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Les révelations d'Ariella 29
précédant

Par Donatella

 

 

Les révélations d'Ariella – poèmes vécus

Il y avait dans le gant de velours qui attirait Ariella dans une maison qui aurait pu devenir un peu la sienne, une main de fer. Madame Laurence qui avait fait des prodiges de séduction, rompue à l’art de faire languir une petite chérie prête à s’ouvrir, voire à souffrir, n’entendait pas être contredite ; elle le prendrait comme un affront personnel qui provoquerait sa colère. Comme je l’ai dit dans ma dernière présentation du chapitre précédent, Ariella a commis la faute qui la conduisit comme Eve à ’être chassée du Paradis.

Donatella

 

Chassée du Jardin des Délices

J’ai honte encore aujourd’hui deux ans plus tard, d’avoir commis l’impair qui ne fit de Maîtresse Laurence qu’un astre, aussi puissant fût-il, dans ma constellation. Alors qu’elle m’avait adoptée sur le champ et pensais sérieusement avoir trouvé celle qu’elle cherchait pour vivre dans la longue durée un dressage parfait amplement teinté d’un amour maternel sincère, je l’ai changée en une étoile filante, une comète éphémère. Je le regrette tellement que c’est en laissant couler les larmes sur mes joues que je décris avec mélancolie ce que j’ai vécu avec Madame. (j’avoue très franchement que cela m’est difficile car ma honte est plus forte que mon désir de me remémorer la beauté de cette unique nuit qui a été vécu comme une première nuit destinée à ouvrir une relation continue. Je l’ai stoppée de la façon la plus absurde. J’en souffre encore car je n’ai jamais compris pourquoi je n’ai jamais su garder une maitresse et me consacrer à elle. Quelque chose en moi surgit sans que je ne puisse prendre la mesure de mes actes et cela au dépends de celle que j’aime. Car en effet j’ai réellement profondément aimé cette dame, du moins j’en suis tombée infiniment amoureuse. Après cette nuit, j’étais sur un nuage, je ne pensais qu’à elle, je la chérissais en plaquant mes seins avec mes bras, en me mettant dans la position du fœtus le soir dans mon lit pour me serrer contre elle dans mes rêves et pour me retenir à elle. Où que je sois, avec qui que je sois, j’étais ailleurs. Réjouie, puis tremblante, passionnée aux larmes, il n’y avait plus une seconde où je la voyais sous mes paupières. Mais trêves de sentiments, car on ne fait pas partager ses sentiments. Je suis ici pour faire partager mes expériences heureuses et malheureuses de mon avancée sur les braises de la soumission. Noter que quand on est soumise, on ne l’est jamais assez ; on espère arriver au bout de nos désirs et de trouver le repos, mais un désir réalisé n’est plus un désir. Alors sans cesse on recommence. La paix, j’ai cru la trouver avec Madame Laurence. Elle le voulait. Une paix pleine de piments, pleines des épines de roses mais pleine aussi de miel et d’inattendu. Je sais tristement ce que j’ai perdu en la perdant. ----  Puisse-t-elle un jour consulter le site que Monsieur a créé pour nous, petites lesbiennes soumises et perverses, et se reconnaître aussi discrètement que scrupuleusement. Se souviendra-t-elle de cette Ariella qui osa lui désobéir…

Revenons à la pénombre de cette soirée d’été, dans le grand salon de Maîtresse. Vêtue de ma petite combinaison de satin noir, à quatre pattes devant Madame assise sur son canapé, je dus la relever sur mon dos pour que je lui offre mes fesses toute propres et parfumées. Elle me caressa ; ce fut le premier contact avec sa peau. Elle caressa lentement chacune de mes fesses, me complimentant pour leur forme bien rondes et la qualité de ma peau. Elle s’est penchée pour mieux m’examiner car je sentis le souffle de sa respiration sur l’épiderme de mes petits globes. De sa main elle poussa sur une de mes cuisses pour que je l’écarte un peu, elle fit de même avec l’autre cuisse. La raie de mes fesses s’ouvrait, je sentais l’air un peu chaud de la pièce. Elle me félicita pour l’entretien de mon anus. Visiblement c’est lui qui attirait son attention. Toutefois, avec une délicatesse qu’aucune dame ne m’avait encore prodiguée à cette endroit, elle prit entre ses doigts les peaux de mon périnée entre mon anus et ma chatte. Elle les caressa comme si elles étaient une seconde petite chatte ou l’antichambre de ma chatte, deux autres petites lèvres à sa disposition. Décidément Madame avait des dons très rares ; j’eu même la cupidité de croire que c’était un peu moi qui lui inspirai de telles caresses. D’ailleurs je redressais mon derrière, cuisses ouvertes, pour faciliter son accès à cet endroit qui me provoqua un roulement de tonnerre dans mon ventre. Après avoir joué avec ces  « lèvres » supplémentaires, les étirant, les faisant rouler entre son pouce et son index, elle se dirigea insensiblement vers l’exploration de mon œillet qui plus qu’un œillet était un œil. Je la regardais avec ce troisième œil qu’elle regardait. Nous nous aimions ainsi. Elle était très sensible à cette forme inattendue d’attirance mutuelle. Avec son ongle elle passa de strie en strie, comme si elle les comptait en les faisant défiler du bout de son doigt. Je ne pus retenir un petit gémissement d’acquiescement pour lui signifier que ces minuscules caresses me faisaient fondre et que mon petit cul était tout à elle, rien qu’à elle.

La précision avec laquelle Maîtresse effeuillait ma petite fleur étoilée était un comble d’orfèvrerie. J’avais l’impression d’avoir à la place de ce petit trou un diamant que Madame admirait. Bizarrement, je sentais combien elle voudrait le faire sien, elle soufflait explicitement cette fois sur la raie de mes fesses s’arrêtant plus longtemps sur le petit orifice encore fermé. Alors, Maîtresse, des deux doigts d’une main, l’écarta et de l’autre elle y pointa l’index. Sans se départir de ses gestes au ralenti au lieu de me pénétrer comme je le pensais et l’espérais, elle le distendit très légèrement en appuyant sur le bas de ce petit cercle. Elle devait de son regard fasciné pouvoir découvrir la frange rose de mes muqueuses. Elle aurait certainement aimé disposer d’une loupe pour mieux voir encore. Son ongle au lieu de me faire mal accélérait mon envie de le sentir iriser mes parois bouillonnantes. Tout ça est atrocement vrai, je dis atroce parce que je me suis privée de cet art sublime, ce qui augmente mes larmes alors que j’écris. C’est vrai que plus je me prends à revivre l’attention extrême de Madame pour mon cul et plus j’en ressens le manque. Mais je dois continuer, car elle, elle continuait à agacer cet œillet. Sans prévenir et sans ménagement – ce qui tranchait vivement avec ses subtilités précédentes, elle ficha son index dans ce pauvre petit trou qui ne comprenait plus ce qui lui arrivait. « J’aime ton cul, ma belle. Tu vas me le donner, n’est-ce pas ? Je vais te le prendre, il me nargue de tant de charmes que je vais te le bourrer profondément. Son doigt fut vite rejoint d’un autre et ensemble ils estimèrent mon degré d’excitation. Oh oui, j’étais graisseuse, voluptueuse et crémeuse. (Je devenais amoureuse, mais ne le savais pas encore). En tout cas je me donnais, allant à la rencontre de ces intrus pour qu’ils s’enfoncent plus encore et prennent possession de mon palais de larmes visqueuses qui bavaient devant leur dextérité. Il y avait un peu de violence de la part de Madame qui sans mot dire s’activait comme une machine à enculer entre les chairs de mes fesses.

Elle ne voulait pas en rester là. Voyant que je prenais bien, elle me montra deux godemichés électriques, un rose et un vert – ni trop courts ni trop longs, en revanche un peu larges. (Oh, c’est horrible, je m’en souviens comme si c’était hier !). Elle introduit d’abord le rose. « Vas-y, ma belle, vas-y ! ». Maitresse introduisit sans aucune peine cette bite en plastique dans mon cul, se réjouissant expressément non seulement de ma dilatation mais aussi de la fluidité de mes sécrétions anales et vaginales. « Tu mouilles bien du cul, petite beauté. J’adore ça ». Elle fit quelques premiers va-et-vient en se délectant de l’aisance avec laquelle je me laissais pénétrer. Pour lui montrer que j’appréciais beaucoup, je me suis mise à venir à la rencontre de son dard pour qu’il assaille davantage encore mes couloirs intérieurs. « Ne te fais pas ma, chérie… » Mais je continuais de plus belle pour qu’elle puisse imaginer que j’avais des ressources insoupçonnées. Je lui avais dit que j’avais eu une maitresse qui me fistait, je voulais lui en donner la preuve. Elle changea de gode. Les vibrations du vert étaient plus fortes, elle me le fichait dans l’anus et contemplait mes fesses que je dandinais au rythme de ces vibrations. De temps en temps elle posait sa main sur une de mes fesses, me caressant ou suivant les mouvements de mon déhanchement. Oh Maîtresse ! Oh douce Maman ! « Cela suffit pour l’instant, ma Belle. Je regrette de ne pas avoir un gode-ceinture pour te prendre. J’en achèterai un rien que pour toi. Relève-toi. Viens par là. » Elle me conduisit dans une autre partie de cette grande pièce où se trouvait au sol un matelas de deux places. La lumière était assez faible mais suffisante. Maîtresse se déshabilla, gardant sa culotte. Nous nous sommes allongées ; elle s’approcha de moi et alors que j’étais toute livrée à elle, elle me parla de son métier, de ce que je voulais faire plus tard, elle me dit quelques mots sur sa famille et sur sa précédente soumise, une femme avocate qui avait besoin de satisfaire ses besoins de soumission, une certaine façon de compenser ses lourdes responsabilités. Elle quittait pour un temps toute représentation sociale, et venait se réfugier en se mettant totalement au service de Maîtresse Laurence qui pouvait jouir de ses qualités de soumise et d’objet sexuel. Je l’écoutais passionnément car plus ça allait et plus j’étais partagée entre la jalousie et l’excitation. A la fin de son récit, Madame me laissa entendre qu’elle la remplacerait volontiers par moi. Je ne savais pas ce qu’il m’arrivait. Maîtresse Laurence prenait possession non pas tant de mon corps que de mon mode de vie. J’allais défaillir, ne sachant quoi dire, elle préféra couper court à ses confidences échangées dans l’ombre comme deux petites filles qui dorment ensemble pour la première fois, l’une troublant l’autre et l’emportant dans de drôles de rêves. Maîtresse se mit à plat ventre et me demanda de m’assoir sur ses reins pour que je lui masse les épaules et le cou. Je le fis le mieux possible, mais elle me trouva un peu maladroite. « Je t’apprendrai… N’oublie jamais que tu seras avant tout ma petite servante. Tu devras apprendre beaucoup de choses et tous les gestes sexuels seront à considérer comme des récompenses ou bien des punitions, selon ton comportement. C’est ainsi que je comprends la domination, je crois que tu l’as compris, tu n’es pas bête, ma chérie, n’est-ce pas ? »

Elle se releva et me reconduisit sur le canapé. Je portais toujours ma combinaison. Elle m’a prise sur ses genoux comme un bébé. Elle posa une de mes mains sur son sein. Elle allait une nouvelle fois mépriser la beauté de sa poitrine quand j’ai épousé ma bouche avec son mamelon, ce qui l’a surprise, elle se tut et me caressa le visage. J’étais sa petite, elle était ma maman. Ses tétons grandissaient dans ma bouche. Je tenais ses seins de mes deux mains comme un bébé boit sa maman. Sa peau était à la fois fraîche et chaude. Laurence était d’une tendresse infinie. Entre deux tétées, un peu redressée je me suis plainte de mes trop petites mamelles. C’est là que la foudre me tomba sur la tête, me traversa toute entière, faisant vibrer tous les organes de mon corps, s’imprimant à jamais dans ma mémoire pour s’y faire une place de choix, Maîtresse Laurence me dit le plus naturellement du monde sur un ton que seule une maman sait trouver pour parler à sa fillette, ce que je n’aurais jamais, absolument jamais, supposé entendre. « JE TE FERAI GONFLER LES SEINS, MA BELLE. Je connais un moyen pour te faire gonfler tes pourtant déjà jolies mamelles. Elles gonfleront vite, puis tu retrouveras ta poitrine actuelle au bout de quelque temps ». Rien de plus bouleversant, je n’ai jamais rien entendu de plus bouleversant. Je pourrai être bustée devant Maîtresse Laurence ! Quel miracle. Je ferai la vaisselle avec des mamelles qui déborderont de mon tablier… Mes seins toucheront le sol quand je nettoierai le sol de la cuisine, des sanitaires ou du salon…. Ils pendront un peu et mes pointes seront encore plus arrogantes. JE FONDAIS littéralement. J’eu des larmes scintillantes dans les yeux qui ont ému ma Maîtresse. Je pris son sein dans ma bouche avec un amour véritable. Je lui appartenais totalement. Elle disposera de mes mamelles, c’est fou. Mon corps sera tout à elle, elle le changera pour elle. Oh Maîtresse Laurence, puissiez-vous lire ces phrases et me pardonnez de vous avoir mise en colère ! Puisse le Ciel faire que le hasard vous amène sur ce site et vous fasse découvrir ces lignes !

Pour me montrer que mes seins étaient déjà bien développés, elle les prit dans ses doigts et les a fait se balancer. « Palpe-les souvent, ma chérie. Ne les méprise pas. Palpe-toi avant de te caresser. Mais bientôt tu viendras ici régulièrement pour avoir tes plaisirs de fille, n’est-ce pas ? Alors il te sera interdit de te toucher quand tu seras seule. Je serai l’unique Maîtresse de tes jouissances et tu ne jouiras que lorsque je le voudrais. Ta jouissance passera toujours après la mienne. J’aime être sucée, un peu vicieusement si je te le demande, très amoureusement si je sens le besoin de ton amour et si j’ai envie de te donner le mien. Tu as bien compris, ma belle ? Oui, je sais que tu as très bien compris…. Maintenant je dois te laisser partir car demain je dois me lever tôt. Reprends tes affaires, rhabille-toi. Pour voir si tu es très obéissante, voici une consigne à respecter absolument : tu ne m’écriras par mail que les jours pairs, jamais les jours impairs. C’est un exercice. Ainsi je te dominerai en dehors de chez moi. ». Ne trouvant pas cet ordre bien difficile, je répondis en souriant « Oui Maîtresse Laurence .. - Bien, allez, va-t-en. » Je partais le cœur léger ou plutôt lourd de rêves envoûtants. Je partis si vite que j’oubliais mes lunettes, tribu de ma soumission. La suite a fait que je ne les ai jamais revues. Alors qu’il était très tard dans la nuit et comme je m’étais perdue pour venir, Maîtresse m’indiqua l’accès à l’autoroute A5, puis au bout d’un moment elle m’appela sur mon portable pour me demander si tout allait bien. C’est peut-être ce message qui scella définitivement l’état amoureux dans lequel j’ai plongé dès que j’ai revêtu ce petit vêtement de satin noir. Madame s’inquiétait de moi au-delà de chez elle. Je n’avais pas vécu une séance, mais je vivais une nouvelle histoire d’amour – ça me rendait complètement folle.

Nous étions le 5 juillet, jour de mon anniversaire. Le lendemain j’écrivais in long message à Maîtresse. Si j’avais pu je ne me serais jamais arrêter. J’envoyais avec émotion mon petit texte amoureux. Mais aussitôt envoyé, et pour ne pas me sentir seule, dépourvue de sa présence que prolongeait ma lette, je composai un nouveau message, et comme je ne devais pas dépasser un message par jour, je décidais de l’écrire en me promettant de ne l’envoyer que le 8 juillet, dans deux jours. En plus, me projetant le 8 juillet, je disais dans mon texte que j’avais pris soin de ne pas écrire le 7 comme prévu et que par là je lui témoignais de ma soumission. Et c’est là que tout s’effondra. Comme la pire des connes, il n’y  pas d’autres noms, je cliquais sur ce message travesti. Catastrophe, Maîtresse découvrirait mon subterfuge. Une duperie que seul l’amour fou est capable d’inventer au risque de s’y perdre. Evidemment quand Maîtresse découvrit ce mensonge (ce n’était pas vraiment qu’un mensonge, c’était aussi la preuve d’un irrépressible élan vers elle), elle me téléphona furieuse. Je me revois dans ma chambre, effondrée sur mon lit. Elle prit une colère terrible, m’insultant de tous les noms. Je demandais pardon, mais sa colère augmentait. J’étais totalement perdue, vraiment totalement. J’avais presqu’envie de mourir, de ne pas vouloir survivre. Je voulais tuer la fille stupide que j’étais. Seule, trop seule. Je me suis souvenu du téléphone d’une vieille amie qui connaissait mes passion pour la soumission (elle-même était soumise mais à des hommes). Elle tenta de me consoler, mais aussitôt notre communication terminée, j’éprouvais l’âpreté de la solitude. J’aurais voulu être battue avec force et me perdre jusqu’à l’épuisement total.

Ma connerie (excusez-moi du mot, mais on ne peut pas dire autrement) ne s’arrêta pas là. Madame me rappela quelques jours après. Elle me dit que pour ma désobéissance elle appliquerait ce dont elle m’avait prévenue soit dix coups de cravache auxquels elle ajouterait peut-être dix coups de badines. Mais cela ne lui suffirait pas, elle me demandait de lui envoyer mon mémoire d’architecture dont je lui avais parlé pour le transmettre à l’architecte chez qui elle travaillait. Et la petite conne que je suis n’a pas voulu lui envoyer ce travail de peur que son nom ne soit connu de ce monsieur. Je ne donnais jamais ni  mon nom ni mon adresse à mes maîtresses. Je m’en étais fait d’instinct une règle absolue. Mais dans ce cas ce me fut funeste : bien sûr je ne voulais pas qu’on sache que j’étais la soumise de Madame Laurence. Mais en voulant conserver mon sacro-saint anonymat, je méprisais sans m’en rendre compte la relation naturelle que Maîtresse voulait entretenir avec moi. J’ai confondu séance et histoire, enfin bref, j’étais en pleine confusion. J’aurais du penser qu’il était évident que son patron ignorait tout de sa vie privée. Laurence n’aurait pas voulu qu’on sache quelle était sa sexualité. Maîtresse Isabelle à qui je racontais cette histoire bien plus tard m’a dit que j’avais été vraiment sotte et que j’ai certainement  raté une aventure, une histoire probablement absolument merveilleuse. Je suis convaincue aujourd’hui d’avoir commis une ERREUR que je ne cesserai de regretter. A dire vrai, je ne m’en suis jamais remise.

J’ai eu beau penser que, comme avec Maîtresse Lysiane, je n’ai pas osé demander si je devais à chaque rencontre apporter un cadeau aussi important car je n’étais qu’étudiante et qu’y passait une grande partie de mon argent de poche du mois que me donnait Edwige. Mais c’est une bien pauvre excuse en regard de la passion sexuelle et amoureuse que, moi Ariella, petite soumise en l’occurrence sottement « rebelle », j’aurais pu vivre et donner à vivre à ma Maîtresse… Je demande Pardon, je demande Pardon.

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