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Sarah Porter va à l'école (08c)
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Adaptation française par Perverpeper

 

 

Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’un auteur dont le pseudonyme est "Garmonbozia".
Sachez que ce récit fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur aucun autre site sans autorisation formelle.

PP

 

 

Sarah Porter va à l'école

 

Chapitre 08 - Dans lequel Sarah assiste à son premier cours de biologie.

 

« Olsen ! »

La jeune fille s’apprêtait à reprendre sa place lorsque l’interpellation la stoppa net. Elle se retourna vers l’institutrice et vit qu’elle lui tendait la cuillère qui avait servi à collecter les sécrétions de Sarah.

« Cette petite chienne a encore produit de la crème. Je veux que chacune d’entre vous inspecte sa fente lorsqu’elle aura vérifié convenablement l’épilation. Si il y a des sécrétions, recueillez les dans la cuillère et dégustez-les. Je veux que vous en savouriez pleinement la saveur avant de reposer la cuillère sur son ventre. Il n’y a rien de pire que de laisser se gâcher les mucosités d’une salope. »

Olsen prit la cuillère et racla délicatement l’intérieur de la fente, y prélevant le petit écoulement glaireux qui y suintait. Il y en avait suffisamment pour garnir le fond du couvert, mais toutefois moins que ce que Sarah avait dû ingurgiter précédemment. Olsen porta timidement la cuillère à sa bouche et la vida d’un geste rapide. Elle ne fut pas aussi consciencieuse que Sarah l’avait été avant elle et un petit filet baveux s’étira entre sa bouche et la cuillère tandis qu’elle l’en ressortait aussi vite qu’elle l’y avait fait pénétrer. Le filament se brisa et retomba sur le menton de l’écolière rouge de honte, formant une petite ligne verticale brillante. Elle se débarrassa aussitôt de la cuillère, l’abandonnant sur le ventre de Sarah comme si elle contenait un insecte répugnant et retourna précipitamment à sa place.

Sarah resta appuyée contre le dossier du fauteuil gynécologique, incapable de faire le moindre mouvement, pendant que les étudiantes venaient, une à une, vérifier son sexe. Sa chair légèrement irritée la picotait désagréablement, mais ce n’était rien en comparaison de la douleur lancinante qui lui rappelait les coups de cane qu’elle avait dû endurer lors du cours précédant. Les attouchements se succédèrent sur son sexe et son anus, entretenant une excitation constante qui faisait suinter continuellement la liqueur dont devaient se nourrir ses camarades de classe. Sa respiration s’était accélérée et le désir la marbrait de rougeurs, de la poitrine jusqu’au front.

Les jeunes filles eurent presque toutes les mêmes réactions de réticence, honte et dégoût en déglutissant ses sécrétions sexuelles.
Heureusement, deux des jeunes filles se comportèrent différemment. Tout d’abord Murphy. Son adorable amie Irlandaise s’approcha plus volontairement et explora affectueusement son entrecuisse. Le message bouleversa Sarah qui l’interpréta comme une preuve de courage et de solidarité. Les doigts de la petite rousse étaient d’une douceur exquise et, soudainement, un besoin impératif de saisir ses tétons entre ses doigts s’empara de l’esprit de Sarah. Ils étaient tellement durs que c’en était presque douloureux.
Lorsque les autres élèves défilèrent après elle, son désir ne fit qu’empirer, à un tel point que la pauvre adolescente dût serrer les poings pour résister à la tentation presque insurmontable qu’elle avait de s’emparer des petits bourgeons de chair qui pointaient comme jamais au bout de ses seins.

L’autre adolescente à réagir différemment fut Taylor. Même la méprisante Casta afficha de la réticence, malgré la bravoure qu’elle tentait d’afficher. Mais, entre toutes, Taylor fut celle qui la surprit le plus. Son comportement consolidant les impressions de Sarah quant à son orientation sexuelle. La jeune fille à la poitrine presque inexistante explora son intimité avec une curiosité surprenante, laissant même ses doigts s’introduire brièvement à l’entrée de la fente offerte. Ses manipulations étaient plus précises, plus appuyées, là où les autres n’avaient été que rapides et désintéressées. Sarah aurait même presque pu jurer que Taylor avait légèrement frissonné en avalant une pleine cuillerée de substances blanchâtres.

Lorsque la dernière fille se fut livrée aux attouchements imposés, lorsque la dernière fille se fut servie de son sexe comme d’un instrument d’apprentissage, Sarah réalisa que neuf de ses camarades de classe avaient dû ingurgiter ses jus sexuels. Neuf de ses futures amies potentielles avaient avalé quelque chose qu’elle avait produit avec son propre sexe. N’allaient-elles pas la détester pour ça ? Comment se serait-elle comportée, elle, si les rôles avaient été inversés ? Il était vrai que Miss Rice avait dit qu’elle était une salope inhabituelle et que peu d’entre elles sécrétaient autant de crème.

Elle se mordit les lèvres en réalisant qu’elle venait de s’identifier à une salope. En était-elle vraiment une ? Elle en doutait sincèrement, mais, étonnamment, ses réactions étaient toujours bien orientées dans ce sens et son corps réagissait indubitablement dans le même. Miss Rice l’avait rappelé sans arrêt durant son cours. Toutes ces idées la troublaient profondément. Elle savait que c’était mal, et qu’elle devrait s’échapper de cette école. Mais que pouvait-elle faire ? Elle allait à nouveau être corrigée, simplement parce qu’elle n’avait pas gardé les yeux droit devant elle. Que diable pouvait-elle faire ?

« Nous allons manquer un peu de temps, mesdemoiselles. Aussi c’est moi qui me chargerai de nettoyer le reste de vos cons. Je pense que vous en avez suffisamment vu avec Porter pour ce qui est de l’auto-épilation, mais ça sera tout aussi instructif de voir comment pratique quelqu’un d’expérimenté.
Déshabillez-vous toutes, mesdemoiselles ! Vous poserez vos vêtements sur vos tabourets et attendrez au garde-à-vous jusqu’à ce que je vous appelle.
Porter, vous serez mon assistante.
Allez, et que ça saute. Olsen ! C’est votre tour. »

L’enseignante détacha les courroies qui maintenaient Sarah sur la chaise.
La jeune fille était restée si longtemps dans cette position, que ses jambes faillirent la trahir lorsqu’elle posa les pieds par terre. Ses jambes et ses cuisses lui renvoyaient une sensation étrange, comme si elles voulaient s’écarter d’elles mêmes.
Elle se mit en position d’attente pendant qu’Olsen prenait la place qu’elle venait de libérer.

« Porter, passez lui les courroies. »

Sarah observa Olsen, la suppliant du regard, espérant que la jeune fille effrayée ne lui en voudrait pas. Elle guida ses jambes cotonneuses et les plaça dans les étriers, les immobilisant dans la position qu’elle avait supporté durant la plus grande partie du cours.

Puis elle reprit sa position à côté de la jeune fille et attendit en observant chaque geste de l’enseignante. Ce qui lui avait pris plusieurs minutes fut réglé en quelques instants par le professeur expérimenté.
Olsen respirait lourdement et poussait de petits cris chaque fois que la bande de cire arrachait douloureusement les poils de ses chairs tendres, et Sarah eut du mal à conserver sa position tant était grande la tentation d’aller la réconforter.

« Porter ! Une fois qu’elles sont propres, vous les détachez, leur passez une lingette et appliquez l’huile sur la chatte et le trou du cul de chaque salope. Vous, mesdemoiselles, dès que vous êtes prêtes, vous descendez de la chaise et vous mettez en "présentation de la chatte" sur l’estrade.

Immédiatement, Sarah détacha la jeune fille et plaça la boite de lingettes et l’huile à côté d’elle. Olsen sauta de la chaise et prit aussitôt la position humiliante, exposant son sexe et son cul aux bons soins de sa camarade.

« Lorsque vous en aurez terminé avec elle, Porter, vous lui claquerez le cul pour lui indiquer qu’elle peut retourner à sa place où elle attendra au garde-à-vous pour donner une chance à l’huile de sécher suffisamment. »

Pendant qu’elle essuyait et huilait l’entrecuisse d’Olsen, le professeur appela la fille suivante. Elle était si efficace qu’à peine Sarah avait terminé sa tâche, que la fille suivante était déjà en position, attendant qu’elle s’occupe de son con et de son trou du cul.
Sarah gifla les fesses d’Olsen et l’adolescente rouge pivoine fila à sa place.
L’adolescente partageait l’humiliation de ses camarades. Maintenant, on se servait d’elle pour les avilir. Une fois encore, elle n’était qu’un objet, et rien d’autre.

Les dix minutes qui suivirent furent un tourbillon d’activité. L’enseignante épilait les adolescentes, et Sarah les essuyait et les huilait. Ce ne fut que lorsque Taylor fut appelée qu’il y eut un ralentissement de la cadence et que l’adolescente put penser à autre chose qu’à sa tâche.

Elle venait de toucher le sexe de jeunes filles de son âge. Ça ne lui était jamais arrivé jusqu’à présent et cette idée ne lui avait même pas effleuré l’esprit. Ses mamelons étaient toujours aussi durs que du bois et devenaient un petit plus douloureux à chaque minute qui passait. Elle sentait que son sexe était toujours humide et elle sentait ses sécrétions maculer le haut de ses cuisses pendant qu’elle s’appliquait à faire ce que lui avait ordonné son professeur.
Sa honte était accentuée par le fait qu’aucune des adolescentes qui lui avaient présenté son sexe ne présentait les mêmes symptômes. Cela la rendait encore plus consciente de sa différence et lui donnait l’impression qu’elle était à part, dans ce groupe de filles de la Maison Trinité. Elle était la seule chienne à être excitée sexuellement.

« Voyez, mesdemoiselles, ce con est le plus sale de tout ce cours. Il est dans un état déplorable. J’espère que ça vous choque autant que moi. » Commenta l’enseignante en tirant sur une touffe de poils épais.

L’adolescente au corps presque émacié avait le pubis le plus fourni de toutes les jeunes filles. Son sexe et son anus étaient couverts de poils épais et noirs, qui poussaient même contre ses lèvres, de chaque côté de sa chatte.

« Nous allons devoir tailler dans cette jungle avant de pouvoir utiliser les bandelettes de cire. Taylor, vous avez mérité une infraction pour ce manque d’entretien inqualifiable. Normalement, vous auriez du en avoir deux, mais, à la façon dont vous mouillez, on peut remarquer que vous n’êtes pas une salope irrécupérable, juste une paresseuse. »

Sarah comprit ce à quoi son professeur faisait allusion. Les poils qui se trouvaient au bas du sexe de l’adolescente étaient entièrement détrempés et baignaient dans un marécage de jus sexuel. Ça n’était pas aussi épais que la crème qu’elle sécrétait, mais il était évident que Taylor était profondément excitée.

Le bourdonnement d’une tondeuse se fit entendre et l’institutrice se mit à tailler dans la masse de poils. Elle était penchée entre les jambes écartelées de l’adolescente et procédait sans un mot. Les joues de la jeune filles, rouges de honte, étaient parsemées de larmes qui ruisselaient sur son visage fin. Le triangle touffu qu’elle avait entre les jambes était un attribut de sa féminité et elle l’avait arboré fièrement comme une preuve de son passage à l’âge adulte. Ses petits seins et son corps mince l’avaient toujours fait paraître plus jeune que son âge, et ces poils rétablissaient cet équilibre précaire. Maintenant qu’on les lui ôtait, elle avait l’impression que cela l’avilirait encore plus que le collier qui était bouclé autour de son cou. On lui enlevait une partie d’elle même, quelque chose de plus concret que sa liberté. C’était comme une composante essentielle de son identité, indissociable de l’image qu’elle s’était faite d’elle même.

Sarah n’arrivait pas à détacher ses yeux de la tondeuse qui taillait dans la masse. Lorsque le professeur eut terminé et s’empara des bandes de cire, elle trouva que la chatte de sa camarade était beaucoup plus jolie. Elle n’arrivait pas à s’ôter l’idée de la tête qu’un sexe impeccablement lisse était beaucoup plus féminin, plus sexy et plus présentable. Mais, pour autant, ces pensées faisaient elles d’elle une salope ?

La transformation de l’entrecuisse de Taylor fut comme la nuit et le jour. L’enseignante avait ôté le duvet, laissant à la place une surface lisse et brillante. De sa position, Sarah pouvait distinguer de nombreux points rouges minuscules causés par le sang. Ces poils devaient avoir été profondément implantés, se dit-elle.

« Avant que cette chienne soit huilée, vous allez venir chacune votre tour ici et sentir sa chatte. Cela renforcera votre expérience sur les différences existant entre les salopes. Vous êtes très chanceuses, c’est la première fois depuis de nombreuses années que j’ai deux salopes qui mouillent autant que ça dans la même classe. Vous remarquerez que les sécrétions de Taylor sont d’un type plus commun : plus liquides et plus claires, moins visqueuses que celles de Porter. »

Comme à l’accoutumée, Olsen fut la première à se pencher entre les jambes écartelées de Taylor qui sanglotait silencieusement. Elle renifla le sexe lisse, rougi par l’épilation, et remarqua qu’il dégageait une odeur beaucoup plus forte.

« N’oubliez pas de lécher. Il faut autant savoir reconnaître un goût qu’une odeur. Commencez tout en bas, et remontez jusqu’en haut de la fente. Imprégnez-vous bien de cette saveur. Vous la lécherez trois fois pour bien vous assurer que vous l’avez enregistrée. Et appuyez moi plus cette langue contre sa fente. »

La langue d’Olsen tremblota en remontant entre les lèvres sexuelles de Taylor. L’éclairage intense de la salle de classe faisait briller les chairs tendres et totalement glabres. Elle eut un moment d’hésitation lorsqu’elle reprit sa respiration, puisant dans ses forces profondes pour terminer la tâche avilissante qu’on l’obligeait à pratiquer, respirant l’odeur forte de la chatte de l’adolescente par la même occasion.

Lorsque la langue de sa camarade de classe entra en contact avec sa fente que l’épilation avait rendue plus sensible, la jeune fille se mit à gémir, et à chaque nouvelle élève, ses gémissements s’amplifièrent. Sa poitrine se soulevait convulsivement et elle luttait pour respirer correctement. Son visage et tout le haut de son corps étaient profondément colorés, ses yeux se voilaient, signifiant que son corps succombait au plaisir qui menaçait d’éclater au fond de son ventre. Ses jambes se mirent à trembler dans les courroies qui les emprisonnaient.

Sarah se tenait en position d’attente à quelques centimètres de la scène surréaliste qui se déroulait sous ses yeux. Elle vit la jolie adolescente se perdre dans les sensations qui prenaient possession de son corps.
Elle avait les mains étroitement croisées dans le dos et scrutait en détails les réactions de Taylor. Au même moment, elle devint rouge comme une tomate en réalisant que ses hanches s’étaient animées d’un petit mouvement circulaire, totalement indépendant de sa volonté. Elle s’immobilisa aussitôt et resta figée, horrifiée à l’idée d’avoir pu réagir de cette façon et terrifiée par la probabilité qu’une de ses camarades de classe ait remarqué son manège.

« Porter ! À votre tour. »

Elle s’avança entre les cuisses de l’adolescente immobilisée qui respirait avec de plus en plus de difficultés. Puis, sans aucune hésitation, sa tête plongea et elle lécha trois fois de suite le sexe trempé qui s’offrait devant elle. Elle ne s’attarda pas mais ne se précipita pas non plus. Miss Rice avait déclaré qu’il était important pour elles d’apprendre à reconnaître les goûts et les odeurs, et elle savait que ça n’était pas innocent.

Bien, comme ça c’est sûr, se dit elle, je ne suis pas lesbienne. Cette chatte n’était vraiment pas à mon goût. J’imagine que les lesbiennes aiment forcément le goût des chattes. Non ? Ce fut un vrai réconfort pour la jeune fille. Elle avait été choquée et atterrée de constater avec de plus en plus de certitude qu’elle était une salope, mais le trouble qu’elle avait ressenti lorsque d’autres femmes l’avaient touchée était oublié. Et ce fut un grand soulagement pour elle.

Lorsqu’elle reprit sa position d’attente à côté de la chaise, le goût fort du sexe de Taylor perdura dans sa bouche. Abasourdie, elle vit Miss Rice se pencher entre les jambes de Taylor et se mettre à la lécher à son tour. Mais ce n’étaient pas les trois coups de langues qu’elles avaient toutes pratiqué, mais la bouche entière du professeur était plaquée contre la fente de l’adolescente immobilisée dans sa chaise. Taylor et elle étaient les seules à assister à la scène et, visiblement, il ne s’agissait pas seulement de sentir et de goûter les effluves de la jeune fille.

La réaction de Taylor fut immédiate. Ses mains se refermèrent aussitôt sur ses seins pour les malaxer et en étirer ses tétons. Elle se mit à gémir et rejeta sa tête en arrière, submergée par l’orgasme.
Sarah se prit à espérer que l’adolescente enlèverait ses mains de sa poitrine avant que Miss Rice ne s’en aperçoive, et il lui fallut un effort monumental pour ne pas suivre son exemple et faire de même avec sa propre poitrine.

« Casta ! » Appela le professeur en se redressant, abandonnant l’adolescente bouleversée par l’extase.

Sarah s’empressa de détacher sa camarade encore hébétée par le plaisir, espérant ainsi distraire l’attention du professeur. Même si celle-ci n’avait pas interdit à Taylor de se caresser, Sarah était sûr que cela risquait d’être sanctionné. Un rapide coup d’œil lui renvoya l’image de Miss Rice qui regardait Taylor en se léchant les lèvres. Elle la fit descendre précipitamment de la chaise et s’assura qu’elle prenait correctement la position d’attente malgré son hébétement.

« Regardez-moi ça, mesdemoiselles. Voilà une salope qui a tenté de donner libre cours à sa nature la plus profonde, mais qui en a tout simplement raté la réalisation. »

Miss Rice était en train de sécuriser les jambes de Casta à l’aide des courroies, les immobilisant ainsi, grandes ouvertes. Sarah avait déjà entraperçu le sexe de la jeune Française dans les douches. Elle était déjà épilée, mais visiblement, depuis qu’elle était à Harkwood, elle n’avait pas eu accès à un rasoir et de petits poils très courts avaient recommencé à repousser. Ça devait être désagréablement irritant, se dit l’adolescente.

« Heureusement, les poils sont suffisamment longs pour être ôtés, mais voilà la preuve que le rasoir n’est pas recommandable. Ça parait immonde et c’est dégoûtant au toucher. » Sermonna le professeur en passant sa main sur la vulve exposée de la Française.

Elle ne prolongea cependant pas ses attouchements et, rapidement, se mit au travail, arrachant avec efficacité le chaume qui recouvrait le sexe de Casta, tandis que Sarah passait de l’huile sur celui, encore humide, de Taylor.

Peu de temps après, toutes les jeunes filles étaient propres et lisses. De sa place privilégiée, Sarah avait une vue imprenable sur le sexe de toutes ses camarades de classes, encore plus nues maintenant qu’elles ne l’avaient été au début du cours. Elle ne put s’empêcher de lorgner ceux qu’elle distinguait le mieux en imaginant à quoi pouvait ressembler le sien. Bien droite, dans un garde-à-vous parfait, elle finit par remarquer que presque toutes les filles regardaient vers elle. Non seulement vers, elle, mais en plus les regards convergeaient tous vers son entre cuisses. Cela la mit extrêmement mal à l’aise. Sa position lui infligeait déjà un profond sentiment de vulnérabilité, et rien des évènements qui étaient survenus ne lui avait permis de se sentir mieux vis à vis de sa propre nudité.

Miss Rice finit par remarquer que les regards de ses élèves étaient tous focalisés sur le sexe de Sarah. Elle se déplaça afin de mieux voir ce qui était si attrayant.
Sarah ne sut que penser lorsque les lèvres sensuelles de son institutrice affichèrent ce sourire lascif qu’elle désirait tant voir se dessiner sur son beau visage.

« Hmmm Porter, vous êtes vraiment une adorable petite chienne. Comme vous pouvez le constater, mesdemoiselles, cette petite salope à continuer à produire sa crème pendant tout ce temps. Vous êtes une brave fille, Porter. J’ai bien conscience que vous n’avez probablement jamais vu ça auparavant, et c’est bien normal. Penchez-vous délicatement en avant et regardez votre chatte. »

Sarah s’inquiéta un peu de ce qu’elle allait découvrir. Pourtant, Miss Rice avait l’air d’être contente, alors ça ne devait pas être si terrible.
Prenant bien soin de ne pas plier les genoux, l’adorable jeune fille se pencha doucement vers l’avant et regarda entre ses jambes. Pendillant au bout des lèvres de son sexe, un long et épais filet baveux s’étirait sur près de cinq centimètres. Son mouvement le fit légèrement osciller d’avant en arrière.

L’adolescente se mordit les lèvres pour contenir ses sanglots. Maintenant, elle se moquait complètement de la satisfaction de son professeur. Jamais elle n’avait eu autant honte de sa vie. De plus elle se demandait ce que ses camarades allaient bien pouvoir penser d’elle. Miss Rice avait déjà dit qu’elle était une chienne hors du commun pour sécréter des mucosités aussi épaisses, mais maintenant, tandis qu’elle se tenait là, en position d’attente, ça suintait de son sexe à la vue de toutes ses camarades de classe.

 

« Bien, redressez-vous et écartez plus largement vos jambes. Tout doucement, déplacez vos pieds, voilà, d’abord le talon et ensuite la pointe. C’est bien. »

Sarah se tenait maintenant avec les jambes écartées de près d’un mètre. Elle ne voyait pas son mucus, mais elle l’imaginait pendouiller en se balançant pendant qu’elle écartait ses pieds l’un de l’autre. L’adolescente désemparée espérait que, quoi qu’elle ait à endurer, ça se terminerait vite. Ses cuisses tremblaient déjà sous l’effort qu’elle devait fournir pour se maintenir dans cette position pénible.

Miss Rice disparut de son champ de vision et passa derrière elle. Elle pouvait l’entendre, mais fidèle à son bref dressage, elle résista à la curiosité et continua à regarder droit devant elle. Elle fixait la pendule qui se trouvait en face, au fond de la classe, remarquant qu’il ne restait plus que quelques minutes avant la fin du cours, lorsqu’elle ressentit un frôlement entre ses cuisses. On dirait des… cheveux, pensa-t-elle en écarquillant les yeux. Un souffle chaud venait de se manifester tout contre son sexe.

« Vous pouvez regarder, Porter. »

Aussitôt, l’adolescente baissa les yeux et regarda ce qui se passait entre ses jambes. Son professeur s’était accroupie, de dos, entre ses jambes et la partie supérieure de son visage était nettement visible sous le pubis fraîchement dénudé de la jeune fille. Bouleversée, l’adolescente ne détourna pas ses yeux du regard de Miss Rice qui était fixé dans le sien. Complètement désemparée, elle vit celle-ci ouvrir la bouche et se rapprocher de son sexe sans cesser de la regarder droit dans les yeux. Comme au ralenti, elle vit les lèvres de l’enseignante se tendre vers son ventre, s’ouvrir, comme pour engloutir son sexe. La bouche du professeur cueillit le filet glaireux, le faisant presque disparaitre au fond de sa gorge avant de se refermer sur son sexe. Elle faillit perdre la raison et ne put retenir un gémissement rauque lorsque la langue de Miss Rice continua la quête et se mit à explorer sa fente, s’abreuvant à la source de sa liqueur.

La respiration de Sarah s’affola et elle eut l’impression que son coeur allait s’arrêter de battre. Les magnifiques yeux de l’enseignante l’hypnotisèrent et elle se perdit au plus profond de leur vert. Jamais, au grand jamais, elle n’avait éprouvé une sensation aussi merveilleuse. Son corps, parcouru de frissons incessants, se mit à trembler. Une bouffée de chaleur incroyable explosa au fond de son ventre et déferla vers chacune de ses extrémités, s’attardant longuement sur les pointes de ses seins avant de refluer au coeur de son sexe pour s’y déchainer. Vague après vague de plaisir déferlèrent tandis que ses yeux se révulsaient et qu’elle approchait de la délivrance.
Même les attouchements qu’elle s’était autorisé à pratiquer sur son clitoris lors de ses masturbations solitaires ne lui avaient jamais procuré une félicité aussi intense.
Mais il s’agissait de son professeur… Les professeurs n’étaient pas sensés se conduire comme ça, même ici, dans cette école diabolique. Elle perdit la notion du temps et de l’espace.

C’est alors que, aussi soudainement qu’elles s’étaient emballées, les vagues de plaisir s’interrompirent. L’adolescente poussa un grognement de frustration lorsque Miss Rice cessa sa magie et se releva pour apparaître à nouveau devant elle. Elle tenta tant bien que mal de reprendre sa respiration.

Le professeur passait sa langue sur ses lèvres et elle imagina ses sécrétions qui devaient encore l’engluer. Cette langue qui venait d’être en contact avec ce qu’elle avait de plus intime, qui venait de s’y faufiler et qui lui avait procuré un plaisir complètement nouveau.

« Alors mesdemoiselles, j’espère que vous avez toutes bien observé. Notre petite chienne était visiblement au bord de l’orgasme. Aucune salope n’est autorisée à jouir sans permission. Une retenue sera immédiatement infligée à la première d’entre vous qui s’y hasarderait. Une retenue pour chaque orgasme. Porter est une bonne petite chienne, surtout si on considère qu’elle n’est pas encore dressée et toujours vierge. »

L’état second dans lequel Sarah se trouvait perdue fut instantanément douché. Au début, elle avait tenté de raviver les sensations qu’avait fait naitre la bouche de Miss Rice dans sa fente. Désespérément, elle avait essayé de prolonger mentalement le plaisir qu’elle avait ressenti lorsque son institutrice avait posé sa bouche sur son sexe et que sa langue si douce avait exploré sa chatte. Elle eut l’impression de s’écraser au sol lorsque elle réalisa que toutes ses camarades de classes savaient maintenant qu’elle était vierge. Elle eut même l’impression d’entendre quelques chuchotements lorsque l’enseignante l’annonça à voix haute.

« Elle est très excitée, au bord d’avoir un orgasme à la moindre sollicitation de sa chatte. Une salope a besoin d’être convaincue que son plaisir est secondaire et que c’est une récompense qu’elle doit chérir et apprécier à sa juste valeur si on la lui accorde. Le fait qu’elle soit si facile à exciter va rendre son éducation un peu plus complexe, mais quoi qu’il en soit, elle peut en être fière. Êtes-vous fière de vous, Porter? »

« Oui Mademoiselle. » Répondit l’adolescente complètement pantoise.

Elle essayait de faire de son mieux pour intégrer tout ça, mais ses idées se bousculaient tellement dans sa tête que cela faisait vaciller ses convictions.

« Expliquez-nous en quoi vous êtes fière, Porter. »

« Bien Mademoiselle. Je suis fière parce que je suis une salope authentique et que ça vous satisfait, Mademoiselle. »

« Bien, Porter. Abandonnez-vous à vos instincts. Ressentir de la fierté et de la satisfaction à l’idée de plaire à vos supérieurs est visiblement une seconde nature chez vous. Garde-à-vous, mesdemoiselles !. Vous pouvez vous rhabiller et retourner vous asseoir.

Sarah se redressa avec soulagement et descendit de l’estrade pour aller se rhabiller. Est-ce que sa fierté était si évidente ? Elle la ressentait avec certitude. Elle s’était presque noyée dedans au moindre signe de satisfaction que Miss rice avait manifesté à la suite de ce qu’elle avait fait. Quand avait répondu aux questions de la séduisante enseignante, elle l’avait fait avec sincérité, plus qu’elle ne l’avait jamais fait dans sa vie. Les mots lui étaient venus naturellement, sans qu’elle ait besoin d’y réfléchir.

« Mesdemoiselles, vous devrez vous souvenir que la fierté est synonyme d’échec. Même si la chienne ressent naturellement de la fierté, du fait de ses vices, elle ne doit pas se laisser aller à ce sentiment car cela focalise son esprit sur ce qui se passe en elle, ce qui est inacceptable. Une salope ne vit que pour son entourage. La fierté, la satisfaction et même le plaisir de servir ne sont tolérables que s’ils constituent uniquement un aspect de votre caractère. Par exemple votre besoin d’assouvir votre dépendance sexuelle ou de consacrer votre soumission au plaisir de vos supérieurs.
Réfléchissez bien à ça, mesdemoiselles, exploitez toute la durée de votre éducation à l’exploration de vos sentiments. Votre véritable nature vous apparaitra de plus en plus indéniablement. Elle l’est déjà pour vos enseignantes, vos dresseuses et vos propriétaires et c’est pour cette raison que vous vous trouvez dans cette école. Ceux et celles qui ont l’expérience et qui savent déceler ces signes ont déjà détecté ces aptitudes en vous. Pour eux, ça n’était pas moins évident que si vous aviez eu le mot "Chienne" ou "Salope" inscrit en rouge sur le front.
Bien entendu, certaines d’entre vous sont plus avancées sur cette voie que les autres. Porter, par exemple, a déjà commencé à saisir ce à quoi son tempérament aspire. Chacune d’entre vous sortira diplômée de Harkwood et fournira ainsi une contribution précieuse à la société et une longue vie de plaisir et de servitude à son possesseur. Évidemment, c’est irrévocable, mais cependant, le déroulement de la progression sera propre à chacune d’entre vous.

Sarah se rassit sur son tabouret sans perdre un mot de son professeur. Elle percevait parfaitement la véracité de ce discours, mais, toutefois, elle n’arrivait pas à accepter ces principes avec toute la conviction que leur prêtait Miss Rice. Elle se sentait mieux, maintenant qu’elle n’était plus nue. L’humiliation qu’elle avait ressenti bouillait toujours au fond d’elle, mais elle se mêlait au bouleversement du plaisir insatisfait que l’institutrice avait si bien su distiller dans tout son corps. Le sentiment de protection que lui conférait son uniforme l’aidait à se sentir en sécurité et surtout à être elle-même.

Elle était très déçue de ne pas ressentir les choses exactement de la manière dont Miss Rice l’aurait souhaité, mais c’était surtout l’idée de la décevoir et le risque d’éteindre ce merveilleux sourire qui restaient gravés dans son esprit, l’effrayant plus encore. C’était tour simplement au-dessus de ses forces.

La cloche sonna.

« Dépêchez-vous d’aller déjeuner, mesdemoiselles, Nous nous revoyons cet après-midi. »

Le coeur de Sarah faillit manquer un battement. Elle allait revoir Miss Rice. Elle en sautilla presque de joie en suivant Murphy pour sortir de la classe. Le bip désagréable du scanner lui fit froncer les sourcils, mais même cette mortification ne suffit pas à tempérer la joie qu’elle ressentait à l’idée de revoir rapidement cette prof ravissante.

 

perverpeper@perverpeper.com

 

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