Sarah Porter va à l'école (08a) |
Adaptation française par Perverpeper
Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’un auteur dont le pseudonyme est "Garmonbozia".
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PP
Sarah Porter va à l'école
Chapitre 08 - Dans lequel Sarah assiste à son premier cours de biologie.
La sonnerie retentit à nouveau et les deux rangées de filles parfaitement immobiles regardèrent avec impatience vers la porte close devant elles.
Aucune d’entre elles ne savait à quoi s’attendre avec ce nouveau cours. Les fondations de leurs mondes venaient juste d’être balayées par un raz-de-marée gigantesque. On venait de leur faire comprendre qu’elle ne se trouvaient pas à Harkwood, l’une des écoles les plus prestigieuses au monde, pour y préparer un diplôme universitaire comme elles le pensaient en y arrivant, mais pour y être transformées en salopes, en putains et en esclaves sexuelles au service de leurs tuteurs ou tutrices. Ces gens fortunés ou leur parents qui avaient payé leur scolarisation, payé non pas pour qu’elles apprennent les mathématiques, la physique et le Français, mais pour qu’on leur inculque l’art du sexe, de l’exhibition et de la soumission.
Dorénavant, leurs vies se résumeraient à plaire à leurs propriétaires. Pas l’une d’entre elles n’avait encore accepté ce destin. Elles étaient encore sous le coup du bouleversement que leur avait occasionné la révélation. Tout c’était passé tellement vite. La moitié d’entre elles n’arrivaient même pas à y croire, jusqu’au moment où, à la fin de leur premier cours à Harkwood, on leur avait fixé un collier d’esclave autour du cou. Elles n’arrivaient toujours pas à accepter leur sort, mais maintenant, elles savaient que c’était réel, qu’elles appartenaient réellement à quelqu’un.
« Entrez ! » Lança une voix depuis l’intérieur de la classe.
Olsen s’avança en premier, ouvrit la porte et se pencha afin de scanner l’étiquette métallique qui pendait au lobe de son oreille et, ainsi, enregistrer sa présence dans la salle de classe.
Sarah suivit les filles qui la précédaient, très heureuse de ne pas être la première. La responsabilité de tout faire la première, de ne rien oublier, lui paraissait immense.
Ceci lui rappela qu’elle n’avait pas regardé l’heure qu’il était lorsqu’elle avait quitté le cours précédent. Elle corrigea aussitôt cet oubli. Il était Dix heures et une minute. Trois heures plus tôt, elle était encore une adolescente se préparant à son premier jour d’école, excitée par la nouveauté. Maintenant, elle était une esclave se préparant à suivre son deuxième cours, afin qu’on l’éduque à l’art de devenir une salope et qu’on la prépare pour sa nouvelle vie de servitude. Ça n’avait toujours pas plus de sens pour elle. Comment ceci pouvait arriver de nos jours, dans cette école mondialement renommée et remplie d’autres filles qui n’imaginaient pas le millième de ce qui lui arrivait. Mais la réalité était fixée autour de son cou, et il était impossible d’y échapper.
Elle jeta un coup d’œil circulaire dans la pièce afin de se repérer. Cette nouvelle salle de cours était conçue de façon similaire avec la précédente. Un grand tableau noir, surplombant une estrade, une rangée de commodes le long du mur. Cependant, les bureaux en plexiglas transparent étaient absents. Au lieu de ça, il y avait dix-huit petits tabourets répartis en arc de cercle devant l’estrade. Sarah se positionna à côté de celui qui lui était imparti et regarda son nouveau professeur.
Miss Rice n’aurait pas pu être plus différente de Miss Watson. Elle ne mesurait qu’environ un mètre cinquante et était assez menue. Sarah trouva qu’elle lui rappelait beaucoup sa propre stature. Son visage ovale et sensuel était encadré par une chevelure noire aux boucles ondulées. Son léger bronzage, café au lait, mettait en valeur sa peau douce et dénuée d’imperfections. Ses yeux noirs en amande lui donnaient une mine à la sensualité exotique. Son corsage et sa jupe gracieux en coton blanc, et son côté bohème lui conféraient indubitablement une allure gitane. Là où Miss Watson était sombre et intimidante, Miss Rice était naturelle et sensuelle. Au lieu du fauteuil en cuir privilégié par Miss Watson, une méridienne en velours rouge se trouvait dans le coin à côté de l’estrade. L’enseignante se tenait debout devant elle, attendant que les filles gagnent leurs places.
« Assises, » Commanda le nouveau professeur.
Sa voix était teintée d’un léger accent qu’aucune des élèves ne put situer, auquel ce simple mot prêtait une aura lascive et délicieuse.
Dans un ensemble parfait, les étudiantes prirent place sur leurs tabourets en plastique, adoptant aussitôt la position d’attente qu’elles venaient d’apprendre quelques minutes plus tôt. Aucune d’entre elles ne savait à quoi s’attendre. Leur cours précédent les avait laissées confuses. La combinaison de douleur et d’humiliation, l’idée qu’elles n’étaient plus maintenant que des servantes sexuelles n’avaient laissé aucune place à la réflexion.
« Bien. Mesdemoiselles, je m’appelle Miss Rice. Je suis le professeur de biologie de la Maison Trinité. Ce cours sera un peu différent de tous les autres cours de biologie auxquels vous avez pu assister jusqu’à maintenant. Ici, vous étudierez l’anatomie, l’hygiène corporelle, la physiologie et les zones érogènes. De solides connaissances de ses aspects sont essentielles pour les chiennes. Pour donner du plaisir, vous devez connaître le corps humain et son fonctionnement sous tous ses angles.
Sarah écouta son professeur de biologie leur présenter ce programme scolaire si particulier. Lorsqu’elle avait su le nom de ce cours, une petite lumière d’espoir s’était allumée au fond de son cœur, mais elle venait d’être réduite à néant à l’annonce de ce "nouveau" programme. Elle imaginait difficilement le genre de cours de biologie obscène que ça pourrait être.
« J’ai examiné vos bilans médicaux et, pour cette première leçon, nous allons nous focaliser sur les bases de l’anatomie et évoquer les principales zones érogènes. Ensuite, nous pratiquerons le premier de nos travaux pratique, qui portera sur l’hygiène.
Porter ! Venez par ici et déshabillez-vous. Vous mettrez votre uniforme sur mon siège, si vous voulez bien. Gardez vos chaussures et vos chaussettes.
Tel un robot, Sarah se redressa. On venait de lui demander quelque chose et elle obéissait. La soudaineté avec laquelle elle avait été appelée l’avait prise au dépourvu. Comme elle s’approchait de son enseignante, la transe dans laquelle elle se trouvait se rompit.
Visiblement, cette fois c’était son tour d’être le modèle. Est-ce que ça avait un rapport avec ses commentaires à la fin du cours précédant ? Était-il possible que cela ait été communiqué si rapidement ?
Elle dégrafa sa cravate et commença à déboutonner lentement son corsage, tentant inconsciemment de prolonger le temps pendant lequel elle restait habillée.
Avec l’expérience, elle avait fini par considérer son uniforme comme le rempart de sa pudeur. Les vingt-quatre heures précédentes lui avaient démontré qu’on pouvait l’humilier et la dégrader, même lorsqu’elle était vêtue, mais ces petites pièces de tissu représentaient pour elle, une sorte d’armure dont elle détestait être dépouillée.
« Du nerf, Porter ! À moins qu’on lui demande le contraire, une chienne doit toujours de déshabiller efficacement et rapidement. Et pour quelle raison une chienne devrait elle ne pas se déshabiller rapidement ?... Mitchell ? »
L’adolescente aux gros seins fut surprise que l’on s’adresse à elle. Elle était en train de regarder distraitement Sarah se dévêtir et la question la pris au dépourvu.
« Euh… Parce qu’on vous le demande ? »
« Vous ? Êtes vous en train de me traiter de salope, Mitchell ? » Demanda l’enseignante en rigolant joyeusement.
« N… Non Mademoiselle. Je… Je voulais seulement dire que… Qu’une chienne, et je… Toutes les salopes… Je veux dire… Je n’ai pas vraiment compris la question Mademoiselle. » Répondit l’adolescente en s’embrouillant de plus en plus.
Sarah s’en voulut pour Mitchell, mais elle était heureuse de la distraction que cela provoquait tandis qu’elle terminait de se dénuder. Si seulement cela pouvait les distraire de sa nudité, même un court instant…
« Dites-donc, Mitchell ! Atterrissez un peu. Je vous demande dans quelles circonstances une salope ne devrait pas se déshabiller aussi rapidement que ce qu’on exige d’elle en temps normal. »
« Euh… Parce qu’on le lui demande, Mademoiselle ? »
« Êtes-vous en train de me poser une question, Mitchell ? »
« Euh… Non Mademoiselle. »
« Alors répondez correctement à ma question. Porter, montez sur l’estrade. » Ajouta le professeur, remarquant que Sarah avait terminé de quitter son uniforme et s’était mise au garde-à-vous.
« Parce qu’on le lui a demandé, Mademoiselle. » Répondit finalement Mitchell avec plus de conviction.
« Mitchell, êtes vous une salope ? »
« Oui Mademoiselle. » Répondit humblement la bécasse.
« Alors ne répondez pas à mes questions par des incertitudes. Lorsqu’on vous demande ce que ferait une salope, considérez-vous comme la salope en question.
Cette leçon est profitable pour vous toutes, mesdemoiselles.
Maintenant, Mitchell, essayez à nouveau. »
« Euh… Parce qu’on me l’a demandé, Mademoiselle. »
« Faux Mitchell, on ne vous le demandera pas, on l’exigera de vous. Essayez encore.
« Parce qu’on l’aura exigé de moi, Mademoiselle. » Répondit la pauvre adolescente qui se noyait de plus en plus.
« Nous avons déjà établi qu’on l’exigerai de vous, Mitchell. La question est : Pourquoi l’exigerait-on de vous ? »
« Euh… Parce que… Euh… Parce que quelqu’un l’exigerait de moi, Mademoiselle ? »
« Et bien, il semble que le proverbe soit juste. Plus les seins sont développés plus le cerveau est limité.
Porter ! Répondez. »
« On peut exiger d’une chienne qu’elle se déshabille lentement afin de pouvoir la regarder et apprécier le spectacle. Cela la rendrait plus désirable, Mademoiselle. » Répondit l’adolescente, désolée pour sa camarade. Elle avait brûlé d’envie de lui souffler la réponse. Ça n’était pas de sa faute, elle était simplement idiote.
« En partie correct. Même en vous déshabillant vite, vous devez rester jolies, vous devez avoir conscience de votre corps, vos postures et vos mouvements doivent prouver votre respect envers l’endroit où vous vous trouvez et ses occupants. Même lorsque vous serez seules, vous devez considérer votre déshabillage comme un devoir, et le faire avec grâce et esthétisme. Comme disait le philosophe George Berkeley : "Si un arbre tombe dans la forêt et qu’il n’y a personne pour s’en rendre compte, ne fait il pas de bruit ?" Mettez cette philosophie en application, Porter.
« Quand une chienne se donne en spectacle et qu’il n’y a personne pour la voir, est-elle quand même une salope ? Mademoiselle. »
« Excellent Porter, vous avez d’excellentes prédispositions pour devenir une vraie salope. Et la réponse ? »
« C’est oui, Mademoiselle. »
« Exact. Mesdemoiselles, une salope sera toujours une salope. Non seulement vous ne saurez pas ni quand ni qui peut être en train de vous observer, mais surtout vous resterez en permanence des salopes. La salope l’est jusqu’au bout des ongles, de son réveil jusqu’à ce qu’elle s’endorme.
Bien, maintenant Porter, commençons notre leçon. Anatomie de base et sa terminologie. Chaque chienne à trois trous. C’est pour ça que cette Maison s’appelle la Maison Trinité. C’est une excellente façon de vous définir. Vos trois trous seront importants non seulement pour vous, mais surtout pour ceux que vous servirez. Pour certaines d’entre vous, ils seront ce qu’il y a de plus important. »
Ce discours horrifia Sarah. Non seulement Miss Rice venait de leur révéler que le nom de leur Maison n’avait pour but que de mettre leur avilissement en lumière, mais en plus, la façon dont leur professeur parlait d’elles lui donnait l’impression qu’elle parlait d’objets et non de jeunes filles. Elle en arriva même à la conclusion que ces cours, même s’ils abordaient des sujets obscènes et dépravés, étaient construits de la même façon que les matières normales. Est-ce qu’elles allaient passer des examens ?
Elle fut tirée de ses pensées par quelque chose qui touchait ses lèvres. Elle eut un mouvement de recul et faillit battre en retraite, se maîtrisant in extrémis, s’obligeant à rester au garde-à-vous.
« Tut-tut-tut, » Fit Miss Rice en faisant claquer sa langue contre son palais. « Comme c’est fâcheux. » Elle retira l’extrémité de sa cane du visage de Sarah. « Lorsque quoi que ce soit est placé à proximité de la bouche d’une chienne, cette bouche s’ouvre pour l’accueillir. Si la moindre pression est appliquée, l’objet en question doit être accueilli dans la bouche de la salope.
Miss Rice posa à nouveau l’extrémité de sa cane contre la bouche de l’adolescente, et cette fois, elle écarta légèrement ses lèvres, puis ouvrit timidement la bouche. Son visage rougit aussitôt, honteuse d’être utilisée comme un animal dressé.
« Ah… Vous pouvez constater une réaction physiologique dont nous parlerons plus en détails dans une prochaine leçon. Le rougissement est une conséquence que les personnes timides ont fréquemment lorsqu’elles ressentent de la honte ou de la pudeur. C’est assez rare chez les chiennes bien dressées, mais souvent constaté lors du dressage. Ça n’est pas grave, et de toute façon, je trouve toujours ça mignon. » Commenta l’enseignante en passant la paume de sa main sur les fesses nues de la jeune fille.
Le contact de la peau chaude sur ses fesses encore douloureuses, fit frissonner Sarah. La douceur de la caresse l’apaisa, mais ce geste intime la troubla en même temps. Une étrange sensation au plus profond de son ventre lui donna à réfléchir, elle n’avait jamais rien ressenti d’identique auparavant. C’était un peu comme de la nervosité, sans en être vraiment.
« Et maintenant, » Continua le professeur, en replaçant l’extrémité en bois contre sa bouche, « Ce trou est généralement appelé la bouche, bien qu’on puisse aussi dire le "suçoir/suceur" ou, plus vulgairement, le "garage à bites". Maintenant, répétez après moi, mesdemoiselles. La bouche, le suçoir, le garage à bites ! »
Les dix-sept étudiantes répétèrent docilement chaque mot. Beaucoup d’entre elles rougissant à l’idée d’être traitée comme des gamines apprenant à parler.
« Bien. Voilà donc la terminologie acceptable pour une chienne. Dans toutes vos entreprises, vous ne devrez utiliser que ces termes. De même, lors d’une conversation, il sera essentiel de vous souvenir de ce vocabulaire. L’expression orale est aussi importante pour une salope que tous les autres aspects de votre comportement.
« Et voici les nichons. » Déclara Miss Rice en déplaçant le bout de sa cane vers le sein droit de Sarah, l’appuyant légèrement sur la chair tendre. « On peut aussi les appeler poitrine ou seins, ainsi que de nombreux autres termes plus imagés, mais ça restera à la discrétion de vos supérieurs. Vous les appellerez les nichons.
Nichons ! » Déclara l’enseignante en titillant à nouveau la poitrine de Sarah, tandis que les dix-sept autres adolescentes répétaient docilement le mot.
« Vous pouvez fermer la bouche, Porter, nous ne vous demandons pas de gober les mouches. » Se moqua Miss Rice en gloussant imperceptiblement.
Des larmes se formèrent au coin des yeux de Sarah. Non seulement on profanait ce qu’elle avait de plus précieux, mais en plus on en riait à ses dépens.
« Et sur les nichons, on trouve les tétons, » Annonça Miss Rice en remontant la cane sur le téton de l’adolescente qu’elle agaça en le tapotant. « Quelques fois il n’y a pas de mots plus adaptés pour décrire quelque chose. Téton ! » À nouveau, la baguette asticota son mamelon, la faisant grimacer de désespoir, tandis que ses camarades de classe psalmodiaient le terme.
C’était plus désagréable que douloureux, mais l’adolescente n’était pas en mesure de faire la différence. La badine glissa le long de son ventre et s’immobilisa près de son nombril.
"Voici le ventre, pas le bedon, ce qui fait enfantin, ni l'estomac qui sonne trop cru. Le ventre !"
« Le ventre ! » Entonnèrent en cœur les étudiantes assises face à la scène ahurissante qui se déroulait sous leurs yeux.
« Vous voyez, mesdemoiselles, les termes qu’emploie une chienne sont indispensables pour faire passer un message, mais aussi pour transmettre un état d’esprit. Vous ne devez pas seulement plaire, mais surtout être attirantes. Le ton de votre voix, et aussi le vocabulaire que vous emploierez vous permettront de transmettre cette impression.
Nous aborderons cet aspect plus en détails dans les prochains cours.
Une nouvelle fois, la cane se déplaça et s’arrêta sur son pubis.
« Voici le second des trous les plus importants de la salope. Certains diront le plus important, mais ça peut être source de confusion. Les trois trous sont essentiels, ils diffèrent dans leur ordre d’importance pour certaines personnes, mais pour la salope, ils doivent tous être considérés à égalité.
Porter ! Présentation de la chatte. Ça sera plus explicite. »
Sarah s’agenouilla rapidement en tournant le dos à ses camarades. Les larmes qui menaçaient jusqu’à maintenant, se mirent à couler sur ses joues. Elle arqua son dos et abaissa son buste jusqu’au sol tout en élevant ses fesses, se félicitant qu’au moins ses larmes ne seraient pas visibles. Elle appuya ses bras à plat sur le bois de l’estrade et y appuya son menton, écartant le plus possible les genoux dans le même temps. Les yeux noyés de larmes, l’adolescente exhiba ses parties honteuses à l’ensemble de ses camarades de classe.
« C’est bien, Porter. Une position parfaite, et en plus, vous ne l’avez apprise qu’il y a peu de temps. Une chienne doit toujours être impatiente de présenter ses trous, et vous avez démontré non seulement de l’empressement mais aussi une excellente maîtrise de la posture. »
Les larmes de Sarah se mirent à s’écouler plus librement, tandis que sa volonté de bien faire était interprétée comme une intention délibérée de montrer ses parties intimes à une classe pleine de filles. Elle n’aurait jamais décidé de faire ça de son propre gré, mais malheureusement, on ne lui en avait pas laissé le choix. Refuser de se plier à cet ordre ne lui avait même pas effleuré l’esprit, et pas plus maintenant qu’elle était prosternée de cette manière tellement obscène. Mais la perception qu’elle avait de ce manque de choix ne rendait pas les choses plus faciles pour autant.
« Tant de marques de cane, Porter… Je ne doute pas que vous les ayez mérités, mais je dois avouer que ça me déçoit. J’en compte neuf, un de plus et vous étiez en retenue.
Maintenant le con, » Commenta Miss Rice en tapotant la chatte de Sarah avec la cane, occasionnant une contraction des cuisses exposées de l’adolescente, ce qui lui fit tendre un peu plus les fesses. « Le con, ou la chatte pour une salope. Nous n’utiliserons pas ces autres termes plus vulgaires, même si beaucoup d’autres le feront. Le mot "vagin" est utilisé par les docteurs et le mot sexe concerne votre genre. Con ! Chatte ! »
Miss Rice continua à tapoter la chatte de Sarah à l’aide de sa cane, pendant que la classe répétait les mots.
« Le cul, » Dit l’enseignante, tout en agaçant les fesses rondes de Sarah. « Le cul fait référence à ce postérieur joufflu. Plus spécifiquement, on parle de fesses. Il ne faut pas le confondre avec le troisième trou de la salope, le trou du cul. Cela peut poser quelques problèmes car souvent ces deux mots sont interchangeables. Ainsi pendant votre entraînement anal, on pourra vous demander de vous introduire quelque chose dans le cul. Cependant, si vous utilisez correctement votre cerveau, vous devriez réussir à comprendre ce qu’on attend de vous. » En prononçant ces mots, le professeur avait fixé son regard sur Mitchell, qui détourna les yeux. « Si vous vous trompez pendant votre entraînement, vous serez punies. Si cela devait arriver pendant votre service, alors vous causeriez de la déception et cela ne doit jamais arriver. Décevoir votre propriétaire ou votre consommateur vous couvrira d’opprobre et la punition sera toujours pire.
Cul ! Trou du cul ! »
Sarah sentit la cane asticoter son délicat sphincter rose Il se crispa instinctivement, se resserrant étroitement. Entre deux sanglots, elle entendit le professeur rire et une vague de honte l’envahit pendant que la classe répétait ce mot honteux.
« Bien mesdemoiselles. Nous allons nous livrer à un petit jeu. Après-tout, que serait l’éducation sans que l’on s’en amuse quelque peu ? À partir de maintenant, à vous d’indiquer comment s’appelle la partie du corps que je vous désignerai du bout de ma cane. Vous aussi Porter. »
« Le cul ! »
« Le trou du cul ! »
« Le con ! La chatte ! »
« Hmmm, très intéressant. Porter ? Vous êtes la seule à avoir utilisé le mot "chatte" plutôt que "con". Pourquoi donc ? » S’enquit l’institutrice intriguée.
« Parce… Parce que je… Je préfère la "chatte", Mademoiselle. » Répondit l’adolescente en sanglotant.
« Ah ? Vous préférez la chatte ? Et bien, Porter, je dois admettre que moi aussi. » Commenta Miss Rice en souriant. « Cependant, ce que vous préférez est sans objet, et ce genre de raisonnement chez une chienne peut produire des résultats non désirés. Toutes les salopes doivent constamment être conscientes de leur entourage et s’adapter aux envies et aux désapprobations de ceux qui l’entourent. Darwin n’a jamais vu aussi juste que lorsque ses théories furent adaptées aux salopes – la sélection naturelle – effectivement. L’adaptabilité est aussi importante pour une chienne que l’obéissance et l’enthousiasme. »
« Garde-à-vous, Porter ! »
Sarah se redressa et fit face à la classe. Ses joues étaient trempées de larmes et ses seins tressautaient à chaque nouveau sanglot. Elle tenta désespérément de reprendre le contrôle de ses émotions. Elle détestait qu’on puisse la voir pleurer. S’exhiber et être rabaissée était suffisamment humiliant, mais devoir faire face à toutes ses camarades de classe tandis que celles-ci clamaient les parties de son corps que son professeur touchait fut une étape entièrement nouvelle.
« Con ! Chatte ! »
Sarah était convaincue que ce mot était le mieux approprié pour elle. Elle espérait que les paroles de l’enseignante à ce sujet n’étaient pas un reproche sur son choix.
« Nichons ! »
« Bouche ! Garage à bites ! »
Les yeux de Sarah se posèrent sur Casta qui était la seule à avoir choisi le mot le plus vulgaire. Elle la fixait avec un sourire suffisant et sournois. Sarah détourna aussitôt son regard que de nouvelles larmes noyaient. Elle n’en revenait pas. L’une de ses propres camarades de classe se moquait d’elle. Riait de son humiliation, du fait qu’elle était traitée comme un objet avec lequel on jouait, comme si elle n’était qu’un vulgaire jeu de Monopoly.
« Nichons ! »
« Con ! Chatte ! »
« Nichons ! »
« Con ! Chatte ! »
« Tétons ! »
« Tétons ! »
« Tétons ! »
« Bien joué, mesdemoiselles. » Rigola Miss Rice en continuant à promener sa cane sur le corps de l’adolescente, remontant à chaque fois pointer l’embout sur les seins et les tétons de Sarah. « Allez mesdemoiselles, redevenons sérieuses. Mitchell et Taylor, déshabillez-vous et rejoignez Porter sur l’estrade. Mitchell sur sa droite et Taylor sur sa gauche. »
Les deux filles interpellées se précipitèrent vers l’estrade, se déshabillèrent rapidement, empilant leurs vêtements à côté de ceux de Sarah, sur le siège de leur professeur. Puis elles vinrent se poster en position d’attente, côte à côte avec l’adolescente nue, secouée de sanglots. Même leur compagnie ne rasséréna pas la jeune fille. Peut-être au milieu d’une foule de jeunes filles nues, se serait-elle mieux senti, mais être sur cette estrade, encadrée par chacune d’entre elles, nues elles aussi, les bras dans le dos, les yeux droit devant elles et les jambes écartées, ne l’aida pas à se sentir moins exposée et vulnérable.
« Évidemment, chaque chienne est différente, nous le savons toutes. Mais pour démontrer l’importance de cette différence, je vous demande de bien observer ces trois salopes. Vous trois, vous pouvez vous regarder les unes, les autres.
Sarah tourna la tête vers Mitchell, ses gros seins dressés, hauts perchés sur sa poitrine, la courbe légère de son ventre, ses hanches et ses cuisses pleines formaient un corps ressemblant déjà à celui d’une femme. De l’autre côté, Taylor était à l’extrême opposé. Un corps nerveux de jeune fille aux courbes en devenir, mais dont les seins étaient presque inexistants. Ses hanches fines encadraient un abdomen musclé et plat.
« Mitchell à de gros nichons, taille D, presque E. En fait on pourrait aussi les appeler "mamelles". Mesdemoiselles, les nichons de Mitchell seront désormais ses mamelles. Mamelles ! »
D’une seule voix, le chœur d’adolescente répéta le mot.
« Les nichons de Porter sont d’une taille plus proche de la normale et sont parfaitement assortis à sa ligne. Ils sont fermes et bien tendus, tout en étant doux et moelleux à la fois. »
Sarah rougit à nouveau à cette description de son corps. Au moins, on lui avait épargné la honte de voir ses seins renommés comme ceux d’un animal de ferme.
« Enfin, Taylor à de petits nichons menus. En fait, ses nichons sont si petits que Madame Goodwin à estimé qu’il n’était pas nécessaire qu’elle soit équipée du soutien-gorge standard de l’uniforme. N’est-ce pas vrai, Taylor ? »
« Si Mademoiselle. » Répondit l’adolescente d’une toute petite voix, en rougissant à son tour.
De ce fait, Sarah se sentit encore plus désolée pour Taylor que pour Mitchell. Elle savait à quel point les filles pouvaient être complexées par leur poitrine, surtout si elle était petite. À cause de ça, beaucoup de jeunes filles de leur âge se sentaient moins féminines et Sarah s’imaginait ce qu’elle devait ressentir.
« En fait, une chienne avec des nichons comme ceux de Taylor, de par sa nature même, sera incapable de fournir certaines formes de plaisir, telles que les gifles sur les seins ou la "cravate de notaire" qui signifie que l’homme prend du plaisir en faisant aller et venir son pénis entre les nichons de la salope. »
Sarah écarquilla involontairement les yeux. Jamais au grand jamais elle n’aurait pu imaginer que ce genre de choses puisse être pratiquée.
« Il est nécessaire qu’une chienne soit consciente de son corps, de ses habiletés, de ses forces et de ses faiblesses. Si une salope à une carence dans l’un ou l’autre de ces aspects, elle doit obligatoirement proposer d’autres qualités. Dans certains cas, ses faiblesses se voient comme le nez au milieu de la figure, ce qui est le cas de Taylor, par exemple. Certaines d’entre vous ne découvriront les leurs que lors du dressage. »
Sarah sentit plus qu’elle ne vit les larmes de la pauvre Taylor. Les soubresauts de ses épaules se distinguaient au coin de son champ visuel, et malgré la délicatesse de sa propre situation, elle ressentit de la compassion pour sa voisine.
« Bien entendu, à l’inverse, la plupart de ces difficultés peuvent être combattues et vaincues pendant le dressage.
Les trois trous d’une chienne doivent être éduqués au maximum de leurs possibilités. Si par malheur, ça n’était pas possible, la salope devra développer d’autres aptitudes afin de distraire l’attention de ces lacunes. Ce n’est qu’ainsi qu’elle réussira à minimiser la déception qu’elle pourrait causer.
On ne pourra jamais changer l’apparence fondamentale d’une chienne. La chirurgie esthétique est vue d’un très mauvais œil, ici à Harkwood. Si quelqu’un recherche des seins plus gros, il faudra lui trouver une autre putain.
D’un autre côté, vos propriétaires peuvent avoir un point de vue différent, mais l’influence d’Harkwood ne sera jamais négligée, et les améliorations temporaires feront l’objet d’un cours d’ici quelques semaines. »
« Mitchell et Taylor, allez dans la pièce attenante au fond de la classe et roulez jusqu’ici la chaise qui s’y trouve. Elle s’adapte à l’estrade. Vous la positionnerez face à la classe. »