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Les révelations d'Ariella 24
précédant

Par Donatella

 

 

Les révélations d'Ariella – poèmes vécus

Plus elle approche du « grand saut » comme elle dit pour parler de sa première rencontre avec une vraie maîtresse, non pas une femme invisible, mais une femme en chair et en os, et plus Ariella est impatiente. En fait elle est tiraillée entre son désir de tout décrire des conditions de sa progression dans la soumission et son envie d’aller à grandes enjambées sonner à la porte de Maitresse Lysiane un samedi d’été à 14 heures.  Mais je lui ai conseillée de me raconter ses vacances à Saint-Gilles chez la maman d’Estelle. Ce qu’elle a fait avec sa petite moue d’enfant gâtée. Je n’en peux plus de cette gamine qui à 24 ans pourrait être ma fille. Donatella.

 

L’été de tous les vices

J’ai dit précédemment que j’ai oublié d’un seul coup mon expérience, comment dire ? , mon expérience de réelle petite pute, dans la mesure où Madame Angèle aimait autant me livrer à des femmes en mal de maternage et d’autorité que profiter de mes charmes pour elle toute seule. En fait c’est ça. Madame est devenue ma maîtresse parce que dès la première minute elle a senti en moi une folle attirance pour les choses du sexe, mais aussi la honte que je pouvais ressentir dès que ces jeux quittaient le huit clos d’une relation secrète et partagée. L’échelle du village n’était pas celle de notre hôtel particulier parisien où Edwige m’a appris à devenir celle que je suis, ni celle évidemment du grenier ou des cabinets, ni celle du mas provençal de Jennifer ou du laboratoire d’Estelle. Et ce n’est pas la vie dans le couvent du Saint-Anus qui différait tellement : les jeux éducatifs étaient réglés depuis plus de deux siècles, on a bien vu que lorsqu’Estelle inventa d’autres « fesse-tivités », elle fut chassée comme une malpropre. Donc je ne concevais la sexualité des lesbiennes qu’uniquement en vase clos. Mais dans le bourg c’est tout un réseau qui entendait jouir des qualités d’une petite salope qu’on se passait pour quelques heures; ça ne se faisait pas que dans une chambre, mais dans un club ou dans des fermes isolées, où à plusieurs reprises j’ai du aller de main en main (il vaudrait mieux dire de chatte en chatte – j’ai une petite pensée pour ma tendre Allie). Ce n’est pas une seule femme qui profita de moi, mais sans exagérer, bien plus d’une douzaine. C’est comme ça que j’ai découvert les violences de l’humiliation que ces femmes, dans de telles conditions en liaison permanente, pratiquaient comme elles respiraient. Par je ne sais quel complexe, elles ne prenaient leur pied que lorsqu’elles avaient un objet de mépris, ou mieux un objet de moquerie. Combien de fois on s’est moqué de mes mamelles et de mes fesses, combien de fois ma fente et mon cul ont été la risée de l’assemblée tout simplement parce que ma chatte avait gonflé ou que mon cul se refermait mal.  J’ai eu beaucoup de peine à transformer mon dégoût et ma peur de l’humiliation en une forme extrême du plaisir. Il a peut-être fallu que je sois achetée à mes parents pour que j’arrive à convertir ma condition en état suprême de la soumission telle que je la vivais depuis toujours, à savoir comme un acte d’amour. Humiliation, mon amour !

Le fait est que ne me manquaient ni les cuisses ouvertes et les culottes ou sexes nus des clientes qui en retour exigeaient que je leur expose mes seins et ma chatte rasée, le tout de la façon la plus naturelle du monde  - l’idée du magasin de chaussures les préservait de toute culpabilité - , ni les sévices subis à la ferme où, aux hommes et aux femmes, on ajouta des animaux pour s’occuper de moi. Ne me manquaient pas non plus les séances d’essayage chez la vieille couturière qui me fit payer très cher mon jet de pipi du premier jour, ni les traitements mammaires et vaginaux que pratiquaient régulièrement sur moi la doctoresse dévorante. Si jamais il me manquait quelque chose, curieusement c’était les parfums et les odeurs sucrées de Maîtresse Sapho ; elle ne fut jamais violente, mais sa façon de me transformer en petit animal de compagnie était extraordinaire ; je n’oublierai jamais non plus sa façon divine de me doigter le cul ; Je ne retrouverai jamais ça. Enfin, j’aurai une douce pensée pour Madame Angèle qui derrière son apparence de méchante maitresse perverse, il y avait quelque chose d’autre. Je dois avouer que je n’ai jamais refusé de la nettoyer en profondeur ni de me comporter comme une chienne en chaleur quand elle en avait envie. J’ai parfois du dormir nue dans son jardin comme une petite bête sauvage, je la haïssais. Maintenant je ne lui en veux plus du tout. En plus tout ça est passé, donc ça n’existe plus, n’existe que le présent, et pour moi le présent c’est le désir démesuré de rejoindre une des femmes qui, après Jennifer, a beaucoup compté pour mon évolution.

« Je pars cet été avec ma fille passer toutes les vacances scolaires à Saint-Gilles en Vendée, chez ma mère. J’y suis née, j’y ai été adolescente et j’ai encore deux excellentes amies avec qui, d’ailleurs j’ai découvert vers douze-treize ans les vrais plaisirs du sexe entre filles. Non, ne pleure pas, Ariella, Je penserai à toi, je suis contente de savoir que tu m’as cherchée. Je ne veux pas savoir ce que tu as fait ni ce qu’on t’a fait.     J’ai une idée ma puce : viens avec moi chez maman. Comment ? En m’écrivant tous les jours, je te répondrai toujours et nous pourrons jouer et jouir ensemble. Oui je le veux. Je sais que rien que cette proposition agit sur la fermeté de tes jolis seins et que les tortures de ton ventre te reviennent, n’est-ce pas ? Mais cette fois pour un plaisir extrême. (Tu vois, en te déchirant les entrailles, je savais que tu en jouirais un jour et que tu ne pourras plus te passer de moi. Tu comprends du coup que je ne fais que très rarement ce que je t’ai fait subir, petite Ariella, car aucune gamine ne mérité un tel traitement ; je sais l’effet de dépendance qu’il scelle avec moi, et je n’ai pas envie de m’encombrer de petites pétasses. Avec elles, je me contente de fessées et de quelques doigtées dans leurs deux petits trous de gamines dévergondées parmi d’autres, pareil pour les mamans qui paient cher pour être corrigées et se faire méchamment dilater. Mais avec toi c’est différent, j’aime ta façon d’écrire et j’ai vraiment la sensation de te connaître, même mieux que les gens de ton entourage qui croient te connaître.) Alors, parles-en avec ta tante et dis lui de te payer un billet SNCF pour Saint-Gilles via Nantes. Je viendrai te chercher à la gare car Maman habite hors de Saint-Gilles dans un petit village. J’ai hâte de te présenter à Maman. Je lui ai déjà beaucoup parlé de toi, mais de façon très correcte ; je ne lui ai pas dit ton âge.

Edwige fut très favorable à mon départ. Elle savait que je passerai l’été devant l’ordinateur, mais tout ce que je lui avais dit d’Estelle l’avait moins scandalisée que je craignais. Elle n’a pas aimé que je me crée une autre famille que la nôtre, puis finalement elle a préféré que je me présenter autrement. Elle-même n’avait jamais subi pareils outrages ni les avait pratiqué. Elle y voyait un certain sadisme qu’elle a toujours réprouvé. A mon corps défendant, je pouvais témoigner qu’éventrée et mamelles ravagée, puis libérée de ce serpent aux mille langues coupantes et de ces deux herses de lances enfoncées dans mes nichons de grande adolescente, j’ai été pries d’une non moins violente envie d’appartenir à ma tortionnaire. L’image que j’avais c’était de m’infiltrer toute entière dans son ventre comme  elle venait elle-même de me pénétrer en me dilatant à l’extrême. Au lieu de vouloir la faire souffrir, je voulais seulement vivre à l’état de fœtus au chaud dans le ventre nourricier de maman. On ne me verrait plus, je n’aurai pas de honte, et je serai à l’abri de tout dans Estelle qui me sentirait tout le temps, le jour et la nuit. Bien sûr, je ne suis pas sotte, je sais que c’est un fantasme et qu’il est souvent impossible de réaliser ses fantasmes bien que le net peut plus que tout.

En tout cas, ma valise était prête. J’emportais plein de nouveaux sous-vêtements et de tee-shirts sexys,  Edwige qui était un peu émue de me voir partir appela un taxi et j’allais gare Montparnasse prendre le train du bonheur. J’ai eu une légère aventure dans le train avec ma voisine, mais rien qui ne mérite que je m’attarde. En revanche il s’est passé cinq évènements incontournables qui m’ont profondément marquée ;

1 - voir la maman d’Estelle toute nue, une jambe sur l’accoudoir d’un fauteuil entrain de caresser le clitoris de sa chatte grise les yeux fixés sur nos deux corps en 69 sur le tapis du salon. Louise regardait toute habillée, sans exprimer ni intérêt ni désintérêt devant les fesses écartées de sa mère dans lesquelles j’avais enfoui la langue.

2 –  la visite un après-midi chez les deux amies lesbiennes d’Estelle auxquelles elle me livra littéralement, ces deux furies m’ont écartelée. Je me souviens que l’une assise me tenait contre elle, la tête en bas pour lui manger la chatte pendant que derrière elle son amie m’écartait les jambes et plongeait sa main dans mon trou qui se trouvait juste devant elle. Je gesticulai ce qui m’a valu une terrible fessée, toujours dans cette position. Pendant ce temps Estelle les jambes négligemment ouvertes se caressait en contemplant ces deux amies en train de s’adonner aux pires jeux de lesbiennes, Elles ont aimé ma souplesse, mais elles m’ont épuisée

3 – douloureuse séance : Estelle me parla un soir d’une amie à elle qui a des jeux très coupables avec sa propre fille. Ce jeu consiste à couvrir respectivement leurs seins de punaises de toutes les couleurs. Toutes les deux pourvues de belle mamelles bien rondes, elles piquent alternativement d’une l’autre. La mère enfonce une pastille de couleur puis ensuite c’est au tour de la fille, et ainsi de suite jusqu'à la création d’un soutien-gorge très spéciale. Estelle entreprit de jouer de la sorte avec mes propres mamelles, mais refusant que je lui rende la pareille

4 – Estelle connaissait une bonne mère de famille qui à la moindre occasion, et ça depuis plusieurs années, tentait de la séduire ou plus exactement voulait se faire courtiser par Estelle qui lui lançait des regards noirs. Mais Estelle n’est pas perverse pour rien, quand elle la voyait dans la rue, elle marchait devant elle et relevait rapidement sa jupe pour lui montrer ses fesses (voir la photo). Cette femme l’aurait suivie partout. C’est ainsi qu’un jour, Estelle l’ayant attendue à la sortie d’une superette, se mit à la précéder. Sentant que le stratagème fonctionnait, elle l’attira dans une rue calme, sans se retourné elle releva sa jupe sur ses fesses nues, sans culotte. Continuant ainsi son chemin d’un pas chaloupé, accentuant la rondeur de ses chairs, s’ouvrant en un ciseau de ses doigts de façon négligée Estelle l’attira dans la propriété de sa mère. Médusée, ayant perdu tout sens de la réalité, la femme suivait le raie des fesses de Maitresse comme un marin suit la boussole. Je savais ce qu’elle voulait. Je me mis toute nue mais avec des bottes et remplaça Estelle, montrant à mon tour mes fesses, les écartant pour prendre au piège de mon cul et de ma chatte les regards de possédée de cette femme hystérique. Puis Estelle me rejoint, nue et en bottes de cuir. Derrière la maison de grand-mère  il y avait un hangar dont le père d’Estelle se servait d’atelier de bricolage. On y entra toutes les trois. On déshabilla cette proie volontaire – en tout cas fascinée. Elle se laissa faire sans résistance. Elle n’avait d’yeux que pour nos mamelles et la forme de nos triangles. On la ficela solidement. Estelle possédait un art consommé du bondage et prenant cette femme comme un cobaye, elle me montra comment on immobilise complètement une salope. Je fis quelques exercices à même le corps de cet objet sexuel tel que se constituait cette grosse obsédée. Une fois bien attachée de façon à ce que les mamelles, les fesses et le pubis soient aisément accessibles, Estelle fit descendre de la haute poutre une chaine qui passait par une poulie. Nous y suspendions la femme ainsi bondagée, sans aucune défense. Elle coulait déjà abondamment. Estelle se saisit d’une lanière de cuir avec laquelle elle fendit l’air avec un bruit très strident.  « Alors, comme ça on drague les filles ? On a envie de se faire mettre par une femme ? Madame est une sale petite gouine ? Et tu te permets depuis des années de me faire des avances, Je parie que tu te caresses tous les soirs de l’année en fantasmant sur moi. Tu vois ma petite protégée, elle s’appelle Ariella, je vais lui apprendre comment on châtie une vicieuse comme toi. Tu as aimé voir mes fesses nues dans la rue, tu aimes qu’on se trousse devant toi. Et bien tu vas avoir deux beaux culs à lécher. On devrait appeler maman et Louise, je suis sûre qu’elles apprécieraient le spectacle d’une trainée du village.  D’abord le fouet.  Regarde bien ma chérie comment on rougit et on strie un beau cul, ensuite on passe aux mamelles et on termine par la chatte. La femme crie, Grand-mère s’est mise nue et a déshabillée Louison. Elle lui caresse la chatte puis se penche pour la sucer. A son grand étonnement, dans l’air surchauffé de cet endroit de malheur, Louison se lâche, elle embrasse grand-mère sur la bouche et cherche de son doigt fin l’anus de son aïeule qui ne se gêne pas pour s’avancer sur son siège pour faciliter cette vicieuse caresse. Pendant ce temps, la salope suspendue hurle et jouit en même temps. C’est une femme fontaine, les orgasmes successifs sont très expressifs ? Elle en avait vraiment plus qu’envie. Elle décharge tout ce qu’elle avait embrigadé désespérant d’arriver à ses fins. Elle désirait passionnément Estelle mais ne savait pas qu’elle verrait un jour son cul en pleine rue et encore moins qu’elle subirait les foudres de celle qu’elle convoitait, accompagnée d’une véritable petite dominatrice. Car en effet, assister les faits et gestes d’Estelle faisait de moi une petite dominatrice. Mais je dois dire  que bien que je n’aurais jamais supporté les supplices qu’endurait cette femme écervelée, j’en étais très jalouse. Oui, j’ai toujours eu tendance à être jalouse, je l’étais des étudiantes qu’Edwige invitait pour la nuit, je l’étais encore des soumises de Jennifer qui trainaient sur le net, et là je le suis de cette pauvre femelle en rut.

(Je me suis écartée, entraînée par les délires de cette femme qu’avait inventés avec un art exceptionnel ma chérie. Je vivais dans les moindres détails ces scènes folles. J’arrivais à voir la sueur de la raie des fesses de cette femme en pleurs, j’arrivais à sentir les odeurs des corps ouverts, je voyais la chatte de grand-mère au bas de son ventre un peu gros. Ce que j’admirais c’était le pli qui sourit des fesses de Louison, là où finissent les fesses rondes et où commence le haut de ses cuisses. Je voyais les seins d’Estelle se balancer quand elle levait le bras pour frapper sa victime. Elle avait à ce moment-là des yeux d’un vert de vipère, et un petit rictus de rage. Elle prenait un vrai plaisir à faire souffrir cette femme qui s’était finalement jetée toute seule dans cette fournaise d’où elle ne sortirait pas indemne. La plupart de femmes qui tombent ainsi dans un tel état de perdition au lieu de tout faire pour oublier n’ont qu’une envie pour ne pas dire une obsession, c’est d’y retourner à la première occasion. N’ai-je pas tout fait pour retrouver Estelle ?  Je ne le regrette pas.)

5 – interdit par la censure. En quelques mots, Estelle avait invité chez grand-mère un groupe de femmes qui souhaitaient connaître de nouveaux plaisirs, fusse avec d’autres femmes. Leur hôtesse conçut de leur faire un cadeau pour la soirée. Un peu avant leur arrivée, Estelle m’avait entièrement enroulée dans un rouleau de papier kraft et soigneusement ficelée comme un gros colis. Elle avait contacté un facteur sensé livrer ce gros colis. Il sonna, demanda de l’aide pour porter ce colis du portail au perron. Ce fut fait. Le cadeau fut placé au centre de ma pièce autour de laquelle les femmes étaient assises. Grand-mère fut choisie pour ouvrir ce paquet et de lire ensuite le mode d’emploi. Bien empaquetée pour faire languir les seize femmes présentes, grand-mère s’appliqua. On vit apparaître mes cheveux, puis mon sein gauche, un pied, l’excitation était au maximum. On me dépeça littéralement, amplement palpée à l’occasion. Les femmes se battaient qui pour m’attraper un sein, qui pour me palper les fesses quand ce n’était pas de glisser sa main dans ma fente. Une fois nue comme Vénus au milieu des papiers déchirés, la Maman d’Estelle lut sans broncher le mode d’emploi et les qualités de cet appareil.de plaisir. Je passerai sur les détails du fonctionnement, ce dont je me souviens, c’est que je dus obéir au doigt et à l’œil  aux  requêtes de ces femmes aussi bouillantes que des flammes. Elles devaient se mettre d’accord, y parvenaient dans un brouhaha cacophonique. Et je me suis retrouvée à genoux, le visage vers le centre de la pièce et dus présenter mon cul a chaque femme qui faisaient des commentaires intentionnellement vulgaires. Certaines y introduisaient la pointe de leurs ongles affûtés. Naturellement je dus sucer ces seize chattes aux goûts différents, plus ou moins sucrés, plus ou moins amers. Une fois terminé, ce sont leurs culs que ces femmes me donnaient à lécher. Les plus sensibles étaient prises d’orgasmes instantanées. Mais le clou de ce spectacle obscène ce fut lorsque annoncée par Estelle comme le fruit d’un travail de plusieurs mois, voire de plusieurs année. C’était mon engodage anal. Estelle fit un véritable petit discours, vantant les qualités de l’empalement. Elle en fit l’historique académique, puis elle parla de sa propre expérience, et donna de nombreux exemples. Elle précisa qu’elle portait un très grand soin à la mise en scène. S’empaler demande beaucoup de concentration et tout un art de la préparation, généralement assurée par la Maîtresse qui prend son plus grand plaisir dans la dilatation progressive de l’anneau anal.(voir en annexe le plug qu’Estelle m’a fait prendre). Ce fut d’une grande jouissance mais demande des précautions pour ne pas faire éclater les sphincters  
Ce n’est pas ce qui est interdit par la censure,  c’est la suite imaginée par Estelle selon qui, je devais être attachée à un pilori et fouettée à mort par ces seize servantes du diable.

Tels sont les 5 temps qui ont marqué ce séjour. Je suis restée quatre semaines à raison d’une folie par jour. C’est important, car par-delà les mises en scènes d’Estelle et ses talents d’organisatrice tels qu’elle le démontra pour la cérémonie d’intronisation au sens propre du mot, c’est la longue durée de nos messages et de l’intimité de nos émotions qui a rendu ces vacances exceptionnellement excitantes et merveilleusement réussies. Estelle m’a fait connaitre tout l’éventail de la souffrance et de la soumission. Il me fallait quitter le net, c’était impératif. Pour que j’existe vraiment il fallait que j’aille à la rencontre de véritables dominatrices pour jeunes filles. J’avais accumulé un capital d’expériences virtuelles, il me fallait en estimer concrètement la valeur. J’ai connu six maîtresses. Comme depuis le début de mes révélations, je donnerai le maximum de détails pour avoir été seule avec chacune de mes maîtresses – toutes profondément différentes les unes des autres. Ma plus exceptionnelle expérience c’est Maîtresse Isabelle qui me la fit vivre pendant six mois.

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