustre au plus haut point. Après mes tâches, je me mets à genoux au pied de son lit, les mains dans le dos et la tête baissée, en position d'attente des nouveaux ordres qu'elle va me donner. Cette situation peut durer longtemps mais j'ai l'habitude d'attendre, et je me plie à cette règle avec énormément de plaisir.
- Chienne approche toi !
C'est à 4 pattes que je m'approche de la tête du lit, quand je suis à la bonne hauteur je me remets en postions d'attente.
- J'ai eu une idée, à partir d'aujourd'hui tu ne porteras plus de culotte. J'ai envie que tu sois nue sous tes vêtements pour moi.
- Mais Maîtresse...
- Qu'est ce qui y'a encore ? Tu sais que je déteste quand tu émets des contestations et que cela ne change rien. N'oublie pas pourquoi tu es ma chienne !
- Non Maîtresse, je ne l'oublie pas.
- Répète le moi, j'aime te l'entendre dire.
 - Parce que je suis devenue la pute et la chienne soumise de ma sœur, parce que j'ai juré de lui obéir...
- Et donc ?
- Et donc j'accepte de ne plus porter de culotte.
- Tu n'avais pas le choix, de toute façons, ricane-t-elle, car pendant que tu préparais la bouffe, j'ai confisqué tout ce qui te servais de sous vêtement. Si tu en as vraiment besoin lorsque tes Anglais débarquent, j'en ai gardé quelques unes, tu viendras m'en demander.
- Bien Maîtresse.
J'ai honte. Maintenant je suis obligée d'aller demander des culottes à ma petite sœur quand je suis indisposée. C'est une humiliation de plus mais aussi une source de plaisir je sens une chaleur envahir mon bassin, cette situation m'excite fortement.
- Maintenant on va continuer ton entraînement Chienne !
Ingrid décide de m'entraîner à la sodomie, je dois être « ouvrable de partout » selon ses termes. J'accueille cette nouvelle avec beaucoup de réticence, me faire sodomiser par ma petite sœur est quelque chose de difficile pour moi mais je n'ai pas eu le choix.
Je dois donc me mettre 1 doigt dans le cul et le faire aller et venir, jusqu'à ce qu'elle me donne l'ordre de cesser. Une fois, ce manège a duré plus d'une demie heure, c'est très long je vous assure. Puis d'un doigt nous sommes passées à 2, puis 3, puis à un plug anal qu'elle m'a acheté sur internet. Aujourd'hui Ingrid me sodomise régulièrement avec un gode ceinture, mais ce jour là, ce fut une première.
- Chienne commence à préparer ton cul. J'ai une surprise.
Je porte 2 doigts à ma bouche, puis je commence à lubrifier mon anus, à l'époque déjà 2 doigts y rentrent sans aucune difficulté, et je prends beaucoup de plaisir à me sodomiser telle la chienne que je suis à ses yeux.
Ingrid a pris quelque chose dans la boîte, je n'ai pas vu ce que c'est, ni se qu'elle compte en faire, ma position, à genou par terre, le ventre posé sur le lit, la tête tournée de l'autre coté, ne m'autorise pas à voir ce qui m'attends. De plus, l'excitation que me provoque le va et vient me coupe de toute réalité.
- Arrête chienne !
Elle passe un doigt sur mon sexe, j'ai beau y être habituée, cela me fait toujours sursauter.
- Mais dis moi tu mouilles espèce de petite traînée que tu es !
- Oui Maîtresse
- T'aimes ça salope ?
- Oh oui Maîtresse
- Dis le moi !
- Oui Maîtresse, j'aime me sodomiser comme une chienne.
- Tu vas aimer la suite alors, mais avant je vais te coller une bonne fessée pour réchauffer un peu tes fesses.
Ingrid prend l'habitude de me faire compter les coups qu'elle me donne. Après avoir sucé mes doigts pour bien les nettoyer, je me couche au travers de ses genoux, une fois en position elle prend bien le temps de me frotter les fesses pour les rendre plus réceptive aux coups. Cette position m'excite énormément, pour moi c'est l'humiliation suprême. Me prendre une fessée par ma petite sœur est très humiliant mais me coucher à travers ses genoux comme une petite fille, me fais tomber au fond d'une humiliation qu'y n'a d'égale que l'excitation qu'elle me procure, et ma sœur le sait bien.
Une fois en position, la punition commence, les claques de plus en plus fortes viennent frapper mon cul, qui est de plus en plus rouge et sensible. Mon esprit tente de s'évader pour oublier la douleur provoquée, mais le fait d'être obligée de compter me ramène implacablement à la réalité.
- Un Maîtresse. Deux Maîtresse.
Cette litanie continue jusqu'à 15 ou 20. Elle a de la force dans les bras ma petite sœur, avant cela, je ne l'aurai jamais imaginé. Les 5 derniers coups sont pour moi les plus difficiles. Mes fesses me brûlent intensément, et les picotements qui résultent des coups reçus, me procurent beaucoup de plaisir. Je suis à mi chemin entre l'orgasme et la douleur. Mon corps ne répond plus, mes mains ont le réflexe d'allez se poser sur mes fesses pour que ça s'arrête, et mon cerveau m'envoie des stimulations dans le bas ventre pour me dire encore, encore, encore... Si bien qu'à un moment, entre deux nombres, sort des bribes de phrases de ma bouche que je ne contrôle pas vraiment.
- Quinze Maîtresse. Oui Maîtresse encore plus fort !
C'est alors que Ingrid redouble de force sur mes fesses qui sont déjà au bord de l'agonie. Cette fois là, nous nous sommes arrêtées à 15 coups. Ingrid m'ordonne de me mettre à genoux, et c'est là que je découvre que depuis le début, elle a coincé entre ses cuisses pliées un gode ceinture.
- Eh oui ma petite chienne, aujourd'hui il est temps que tu le prennes dans ton petit cul, je vais avoir le plaisir de te sodomiser, fais pas ta sainte nitouche, t'es qu'une une salope en chaleur, je commence à bien te connaître, tu vas prendre ton pied comme la vraie traînée que tu es !
Cette fois, je vais subir une sodomie en règle, bien que je me suis habituée aux vas et viens, et que le plug a considérablement élargie mon anus, je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir subir cet outrage de la part de ma petite sœur, qui a un regard d'une profonde perversité.

perverpeper@perverpeper.com

 

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