Sarah Porter va à l'école (08b) |
Adaptation française par Perverpeper
Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’un auteur dont le pseudonyme est "Garmonbozia".
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PP
Sarah Porter va à l'école
Chapitre 08 - Dans lequel Sarah assiste à son premier cours de biologie.
« Mitchell et Taylor, allez dans la pièce attenante au fond de la classe et roulez jusqu’ici la chaise qui s’y trouve. Elle s’adapte à l’estrade. Vous la positionnerez face à la classe. »
Les deux jeunes filles descendirent prudemment de l’estrade et se pressèrent vers le fond de la classe, traversant les rangs de leurs camarades assises.
Atterrée, Sarah s’aperçut qu’elles revenaient un fauteuil gynécologique monté sur roulettes. Au premier coup d’œil, elle se remémora l’examen médical humiliant qu’elle avait subi seulement un jour plus tôt.
Un jour ! Cela lui semblait une éternité. Impossible qu’une période de temps si courte se soit déroulée avec tous ces évènements.
« Placez-la au bord de l’estrade, dépliez les pieds avants et arrières qui se trouvent sur les côtés et retournez à vos places. »
Sarah ne quitta pas des yeux les deux filles qui retournaient s’asseoir, non sans jeter de brefs regards nostalgiques vers leur uniforme, tous deux empilés sur la méridienne de leur professeur. Elles s’assirent en position de garde-à-vous et, malgré la crainte de ce qui allait venir, Sarah ne put s’empêcher de trouver le spectacle qu’elles offraient, assises nues, le dos bien droit, les mains dans le dos et les jambes écartées. La posture lui parut très fière, montrant distinctement leurs nichons et leur chatte sans pour autant que cela soit obscène.
« Avant que nous commencions notre première leçon sur l’hygiène de base, nous allons mettre en évidence certaines réactions. Nous avons déjà parlé du rougissement, qui est plutôt répandu, aussi nous allons nous pencher sur réponse physiologique qui résulte du comportement d’une salope. La plupart des chiennes ne rougissent pas, en effet, quelle raison auraient elles de ressentir de la honte ou de la gêne, à moins bien sûr qu’elles aient faillit à leur propriétaire d’une façon ou d’une autre.
Cette salope, » Miss Rice fit pivoter sa cane et en porta un petit coup sur les côtes de Sarah. « Rougit tout simplement parce qu’elle est nue. C’est certainement charmant, mais les réactions sur lesquelles nous allons nous pencher durant ce cours sont purement inhérentes aux salopes. Certaines d’entre elles sont uniquement physiologiques et d’autres sont liées au comportement. La différence ? Observez. »
Sur ces mots, Miss Rice déposa sa cane sur son sofa et monta sur la plateforme, à côté de Sarah.
Les yeux effrayés de l’adolescente s’écarquillèrent et cherchèrent désespérément les visages de ses camarades de classe. Pour y rechercher quoi, elle n’en avait aucune idée. Quelque réconfort qu’aucune des filles de la Maison Trinité n’était capable de lui fournir.
Elle sentit le doigt de l’enseignante toucher ses lèvres. Docilement, elle les entrouvrit. Ce ne fut que pour sentir l’index pénétrer délicatement dans sa bouche. Elle l’emprisonna aussitôt et se mit à le sucer tendrement.
« Voici la preuve d’une réaction comportementale. Comme toute chienne le doit, elle a accueilli mon doigt dans sa bouche. Regardez comment elle le suce. Une bouche de salope n’aspire qu’à être remplie et en retire un immense bien être. Regardez comme cette salope s’est calmée. Une salope désire en permanence avoir ses trous remplis par une queue, mais cependant, le moindre substitut peut avoir la même influence.
Sarah n’en revenait pas. C’était pourtant bien d’elle que Miss Rice parlait. La femme était irrésistiblement sensuelle. Ses mouvements, la chaleur de son corps, sa manière de parler, et même son odeur douce et naturelle véhiculaient des tendances charnelles. Même si elle avait du mal à croire ce qu’elle avait entendu, Sarah dut se rendre à l’évidence. Le fait de sucer le doigt de son professeur l’avait calmée. La pression qu’il exerçait sur sa langue et la caresse à laquelle ce doigt féminin s’adonnait sur ses lèvres lui avaient fait oublier la frayeur qu’elle éprouvait quelques instants plus tôt.
« Maintenant, observez bien une réaction physiologique sur laquelle la salope n’a aucun pouvoir. »
La tête de Sarah s’inclina légèrement en avant, tandis que le doigt se retirait de sa bouche, comme pour l’empêcher de lui échapper. Elle n’en avait pas eu l’intention et en fut aussitôt horrifiée. Comment avait-elle pu faire ça ?
Elle n’eut pas le temps de réfléchir à son comportement insensé, que Miss Rice l’avait contournée pour se glisser derrière elle. Ses mains chaudes et douces se mirent à parcourir son corps. Ses mains se refermèrent en coupe, autour de ses seins. Ses pouces agacèrent ses tétons en leur donnant de petites chiquenaudes.
Puis elle les sentit glisser le long de son corps, effleurant ses hanches du bout de ses ongles, faisant progresser la caresse identique à celle d’une plume vers ses fesses et se cuisses.
Sarah perdit la notion de ce qui l’entourait. Elle n’avait jamais rien ressenti d’identique auparavant. Son cerveau faisait son possible pour la ramener à la réalité, la martelant en lui répétant qu’elle n’était pas une salope, qu’elle n’était pas une lesbienne, mais la partie était perdue d’avance et ses pensées s’évaporèrent rapidement lorsque les sensations qu’éprouvait son corps la submergèrent.
Elle poussa un petit gémissement lorsque la bouche chaude et humide de Miss Rice se referma sur son téton gauche. Instantanément, les deux petits bouts de chair se dardèrent et devinrent durs comme du bois.
Le professeur sourit en les sentant s’ériger dans sa bouche. Comme cette fille était facile, comme elle lui rappelait sa propre jeunesse au même âge. Quel régal se serait de la dresser jusqu’à ce qu’elle réalise pleinement quelle était sa vraie nature.
« Le durcissement des tétons est une réaction sexuelle physiologique. Elle se produit chez tout le monde, à la fois les filles et les garçons. Chez une petite chienne comme celle qui se tient devant vous, c’est plus prononcé et ça se produit avec une stimulation minimum. Il arrive aussi que cela se déclenche sans aucun contact, uniquement par les pensées de la salope.
La réaction que vous venez de constater sur cette petite chienne était excellente. Ses tétons se sont durcis très rapidement et se sont développés jusqu’à leur érection maximum presque instantanément.
Le froid aussi peut faire raidir vos mamelons. C’est une réaction similaire à celle de la chair de poule. Mais les tétons de la salope se tendront aussi durant l’activité physique, tel que la gymnastique. C’est du au fait que l’exercice physique rappelle l’activité sexuelle à la salope, de ce fait les tétons se durcissent de la même façon que s’ils étaient stimulés sexuellement. »
Sarah tenta de se concentrer sur le cours de son professeur. Elle éprouvait encore la chaleur de la bouche sur son téton et brûlait d’envie que cela se reproduise. Elle savait que c’était mal, profondément mal, mais elle le désirait de tout son corps. La façon dont la caresse s’était interrompue, si abruptement, lorsque son corps avait réagi la consternait. Comme si un tel acte n’avait aucune signification.
« À l’état naturel, les tétons de la salope sont toujours érigés. Le désir sexuel réside constamment au premier plan dans le subconscient de la salope. Au fur et à mesure que votre dressage progressera, vous constaterez que cet état est entretenu en permanence. Parfois, vous penserez même que votre corps vous trahit, mais en refusant d’adhérer à cet état existentiel fondamental, c’est vous qui trahiriez votre corps. »
Miss Rice tendit les mains et attrapa délicatement les tétons de Sarah, tordant les petites pointes de chair durcies. Sarah ne put s’empêcher de gémir. Une nouvelle fois, l’adolescente ressentit une extase qu’elle n’avait jamais imaginée. Elle n’avait jamais ressenti de sensation aussi puissante et aussi agréable lorsqu’elle se masturbait. Cette chaleur sourde au fond de son ventre, la faiblesse de ses jambes et ce sentiment d’étourdissement qui lui donnait presque le tournis.
« Qui peut me dire quelle autre réaction cela peut produire chez notre petite chienne ? »
Sarah ressentit un grand vide, lorsque l’enseignante interrompit la manipulation de ses mamelons pour s’adresser à la classe. Comment pouvait-elle stopper ça comme si c’était anodin ? Elle ne pouvait pas s’arrêter comme ça. Pas à ce moment.
Son humiliation était oubliée. La honte de se trouver nue devant toutes ces filles qu’elle ne connaissait que depuis peu ne lui était même pas venue à l’esprit. Son cerveau était focalisé sur les sensations que lui renvoyait son corps, consumant ses certitudes.
« Murphy ? »
« La chatte devient humide, Mademoiselle. »
Le son de la voix de son amie, avec son accent Irlandais, fit redescendre Sarah sur terre. L’endroit où elle se trouvait et ce qu’elle y faisait entrèrent en collision avec ses rêveries érotiques. La honte lui brûla les joues, son comportement la dégoûtait. Comment avait-elle pu en arriver là ? Elle s’était comportée comme une espèce de lesbienne vicieuse, une sorte d’accro au sexe. Sachant que cela lui faisait enfreindre la position imposée, elle baissa les yeux, incapable de faire autrement.
« Correct Murphy. Le con d’une salope produit du jus lors de l’excitation sexuelle. Ça aide à la lubrification.
Porter ! Garde-à-vous ! Infraction pour désobéissance. »
Sarah reprit aussitôt la pause, déçue d’avoir déplu à son professeur. Sa déception se heurta à la honte qu’elle éprouvait. Il ne lui restait plus de larmes et elle se sentit prête à en mourir sur le champ. Quel odieux virage prenait sa vie ? Qu’était-elle en train de devenir ?
« Alors, où en étais-je, Porter ? »
« Euh… Vous parliez du jus que le con de la chienne produit, Mademoiselle, » Répondit humblement Sarah.
« C’est ça, chaque salope fabrique son propre type de jus de con. Celui de certaines d’entre elles est clair et liquide. Pour d’autres, il est plus épais, et sa substance plus blanche, ressemblant beaucoup à du sperme, en apparence. Et bien sûr on trouve aussi tous les intermédiaires. Chaque chienne a une odeur et un goût différent.
Porter ! Roulez la chaise jusqu’au centre de l’estrade et prenez-y place. » Commanda Miss Rice.
Sarah fit ce qu’on lui demandait, heureuse de la diversion que cela occasionnait. Peut-être que Miss Rice oublierait son courroux. Elle roula l’étrange fauteuil jusqu’au centre de l’estrade et monta dessus. Ce n’est que lorsqu’elle fut assise face à la classe qu’elle réalisa pleinement ce qu’elle venait de faire. Jusqu’à présent, elle avait réussi à reléguer cette idée en arrière plan, mais maintenant, plus question d’y échapper.
Anxieuse, l’adolescente était assise sur la chaise gynécologique, les deux jambes balançant entre les étriers. Elle prit une profonde inspiration et rassembla ses forces en prévision de l’humiliation qui l’attendait.
« Placez vos jambes dans les étriers. »
La mort dans l’âme, elle s’exécuta. En écartant les jambes, elle entendit quelques gloussements étouffés, provenant de ses camarades de classe. Elle comprit immédiatement ce qui les interpelait, sentant de petits fils gluants s’étirer au fur et à mesure qu’elle écartait ses cuisses. Elle ajusta sa position dans les étriers en faisant glisser ses fesses vers l’avant, déclenchant un autre round de bruits étouffés chez les autres filles.
« Silence ! » Tonna la voix de Miss Rice. « C’est ce que nous appellerons de la crème. De la crème de con ou de la crème de chatte ou, tout simplement de la crème. Les chiennes ne produisent pas toutes de la crème, aussi nous pouvons considérer que nous avons de la chance, pour notre première leçon.
La description de ce qui suintait de son sexe dégoûta Sarah. Lorsqu’elle avait écarté les jambes, les lèvres de sa fente s’étaient légèrement ouvertes, montrant une concentration glaireuse blanche qui s’était accumulée à l’entrée de son vagin. Elle avait toujours pensé qu’il était normal pour une fille de sécréter ce genre mucosités, mais l’exhiber devant son enseignante et ses camarades de classe la troublait tout en la terrifiant. Et si elle était vraiment lesbienne ? Ce problème s’imposa à elle, chassant tous les autres. Il ne manquait plus que ça, se réprimanda-t-elle intérieurement.
« Bien, maintenant, installons nous correctement afin de poursuivre ce cours. » Déclara Miss Rice en emprisonnant les jambes de l’adolescente à l’aide de courroies.
Sarah grimaça en sentant quelque chose de froid entrer en contact avec son sexe. Se penchant en avant et ses yeux s’écarquillèrent comme ceux d’une biche prise dans les phares d’une voiture. L’enseignante se servait d’une petite cuillère pour collecter une grande partie des glaires qui encombraient sa fente. Elle vit avec ahurissement l’institutrice en retirer une pleine cuillerée qu’un long fil de mucus connectait encore à sa fente, et qui se rompit en créant une fine trainée humide qui se répandit entre son sexe et le plastique de la chaise, entre ses fesses.
« Cette petite chatte ne voulait pas lâcher ça, » Plaisanta le professeur d’une voix sensuelle, en se penchant sur l’entrecuisse de Sarah. « Ne te tracasse pas, petite chatte, tu pourras toujours en produire d’autre. »
De nouvelles larmes noyèrent les yeux de l’adolescente, lorsque l’institutrice tendit la petite cuillère débordant presque de ses sécrétions vaginales, à Olsen. Rien ne pouvait être pire que de faire circuler la preuve de son excitation dans toute la classe. C’était tellement humiliant qu’elle avait envie de se rétrécir au point de disparaître dans le fauteuil. Si elle n’avait pas été attachée sur la chaise gynécologique, elle se serait enfuie de la pièce, punition ou pas.
« Prenez sa crème, Olsen. Sentez-là, allez. Oui, respirez-là. C’est le parfum d’une autre chienne. Chaque salope à une odeur différente. Celle-ci est très peu odorante. C’est une jolie crème, bien épaisse, mais peu épicée, ce qui est plutôt rare. »
Olsen porta la cuillère à ses narines et en respira l’odeur. Elle avait fermé les yeux en plissant fortement ses paupières et reniflait délicatement le jus blanchâtre.
« Bien, maintenant goûtez l’offrande de notre petite chienne, Olsen. »
Les yeux d’Olsen papillonnèrent en s’ouvrant. Elle jeta de petits coups d’œil autour d’elle, sur Miss Rice, puis sur Sarah écartelée et immobilisée devant elle. On sentait qu’elle était au bord de la panique.
« Trempez juste le bout de votre langue, Olsen. Tout le monde va sentir et goûter la crème de chatte de Porter. Les chiennes doivent se familiariser avec toutes les odeurs et tous les goûts. Il est nécessaire que vous sachiez reconnaître votre propriétaire, ou qui que ce soit d’autre, avec les seules informations dont vous disposerez. »
Sarah rentra sa tête entre ses épaules lorsque Olsen avança ses lèvres vers le liquide glaireux qui remplissait la petite cuillère. Le bout de sa langue trempa timidement dans les sécrétions blanchâtres et se replia immédiatement dans sa bouche.
« Tut-tut-tut… » Fit l’enseignante en faisant claquer sa langue contre son palais. « Vous n’avez pas pu goûter votre camarade correctement. Vous ne voulez pas apprendre à reconnaître Porter ? Plongez-moi cette langue dans son jus pendant au moins trois secondes. Ensuite vous passerez la cuillère à la chienne suivante. Carew ! Lorsque votre tour sera passé, vous la rapporterez à Porter. Elle aussi doit profiter de cet exercice. »
Sarah observa chacune des étudiantes à qui l’on passait la cuillère, la sentir puis plonger sa langue dans son contenu. La plupart d’entre elles étaient visiblement dégoûtées. Elle faillit mourir de honte lorsque ce fut le tour de Murphy, mais son amie la regarda droit dans les yeux et plongea courageusement sa langue profondément dans le liquide épais. Elle interpréta aussitôt le message, comprenant qu’elle lui signifiait d’être forte, mais cela ne n’apaisa qu’à peine la révulsion qu’elle ressentait vis à vis d’elle même.
Taylor fut la seule à réagir différemment. Sarah eut le sentiment qu’elle se réjouissait presque de l’odeur qui se dégageait de la cuillère. Sa langue s’attarda plus longtemps que nécessaire dans le mucus glaireux, et Sarah fut convaincue de la voir se courber pour en collecter un peu plus dans sa bouche. C’était inévitable, pensa l’adolescente. Sur un groupe de dix-huit filles, il fallait bien qu’il y en ait une qui soit lesbienne. Peut-être même y en avait-il plus, mais son excitation l’empêchait d’analyser correctement la scène hallucinante qui se déroulait devant elle.
Bientôt, trop rapidement, Carew se leva de sa place et s’approcha d’elle et lui tendit la cuillère. L’adolescente tremblant dans ses liens savait ce qu’on attendait d’elle. Elle porta la cuillère à son nez et huma sa propre odeur. Elle en connaissait déjà l’arôme subtil, mais redoutait que le goût soit complètement différent. L’idée de goûter ses propres sécrétions ne l’avait jamais effleurée. Elle plongea sa langue dans la crème épaisse, tandis que de nouvelles larmes coulaient sur ses joues.
« Vous pouvez la garder, Porter. » Dit Miss Rice en plaçant une boîte sur un petit tabouret qu’elle venait de déplier à côté de la chaise. Elle s’était affairée pendant que les adolescentes goûtaient les mucosités de Sarah.
Confuse, celle-ci resta figée, tenant la cuillère bêtement. Combien de temps était-elle supposée rester comme ça ? Et dans quel but ?
« Finissez, Porter. Tous les fluides produits doivent être consommés. Une chienne ne doit jamais oublier ça, elle doit nettoyer toutes les cochonneries qui sont produites, que ça vienne d’elle ou de quelqu’un d’autre. Ça inclut les crachats, les sécrétions féminines et, encore plus important, le sperme. Vous ne devrez jamais gâcher une goutte de sperme. La liqueur séminale est le passeport de la salope pour le paradis, c’est le plus beau cadeau qu’on puisse jamais vous faire. Une salope désire si ardemment le sperme que c’en est presque une addiction.
Horrifiée, Sarah écouta son professeur lui commander d’ingurgiter ses propres sécrétions, d’avaler quelque chose qui sortait de son sexe. Le reste du discours se perdit dans le brouillard, tandis qu’elle fixait le contenu gluant de la cuillère. Elle regarda Miss Rice qui l’observait en souriant gentiment.
Ce sourire lui fit un effet étrange. Cela la calma et focalisa ses pensées. Elle ne voulait pas que Miss Rice s’arrête de sourire. À cet instant même, elle se dit qu’elle ne pourrait pas supporter de voir Miss Rice cesser de sourire.
« Merci Mademoiselle. » Lui répondit-elle en notant avec fierté une accentuation du sourire.
« C’est bien, ma fille. Maintenant, il faut nous dépêcher. Il y aura beaucoup d’autres occasions pour vous vous délecter de vos sécrétions mutuelles. Notre première leçon d’hygiène basique décrit comment garder une chatte propre. Voyez-vous, mesdemoiselles, les poils pubiens sont un vestige de l’évolution. Ils n’ont plus de raison d’être, sont disgracieux et par-dessus le marché, ils masquent les trous de la salope.
En conséquence, vos propriétaires seuls pourront décider de la façon dont vous taillerez vos toisons. C’est leur privilège. À Harkwood, toutes les chiennes de la Maison Trinité doivent avoir des chattes bien propres. Je sais que beaucoup d’entre vous ont des cons plutôt négligés et nous allons terminer ce cours en remédiant à ça. C’est de la responsabilité de la chienne d’entretenir son con. Il n’y aura pas d’excuses. Le rasage n’est pas acceptable, car il occasionne des rougeurs fâcheuses et du duvet. Certains de vos propriétaires pourront décider de vous faire ôter définitivement vos poils pubiens, mais pour le moment, vous allez apprendre à épiler vos cons et vos trous du cul. »
Sarah n’aurait jamais imaginé devoir raser ou épiler son sexe. Elle avait ardemment désiré que ses poils poussent. Elle avait toujours voulu faire moins "petite fille" et ressembler plus à une femme. Elle avait toujours regretté qu’ils ne soient pas plus épais, et maintenant on allait les lui ôter pour toujours. Elle savait que c’était à la mode, qu’on appelait ça le maillot brésilien, et elle n’avait jamais vraiment compris ce qu’il y avait d’attrayant là-dedans, mais, maintenant que Miss Rice en parlait, elle s’imaginait quelque peu à quoi ça pouvait correspondre.
« À Harkwood, nous utilisons des bandes de cire, la cire chaude sera plutôt utilisée lorsque l’épilation sera effectuée par une autre que vous mêmes. Plus tard, ce premier pas ne sera plus nécessaire, il vous suffira de quelques coups de ciseaux pour que la cire puisse prendre correctement.
Porter illustre parfaitement ce que je veux dire, son corps est indéniablement prédisposé pour l’état naturel de la chienne. Vous n’avez qu’à noter comme ses poils sont rares.
Ces bandes sont froides, ce qui signifie que nous n’avons pas besoin de chauffer la cire.
Porter ! Placez le côté collant sur votre pubis et frottez la dans le sens de vos poils. Vous devez vous assurer que le duvet adhère bien en frottant suffisamment longtemps. Bien !. Maintenant attrapez l’extrémité la plus éloignée de la bande et décollez-là légèrement en tirant vers vous. Si vous observez bien, les poils poussent vers le bas, donc vous devez pratiquer l’épilation dans le sens opposé. Bon, maintenant placez votre autre main sur votre peau, au-dessus de la bande et étirez la du mieux que vous pouvez. Très bien ! Allez ! Tirez fort et rapidement, ça doit être un mouvement rapide et complet. »
Jusqu’à présent, Sarah avait suivi, à la lettre, les instructions de son professeur. Elle avait fait de son mieux, non seulement pour lui plaire, mais aussi pour en finir le plus rapidement possible avec cette situation dégradante, mais maintenant, elle hésitait.
Elle inspira profondément, serra les dents et grimaça en se conditionnant pour tirer sur la bande de cire.
« Aaaaaiiie ! » Glapit-elle en arrachant la bande et les poils qui étaient pris dedans.
La douleur fut telle, qu’elle ne réussit à la décoller qu’à moitié, tandis que de nouvelles larmes venaient noyer ses yeux. Une bonne demi-longueur restait prise dans ses poils.
« Je sais, c’est douloureux, mais ça ira mieux avec l’habitude. Il faut que vous y mettiez plus de conviction. Une salope doit s’investir à fond dans tout ce qu’on exige d’elle. Sur ce plan, votre échec est évident. Recommencez. »
Sarah ravala ses larmes et se prépara à nouveau à affronter la douleur. Elle tira brusquement sur la bande en gémissant piteusement à travers ses dents serrées et le ruban se décolla entièrement, restant suspendu en balançant au bout de ses doigts tel un animal mutilé.
« Regardez tous les poils qui sont restés. C’est atroce. Recommencez, Porter. Affinez votre technique et ne vous arrêtez que lorsque votre con et votre trou du cul seront entièrement propres. Il faut appuyer très fortement la bande de cire contre votre peau, votre première tentative était trop faible.
Maintenant, mesdemoiselles, observez bien comment elle s’y prend. Vous utiliserez une bande pour deux ou trois passages. De vrais passages, pas comme celui auquel nous venons d’assister. »
Miss Rice continua à commenter pendant que Sarah s’escrimait à arracher les restes du duvet qui recouvrait son pubis et sa fente. Chaque passage extirpait douloureusement le peu de pilosité qui subsistait du précédent.
Entièrement concentrée sur ce qu’elle s’imposait, Sarah ne se rendit pas compte que l’enseignante s’était déplacée derrière elle. Ce ne fut que lorsqu’elle sentit ses mains chaudes la caresser, passer dans ses cheveux et se faufiler langoureusement sur sa nuque et dans son cou, qu’elle réalisa ce qui se passait.
Elle gémit en haletant à chaque nouvelle souffrance provoquée par l’épilation, mais la caresse tendre de l’enseignante l’aida à surmonter la douleur et à faire de son mieux. Il lui fallut trois bonnes tentatives pour dénuder entièrement sa féminité.
Elle n’avait pas réussi à vaincre sa peur, ne s’était jamais engagée totalement dans ses gestes et elle était sûre que cela se voyait comme le nez au milieu de la figure.
Sachant que son supplice ne s’interromprait que lorsqu’elle aurait fait disparaître tous les poils, elle savait qu’il lui fallait encore plus de détermination.
« Passez vos doigts sur votre chatte, vérifiez bien que toute la surface est totalement imberbe. Le moindre poil qui subsistera vous vaudra une infraction. » L’exhorta le professeur en lui caressant le front.
Docilement, l’adolescente s’exécuta et passa attentivement ses doigts sur sa peau lisse. Elle sentit encore deux petits poils invisibles et s’escrima à les ôter tous deux d’un seul coup. Peu de temps plus tard, son sexe était entièrement glabre.
« Maintenant, mesdemoiselles, observez bien comment elle va s’occuper de son anus. C’est une opération un peu plus délicate, car moins accessible, mais il faudra vous y faire comme pour le reste. Parfois, vous serez secondées, mais pas tout le temps. »
Sarah se pencha en avant pour accéder à cette partie de son anatomie qu’elle estimait, jusqu’à maintenant, réservée à un tout autre usage. Les poils y étaient plus épars.
Elle regretta que Miss Rice ne l’appelle pas par son nom au lieu d’employer le "petite chienne" qu’elle se plaisait à utiliser à tout bout de champ. Elle trouvait ce qualificatif au moins autant rabaissant que l’étiquette qui pendait au lobe de son oreille.
Elle se rassura en remarquant que les quelques poils qui parsemaient son anus seraient faciles à éliminer, mais que cela la contraindrait à écarter ses fesses. Elle procéda rapidement et fit timidement courir ses doigts autour de son sphincter pour s’assurer qu’il n’en restait aucun.
« J’ai terminé, Mademoiselle. » Déclara-t-elle fièrement, malgré la réticence qu’elle avait à mettre fin à la douce caresse des mains dans ses cheveux.
« Ça reste à vérifier, Porter. »
Miss Rice se plaça entre les jambes écartées de l’adolescente et se pencha en avant, le visage à quelques centimètres de ses parties intimes. Ses yeux explorèrent attentivement les régions dénudées et son visage était si proche qu’elle eut l’impression de sentir son souffle sur sa peau imberbe. Puis les doigts de l’enseignante se posèrent sur son bas-ventre et l’auscultèrent attentivement, glissant sur chaque centimètre carré de sa peau : Son pubis, ses lèvres sexuelles, le creux de chacune de ses cuisses, avant de descendre vers son anus.
À nouveau, Sarah se perdit dans les sensations que lui causaient les doigts de son professeur. La boule se reforma au fond de son ventre, ses tétons durcirent et ses cuisses se contractèrent inconsciemment, comme pour emprisonner les doigts qui lui procuraient ces sensations inédites. Mais les courroies qui l’enserraient étaient solides et maintinrent ses cuisses grandes ouvertes. Un frisson lui parcourut la colonne vertébrale et tout son corps se raidit lorsque les doigts frôlèrent en furetant les contours de son petit sphincter plissé.
« C’est bien, Porter. Long mais minutieux. Maintenant, il ne nous reste plus qu’à passer une lingette humide sur l’ensemble, afin d’effacer toute trace de poils ou de cire. Ensuite, nous y appliquerons un peu d’huile d’amandes douces.
Une petite goutte sur le bout de votre index suffira. Voilà. Maintenant, étalez-la sur toute la région, nous voulons seulement l’humecter, pas le graisser. Si vous avez besoin d’une deuxième goutte, vous pouvez en appliquer une autre, mais une seule à la fois. »
Sarah versa une petite goutte d’huile sur son index et l’étala lentement autour de son sexe. Elle commença par son pubis et chemina lentement vers sa fente. Il lui fallut plusieurs gouttes pour couvrir correctement l’ensemble de la surface et elle fit preuve d’une délicatesse toute particulière, lorsqu’elle les appliqua sur ses lèvres sexuelles et sur son clitoris. Il était hors de question qu’on la soupçonne de se donner du plaisir.
« Bien. Maintenant, mesdemoiselles, vous allez venir, une par une constater à quel point le con de notre petite chienne est doux et soyeux. Vous remarquerez que la peau est légèrement rougie, ainsi que quelques petits points rouges dus aux follicules pileux les plus méchants. Lorsque vous serez toutes passées, nous procéderons au nettoyage du reste de toutes ces chattes mal entretenues.
Olsen se leva et alla se placer entre les jambes de Sarah. Elle tendit timidement la main et posa deux doigts sur le sexe imberbe de l’adolescente, l’explorant délicatement en reconnaissant l’efficacité de l’épilation qui faisait la fierté de son professeur. Après une rapide inspection, elle ôta ses doigts et retourna s’asseoir à sa place.